Chapitre 6 :
On arriva rapidement à la villa. Elle n'avait pas changé en 2 ans et c'est temps mieux. C'était une villa au style moderne. Les mure était blanc immaculé et ses formes cubique me faisait toujours le même effet. C'est-à-dire avoir un large sourire car cela me rappelais comment j'eu travaillé pour pouvoir avoir se lieu.
Nao gara la voiture dans le garage souterrain, il gara la voiture de sport parmi ses semblables. Il y en avait des bleus, des rouges, des noires, des blanches et tout le panel que couleur disponible. On descendit et allèrent à la porte d'entré. L'entré de la villa nous acoquillais avec une allées de fleures multicolores magnifique.
La porte s'ouvrit et Alhya se montra, je crus sur le coup que j'allais faire un infarctus. Elle portait une tenue d'écolière japonaise qui s'emblait un peu trop courte.
-Yo les mecs. Dit-elle en souriant.
-Et bas, t'as mis ça pourquoi ? Demanda Nao envoyant ma tête rouge écarlate.
-J'avais envie. J'ai une info qui vous plaire. Et qui vous déplaire à vous 2 aussi.
- Va-y-on t'écoute. Dis-je en cœur avec mon ami.
-Je sais ou est Sayuri. Dit Alhya doucement.
Je sentis le cœur de Nao faire un bond.
-On y va ! Dit-il en repartant vers la voiture.
-Mais... Elle est à l'hôpital psychiatrique. Fini-t-elle.
Il s'arrêta net et se retourna lentement.
-C'est une blague rassure moi. Dit-il à ma copine.
-Malheureusement non. Soupirai-je. Sa ne m'étonne pas d'elle. Dis-je en soupirant. On croit avoir des infos puis enfaitent elles ne valent rien. C'est pour sa que tu mets autant d'entrain la dedans Nao. Tu m'as dit que tu avais des infos sur elle puits tu ne m'as plus rien dit. Dois-je comprendre que tu as voulu allez vérifier par toi-même ?
Il baissa la tête.
-Pardon Boss.
Je souris tendrement.
-C'est pas grave vieux. Tu t'inquiète pour Sayuri, c'est normal de réagir ainsi. Mais fait plus attention la prochaine fois.
Il acquiesça.
-Tu veux t'équiper ? Me demanda Alhya.
-Je vais prendre des balles et quelque couteau de lancé. Dis-je en entrant.
J'allai dans la cuisine et tira un tiroir. A l'intérieur se trouvais des balles de tous types. Je pris une poigné de balles tout en prenant soins de recharger mon arme. Je tirai ensuite le tiroir du dessous, cette fois-ci, celui-ci était rempli de couteaux de tout type. Je pris 4 couteau de lancé que je rangeai dans leurs étuis à ma ceinture.
Une main ébène vint se poser doucement sur mon torse tendis que l'autre promenais ses doigts sur mon épaule droite. Je tournai la tête et regarda Alhya me sourire.
-Tu aimes ma tenue ? Me susurra-t-elle sensuellement.
-Oui. Dis-je en serrant doucement sa main sur mon torse.
-Tu voudrais que je la porte se soir ?
-Je pense que se soir tu ne porteras pas grand-chose.
Elle sourit et m'embrassa doucement. Après quelque seconde elle s'écarta.
-Faut y aller.
-Yep. Dis-je en rangeant mon arme.
Nao nous attendais déjà dans l'aller avec la voiture. Nous montâmes dedans et partîmes en direction de l'hôpital ou était Sayuri.
Ma sœur, Sayuri Yahiro n'était pas folle, c'est à cause de son pouvoir que l'on la prend pour une folle. Se dernier est simple. Il suffit qu'elle pense à quelque chose pour le matérialiser si elle en a envie. Il est extrêmement pratique mais à aussi son lot de désagrément. A chaque objet crée, plus se dernier sera important plus Sayuri se fatiguera vite.
Cette dernière était resté une grande enfant, des rêves pleins la tête et des envie soudaine complètement stupide est illogique. C'est pour cela qu'elle à créer une licorne. Elle s'occupe de cette dernière comme d'un véritable cheval. Sauf que... Aller dire à n'importe qui que tous les voir vous vous balader à dos de licorne sur les toits de la ville et vous allez voir sa tête. Et c'est pour cela que ma chère est adorable sœur c'st retrouver plus de ... 25 fois à l'hôpital psychiatrique. Mais, à chaque fois je savais très bien me débrouiller pour la faire sortir de l'hôpital.
Après environs 1h de trajet, nous arrivâmes enfin devant le lieu en question. Et personnellement, je trouve qu'il y a bien plus accueillant. L'extérieur était simple. De grand mur en bétons armés avec des barbelés au dessus. Pour renforcer encore la sécurité, des tours de surveillance éclairaient toute la cours la nuit. Des tireurs avait été posté me fit remarqué Nao. Mais après un rapide coup d'œil je remarquai que leur fusil de tir n'était chargé que de seringue tranquillisante. Le lourd portail métallique s'ouvris lentement et un médecin suivit de 2 gardes armés se montrèrent.
-Bonjours monsieur dame, en quoi pouvons nous vous aidez ? Demanda se dernier.
-Nous venons simplement voir une amie qui se trouve ici.
Le médecin rit et je levai un sourcil ne comprenant pas se que j'avais dit de drôle.
- Pardonnez-moi jeune homme, mais les sujets qui sont enfermé ici ne peuvent recevoir de visite.
J'entendis Nao jurez tous bas.
- Bien, pouvez-vous rester là encore quelque minute ? Demandais-je
-Mon temps est précieux vous savez.
-Je sais le mien aussi justement. Dis-je en sortant mon téléphone et en composant le numéro inscrit sur la carte présidentiel.
Le numéro ne sonna pas une fois que la personne décrocha.
-Ronald Tromp j'écoute. Répondit le président.
-Bonjours monsieur le président. Ici Xavier.
Le médecin pali. Il devait se demander si ceci était vrai ou juste une vaste blague.
-Bonjours monsieur Xavier. Comment avance se recrutement ?
-Oh très très bien, le groupe sera bientôt formé. Mais, j'ai comment dire un léger souci d'accès.
-C'est-à-dire ?
-L'une des personne que je souhaite recruter se trouve à un asile que à parement personne ne peut rentrer. Vous pouvez faire quelque chose ?
Le président rit doucement.
-L'asile d'Arkamme. Je vois... Bien, je vous donne l'accès et la possibilité de recruter 1 sujet présent dans se lieux. C'est compris ?
-C'est très claire monsieur le président. Répondis-je en souriant.
Il raccrocha. Le médecin me regarda déboussolé.
-Vous... Vous discutiez avec le président ?!
-En effet, je suis ici pour rechercher une personne qui me sera importante pour la suite du plan de votre dirigeant.
Un autre médecin accourut.
-Professeur !!! Vous ne devinerai jamais qui vient d'appeler ?! Dit-il en reprenant son souffle.
Le premier médecin soupira.
-Bien, vous pouvez entrer.
J'eu un sourire jusqu'aux l'oreille est entra dans le bâtiment.
Le bâtiment réservé aux cellules d'isolement était simple, de long couloirs avec des portes métallique ne pouvant être ouverte que de l'intérieur. Une fois que j'eu dis qui je voulais voir et que le médecin palis encore plus à cette nouvelle il m'accompagna devant sa cellules.
Il mit la clef dans la porte et avant de la tourner il me regarda.
-Bonne chance. Me dit-il simplement.
Il ouvrit la porte. J'entrai immédiatement dans la pièce. La porte se referma derrière moi aussitôt. La pièce était blanche. Au milieu de cette dernière se trouvais une personne assit elle avait une camisole de force se trouver une jeune fille. Elle était de dos.
Je souris et dis :
-Bonjours sœurette.
La jeune fille tourna la tête et me regarda droit dans les yeux. Pas de doute, c'était elle.
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