Chapitre 5 :
Alhya et moi étions dans le corridor de l'immeuble. Sa claque avait résonné dans tout le bâtiment. Une douleur était présente sur ma joue mais elle était supportable. Je ne bougeai pas pendant quelque instant les yeux vers le sol. Je ne lui avais rien dit, elle ne savait rien sur le fait que j'ai été en prison. Sa réaction était donc normale.
Ses yeux s'emplir de larmes et elle monta des escaliers sautant les marches de 4 en 4.
-Alhya !
Je tentai de la suivre mais dès que je voulu accéléré une douleur bien plus grande se fit ressentir dans ma jambe blessé me laissant échapper un cri de douleur. Les bruits de pas s'arrêtèrent pendant un moment puis reprit quelque seconde après.
-Elle c'est arrêté... Pensai-je.
Je continuai à monter les étages mais cette fois-ci plus lentement. J'arrivai enfin au dernier étage, c'était le grenier. Des poutres en bois maintenait les tuiles même si il en manqua certaines se qui laissait passé de frai courent d'aire d'on je me serai sans problème passé. La température était bien plus froide ici.
Devant moi se trouvais un appartement, la porte en bois était usé et le crépis des murs sale et abimé. La porte était ouverte et j'entendais à l'intérieur sangloter Alhya. J'entrai dans l'appartement.
C'était un studio simple mais des trous étaient visibles au plafond.
-Sa doit être bien en hiver ou en temps de pluie. Fis-je remarqué.
Une injure se fit doucement entendre. Je m'approchai de la chambre et poussa la porte avec ma canne. Alhya était en boulle sur le lit en train de pleurer. Elle me jeta un regard chargé de colère et de rage. Ses yeux rouge faisait tache sur sa magnifique peau noir et de ses tresses.
-Qu'es que tu me veux... Souffla-t-elle entre ses dents.
-Que tu reviennes dans le groupe.
Elle se leva d'un bon et s'approcha de moi en rage.
-TU TE FOU DE MOI ?! TU DISPARAIS PENDANT 2 ANS SANS LAISSER LA MOINDRE TRACES ET LE MOINDRES MOT ET QUAND TU REAPARAIT TU ME DEMANDE SA ?! Me hurla-t-elle dessus.
Je soupirai.
-C'est vrai... Je ne t'ai rien dis... Pour te protégé. Avouai-je.
-Me... Protégé ? Dit-elle en croisant les bras. Tu te fou pas un peu de ma gueule là par hasard ?
-Il y a 2 ans... Je me suis fait chopper par la police lors de notre vol du collier de diamants... Il avait un marché à me proposé...
-Tu nous à vendu ?! Dit-elle indigné.
-Non ! Je... Je me suis rendu... Le marché était simple, je croupissais en prison pendant le restant de mes jours dans une magnifique cellule faites sur mesures avec aucun moyen de sortir genre avocat ou autre et en échange... Il vous laissait tranquille... J'ai accepté.
Elle me regarda d'un regard interrogateur et surpris à la fois.
-Pou... Pourquoi ? Demanda-t-elle finalement.
- Je ne sais pas pourquoi j'ai accepté... Je me disais sans doute que vous seriez mieux maintenant sans moi mais... Je me suis trompé.
-Totalement. Dit-elle faiblement.
-Et pourquoi je t'ai pas prévenu... Car j'avais peur que tu ris de ma faiblesse.
Cette fois-ci encore une larme coula sur sa joue.
-Imbécile... Je n'aurais jamais fait sa... Je t'aimais... Et... Je...
-Tu m'aimes toujours ? Demandai-je faiblement.
Un blanc eut lieux. Puis elle rompit le silence.
-Oui...
Je relevai la tête, elle avait rougis et me regardai en souriant tendrement. Ses joue était encore humide et ses yeux rouge à cause des larmes.
-Je t'ai... Toujours aimé... J'ai tenté de t'oublier avec d'autres hommes et femmes... Mais rien à faires tu étais toujours là... Puis un jour... C'est arriver et sa à continuer ensuite.
-Les vidéos ?
-Oui...
La vidéo que Nao m'avait montrée n'était pas une vidéo You Tube à la con... Mais une vidéo porno... Avec comme actrice principales Alhya. Il y en avait plusieurs avec elle... Et à chaque fois... On voyait qu'elle ne le voulait pas.
-Tu peux m'en parler ?
-Avec un de mes hommes... Un jour... Il m'a filmé en secret pendant que l'on... Il ne me l'a pas dit et l'a posté sur un cite. Quand je l'ai appris je l'ai quitté sur le champ mais... C'était déjà trop tard. Tous le monde ou presque avait vu la vidéo et... On ne me voyait plus pour celle que j'étais mais pour une chienne sur pattes. Et... Sa à continuer... Chacun de mes copain et même copine le faisait... J'étais contre mais il m'obligea à le faire... C'était horrible...
-Et tu me sors de l'hackeuse qui à réussit à pirater le pentagone et l'état sans le moindre problème n'aurais pas pus faires disparaitre du net de pauvre vidéo ? Demandai-je.
-Je n'étais plus la même... J'avais peur pour tout... Et même de mes capacités...
Je soupirai et m'assit sur le lit.
-Je vais t'expliqué un truc. J'ai besoins de toi dans le groupe comme de l'hackeuse génialissimes que tu es. Si tu ne peux plus être celle que tu as été...
-Je ne te sers à rien je sais. Je te rappelle que je t'ai aidé à former le groupe de base donc je mis connais quasiment autant que toi dans cette logique. Je la suis toujours mais je n'accepterai sa que pour 2 conditions.
Je pouffai doucement et fit signe que je l'écoutais.
-Premièrement : Bute tout les connards et connasse qui ont tourné ses vidéo avec moi.
Je souris.
-Ma puce, tu sais lire dans les pensé car là maintenant je ne pense que à sa.
-Et la seconde... Je veux... Que l'on reste comme on l'a été avant...
Je rougis.
-Se sera un honneur ma princesse. Dis-je gentiment.
Elle s'approcha de moi et m'embrassa doucement. Le baiser ne dura que quelque seconde puis elle se décolla.
-Sa m'avait manqué. Dis en souriant.
Elle se tourna et se donna une claque sur les fesses.
-Et t'a pas vu de quoi je suis capable.
Je rougis furieusement. C'est vrai que déjà a l'époque nos nuits étaient... Chaud, très chaude. On dormait pas beaucoup mais alors la... Sa va être les enfers.
Je me levai et me dirigea vers la sortis.
-Commence à faire tes bagages, d'ici là fin de la journée je suis là.
-Sa ne te laisse que 5 heures. Pour tuer 20 personnes sa va pas être chaud ?
-Si tu pense réellement sa tu me connais mal. Dis-je en rigolant.
Elle rit doucement. Je quittai rapidement (enfin du plus vite que je pus) les lieux. J'allai immédiatement voir Nao. Se dernier me tendis des feuilles. Chacune représentais une personne.
-C'est la liste ? Demandai-je.
-Yep boss.
-tu as tout entendu ?
-Nop boss.
-Qui te les a filé ?
-Alhya boss.
-Tu l'avais déjà vu avant ?!
-Non une femme est arrivée et m'a donné ses feuilles. Elle m'a dit que c'était de la part d'Alhya.
-Et je confirme. Dis la radio.
On regarda en même temps la radio de la voiture.
-Alhya ?! Demandai-je surprise.
-Moi même.
-Comment t'as fait ? Demanda Nao qui n'en revenait pas plus que moi.
-Je suis doué en piratage je vous rappelle. Répondit-elle simplement.
On explosa de rire.
-Toi alors. Dit Nao.
-T'en rate pas une.
On l'entendit rire. Elle nous expliqua qui était les personnes avec une précision phénoménale. On aurait dit qu'elle savait tout sur tout.
-Tu pense toujours sa possible ? Me demanda-t-elle
-Tranquille miss.
-Je vous retrouve à la maison se soir. Dit-elle avant de couper.
-Et bas, t'as du boulot vieux. Me dis Nao.
-Sa va le faire. Dis-je en rigolant.
En effet, sa se passa très bien. Mes actions étaient simples. Aller chez les personnes concerné, toquer à la porte et dès que je l'ai reconnue je l'abat. Je laisse sans gène les cadavres de mes victimes sur les lieux. Car de toute façon mes coups de feu on vite fait de faire que les voisin contacte les autorité.
La journée avance tranquillement et il ne me reste plus qu'une personne à éliminer. C'est un homme, 25 ans, assez grand et musclé. Il vit dans un immeuble au 3émé étages.
Je monte tranquillement les marches et arrive devant son palier. Ma mains poser sur mon armes dans ma poche. Je sonne.
Dès bruit de pas se font entendre à l'intérieur la personne regarde dans l'œillet puis ouvre la porte. Une femme.
-Je peu vous aider ? me demanda-t-elle.
-Oui, je cherche un certains Jule Kaskio. On ma demander de lui remettre en mains propre cette lettre. Dis-je en sortant une enveloppe.
-Chérie ! Appela la femme. C'est pour toi.
Elle se retira et laissa place à un homme. C'était lui pas de doute.
-Oui ? C'est pour quoi ? Me demanda-t-il.
-Je viens seulement livrer de s'incèrent salutation. Dis-je en sortant mon armes tranquillement.
A sa vu il referma aussitôt la porte.
-Clia ! Barre-toi !!! Hurla-t-il juste après.
Je pointai le milieu de la porte et fit feu. La balle traversa la porte en bois et un bruit sourd se fit entendre. Je donnai un coup sec dans la poigné et entra.
L'homme était allongé au sol sur un tapis liquide écarlate. La balle avait atteint le cœur et il se vidait désormais. Je levai les yeux et vit une chose qui n'était pas prévus. Sa femme était elle aussi tombé. La balle avait traversé son homme et l'avait atteint dans le foie. Elle rendait son dernier soupire.
Je soupirai et lâcha une vague injure. Je fis demis tours et au moment de passer la porte :
-Maman ?
Je me stoppai net, une voix enfantine venait de se faire entendre. Je me retournai doucement et vit un petit garçon tenant son doudou à la mains s'approché du cadavre de sa mère. Il avait des cheveux blond et des yeux bleu ciel.
-Maman ? Qu'es qui t'arrive. Dit-il en commençant à secouer le bras de sa mère. Sa voix commençai à vacillé. Relève-toi...
Je le regardai quelque instant et quitta les lieux. La police arriva dès ma sortis du bâtiment.
Tué ne me posais pas de souci. Sa ne me dérangeai pas de prendre la vie de quelqu'un. Mais j'essayais un maximum d'évité les pertes inutiles. Cette enfant agenouillé en pleure devant le cadavre de sa mère me torturai l'esprit. Pourquoi... Pourquoi cette sensation de déjà vu...
Je marchai dans la rue pensant à cela mais impossible de trouver la réponse. Le klaxon d'une voiture me tira de mes esprit. C'était Nao.
-Mission terminer Boss ? Me demanda-t-il quand je fus rentré dans sa caisse.
-Oui, retournons à la villa.
-Sa marche. Alhya m'a prévenu elle y est déjà.
-Parfait.
Il se mit à rouler en direction de notre villa. C'était là que le groupe se réunissais et dormais. Chacun avait une partie de la demeure à sois qu'il pouvait aménager comme il le voulait. Se qui permettait une one entente sur se point.
Vers le milieu du trajet je brisai le silence :
-Nao... Tu as déjà regretté d'avoir tué ? Dis en me tournant pour le regarder.
Il ne bougea pas et continua à regarder la route.
-Oui, sa met déjà arriver. Une personne au mauvais endroit au mauvais moment. Et j'étais obligé... Je m'en suis voulu puis je me suis mis l'évidence que l'on ne pouvait changé se qu'il c'était passé.
Je soupirai et me remit normalement.
-Tu as raison... Une fois de plus. Dis-je en rigolant.
-Et ouais je sais. C'est comme ça avec moi.
Nous rirent de bon cœur. Il avait raison, se qui est fait et fait. On ne peut plus le changer. Tel est la vie.
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