Razor Jim
Salut salut! Et vous savez quoi? Bah on va parler d'une Pasta VRAIMENT pas très connue! C'est bête parce qu'elle est vraiment bien écrite... Je vous laisse juger par vous-même!
Ce qu'il s'est passé cette nuit-là m'a laissé une séquelle immense, un souvenir impossible à oublier. Tous ces cauchemars qui chaque nuit me rappellent distinctement ce qu'il s'est passé cette nuit de novembre. Les docteurs m'ont dit qu'écrire cette histoire me permettrait de calmer les cauchemars, (comme ça, à chaque fois que tu vois un stylo, tu t'en rapelle... Merci docteur) c'est pour cela que j'écris, maintenant, à la fois comme "guérison" mais aussi comme avertissement... Pour vous !(c'est pour vous traumatiser, bonne nuit!)
Il y a quatre ans de cela, j'avais trouvé dans le quartier de Montmartre à Paris un petit loft sous les toits. L'endroit avait été chaleureux, j'y étais à l'étroit, mais je m'y sentais bien. (si tu te plie, tu rentre) De plus, il y avait de la place pour accueillir mon bambin : Jérémy.(faut le plier aussi) Sa mère nous avait quittés lors d'une fausse couche. (au revoir petit frère!) J'ai donc décidé de déménager à une vingtaine de kilomètre de chez nous pour oublier ce douloureux passé.(non, pas 1, pas 10, 20 kilomètres mesdames et messieurs! Je suis un fou, moi!!!)
Le jour de l'emménagement arriva. « Ce soir, on dort dans notre nouvelle maison », ne cessai-je de répéter à Jérémy. Le quartier de Montmartre était des plus sympathiques : ces terrasses de cafés, (son bruit, ses petits apparts... Que du bonheur) ces peintres et puis ces artistes de rue ... Un en particulier attira mon attention. Il proposait de raser les hommes qui le souhaitaient à l'ancienne, vous savez, avec ces rasoirs dépliants. (Zouip! Oh, mince! Ton oreille!) Une foule immense entourait celui qui se surnommait "Razor Jim". Avec Jérémy, nous nous arrêtâmes un moment afin de pouvoir admirer les "oeuvres" de ce prodige du rasoir.(des oreilles coupées donc...) L'une de ses pancartes précisait qu'il était dans la capacité de raser d'un trait doux et aux plus près de la peau en moins de deux minutes. (Edward aux mains d'argents, j'ésprères qu'il est pas coiffé pareil)
Un courageux se proposa enfin, la barbe broussailleuse. (et voici les barbapapas! Qui font les fous!) Il s'assit sur le fauteuil. C'est alors que Jim commença son travail ; et en effet, en moins d'une minute trente, il avait entièrement rasé cet homme.(ça me la coupe!)
Tous le monde autour de lui applaudit et moi- même, je ne m'en cachais pas, mais, alors qu'il faisait ses révérences, il leva la tête dans ma direction, et laissa gravé au fond de mon coeur un regard et un sourire aussi glacial que le vent qui commençait à souffler. (grand poète) J'eus même l'impression qu'il s'était mis à rire sournoisement, sarcastiquement, alors que je lui tournais le dos pour rentrer dans mon nouveau chez-moi. A partir de ce moment, j'avais comme l'impression que tout allait basculer.
Deux jours après que nous nous soyons installés des phénomènes... Etranges débutèrent.(paranormal activity) Jérémy me disait qu'il voyait, lorsqu'il s'endormait dans sa chambre, un "monsieur" penché au-dessus de son lit, qui le regardait.(ne fait pas attention à moi) Pour moi, ce n'était qu'un mauvais rêve et rien de plus, bien qu'il était vrai que moi-même, je ressentais comme une personne dans mon dos.(c'est pas l'intelligence qui l'étouffe...) Pour me rassurer, je nous répétais, à Jérémy et moi, que « Ce n'est que Maman qui veille sur nous ».(Maman est un monsieur?) Il en était moins convaincu que moi.
Chaque matin, j'ouvrais les volets, et chaque matin, en bas de chez nous, je le voyais... Razor Jim, assis dans son fauteuil de cuir délabré, attendant qu'un client vienne se faire couper les poils.(il doit être trèèès patient) Mais chaque matin, il était là, à me regarder le sourire aux lèvres, ouvrant et fermant son rasoir d'argent,(traduction: laisse-moi jouer avec toi!) jouant avec. Mais je ne faisais que l'ignorer, du moins je tentais.(t'es pas mon copain! Dégage!)
Et chaque matin, Jérémy continuait de me parler de la personne qu'il voyait dans sa chambre.(Maman?) Mais il ne semblait pas vraiment en avoir peur,(bah en même temps, qui aurais peur d'un homme penché sur vous pendant que vous dormez?) il me disait qu'il lui chantait une berceuse pour l'endormir. Et moi, comme un con, je pensais que ce n'était qu'un rêve.
Mais une nuit, je fus réveillé par un souffle d'air froid. Je regardai la chaudière, elle ne s'était pas arrêtée. Puis j'entendis des pleurs venant de la chambre de Jérémy.(ça me rapelle Laughing Jack...) Je m'y précipitai, tenant mon peignoir le plus fermé possible, et j'ouvris la porte. La fenêtre était grande ouverte et les rideaux nageaient dans l'air comme deux ombres envoûtantes.(méfiez-vous des rideaux... Chaques soirs, ils vous envoûtent...) Je pris Jérémy dans mes bras, fermai les volets, puis la fenêtre, et c'est là que la peur m'envahit. Je vis dans le reflet de la vitre( comme deux yeux brillants dans l'armoire derrière moi, je me retournai brusquement,(un homme se tenait là, il me sourit et je sortit mon magnum, lui tirant une balle dans la tête) il n'y avait rien. Rien, oui, mais quelque chose avait ouvert les volets et la fenêtre ! Le reste de la nuit, Jérémy dormit avec moi.(dégage gamin! Retourne te faire reluquer dans TON lit!!!)
Le lendemain matin fut semblable aux autres matins, Razor Jim me souriait de toutes ses dents,(j'éspère qu'il se les lave) et son regard à nouveau me transperçait l'esprit. Puis, après avoir pris mon petit déjeuner, toujours marqué par la nuit dernière, je partis à la recherche dans les derniers cartons des deux babyphones, (babyphone=dernière nuit du bébé... Rapport à un certain James...) ils allaient me permettre d'écouter tout ce qu'il se passait dans la chambre de Jérémy. Je fis un essai assez concluant, j'entendais Jérémy jouer avec ses jouets. Enfin vint la nuit, une nuit glaciale, comme d'habitude pour un mois de novembre. La Lune haute dans le cie illuminait Paris d'une clarté éblouissante. J'allai enfin me coucher, déposant un doux baiser sur le front de Jérémy pour lui souhaiter une bonne nuit.(bonne nuit les petits!) Je vérifiai une dernière fois que la fenêtre de la chambre de Jérémy était bien close, puis je m'en allai dans ma chambre, n'oubliant pas d'allumer le babyphone.(ça serai bête de ne pas entendre les cris d'agonie de ton fils...) Je me couchai avec mon fusil de chasse plaqué tout contre moi.(c'était plus silencieux que mon magnum) « Si un cambrioleur veut entrer, qu'il entre ! ».(le cambrioleur tremble d'effroi... Je veux dire de froid!)
Je m'endormis enfin. Et maintenant que j'y repense, je me dis que Jérémy aurait pu rester avec moi cette nuit encore.(une intelligence à toute épreuve) Je me réveillai au beau milieu de la nuit. 3 h 48. J'entendis un léger bruit sortant du babyphone. Je me redressai sur mon lit et écoutai attentivement : des sortes de grattements puis... Une voix, une voix chantant.(lalalaaaa! T'as vu Papa, je chante bien, hein!) Chantant une berceuse dont je n'oublierai pas les paroles, je me levai rapidement, pour allez dans la chambre de mon petit, fusil en main. Le babyphone avait était éteint, et je tentai à mon plus grand désarroi de gagner la chambre de mon fils, mais sans la lumière (que je ne voulais pas encore allumer),(de toute façon, si quelqu'un était là, il aurait été prévenu par le bruit que tu faisais en te cognant aux meubles, alors autant foncer allumer la lumière...) je me cognai contre la porte et les murs, désorienté, paniqué, avançant à tâtons.(père pas rapide et pas intélligent=plus d'enfant)
J'arrivai à la chambre de mon fils,(après une heure et demie de parcours dans mon appart) soupçonnant que ce soit trop tard. Et c'était le triste cas, ma panique m'avait ralenti, et l'impensable s'était produit. Je pénétrai dans la chambre, agrippant mon fusil. Un vent froid me fouetta le visage ; il était là, baignant dans la lumière de la Lune et le sang de mon fils, admirant dans la Lune nacrée ses rasoirs au reflet d'argent d'où coulaient encore des gouttes de sang et chantonnant :
Dors, dors, jeune enfant
Ne te fais donc point de mauvais sang.
Regarde mes grands, mes beaux amis (je ne dirais rien sur ce que je pense... Et zut, trops tard)
Ne t'en fais pas, ils sont gentils
Laisse-les donc caresser ta peau si douce. (caresser ou charcuter?)
Il s'arrêta, me regarda, me sourit, puis il rangea son rasoir, se baissa près du corps éviscéré de mon jeune enfant et me dit, toujours ce sourire glacial aux lèvres.
« Je ne prends que son foie, à cet âge-là, ils sont excellents ».(Eyeless Jack?)
Il se mit à rire, et c'est alors que je me suis évanoui.(non mais quelle tapette!)
Le lendemain, j'étais dans une chambre d'hôpital. Un commissaire s'adressa à moi dans l'après-midi, il savait que j'étais innocent, et il me promit qu'il retrouverait "le malade qui a fait ça".(non, c'était juste un mélomane) Dans les semaines qui suivirent, je fus transféré dans un hôpital psychiatrique pour traumatisme sérieux. Je n'eus plus de nouvelles de l'enquête, mais dans les journaux, j'appris que d'autres meurtres du même type avaient eu lieu dans toute la France : un homme assassinait de jeune enfants de trois à quatorze ans (glups... Je suis encore dans le lot.) et repartait avec leur foie. La presse et la police ne lui donnèrent pas de nom, moi seul prononçais encore dans mon sommeil le nom de la personne qui avait gâché ma vie.
Razor Jim.
Alors?! Moi, je l'aime bien, Razor Jim, mais c'est un peu un remix de L.J. et de E.J. ... Mais ça resye quand même une bonne Pasta!
Le chapitre 6 sera bientôt là!
Merci pour les
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