Eyeless Jack
Bien, j'ai décidé de faire dans l'originalité! (comme d'habitude, quoi...) Qui ne connaît pas Eyeless Jack? Mais bon, vous allez le redécouvrir à ma sauce!
Bonjour, moi, c'est Mitch! Je vous fais part d'un phénomène qui m'a fait plonger ici. (plouf!) Je n'ai rien trouvé qui en parle sur le net, (moi, si) ni dans les livres de l'asile, (ne l'embètons pas...) ni nulle part ailleurs, alors j'espère que quelqu'un d'autre que moi a vécu la même chose. S'il vous plaît une réponse, une seule! (sympa, il souhaite qu'il nous arrive la même chose... Charmant...)
C'était il y a 2 mois déjà, nous venions d'emménager dans notre nouvelle maison. J'ai 22 ans, et mon frère Edwin a le même âge, à vrai dire, nous sommes de faux jumeaux, nés le même jour, mais nous ne nous ressemblons absolument pas. (et vas-y, raconye nous ta vie...) J'ai les cheveux noirs et courts, lui les a bruns et mi-longs. (différences de malaaaaade!)
Edwin appréciait que l'on passe du temps ensemble. Il faut savoir que cela fait bientôt 10 ans que nous ne nous sommes pas revus, et l'idée de partager une chambre nous ravit tous les deux. (moi, j'aimerais pas vivre au milieux des Barbie de ma soeur...)
La soirée a été longue! Nous avons déballé nos affaires, et nous avons immédiatement été nous coucher! (pas si longue, donc) Nous avons travaillé environs 5 heures sans faire la moindre pause, nous avions bien mérité une bonne nuit de sommeil, non? (hé bé! Ils ont du courage!)
Tout se passait à merveille dans cette maison, jusqu'à cette fameuse semaine où j'ai entendu des piétinements, de petits pas furtifs et rapides. (pas de panique! C'est juste le chat! Ha? Vous n'avez pas de chat?) Sachant que de nombreux rats habitent cette vieille maison, (achetez un chat, c'est mignon et ça fait le ménage) je n'ai pas pris peur, et me suis juré d'appeler le dératiseur le plus tôt possible. (ou d'acheter un chat) J'en ai parlé le lendemain à Edwin, qui m'a confirmé que des bestioles pouvaient entrer dans la maison par le petit soupirail de la cave.
Cette nuit-là cependant, je fus réveillé par un petit bruit sourd. (un gros rat?) Quelqu'un avait ouvert la fenêtre, j'étais sûr de l'avoir fermée! Je balayai la salle du regard, et vis que Edwin dormait encore. (ce mec s'est pris une brique sur la tête en guise de somnifère) Je ne voulais pas le réveiller, je fermai donc la fenêtre et dormis d'un seul œil le reste de la nuit. (comme un chat)
Je me souviendrai toujours de cette nuit-là, j'avais à peine dormi, et je me levai d'une humeur à faire griller des chats sur le trottoir. (faut pas faire ça, après, sa sent le cochon grillé et sa attire les rats et... Le boucher.) A peine arrivé dans la cuisine, je fus accueilli d'un cri, (c'est le gros rat?) car Edwin hurla en me voyant. (sympa, je sais que j'ai une sale tête au réveil, mais tu aurais pus te contenir!) Il se précipita dans la salle de bain, et me rapporta un miroir. Je poussai un cri moi aussi: j'avais une(sale tête ce matin!) large balafre sur la joue. (je t'avais dit de pas faire brûler des chats, sa attire le boucher) Je n'avais aucune idée de comment c'est arrivé, (. . . Normal...) je n'avais rien fait de dangereux cette nuit, ( à part brûler des chats) et je n'avais rien hier soir pourtant!
Edwin a toujours été le plus rapide de nous deux. En quelques minutes a peine, nous étions à l'hôpital. (on l'appelle Bip-Bip) On m'a posé une dizaine de points de suture à même la chair, sans anesthésie. (C.H.U. Pignouf, la chirurgie à la dure!) Je n'ai jamais eu aussi mal de toute ma vie. A la fin, j'avais l'impression d'avoir la joue en flamme, (tiens, voilà de l'eau... Pourquoi tu t'en met sur la joue?) et Edwin prenant tout à la rigolade, ne se gênait pas pour me balancer quelques blagues durant tout le trajet jusqu'à la maison. (ton oreiller était trops dur?)
Cette nuit-là, j'avais choisi de faire attention. Edwin me conseilla en rigolant de mettre du coton sur mes joues, histoire de les protéger. (merci frangin!) N'ayant plus de coton, et voulant retrouver une complicité avec mon frère, je décidai de me scotcher des éponges sur les deux joues, (méfiez-vous des gars qui se scotchent des éponges sur les joues) au moins, aucun risque que quelque chose m'arrive! (fin de l'histoire!) Et pourtant...
Le lendemain matin, je n'arrivais même plus à me lever. J'avais une grosse douleur au niveau du ventre. (tu as la gastro?) Edwin me taquinait, me disant que c'était parce que j'avais pris 4 parts du gâteau d'hier. Foutu gâteau, il aura eu ma peau! (le gâteau de mamie Danielle, plus lourd qu'une brique, il vous restera sur l'estomac... Littérallement)
Edwin releva finalement la couette pour voir ce que j'avais, car cela semblait sérieux. (foutu gâteau) Alors qu'il découvrait ce qu'on m'avait fait, je le vis subitement blêmir. J'avais un trou béant au milieu du ventre. (Aïe, j'ai mal au ventre! Aaaaaah, mais c'est normal, j'ai un trou dedans! Ouf. J'ai eu peur que sa soit grave!)
Plusieurs minutes plus tard, j'étais a l'hôpital, où je fus rapidement anesthésié (haaaaaa! Ils sont enfin passé à la modernité!) et opéré. Je me réveillai le lendemain matin; dans ma chambre se trouvaient Edwin et le docteur. Ce dernier m'a alors regardé dans les yeux, et m'a dit: (il semblerait que vous ayez la peau très fragile, faîtes attention aux couvertures pour éviter de vous blesser)
-Monsieur, nous ne savons pas comment, ni pourquoi, mais quelqu'un vous a retiré votre rein droit. (c'est la couverture! Elle veut ma peau! Comme le gâteau! Personne ne m'aime!) Ne paniquez pas, on peut vivre avec un seul rein. Il faudra juste appliquer quelques mesures de prudence. (check list: coeur, ok! Foie, ok! Intestin, ok! Poumon... Et merde, elle est oú ma tête?) Vous resterez cependant quelques jours encore ici.
Je crois que ça a été l'une des plus grandes frayeurs de ma vie. On m'avait arraché un rein, en m'ouvrant à moitié le ventre, (et t'avais rien sentis...) et je ne m'en étais même pas rendu compte! (la couette est très habile...) Rester encore une semaine ici me ferait du bien, je me sentais en sécurité ici... Mais Edwin? Il reste encore à la maison lui, seul. Et si ce qui m'avait arraché le rein revenait pour lui? (non, la couette n'en veut qu'à toi...) N'y pensons plus. Tout se passera bien, oui, tout.
La nuit suivante fut celle qui m'a le plus marqué. Je me suis réveillé, en sueur, (on a fait un gros cauchemar?) et je ne pouvais plus bouger. L'apnée du sommeil qu'on appelle ca, une belle connerie oui! (bêtise, soyont polie) Je me suis dit que ca passerait tout seul, à vrai dire, ca m'était déjà arrivé. (bah, c'est pas une bêtise, alors!) Jusqu'à ce que je sente que quelque chose appuyait sur le lit, ça semblait remonter vers moi. Je pensais que mes muscles se contractaient, (on l'appelle Musclor) et que donc ça appuyait sur le lit. (200k de muscles! Faut pas l'énerver!) C'était beaucoup trop lourd pour être mes muscles, (disons 100k alors...) je m'en rend compte aujourd'hui. C'est alors que je le vis... un visage. (serais-ce un miroir?) Un visage qui me regardait dans les yeux. Mais ses yeux... où étaient ses yeux? (ha bah il les a encore oubliés sur sa table de chevet) Deux trous noirs lui servaient d'yeux, (ouais, il en avait pas quoi...) quelques gouttes d'un liquide noir s'en écoulaient, (berk) il n'avait pas de bouche non plus, juste un nez et deux trous. J'essayais de bouger, je le jure, je faisais ce que je pouvais, (t'as trops de muscle, c'est pour ça.) jusqu'au moment où enfin, dans un élan d'instinct de survie, mon bras se libéra de la torpeur et adressa une droite puissante à cette chose, qui disparut dans un nuage de fumée. (les muscles ne font pas tout dans la vie...)
Lorsque j'ai raconté cette expérience a l'hôpital, on s'est moqué de moi. On m'a traité de fou, (hahaha! C'est un taré! Jeannine, planquez les couteaux!) et j'ai eu plusieurs réunions avec les psychologues. Mais il n'ont rien pu conclure quant à ma santé mentale... (sous la menace d'une arme, on peut tout dire.) Enfin aujourd'hui, je vais rentrer chez moi, et je reverrai Edwin, lui seul pourra m'aider.
Je m'en souviens comme si c'était hier, il devait venir me chercher devant l'hôpital à 2 heures de l'après midi. J'ai poireauté jusqu'à 3 heures 30, (tu t'es pris un lapin?) personne n'est venu. Il m'avait donc oublié? Sans doute oui, il était un peu tête en l'air! (de là à oublier son frère, c'est grave quand même!) Je suis donc rentré à pied.
Et là, je ne comprends plus rien... La porte était ouverte, chose qui n'est pas normale connaissant Edwin. Je rentrai alors dans la maison, et hurlai quelques « Edwin! Edwin! ». Je grimpai les marches quatre à quatre, et là... (je vous rappelle qu'il sort d'une opération plutôt importante) même aujourd'hui je ne trouve pas les mots. (va t'acheter un dictionnaire, alors) Je vis Edwin, allongé par terre, les yeux arrachés, baignant dans son sang. (frangin?) Je ne pouvais pas détacher mes yeux de son cadavre... Je ne peux pas.
Et je regrette toujours d'avoir levé le regard. Dans l'embrasure de la porte d'en face, je vis cette chose. Elle me regardait, elle semble fière sous son masque, triomphante, la tête haute. (t'a vu Maman? J'ai tué quelqu'un!) Et elle se mit à avancer vers moi. Je n'ai jamais couru aussi vite, (oui, c'est un fan de Bip-Bip) j'ai fui, comme un lâche. J'aurais dû me battre, venger mon frère. (la dernière fois que t'a fais ça, il a disparu.) Mais non, j'ai fui. Et aujourd'hui, je me trouve lâche. (moi, je te trouve plutôt intelligent) Edwin était fort, lui. (ouais, il est aussi un peu mort) Nous n'avions vraiment rien en commun.
Aujourd'hui, je ne vous demande qu'une réponse, une seule réponse: Qu'est-ce qui a tué mon frère? (il y a des choses qu'il faut mieux ne pas savoir) Sans savoir ce qu'elle était, j'ai apaisé mon esprit en mettant un nom sur la chose. Je l'ai appelée Jack sans yeux. (Eyeless Jack donc...)
Voilà! Encore une superbe analyse, on dit merci qui? (je parle à mon portable... Tuez-moi, svp)
Si, et je dis bien si, éventuellement vous auriez des Pastas sympas... Voilà, je suis là quoi... (donnez-m'en svp...)
Sur ce, mangez des bonbons et méfiez-vous de votre couverture!
Enjoy!!!
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