Chapitre 3: Good toys, good game

Bonjour mes p'tits sucres! Juste pour vous prévenir: il y aura un passage gore à la fin du chapitre. Bonne lecture!

Londre est une ville bien plus belle vue de haut! J'en observe attentivement les moindres recoins, perché sur la grande aiguille de Big Ben.

Je me penche un peu sur la droite pour regarder l'heure quand une légère douleur me tire de mes pensées.

Grinny:"Londre magnifique, vraiment. Mais pourrait-on descendre?"

Elle affiche un grand sourire, l'air totalement calme et détendue mais les griffes enfonçées dans mes bras prouvent le contraire.

L.J.:"Héhéhé... Tu sais, tu ne glisseras pas et puis, ne dit-on pas que les chats retombent toujours sur leurs pattes?"

Elle feula.

Grinny:"Ça être aussi vrai que nous avoir neuf vies!"

Ce qui est surtout vrai, c'est qu'elle s'exprime comme un homme des cavernes.

Moi:"Il n'y a qu'une manière de le savoir!"

Elle me regarde, les yeux écarquillés par la peur.

Elle n'a plus vraiment l'air calme et détendu...

Grinny:"Tu n'oserais pas!"

Je part dans un grand éclat de rire avant de la prendre à bout de bras.

Moi:"On parie? À la uuuune!"

Grinny:"Noooon!!!"

Moi:"À la deuuuuux!"

Grinny:"Pitiépitiépitié!"

Moi:"*ricanement* À la troiiiiis! Youhou!"

Je donne une impulsion à mes jambes et me projette dans le vide, lâchant Grinny de telle façon qu'elle se retrouve en face de moi.

Moi:"C'EST AMUSANT, HEIN?" Criais-je à cause du vent.

Grinny:"HAAAAAAA! JE TE DÉTÈSTE!"

Moi:"Bah pourquoi?"

Grinny:"PARCE QUE NOUS ALLONS ÊTRES CRÈPES!"

Moi:"OUIIII! J'AI DÉJA GOÛTÉ AVEC ISAAC, C'EST TRÈS BON!"

Elle me regarde comme si j'étais un abruti finit tout en agitant ses pattes dans un vain espoir de ralentir sa chute.

Je jette un regard en bas, le sol ne doit plus être qu'à une dizaine de mètres, j'allourdis ma masse corporelle afin de me placer sous Grinny, la prenant dans mes bras et m'arrêtant à un mètre au-dessus du sol.

Moi:"Terminus!"

Je descend jusqu'au sol et la pose par terre.

Terre sur laquelle elle s'écroule d'un bloc.

Grinny:"Je. Suis. Fatiguée."

Je pouffe et la reprend dans mes bras, la plaçant sur mon épaule.

Moi:"Dors si tu veux, je te réveille si il se passe quelque chose d'intéressant."

Elle s'enfonce un peu dans les plumes de mon épaule et ronronne.

Je prends ça pour un oui.

L'horloge affiche sept heures moins cinq.

Je soupire.

À cette heure-çi, mes petits amis ne seront certainement pas réveillés, me condamnant à patienter jusqu'à huit heures au bas mot.

Je soupirais encore, à peine sorti de ma boîte que je m'ennuis déja.

Je décide de me promener un peu, histoire de passer le temps.

Je déambule dans les rues, découvrant le monde du dehors. Je n'étais quasiment jamais sortis de chez Isaac, restant dans sa chambre ou dans son jardin. Je n'avais jamais pû découvrir cet étrange univers qui s'étendait par dela la clôture du jardin.

Et cet univers se limitait à une chose: de l'amusement.

Et j'allais rendre visite à deux personnes qui allaient m'en procurer.

Je souris de toutes mes dents, m'attirant le regard incrédule d'un passant auquel je répondis par un sourire encore plus large.

Je regardais l'horloge: huit heure moins quart, je suis dans les temps.

Je me fiais à mon intuition pour me conduire à la maison des jumeaux.

L'intuition a quelque chose de pratique.

Au bout de cinq minutes, une petite maison se dressa devant moi, je réveillais alors Grinny.

Moi:"Wake uuuuup!"

Grinny:"Mmmmmh... Pourquoi crier tout le temps?"

Moi:"Disons que j'exteriorise ma joie! Allez, debout! On est arrivé!"

Grinny:"Oú ça?"

Moi:"Chez des amis!"

Grinny:"Ouh... Ça être fatiguant... Je peux attendre là?"

Moi:"Moui... Ahhhh... Quelle feignasse! Bon, à toute à l'heure!"

Elle baîlla à s'en décrocher la mâchoir et sauta de mon épaule, se roulant en boule près du perron de la maison et se rendormit dans la seconde.

Elle déborde vraiment d'énergie, youpi.

J'attrapais un bonbon dans ma poche et le fourrait dans ma bouche, en examinant attentivement la maison, attendant que la voie se libère. Je vîs une silhouette passer devant une des petites fenêtre de la maison et me décidais à y entrer.

Une explosion et un quart de seconde plus tard, j'étais dans la chambre des enfants.

Kate:"Jack!"

Tim:"Tu es venu!"

Je haussais un sourcil.

Moi:"Vous en doutiez?"

Ils se regardèrent, l'air penaud.

Je leur adressais un grand sourire.

Moi:"Mais je suis là, maintenant!"

Ils me sourirent en retour et se mirent à me tourner autour en sautillant.

Tim:"Qu'est-ce qu'on fait?"

Kate:"Oui, on fait quoi?"

Moi:"Que diriez-vous d'un petit jeu?"

Les jumaux:"Ouiiii!"

Héhéhé... Qu'il en soit ainsi.

PDV Kate:

Ce jeu n'est pas amusant.

J'en ai assez, je veux que ca s'arrête.

Pourquoi il rigole comme ça?

Je croyais qu'il était notre ami...

Oú est Tim?

Je veux voir mon frère.

Je veux voir ma mère.

Je veux partir.

Moi, je pensais qu'il était gentil, comme les autres clowns.

Alors pourquoi?

Pourquoi il souriait comme ça en expliquant les règles alors qu'elles ne sont pas drôles?

Je me tasse encore plus dans ma cachette.

"Première règle: il n'y aura qu'un gagnant."

Je l'entend s'avançer dans l'allée sableuse.

"Deuxième règle: cachez-vous."

J'entend encore son ricanement, j'ai peur.

"Troisième règle: tous les coups sont permis."

Quelque chose frotte le sol en même temps que ses pieds.

"Quatrième règle: si vous criez, vous avez perdu."

Je me recroqueville encore plus sous les gradins. Ce cirque me térifie.

"Cinquième règle: gardez le sourire!"

Quelque chose glisse à mes côtés.

J'ai peur de tourner la tête mais je me force à le faire.

Lentement, ma tête glisse vers la droite en même temps que mon regard et se fixe sur un point.

L.J.:"Bouh."

Les larmes coulent sur mes joues. Laughing Jack a glissé sa tête sous les gradins.

J'ai perdu.

Ma voix se bloque dans ma gorge et je fais de gros effort pour parler distinctement à travers mes larmes.

Moi:"Tim a gagné..."

Jack émet un rire écoerant qui dévoile ses dents pointues.

L.J.:"Non, il n'y aura qu'un seul gagnant."

Mes yeux s'écarquille, pendant que mes joues disparaîssent sous un torrent de larmes.

L.J.:"Et je gagne toujours."

PDV Tim:

J'en ai assez.

Je ma soeur.

Je veux ma Maman.

Je veux partir.

Je ne sais pas depuis combien de temps je suis là, derrière cette tapisserie sale et poussièreuse.

Je ne sais pas oú je suis ni oú est Kate.

Oú est-ce que Jack nous a emmenés?

Ce jeu n'est plus drôle.

Il ne l'a jamais été.

Je serre mes jambes contre ma poitrine.

Pourquoi me suis-je enfuis de ce cirque?

Pourquoi ces règles?

Pourquoi cette solitude?

Je ne comprend pas ce qui se passe.

Mes épaules commençent à être secouées de sanglots et des larmes coulent sur mes joues. Je me mord la lèvre inferieure pour éviter d'éclater en sanglots.

Il faut que je me lève et que je retrouve Kate.

C'est vraiment ce que je voudrais faire mais mon corps ne m'obéit plus et je continue à sangloter doucement derrière cette tapisserie.

Pourquoi il a fait ça?

Un jeu doit être amusant, non?

Et il est notre ami... Non?

Je réfléchis du mieux que je le peux et arrive à une conclusion: c'est une farce!

Une farce de mauvais goût mais une farce quand même.

On ne souhaite pas blesser quelqu'un qu'on aime.

Je souris à travers mes larmes.

Il a juste voulû nous faire une farce mais n'a pas compris qu'elle n'était pas drôle!

Il faut que je le trouve pour lui dire d'arrêter.

Je me lève, ne pleurant plus. Je respire pendant une minute afin de ralentir les battements de mon coeur et essuis les larmes qui perlent encore sur mes joues avant de soulever la tapisserie et de me glisser en dessous.

J'arrive dans une pièce sombre et tout aussi sale que la tapisserie et cherche une porte qui pourrait me permettre de sortir.

Il y en a trois: une sur le mur de gauche, une sur le mur d'en face et la dernière sur celui de droite.

Je réfléchis un moment avant de prendre celle de gauche qui s'ouvre sur un mur de brique grise. Je ris de bon coeur, je n'ai pas à avoir peur à cause d'une bête farce!

Je la referme et me dirige vers celle de droite qui, elle, donne sur une pièce toute noire.

Je la referme, j'ai peur du noir depuis tout petit.

Ne reste plus que celle du milieu.

Je m'approche et tire la poignée mais la porte ne s'ouvre pas.

Je suis donc obligé d'aller dans la pièce noire.

Moi:"Jack? Jaaaack? Ce n'est plus drôle, arrête s'il-te-plaît!"

Pas de réponse mais un tremblement agite la porte de gauche, l'ouvrant.

Un message est inscrit sur le mur de brique, le rouge du message tranche étrangement avec le gris de la pierre.

"Va. Il t'attends."

Il? Jack?

Je suppose que pour terminer le jeu, je dois vaincre ma peur.

Kate a-t-elle dû faire la même chose?

Elle a toujours étée si courageuse, je l'envie...

C'est le moment de lui prouver que moi aussi, je suis courageux et fort!

Je cours presque jusqu'à la porte de droite et l'ouvre avec force.

Je rentre d'un pas sûr, le noir ne ma parait plus si effrayant, maintenant.

Une petite lumière venant du plafond éclaire un gramophone l'entourant d'une sorte de halo rassurant.

Tout d'un coup, un son grésillant s'échappe du cornet.

'' 'Round and 'round the cobbler's bench
The monkey chased the weasel,
The monkey thought 'twas all in fun
Pop! Goes the weasel.''

La comptine que nous chantait notre mère quand nous étions petits.

Je veux revoir Maman et Kate.

Alors que les larmes s'aglutinnent devant ma vision, un nouveau rai de lumière venant du plafond vint éclairer une petite forme recroquevillée dans un coin de la pièce.

J'essuyais mes yeux du revers de la main avant de m'approcher de la silhouette.

C'était un garçon blond, il avait la tête dans les bras et ne bougeait pas.

Moi:"Euh... Ça va?"

Il releva la tête, me fixant de ses yeux bleus.

???:"... Oui, merci. Qui es-tu?"

Moi:"Tim, moi c'est Tim Fathern. Et toi?"

Il se releva et essuya sa chemise blanche.

???:"... Enchanté, moi c'est Isaac. Isaac Grossman."

On se dévisagea un instant.

Moi:"Que fais-tu ici?"

Isaac:"J'attends un ami. Un ami très cher..."

Il tourna tristement la tête vers le gramophone et chantonna la suite de  la contine.

Après quelques minutes, je le sortis de ses pensées.

Moi:"Et moi? Qu'est-ce que je fais là?"

Isaac tourna lentement la tête vers moi .

Isaac:"Tu ne devrais pas être là, tu t'es sûrement égaré en venant ici."

Il me dévisagea quelques instants.

Isaac:"Tu veux partir?"

Je hochais la tête.

Isaac s'avança alors vers l'autre bout de la pièce et ouvrit une porte qui n'était pas là une seconde plus tôt, je lui emboîtait le pas.

On est passé ainsi par plein de pièce toutes plus noires et sales les unes que les autres, je regardais sans rien dire, me contentant de suivre Isaac.

Après cinq minutes de marches, nous arrivions devant un escalier qu'Isaac monta pour enfin m'attendre devant une porte qu'il ouvrit.

L'ouverture dégageait une lumière éclatante qui m'aveugla.

Isaac:"Voilà, passe cette porte et tu sortiras d'ici."

Moi:"Et ma soeur?! Et Kate!"

Isaac:"Désolé, je ne peux rien faire de plus. Il faudra qu'elle se débrouille."

Ça ira, Kate est courageuse et intelligente. J'ai réussis à trouver ma sortie, elle trouvera bien la sienne si ce n'est pas déja fait.

Moi:"Et toi?"

Il me me regarda, un sourire triste sur la bouche.

Isaac:"Je ne peux pas partir, je vais continuer à l'attendre ici."

Moi:"Tu parles de ton ami?"

Il fît ''oui'' de la tête.

Moi:"Et... Qui est-ce?"

Isaac:"Il s'appelle Jack. Laughing Jack. Et c'est le meilleur clown de tous!"

Un sourire illumina son visage.

Moi:"Mais il est sûrement dehors! Suis moi! Vous vous retrouverez plus vite, comme ça!"

Le sourire qu'il abordait quelques instants auparavant se fana. Il tourna la tête négativement.

Isaac:"Non. Je ne suis qu'un souvenir. Qu'un morceau de sa mémoire.

Je ne peux pas sortir."

Moi:"Hein?"

Alors que j'ouvrais la bouche, il me poussa dans la lumière en agitant la main en signe d'adieu.

Isaac... Un jour, vous vous reverrez et à ce moment là, tu sourieras pour de vrai...

                        *         *         *

Je repris conscience sur le plancher.

Alors que j'agitais la tête pour chasser la brume de mon esprit, je remarquais un pied qui s'agitait nerveusement en face de moi.

Je relevais la tête et vît Laughing Jack assit sur mon lit, croquant bruyament un bonbon, les bras croisés et les sourcils fronçés.

L.J.:"Bravo gamin, nous sommes à égalité."

Je le regardais sans comprendre. La seule chose que je pû dire c'est:

Moi:"Il t'attends."

L.J.:"Pardon?"

Moi:"Isaac... Isaac t'attends."

Il partit dans un fou rire qui défronça ses sourcils et noua ses bras autour de son ventre.

L.J.:"HAHAHAHA! Mais bien sûr gamin! Héhéhéééé..."

Il reprit lentement son souffle.

L.J.:"Héhéhé... Pour en revenir à notre conversation, nous sommes à ex aequo, il n'y a donc ni gagnant, ni perdant. Je ne peux donc pas jouer avec toi. Quel dommage d'ailleur... Ta soeur a étée très bonne à ce jeu..."

Moi:"Kate? Oú est-elle? Oú est Kate? Et pourquoi nous as-tu fais ça?"

L.J.:"Fait quoi?"

Moi:"Cette farce n'était pas drôle! Oú est Kate?!"

L.J.:"Et qui te parle d'une farce? Ce n'est qu'un jeu, après tout."

Il se leva et s'approcha de moi, m'attrapant les cheveux et me tirant la tête en arrière.

L.J.:"Ta soeur est en bas, gamin. Avec ta mère."

Les larmes se mîrent à glisser sur mes joues.

Moi:"Jack... Arrête... Tu me fais mal, tu me fais peur... Laisse-moi..."

L.J.:"Mais oui, je vais te laisser, exeptionnellemet. Mais à une condition il se pencha pour me murmurer à l'oreille. Je veux ma revanche. Je t'attendrais autant de temps qu'il le faut, mais je veux rejouer avec toi."

Il relâcha mes cheveux.

L.J.:"Mais cette fois, ce sera moi le gagnant."

Il sourit de toutes ses dents en disant cela. J'écarquillais mes yeux, sous le choc. Ses dents étaient tellement pointues!

Il rigola en me voyant ainsi et disparu dans une explosion de confettits monochromes.

Je me levais lentement.

La peur me tordait le ventre et les larmes formaient de vrais torrents sur mes joues alors que je descendais l'escalier lentement.

Arrivé en bas, je tombais à genoux avant de vomir tout le contenu de mon estomac sur le plancher.

Ma mère et ma soeur étaient bien là.

Je n'auaris pas dû suivre Isaac, j'aurais dû rester avec lui.

Je posais mes mains sur mes oreilles et me mît à hurler, à hurler si fort en pleurant que, moins de dix minutes plus tard, un policier entrait avec fracas dans ma maison, me trouvant là, hurlant, mes yeux fixant l'horrible scène devant moi.

Alors qu'il s'approchait, il blêmit en voyant le spectacle macabre qui se déroulait devant nos yeux. Il m'attrappa et s'enfuit en dehors de la maison.

                          *        *       *

Monsieur,
Je vous pose aujourd'hui ma démission.
Je sais qu'un message aussi prompt de ma part vous destabilisera sûrement, aussi vais-je donc tenter de vous expliquer ce qui me pousse à le faire.
Il y a maintenant une semaine, alors que je patrouillais dans la banlieue londoniènne, plus précisément dans la ''Three notes avenue'', j'ai été alerté par un hurlement d'agonie provenant d'une maison assez sommaire, je m'avança alors vers cette dernière et, trouvant la porte fermée, l'enfonçait. Je débouchais sur un couloir ayant à son extrémité une porte ouverte me permettant de voir un jeune garçon, hurlant à la mort, les mains sur les oreilles et fixant un point devant lui. Je courrais alors vers lui et tournais la tête à gauche.
Ce que je vîs me hante encore aujourd'hui et je pense qu'il me faut vous décrire la scène pour que vous compreniez l'horreur et la détresse dans laquelle je me trouve aujourd'hui et qui me pousse à vous présenter ma démission.
Je tournais donc la tête à gauche et vîs un spectacle digne des pires cauchemars.
Deux corps se tenaient en face de moi, le premier était celui d'une femme agée d'environ quarante ans.
Cette dernière était clouée au mur. Des clous étaient fortement enfonçés dans ses pieds et ses mains mîs à nus.
Une entaille partant du bas de son cou remontait jusqu'à sa lèvre inferieure, la mâchoire avait été arrachée et posée sur sa tête telle une tiare. La peau de sa bouche pendait d'une façon horrible. Ses mains et ses doigt s'étaient vus taillés, tel du bois ou de la pierre, dessinant à même la chaire et parfois l'os, de macabres volutes. Son ventre était ouvert en deux et ses tripes s'enroulaient le long de ses bras et de ses jambes.
Le deuxième était le corps d'une petite fille maintenu en l'air par ses tripes qui formaient un noeud autour de son cou, tel un pendu. Ses bras étaient disloqués pendaient jusqu'au sol retenu non pas par des os' mais par de simples ligaments noués les uns aux autres par des noeuds papillons. Sa mâchoire ainsi que ses dents étaient cassées et sa langue pendait misérablemet le long de son cou. Le contour des yeux avaient étés découpés en cercle, laissant apparaître le blanc de l'os ainsi que les yeux ,mîs à nus.
Au-dessus de la mère, des lettres rouges sang formaient les phrases "Good toys, good game" et "Pop! Goes the weasel" sur le mur.

Je pense, en vous ayant décris la scène, vous avoir fait prendre conscience de l'horreur que je vis en permanence depuis une semaine maintenant.
Pour en revenir au jeune garçon trouvé sur les lieu, il s'agirait de Tim Fathern et les deux corps trouvés seraient ceux de sa mère et de sa soeur jumelle, son père les ayant abandonnés alors qu'il étaient en bas âge.
Une fois ammené au poste de police, il n'aurait répondu que deux choses:"C'est Jack qui a fait ça." et "Un jour, je l'aurais...".

Je vous prie, monsieur, d'agréer l'expression de mes sentiments les plus distingués.
Peter Scott, policeman aux ordres de la reine.

Aors, qu'en pensez-vous? Si vous trouvez certains détails trop choquants, prévenez-moi dans les commentaires ou par messages privés, mon but n'ètant pas de vous rendre mal à l'aise (enfin si, un peu quand même), mais de vous distraire, donc n'hésitez pas!
Désolée pour le long moment passé sans poster mais je suis en plein dans les révisions du brevet blanc. Donc je ne pourrais pas poster beaucoup dans les deux semaines à venir, désolée.
Sur ce, mangez des bonbons et soyez de bons jouets!

    

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