lemon

Comme tous les jours depuis six mois, je rejoins l'arrêt de bus après mon boulot.

Je travaille dans une épicerie de proximité, et je finis toujours à dix-huit heures.

Mais cela ne me dérange pas, la ville est plutôt belle le soir quand on peut voir toutes ses décorations de noël scintiller de partout.

Le seul inconvénient reste le froid, je dois attendre vingt longues minutes pour que mon bus arrive et par ce froid, je suis rapidement enrhumé.
Le monde autour de moi augmente,  faut dire que c'est le dernier bus de la journée et que si on le rate on est sacrément dans la merde.

Par chance le bus arrive en avance et je vais m'asseoir au fond , prêt du radiateur.

Il démarre rapidement et je somnole en regardant le paysage défiler devant moi, j'ai une heure et quart de trajet et on a même pas encore fait le premier quart.

Les arrêts défilent rapidement et le bus se vide, nous ne sommes plus qu'une petite dizaine de passagers, dont seulement deux à l'arrière.
Moi, et ce jeune homme au teint bronzé, un beau métis aux cheveux bruns coiffés en brosse.

Il a un casque et semble regarder un film sur son ordinateur portable posé sur le siège à coté de lui .

Je ne vois pas ce qu'il regarde étant donné que l'écran est dos à moi, et sur deux banquettes devant moi.

Je retourne à ma contemplation de l'extérieur, j'essaie vainement de voir à travers les carreaux recouverts de buée, aussitôt que je l'enlève qu'elle se remet à recouvrir la zone dégagée .

J'entends soudainement un claquement répétitif, je me demande ce que c'est, peut être le moteur du bus ? Non il se situe a l'avant et je suis à l'arrière avec ce mec.

Je me penche en avant et m'aperçois qu'il a la main dans son pantalon et qu'il se branle.

Alors, la première pensée qui me vient à l'esprit n'est pas qu'il aurait pu se faire surprendre par un enfant, ni même que le lieux n'est pas vraiment fait pour ça.

Non la première pensée fut "je ne vois rien, il faut donc que je me déplace" , et c'est ce que je fis.

Je viens me placer juste derrière lui assis au milieu de la banquette afin d'avoir une vue sur son membre caché encore par son boxer blanc.

Il doit bien mouiller  parce que je peux voir légèrement à travers au niveau de son prépuce.

Ma queue est raide dans mon pantalon et je me touche par-dessus, en essayant de ne pas me faire prendre.

Chose difficile quand le bus s'arrête a l'avant dernier arrêt avant le mien et celui du jeune garçon.

Il range son pc dans son sac et je viens me placer a côté de lui.

- Mais tu fais quoi ?me dit-il en me regardant, intrigué.

Je suis en manque de sexe et tu as ravivé la flamme de ma libido.

- J'ai vu ce que tu as fait et perso tu m'as fait bander, alors j'aimerais savoir si tu souhaites passer chez moi.

Le mec me regarde de haut en bas, il doit se demander si je suis sérieux, et c'est le cas.

Il se mord les lèvres, qui sont légèrement pulpeuse, son regard s'accroche au mien .

Il semble être en plein dilemme, je lui fais alors un beau sourire qui fait toujours fondre les gens.

- Je dois juste prévenir mes parents que je serais en retard.

- Si tu veux, tu dors chez moi et demain je te ramène chez toi.

Il se remet à réfléchir en me regardant, il bande encore un peu, et ma main vient se poser dessus en le caressant légèrement.

Il lâche un gémissement plaintif en retirant ma main.

- Bon je suis d'accord, mais on ne fait rien avant d'être chez toi.

Je lui souris légèrement, après tout mon charme plait à tout le monde et grâce à mon physique avantageux, j'arrive à avoir ce que je veux et ici je le veux lui.

Une fois arrivés à notre arrêt on descend et on rejoint ma voiture.

On a vingt minutes de route à faire pour être chez moi , pendant ce temps il a appelé sa mère qui a accepté qu' il découche.

- Tu as quel âge ? me demande mon voisin.
- J'ai  vingt-six ans et toi ?

- Vingt-deux ans depuis ce matin.

- Oh ! Joyeux anniversaire alors. On peut dire que je suis ton cadeau d'anniversaire. Je suis tout à toi, dans ce cas.

- Tout à moi tu dis, donc je peux faire ce que je veux ?

Je réfléchis à ce qu'il peut bien penser mais je ne trouve pas la réponse.

- Oui tout ce que tu veux.

Il détache sa ceinture avant de détacher la ceinture de mon pantalon et de sortir mon anatomie de sa cachette.

Mon sexe se dresse rapidement dans la paume de sa main.

Je gémis légèrement quand il vient lécher mon sexe dans toute sa longueur, il titille mon gland de sa langue avant de le prendre entre ses lèvres .

Je ralentis pour éviter de finir  dans le fossé
Mon torse nu dévoilant mes abdos et légèrement mes pectoraux, il commence à me lécher dans le cou en suçant légèrement ma peau, tout en continuant de faire des va et viens sur mon sexe.

Il descend en laissant de petits bisous baveux jusqu'à mon bouton de chair, une zone particulièrement  sensible chez moi.
Ayant  presque deux centimètres de diamètre, il durcit rapidement et à chaque coup de langue, je sens mon sexe faire un bond dans sa main.

Je finis par me garer sur un chemin de randonnée, il lève la tête et s'aperçoit que l'on n'est pas chez moi

- Recule ton siège, me dit-il d'une voix autoritaire mais terriblement virile .
Pendant que je fais ça il en profite pour enlever tout ses vêtement, son corps est baraqué, il est bien foutu, et ma queue se dresse quand il retire son caleçon et que je vois son trou imberbe et ses deux fesses rebondie à porter de main.

Il passe par-dessus moi , étant cleans tout les deux il s'empale doucement sur ma verge qui, en sentant son anneau se resserrer, se dresse d'avantage.

Il gémit sans se retenir, faut dire qu'il devait être vraiment chaud car il n'y a eu aucun blocage mon membre de dix-neuf centimètres est rentré comme dans du beurre.

On se regarde dans les yeux pendant que mon sexe lui élargit l'anus.

Ses yeux sont bleus perçants , sa main caresse mon torse musclé, tandis que son regard dévie sur mes lèvres et je viens l'embrasser doucement.

Ses lèvres sont douces et lisses surement à cause de la pipe qu'il m'a fait plus tôt, ce n'est pas désagréable, c'est plutôt excitant.

Il change de position et vient coller son dos à moi en se laissant glisser sur ma verge.

Il impose la cadence tandis que ma main attrape son sexe que je le branle vigoureusement.

Il commence à gémir d'avantage et à haleter, j'en suis au même point que lui, ma bouche lui embrasse le cou et je lui laisse des suçons au niveau de la nuque.

De longues minutes passent et nos corps sont en harmonie, vibrant ensemble et sur le même rythme.

- Je vais venir.., dit-il en accélérant la cadence de son corps sur ma verge qui se tend à son paroxysme en sentant son anneau se refermer petit à petit autour d'elle.

Je me verse en lui en plusieurs jets et je le sens se cambrer et venir à son tour en étouffant ses cris de jouissance, mais je sens sa semence chaude couler le long de ma main. Et atterrir sur mes cuisses .

Il se laisse aller contre moi, alors que mon sexe est encore en lui.

- C'était trop bon, on recommence quand ? dit-il alors qu'il se redresse pour se rhabiller.

Je fais de même sans chercher à m'essuyer sachant déjà ce qu'on va faire une fois rentrés.

- Pourquoi pas le faire sous la douche ? dis-je alors que je redémarre. Direction la maison.