Chapitre XII
On arrivant vers la frontière je le vois arriver aussi. On se dirige vers le sol. Rangeons nos ails. Courons l'un vers l'autre et nous embrassons le plus intensément possible. Il n'y a plus de retour en arrière possible à partir de maintenant. Avec se baiser je sens mon coeur battre terriblement fort et tout mon être se lié au sien. On s'en fichait des personnes autour de nous. On voulait juste être l'un contre l'autre. Ses yeux m'aspiraient alors que je le désirs davantage à chaque seconde. Pris dans une frénésie on s'est reculer jusqu'au local à côté. On a fermé la porte à clé. Peu importe ce qui se passera après c'est ce moment qui compte. On se déshabille et quand nos corps nus se touche je ressent toute l'électricité que l'on dégage l'un l'autre, toute cette tension. Il prend mes cuisses et me porte. Je croises mes jambes à ses hanches et sans attendre plus qu'il n'en faut il me pénètre. Je le veux. Je le veux tellement. Je gémis dans ses baisés. Il y va fort, brusquement en me collant à des étagères en métal. Le froid du métal me chauffait encore plus le corps. J'en perd la tête. Il mord mon cou. Je griffe ses épaules. Plus il me prend plus je le regarde dans les yeux. Je lui mord à mon tour le cou et il fini par me poser par terre. Il peu enfin aller vraiment plus fort et plus vite grâce au maintient solide du sol. Je gémis tellement fort qu'il est sûr que dehors on m'entend. Quand j'entends ses gémissements à mon oreille je me laisse jouir tellement j'apprécie l'entendre prendre du plaisir avec moi. Il revient m'embrasser et je le sens jouir en moi. J'aimerai que ça ne se finisse jamais. Une danse charnelle éternelle. Voilà ce que j'aimerai.
Quand nos bouches ce décolles je peux voir dans ses yeux les mêmes regrets que moi et le même désir. On respire et parlons en même temps.
- Je t'aime.
- Je t'aime.
On se regarde on rit avant de s'embrasser à nouveau. La tension qui nous incombe est tel qu'on sait que nous n'avons pas finis de vraiment nous enlacer mais faute d'avoir pris le bon endroit on devrait au moins partir ailleurs. On se rhabille et nos mains entrelacer en sort du local. Manque de chance on ne s'attendait pas à l'option des forces armées et de nos dirigeants respectifs parvenu jusqu'ici. On a prit autant de temps pour qu'ils arrivent ? Conrad serre ma main dans la sienne. C'est plutôt à lui d'avoir peur plutôt que moi. Ils nous regardent tous.
- Détachez vous ! Vous n'êtes pas sensé pouvoir vous tenir ainsi !
Le dirigeant des anges parlent en premier et je répond.
- Ce n'est pas à vous de décider ce qui est sensé ce faire ou non. Nous sommes des descendants des originels et peu importe ce que vous direz, vos mots ne pourront détacher nos liens.
- C'est une abomination ! Comment un démon peu utiliser l'originel qui a tant souffert comme prétexte de sa fraude et l'interdis avec un ange.
- Il n'y a rien d'interdit. Nos peuples ne peuvent juste pas se toucher d'origine. Le fait qu'elle et moi puisions n'es pas une infraction.
- Arrêtez les. Nous devons tenir une réunion d'urgence.
Les deux dirigeants se sont regardés et se sont fait signes de la tête pour s'accorder. Des soldats nous on prit et nous on emmené.
Deux jours plus tard, j'ai été emmener dans une salle. Une grande salle où il y avait des anges et des démons ainsi que les dirigeants. Une sorte de procès exceptionnel. J'ai été mise dans un espèce de carré avec des gardes à côté dans le centre de la pièce sur la gauche. A ma droite un carré similaire. Conrad va être mis la bas. Quand il est arriver on ne s'est pas quitter du regard. Les commandants ont fait taire tout le monde.
- Silence !
- Nous sommes là pour savoir ce que nous devons faire de ces personnes.
- Dites nous ce qu'il sest passé pour quoi vous en arriviez là.
Les ailes sanglés je me pose contre les barres du carré en croisant les bras. Je vais être aussi acerbe avec eux qu'avec le reste du monde. Je les regarde.
- Qu'est-ce que vous voulez savoir de plus que ce que l'on vous a déjà dit ? Descendante de l'être originel des démons et descendant de l'être originel des anges. Ça s'arrête là comme preuve que nos liens de sang nous lies ensemble sur le chemin d'une malédiction.
- Nous voulons savoir comment vous êtes arrivés à vous unir alors que ça n'aurai jamais dut arriver.
Je commence à m'agacer. Conrad prend la parole.
- La première fois qu'on s'est rencontré s'était à une fête. Je lui suis rentrant dedans ce qui la brûlé. Quand nos regards se sont croisés on a eu mal au coeur. La soirée c'est passé et le lendemain elle se trouvait dans mon lit. On a remarquer qu'on pouvait se toucher sans qu'elle n'est de brûlure. Pourquoi un simple regard à tout changé on ne sait pas. Cela pourrait être comme le mythe des âmes soeurs selon mon médecin.
- Impossible ! Cela reste un mythe !
- Comme celui qui est devenu notre quotidien !
Je dois les mettre face. Ils sont ridicules. Ils me regardent dédaigneux l'un comme l'autre. Je serre les dents.
- De toute manière qu'est-ce que ça peut vous faire ? Hein ? Si je vous dis que j'ai faillis mourir à cause de cette malédiction. Que l'amour nous a sauvés. Ou encore que l'être originel est venu à moi par mes rêves pour m'aider à m'unir à lui sous sa volonté. Ça ne changera rien à votre façon de nous voir !!
Ils me regardent surpris.
- Tu as vu l'être originel ? Ne serais-tu pas entrain de mentir ?
- Tss vous doutez même sur ce genre de détail. Si je vous dis ça c'est que je ne mens pas.
- A quoi ressemblait-il alors ?
- En quoi cela changera quelque chose ?
- Décris le !
Je souris en coin amuser par leurs captivité soudaine.
- Grand, cheveux noir, légère barbe, yeux violet. Il semblait avoir prit du temps sur son visage sans trop vieillir. Satisfait ?
Ils se regardent entre eux et nous regardes à nouveau.
- Jeune ange, tu l'as vu toi aussi l'être originel ?
- Oui. Elle m'est aussi apparu en rêve.
- Décris la.
- Cheveux long blond, belles courbes, les yeux verts. Elle semblait d'une douceur infini. Son visage avait aussi prit de l'âge mais s'en vraiment en être affecté. Elle portait un collier aussi. Un collier avec une aile de démon et une aile d'ange entremêlé.
Le dirigeant des anges soupira.
- Ils nous dises la vérité.
- Mais pourquoi eux seulement ?
- D'autres anges m'ont pris le bras et j'ai brûlé à leurs contact. Il n'y a que lui qui puisse me toucher sans me brûler. Peut être d'autre âme soeur sont liés sans s'en rendre compte. Tant qu'ils ne se seront pas regardés dans les yeux ça ne changera rien pour eux.
- Et les vôtres peuvent vous touchez quand même malgré votre lien ?
- Oui. Mais je ne peux plus faire lamour avec quelqu'un d'autre.
- Vous avez essayé ?
Je suis obligée de raconter ça devant une salle pleine et devant nos proches ?
- Oui.
Conrad me regarde assez sombrement.
- Oui j'ai essayé mais je n'avais que lui en tête. Je n'ai pas pus aller au bout de la chose c'était impensable.
- Vous voulez dire..
- Je vais pas vous faire un dessin non plus !
Ils se foutent de moi ou quoi ?
- Et vous vous avez essayé ?
- Non. Je ne pensais pas à aller essayer ailleurs.
Je le regarde. Vraiment ? Ta jalousie maintenant alors que tu sais que tu es le seul ? Il est contrarié ok mais bon quand même.
- Nous allons réfléchir et délibérer. Attendez ici.
On entend plein de murmure du public.
- Tu es vraiment aller voir ailleurs ?
- Écoute, tu n'as pas voulu me baisé pendant une semaine parce que tu pensais me blesser. Alors ne fait pas de crise parce que j'étais en manque. Sachant qu'en plus j'ai tout arrêté avant qu'il me la rentre parce qu'un ange me restait en tête et que je l'imaginais me faire toute ses choses.
Il fronce quand même les sourcils.
- Tu n'avais quand même pas à penser à ça.
- C'était un test.
Il me regarde et au bout d'un moment je vois du désir y brûler. Aurait-il l'idée de me faire payer ça avec du sexe ? Je souris à cette pensé puis les dirigeants reviennent.
- Bon. Il y a une première chose. Il est impensable que vous restiez dans notre société.
- Ensuite, nous ne pouvons pas vous faire exécuter parce que vous êtes des descendant direct de nos êtres originels.
- Nous allons donc vous donnez un choix.
- Soit vous allez en prison et on vous y enferme pour le restant de votre temps.
- Soit vous partez en exile. Nous vous enverrons sur une île avec un nécessaire pour vous construire. Une fois nos donations épuisés vous vous livrerez à vous mêmes.
Conrad et moi nous regardons. Nous savions ce que nous allions prendre. On se tourne à nouveau vers les dirigeants et répondons d'une même voix.
- L'exile.
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