piangeva
dans la falaise,
je vois plus de chutes que de pierres,
c'est si dur quand tu me fends et me laisse seule,
tu sais,
il y a des Hommes malades
et peut-être même,
qu'il n'y a que ça
chacun porte sa maladie,
chacun subit ses convulsions,
on cache, on enfouit,
mais ça revient toujours à l'affleurement,
ça fait saigner,
même si rien ne coule vraiment
même si tout semble un peu irréel
on sait que c'est là
que ça ne nous quitte pas
que ça nous paralyse
que ça nous contrôle,
que l'on est comme
impuissant
et que tout ce qui découle devant nos yeux,
disparaît,
disparaît et ne revient jamais
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