Le temps passa. Lentement. J'ignorais quel temps était passé depuis de ma visite à soleane. Si aujourd'hui nous n'avions pas de séance, 2 minutes après l'entrée des soldats, je devais chanter ma comptine. À voix haute. Elle n'avait plus été chanté depuis bientôt 12 ans. J'ignorais pourquoi invoquer un tel sort de demander que chanter une simple chansonnette d'enfants. Toutefois, c'était notre seul espoir. L'avantage dans la salle des chaînes, c'est que l'on peut penser librement. Oliviero était trop loin, il nous contrôler peu. Les gardes entrèrent. Il était donc 12h20.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20.
Ils posèrent la pâtée et actionnent le levier qui allongent nos chaînes pour 3 minutes.
21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40
J'ai mangé ma pâtée et docilement tout en décomptant les secondes.
41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60, 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20
J'étais stressée, mais me focalisais sur les chiffres.
21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59

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J'entamai l'air.
"Zjalla, il est assis dans une cave séculaire et au cicatrice du grand âge.
Sa femme Zana
Elle étend les draps
Mais son mari M.Zjalla
Énervé par la woka et la zria
Rentra sans prendre 4 chemins
Et dans sa rancoeur folle
Jetta sur ses enfants ce courroux
Il en fit succomber un et voulut le deuxième
Désespérée Zana l'en empêcha mais le mal était fait
Des deux il n'en reste qu'un,
Des deux il n'en reste qu'un.

Mes chaînes tombèrent et je sursottait. Derrière moi, Soléane s'affairai a libérer mes amis abasourdis. Moi même je n'y croyais pas. Cette comptine ne pouvait pas avoir invoquer le corps astral d'une défunte !! Non, je rêvais. Ce n'était pas possible qu'une morte sois en train de nous libérer !! J'étais les gants que je portais depuis plus de deux mois,et me laissais envahir par le don qui circulait de nouveau dans mes veines. Maintenant, aussi incongru que c'était, nous étions tous les six libres !! Grâce à un fantôme !!
- allez-y ! Sauvez vos peaux mes enfants !
- Et toi ! Je m'exclamai.
- Je vais m'effacer petit a petit ! Fuyez ! Rien n'est encore gagné !
Vick ne se fit pas prier, elle fit violemment exploser la porte. Lorsqu'un des débris métallique se ficha dans mon bras, je sus que tout ceci était réel.
- En route, me chuchota Jason à l'oreille.
Ses yeux étaient rouges, il avait pleuré. Je suivis mes amis, en essayant de ne pas me faire distancer mais j'étais complètement sonnée. Jason me tenait la main et me traînait a la suite du groupe. Quand quelques choses nous barrait la route, nous le supprimions. Nous finissâmes par déboucher sur la salle du traître. Il était en train de profiter de femmes a moitié dénudées sur son immense sofa.

Fin de la première partie du chapitre 5 !!

Alouuuuurrrsss ! Je veux tous vos ressentis, émotions ! Lâchez vous !!!