Il était une fois.
Il était une fois,
Dans un magnifique château, près d'un fleuve, vivait unr magnifique princesse au cheveux d'argent. Le fleuve de la princesse était fait d'or et de diamants. Il n'était pas méconnu des gens du château, qui puisaient souvent dans celui-ci.
Au fils du temps, il finit par s'épuiser et les servantes vénales se retrouvèrent bredouilles et sans le sou.
Mais quelque choses clochait car le fleuve était approvisionné par les larmes d'une jeune fille, Marie, la prêtresse du village.
Au contact de l'eau ses larmes se transformait. Alors la princesse des lieux, Éléa, fût envahis par une tristesse sans nom. Puis, un jour, elle se décida à aider sa famille elle décida d'aller au lieu de tout ses malheurs.
Une fois sur place, elle se rendit compte de l'air lugubre de ce lac autrefois si scintillant et magnifique.
Mais, au loin, une chose brillait et se mouvait avec aisance. Bien que son valet lui interdit d'aller voir cette étrange forme fantomatique, elle s'en approcha. Plus elle se rapprochait, plus la chose avait une forme humaine.
À la fin de sa marche, Éléa vit que la forme était en fait une jeune femme. Intriguée, la princesse essaya d'engager la conversation mais restait tout de même sur ses gardes.
Avant de prononcer son premier mot, la jeune femme qui était de dos se retourna, ayant sentis une présence. La beauté de la jeune fille éblouie tellement Eléa qu'elle n'osait plus prononcer un seul son.
Au bout d'une quinzaine de minutes, la princese détourna le regard en rougissant de gêne. Un étrange dialogue commença alors, ponctuer de regard en coin et de sourire dissimulés.
Finalement, les deux jeunes filles prononcèrent quelque mots innocent. Éléa osa alors demander à Marie la raison se sa présence ici. Celle-ci la regarda tristement et s'approcha d'elle.
Le frisson qui envahit la jeune princesse fût si grand qu'elle en claqua des dents. Marie venait de lui passer à travers et toute les pièces du puzzle s'emboîtèrent dans sa tête.
Elle explique qu'elle n'avait pas pût rejoindre le paradis car elle était malheureusement attachée au fleuve.
Éléa, émue proposa à Marie de venir la voir une fois par jour pour qu'elle ne se sente pas seule.
Donc tous les jours pendant un an, Éléa rendut visite à son amie. Si bien qu'elle se rendit rapidement compte qu'elle était tombé complètement et éperdument amoureuse de Marie.
Mais ce qu'elle ne savait pas, c'était que ses sentiments étaient partagé.
Alors, au bout de plusieurs mois, la princesse ne pût rester de marbre et avoua son amour flamboyant à son amie.
Elle fût excessivement soulagé quand son baiser lui fût rendu.
Malheureusement, plus les jours passaient et plus Marie devint muette. Elle restait souvent bloquée dans ses pensées et semblait avoir souffrir en permanence.
Alors, intriguée, Éléa décida de revenir la nuit pour observer sa bien-aimée et secrètement espérer que rien de grave ne lui arrivait et ainsi la garder avec elle.
Soudainement, lors qu'elle épiais sa bien aimé, elle vit Marie tomber au sol et se plier en deux de douleur.
En panique, Éléa courut vers celle-ci pour l'aider.
Marie se retrouva bien confuse et due avouer la raison de son malheur à son âme sœur. Il se trouvait que Marie avait depuis un mois, obtenue la possibilité de rejoindre le paradis mais qu'elle avait renoncée à ce privilège pour rester au côté de sa dulcinée.
Même si cela impliquait de souffrir le martyr.
Le cœur d'Éléa se tordit de douleur en écoutant ce triste et déroutant discour.
Alors, parmis les larmes et la douleur. Elle prit une grande inspiration et regarda avec amour Marie.
Elle allait la renvoyer de force au Paradis en asséchant le fleuve. Dans un élan de folie, elle lâcha Marie et ses sanglots et courut de toutes des forces vers son château.
En moins de dix minutes, elle avait déjà rempli plusieurs énorme sceau de sel et se dirigeait déjà vers le fleuve. Elle jeta tout le contenue de son sceau dans l'eau et répéta son mouvement avec insistance.
En faisant ce geste insensé, elle espérait que le fleuve allait s'asséché et alors Marie devrait retourner de force au Paradis.
Malheureusement rien ne se passa et Éléa resta là, interdite, les bras ballants.
Marie, faiblement et en rampant presque, essaya t-en bien que mal de rejoindre sa princesse et de la stopper.
Bien sûr, la douleur fût trop vive et Marie s'évanouit. Éléa toujours dans sa folie, prit la radicale décision de se donnée la mort en se jetant dans le fleuve. Bien décider à enlever la douleur à son amour.
Le cri de Marie retentit dans toutes les consciences du village quand elle vit le dernier souffle de vie quitter Éléa. Alors, elle se mit péniblement et pria, elle pria le fleuve de lui rendre sa dulcinée. Elle pria avec toute sa peine et sa douleur.
Le fleuve, qui avait assisté à toute la scène, eu pitié de sa protégé et décida d'accorder une faveur à Marie. Celle-ci demanda alors à restée éternellement avec son âme soeur. Elle ne pensait à rien d'autre à part être avec elle. Le fleuve, dans sa bonté infinie, transforma Marie en une parfaite lune, brillante et ronde.
Puis, à partir du cadavre d'Éléa, la transforma en soleil.
C'est pourquoi une fois par an, lors du solstice d'hiver, une éclipse à lieu pour réunir les deux amantes. Le fleuve fait alors apparaitre de nouveaux ses richesses, signe de l'éternel reconnaisance de Marie.
On dit maintenant que les deux amantes interdite se rencontrent à nouveau pour vivre leur amour d'une nuit.
[Fin].
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