« - L'amour est fondamental, il est à l'origine de toute vie sur cette Terre. Vous ne pouvez pas dire qu'il est inutile, vous...

- Ecoutez, ce n'est pas parcequ'il est à l'origine de la vie, qu'il n'est pas un virus. Certains virus se fixant sur des bactéries, peuvent donner des êtres vivants.

- Vous êtes conscient ou pas que vous dites n'imprte quoi, et que vous encouragez la population à penser comme vous? Si on aimait pas, on mourrait tous. L'Amour nous tient en vie.

- Je peux vous assurer que l'on a trouver un antidote efficace sur les humains. Car malheureusement c'est après contamination que l'on souffre.»

- Et toi, tu en pense quoi de ce soit disant virus? Demandais je à Akim assiy à mon comptoire.

- Je pense que toute cette histoire est surtout très médiatique. Les scientifiques qui défende la these que l'Amour soit un virus, veulent juste sortir de l'ombre et jouer le interressants.

- Tu y crois à cette histoire d'antidote?

- Surement. Il on dut adopter un calmant antidepressif. Mais ces personne doivent surement ressembler à des zombies.

- Cela fait deux semaines qu'ils en parlent sur tout les médias. C'est agaçant.
Je m'arrête dans mon travail et le regarde. J'ouvris grand la bouche et écarquillai le yeux. Je devais ressembler à un poisson à ce moment.
- Non j'y crois pas! Il leva la tete vers moi. Tu lis Piscou sur ton téléphone. J'ai réussi à te soumettre à la supériorité de la famille Duck.

Il sourit et ricanna, puis se replongea dans sa lecture. Je finis d'assembler la guitare sur laquelle je travaillais depuis une semaine. Le jeune homme qui me l'avait comandé vint la cgercher avec son compagnon, qui en profita pour nous jouer un morceau. Akim se lança dans une discussion avec mon client, tandis que le guitariste grattait encore quelques accords.

- Il est beau, votre copain.

- Merci. Répondis-je.

- Vous avez de la chance.

La radio repassa un podcast sur le diligitis, et je pestais. Au bout de 2 semaines je commençais clairement à en avoir marre.

- Vous savez, me dit encore le guitariste, si l'amour est un virus, alors moi personnellement, je souhaiterai ne jamais en guérir. Pas vous? J'acciessais. Car même s'il nous fait souffrir, cela fait partit de la pleine beauté de la vie. Et puis la souffrance fait partit du bonheur, vous ne pensez pas? Si on ne souffre pas, on est pas heureux.

Il se leva et alla se poster pres de son copain. Au bout de quelques minutes, ils s'en allèrent. Akim revins s'assoir à mon comptoir. Je le fixais.

- Qu'y a t'il? Demanda t-il au bout d'un moment.

- Je crois,... je crois que je suis contaminée par le virus. Et j'ai envie de le rester. J'ai envie de vivre, même si cela signifie souffrir. Je... je suis amoureuse de toi Akim.

Il sourit devant mon air grave. Ce sourire qui me fait tant craquer n'a là, pas réussi à me dérider. Il passa derrière le comptoir, et me prit dans ses bras. Il m'embrassa, mon visage entre ses main et toujours souriant, il me rassura.

- Moi aussi je t'aime.