Chapitre 2: Le diligitis

« - Bonjours et bienvenue à tous sur la radio mondiale de l'information en directe.
Récement, nous avons appris que des chercheurs en neuroscience, analysaient un virus qu'ils ont nommé le diligitis, soit en français '' Amour ''. Alors, Docteur CALAGAN, est-ce que le diligitis, soit le virus de l'amour, et celui que l'on connait?

- Oui. Dans le sens où celui que vous connaissez, que le monde, on va dire lambda connait, sont les sentiments amoureux d'une personne. On est ici dans un cas, où mes collègues avancent que l'Amour est un virus mortelle, ce qui est tout à fait absurde pour ma part.»

J'éteignis mon radio reveil. Je me levais de mon lit douiller avec peine. Une nouvelle journée commençait. Je pris mon petit déjeuner. Lait et croissant. Passage rapide dans la salle de bain, habillage, et c'est partit.
Il est 8h00, je me rend à ma boutique. J'ouvre less rideaux de fer et me dirige vers mon atelier. J'ouvre tput en grand pour laisser entrer la lumière de dehors, tourne la pancarte qui indique que je suis ouverte, puis m'installe dans mon atelier. Je commence mon travail de réparation d'une contrebasse. Son propriétaire doit venir la chercher dans la journée.

Comme vous avez pu le comprendre, je suis luthier. C'est un métier manuel épuisant certes, mais il me plaît énormément. J'ai toujours aimé les concerts des instruments à cordes, et lorsque mes clients viennent récupérer leur instrument, ils me jouent toujours un petit morceau.
C'est agréable. Je l'aime bien ma petite vie dans le 13ème. La cloche de la porte d'entrée retentit.

- J'arrive une minute. Criais-je avant de sortir de mon atelier. Bonjour monsieur.

- Bonjour, Wila, tu as l'air bien joyeuse aujourd'hui.

- Oui monsieur. Chaque jour est un beau jour, jusqu'à ce qu'il meure un de mes protégers.

- C'est bien d'avoir une mentalité pareille.

- Que puis-je faire pour vous monsieur PAUL?

- J'aimerai acheter une viole de gambe à mon petit fils. Mais croyez le où non, je ne sais pas comment faire, ni à quoi ressemble cet instrument. Il passa sa main noueuse dans ses court cheveux blanc. Il semblait un peu honteux.

- Ne vous en faite pas. J'ai cet instrument dans ma réserve. Quel âge à votre petit fils?

- 12 ans.

Je me rendis dans la reserve où étaient entreposés les instruments.

- C'est rare que l'on me demande un tel instrument. Et encore plus un enfant. C'est lui qui a choisi?

- Oui. Je ne sais pas où il a été chercher ça, mais il est passionner par les instrument à cordes et a jeté son dévolu sur celui ci.

Je trouvais ce que je cherchais. Quatre violes de taille différentes. Je retournais au près de mon client.

- J'ai des violes de tailles différentes. Il faudrait que vous reveniez avec votre petit fils pour que nous choisissons ensemble l'instrument adapter. Si vous voulez je vous donne une invitation, pour revenir chercher l'instrument.

Je sortit d'un des tirroires de la caisse un petit papier cartonné ou était écris chicquement invitation en or. Tandis que j'écrivais l'instrument et tamponnais, monsieur PAUL me fit par de ses inquiétudes.

- Si aucune viole ne lui convient? Le vieil homme paraissait inquièt.

- Je peux lui en fabriquer une. Bien évidement cela sera plus long et beaucoup plus cher. Ce sera à vous de voir.

Je lui tendit le carton d'invitation et il partit en me remerciant.
La cloche sonna.

- Bonjour, ....

- Bonjour.

Un couple venait d'entrer dans ma boutique. Je reconnu l'homme auquel la femme se tenait. Akim. Il sourit en me voyant.

- Que puis-je faire pour vous aidez?

- Nous regardons juste. La femme sourit en entendant son compagnon. Pouvons nous toucher les cordes?

- Un vous interresse en particulier?

- Je cherche un... commença la femme.

- Un alto. Tu cherches un alto. Termina Akim.

- Oui. Je crois.

Bizarre.

- Si vous n'êtes pas certaines madame, vous pouvez me décrire l'instrument. Tentais-je.

La femme tapota le bras de Akim en lui demandant s'il l'avait apporter. Il bascula l'étuie qu'il tenait dans son dos et me le tendis. Lorsque je l'ouvrit, je fus éblouit devant la beauté de l'instrument. Il était tellement magnifique, fait en ében et décorer de dorure. Malheureusement il était cassé en deux.

- Oh. Je suis vraiment désolé, mais votre alto n'est pas réparable. Dis-je n'avré.

- C'est pour cela que je suis venu en chercher un autre. Dit-elle posément.

- Aucun autre n'égalera la beauté du votre, mais j'en ai des pas mal.

Je passais derrière des instruments, et lui désignait un alto en bouleau de ma création. Akim me regardait avec in sourire.

- Alors oui, je ne t'ai pas dit, mais ma compagne ci présente est aveugle.

- Ah d'accord.

- Mais cette alto est très beau.

- C'est vrai?demanda la femme. Je pourrais l'essayer?

- Bien sûr.

Je décrochais l'alto du mur et lui apporta. Elle s'assit sur un tabouret, et positionna l'instrument comme une pro. Elle gratta les cordes, accorda l'instrument et commença a jouer un morceau. J'étais époustouffler par la précision de l'accordage de l'instrument. Elle jouait de manière gracieuse et sa musique était à couper le souffle. Elle m'émut comme aucun autre musiciens n'a su le faire depuis mon grand père. Lorsqu'elle s'arreta, elle dit simplement.

- Celui ci me plait. A quoi il ressemble?

- Il est en bois de Bouleau, les cordes sont blanches et l'armature est en noir. Des gravures sont aussi dans cette même couleur. Répondit Akim.

- Il doit être vraiment sublime, combien coûte -t-il?

- Il coute 4 000 euros. C'est une création originale et unique. Défendis-je.

- Akim, est ce que tu peux t'occuper de l'achat avec la demoiselle s'il te plaît.

- Ok.

Tandis que la compagne d'Akim reprennait son concert, ce dernier m'accompagna à la caisse pour le réglement. Il me regardait, toujours avec ce sourire enfantin que je trouvais si beau.

- Qu'y a t'il? Demandais-je.

- Rien. Cela fait deux fois que l'on se rencontre. Ce n'est plus une coïncidence. Ça te dis un sortit toi et moi après ton travaille?

- Tu es enfin sûr de tes arguments pour me convaincre de la supériorité de la famille Mouse?

- Plus que prêt! Alors?

- Et ton amie?

- C'est ma patronne. Si tu veux je te raconte tous cela... autour d'un verre.

Je sourit et lui tendit tous les papiers dû à l'accisition de l'instrument. La femme se leva, et son compagnon l'aida a ranger l'alto dans son étuie.

- Pour l'entretient de l'alto, vous pouvez le faire où vous voulez, mais....

- On reviendra chez vous, pour que vous puissiez voir de temps en temps evoluer votre bébé.

Elle me sourit. Accompagné d'Akim elle se dirigea vers la sortit.

- Akim! Il s'immobilisèrent tout les deux. Je finis à 20h.

- Alors à 20h.

Et ils sortirent de ma boutique bras dessus bras dessous.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top