Chapitre 6

Adrien était dans sa chambre. Le garçon était réveillé et heureux de savoir qu'il était destiné à sa fabuleuse coéquipière.

Il l'a retrouverait et il l'emmènerait au cinéma. Ils se regarderaient le dernier film tourné par sa mère.

Sa mère, elle lui manquait. Il avait presque visionné tout ces films, sauf un... Le dernier

Toujours, il se sentais coupable. Adrien se rappelait le regard de son père lorsque celui-ci avait compris. Un regard froid et brisé.

Un père.
En avait-il encore un ?
Difficile à dire.

Le seul être restant c'était Plagg. Son Kwami le soutenait, a sa façon.

D'ailleurs, que cachait cet être noir au yeux vert.

Le Kwami était posé sur le coussin d'Adrien, dégustant un morceau de camembert réclamer plus tôt dans la journée.

- Plagg, l'interpella Adrien, est ce que tu étais au courant, pour les infos sur notre deuxième mission ?

Le Kwami faillit recracher sa nourriture. Il ne s'attendait pas à se que son porteur soit aussi direct.

Passer le moment de la surprise, le regard du demi-dieu s'assombrit.

Bien sûr qu'il était au courant, il l'avait découvert à ses dépend.

Le blond compris que le sujet était délicat et que son compagnon savait.

- Ce n'est pas grave si tu ne veux pas en parler, déclara doucement Adrien, j'attendrai.

Plagg eut une bouffer de joie. IL lui ressemblait tellement. Ils étaient tellement similaires.

Plagg soupira. A quoi bon garder un secret qui vous pèse et qui vous fait couler.

- Je vais te raconter son histoire.

Le blond se tourna vers le petit être et il s'installa de façon à être attentif.

- Il s'appellait Léodagan. C'était mon tout premier porteur. Léodagan était entré en ma possession par l'intermédiaire d'un gardien. Ce jeune garçon était courageux, altruiste, timide et... terriblement innocent. Il ignorait tout du monde. Élevé par des moines, orphelins de naissance. Un brave petit. Son nom de héros était "Le Brave Noir" et sa coéquipière s'appellait "La Rouge". Tu comprends qu'as l'époque, moi et l'autre Kwami étions à nos tout début. Relié deux personnes qui sont destinées à être en couple est compliqué. J'ai jamais compris se sentiment que les Humains appelle Amour. Enfin bref. Chaque nuit ils se retrouvaient dans leur rêve, chaque nuit ils avaient de nouveau Indice. Sauf que, sa faisait déjà 3 ans qu'ils se voyaient, et Léodagan s'est mit à ressentir de la douleur dans son corps. Les médecins de l'époque ne pouvaient rien faire. Ce pauvre garçon était tellement amoureux de sa coéquipière qu'il en souffrait physiquement. N'y tenant plus, l'orphelin s'est jeté de la fenêtre de l'abbaye. Depuis, je m'étais juré de ne plus ressentir d'émotions envers mes porteurs. J'y arrivait plutôt bien, jusqu'à toi. Tu lui ressemble tellement...

Et le petit dieu se mit à pleurer.

Adrien l'attrapa et lui caressa la tête dans l'espoir de le calmer.

Le blond était triste pour son partenaire. Perdre quelqu'un c'est quelque chose d'horrible qu'il ne souhaite à personne.

Le déchirement et la noirceur que l'on peut ressentir, peut nous mener vers le bas et nous faire sombré.

Nathalie toqua soudainement à la porte.

L'assistante du styliste s'inquiétait pour le fils de son patron.

Elle avait assisté, impuissante, à la déchéance de cet homme.

Son seul espoir, était, qu'Adrien aille bien. Qu'il arrive à survivre sans le soutien parental qu'un garçon de son âge ait besoin.

N'entendant aucune réponse. Cette femme au chignon stricte et au tailleur sur mesure entra dans la chambre de l'héritier.

Elle le trouva assis sur son lit en train d'admirer le portrait de sa mère.

Le regard jade de celui-ci, se tourna vers la nouvelle venue.

Il attrapa ses affaires et s'empressa de rejoindre le salon qui serait vide et terriblement silencieux.

La femme poussa un soupir.

Voire le fils de son patron dans cet état la déprimait. Mais elle ne montrait rien, restant de marbre.

Elle aurait tant aimé être la, le jour où il avait perdu cette femme, qui était le soleil de cet famille.

Le Gorille mena ensuite le garçon au collège. Comme chaque trajet il ne parlait pas.

Comment parler quand on est muet de naissance ! C'est comme demander à un sourd de nous décrire la musique qui venait de passer. Impossible.

Adrien entra dans sa classe. Nino l'attendait.

D'ailleurs, Adrien était toujours jaloux de la journée que celui-ci avait passé avec la bleutée.

C'est donc un Adrien de mauvaise humeur qui répondit a l'habituel chek de son ami.

Pourtant, le garçon devrait se réjouir.

Il était en cour de physique. Sa matière préférée.

Mme Mendeleïev entra subitement dans cette salle de cour.

La 4ème4 se tut immédiatement.

Il ne fallait pas mettre cette professeur en colère. Et hélas, ils l'avaient appris à leur dépend.

- Bien, commença l'institutrice, aujourd'hui je vais vous proposer de travailler en binôme sur un exposé qu'il faudra présenter à l'oral. Bien sûr, j'ai déjà composé les binôme.

Les élèves poussèrent de soupir d'insatisfaction. Ils détestaient les exposés, surtout de physique de plus ils détestaient que leur groupe de travail leur soit imposé !

- Excusez moi ! Je suis la fille du maire et j'exige de ne pas avoir à faire cet exposé minable.

Cette tirade avait été prononcé par une jeune fille blonde, portant des vêtements de couleur blanc, noir et jaune.

Elle s'appelle Chloé Bourgeois. Amie d'enfance de notre blond, elle déteste les gens qui ne sont pas de son rang.

Surtout, Surtout Marinette Dupain-Cheng.

Cette jeune fille à un caractère exécrable avec les autres. Leur donnant des ordres à tout va.

C'est donc normal que la classe la déteste.

Enfin... Sauf Sabrina.

Sabrina Raincomprix, elle est "l'amie" de Chloé. Elle exécute tout ce que la blonde lui demande.

C'est donc par l'intermédiaire de Sabrina, que Marinette souffrait.

Marinette et Chloé.

Au grand jamais elle ne serait amies.

Chloé faisait souffrir Marinette.

Pourquoi, parce que la blonde souffre. Elle souffre tellement qu'elle a besoin de faire souffrir les autres autant qu'elle souffre.

Hélas, se cercle vicieux ne permettait pas à la blonde de se sentir mieux.

Du coup, elle avait décidé de s'acharner sur la bleutée.

L'emprisonnant dans les toilettes, la traitant de boulet, la faisant trébucher en sport ou encore de mettre tout ce qu'il lui arrivait de négatif sur le dos de la Dupain-Cheng.

La bleutée redoutait la fin des cours. Car si la blonde n'était pas satisfaite de la répartition des binôme, elle se défoulerait sur elle.

- Bien, mademoiselle Bourgeois, je me fiche pas mal de votre statut ! Ceci dit, les binômes sont Alya et Nino, Rose et Juleka, Kim et Max, Chloé et Sabrina, Adrien et Marinette, Ivan et Mylène et enfin Nathaniel.

La blonde fille du maire vira au rouge à l'entente du nom de la personne en binômes avec son Adrichou.

"Demain elle souffrira" pensa Chloé.

Adrien lui était satisfait, il allait pouvoir passer du temps avec sa camarade. Éventuellement apprendre à la connaître.

Pour lui elle était sa Princesse mais bien sûr elle n'était qu'une amie.

Enfin, si elle l'accepte comme ami car la réaction qu'elle avait eu à la rentrée l'avait intrigué. Mais qui ne serait pas intrigué devant le fils du styliste le plus connu.

Le blond se tourna vers la bleutée.

Il l'a découvrit en panique parlant à une vitesse folle à sa rousse camarades.

En effet la bleutée était dans un tel état qu'il fallu que la rousse pose ses mains sur les épaules de sa camarade pour qu'elle se calme.

Mais qu'est ce qui la mettait dans cet état ?

De un, le fait de devoir travailler avec le blond et le fait de devoir essuyer la colère de la blonde.

À croire que les blonds voulaient sa mort !!!

- Marinette, l'interpella Adrien. Vu qu'on a pas cour cet après-midi, que dirait tu de venir travailler chez moi ? Il faudra juste que je règle deux trois détails mais je pense que c'est faisable, alors ?

Marinette était bloqué. Elle n'arrivait pas à parler.

Alya voyant la détresse de celle-ci se hâta de répondre à sa place.

- Marinette serait enchanté d'y aller.

La concernée hocha la tête pour appuyer ces propos. Elle était touché et heureuse qu'Alya la sauve.

Le blond fit un clin d'œil à l'alter ego de Marinette.

Il espèrait que son père l'autorise à inviter Marinette. Au pire, il demanderait à Nathalie.

Le blond avait récupéré le numéro de la bleutée.

La sentence est tombée, son père accepte la venue de Marinette à condition qu'il ramène une bonne note à l'exposé.

Ce qui n'as aucun sens, son père doit vraiment être fatigué pour lui répondre cet idiotie.

Adrien se résigne donc à demander à Nathalie.

La noiraude est attendrie mais ne montre rien. Elle accepte. Puis lui indique que son père a passé une mauvaise nuit et qu'il ne vaut mieux pas aller le voir.

Sa il le savait déjà...

Le blond saute au plafond. Il est 13h quand il envoie un texto à Marinette pour lui dire qu'elle est invité de 14 heures à 17 h 30.

Marinette, elle, admire pendant dix minutes le SMS que lui a envoyé son camarades. Hésitant à l'imprimer pour l'encadrer dans sa chambre ou non mieux encore à en faire une bannière qu'elle descendrait dans la rue pour prouver son amour.

14 heures.

Elle a ces chaussettes porte bonheur, sa sacoche Tikki et des biscuits. Et son sac avec ses affaires de cour.

Marinette marche, elle entend le bruit des voitures des parisiens pressée, les parents qui se promène avec les enfants. Elle voie les passage piéton qui passe au rouge ou au vert.

Et enfin, la demeure Agreste et son immense portail en acier.

La jeune fille veux s'enfuir, se cacher et disparaître de la surface de la Terre.

Mais la caméra du domaine l'a repéré et bientôt les portes s'ouvre sur le manoir du Styliste mondialement connu.

Prenant son courage à deux main, elle force ces jambe à avancer vers la porte et bientôt elle se trouve dans le hall blanc, gris et noir.

Adrien prévenue de l'arriver de celle-ci ce hâte de dévaler les escaliers.

C'est une Marinette peu sûre d'elle et stresser qui se tient devant lui.

Il lui fait un signe et l'incite à le suivre.

D'abord hésitante, notre héroïne se met à suivre son camarade.

Manque de chance pour elle, sa maladresse légendaire décide de ne pas la laisser en paix. La faisant déstabilisant, se qui entraîna une réception sur le genoux.

Un bleu en plus en moins cela ne l'embetait pas néanmoins, elle avait peur qu'Adrien la prenne pour une idiote.

Le jeune garçon se pencha et l'aida à se relever.

Ils arrivèrent dans la chambre du concerné.

Marinette resta bouche bée devant son immensité.

Il posaidait tout de même un rampe de skate, un panier de basket, un mur d'escalade, un piano à queu, une mezzanine remplie de je ne sais quoi et un bureau avec trois écran.

Le jeune Agreste détestait la démesure de son père.

- Commençons, dit-il d'une voix gêné.

Ils s'installèrent devant les écrans pour faire leur exposé mais au moment de prendre la souris, la main d'Adrien effleura celle de Marinette.

Un léger courant électrique les parcourut. Ils se regardèrent cherchant dans le regard de leur voisin une trace de leur folie.

Adrien commença par expliquer ce qu'il savait du sujet qui était "l'Univers" dans ce chapitre, il traitait de toutes sortes de calcul bizarre qui faisait tourné la tête de Marinette.

Adrien s'en rendit compte, il décida de faire une pose pour apprendre à la connaître.

- Alors, tu aime jouer au jeux vidéo ?

Le regard de la bleutée s'éclaira et elle oublia son stress.

- Carrément que j'y joue ! Mon préféré c'est Ultimate Mechastrike 3 !

- Ah mais moi aussi ! Et tu écoute les musiques de Jagged Stone ? C'est un dieux !

La encore un sourire illumina ces joues. Elle était heureuse d'avoir des points communs avec lui !

Elle lui apprit que son père faisait les meilleurs croissant de Paris.

Se qui eut pour effet de faire saliver le garçon !

Ils restèrent longtemps à parler, tellement qu'ils oublièrent l'exposer.

Mais hélas toute bonne chose avait une fin, et puit, ils avaient hâte de retrouver leur coéquipiers !

Bonjour, Bonjour les miraculers. Me revoilà, long chapitre, hein? Dites moi ce que vous en pensez ! Bye.

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