Chapitre 28
- tout à commencer au bout du deuxième jour où mon patron a tenu des propos déplacé mais toujours dans la politesse. Il me disait par exemple "il ne faudra pas m'en vouloir si je fini par éprouver des sentiments pour vous je suis un homme sensible et votre beauté et votre sourire me laissent pas indifférent." Le week-end suivant en fin de services il m'a proposé de sortir boire un verre chose que j'ai refusé en prétextant que j'avais déjà quelque chose de prévu. Le dimanche matin. Il m'envoie des sms me disant qu'il pensais a moi et me demande si je m'étais bien reposé et au cours de la journée je reçois d'autres sms auxquels je ne réponds pas il fini par m'appeler en début de soirée je ne décroche pas et je lui envoie un sms prétextant que je suis au volant et je ne peux pas répondre. Il me propose encore une fois de sortir avec lui je lui trouve encore un prétexte. Le problème c'est que s'il ne me rappelle pas pour travailler je n'aurais plus rien pour vivre.
- Une autre fois, on avait réussi un grand procès et on a du faire une séance photo et quand est venu le moment de prendre la photo, il a soulevé ma robe de sa main pour m'attraper les fesses et j'ai eu beau essayer de m'en dégager, sa main est restée là. Il m'a dit que je devais arrêter de faire ma difficile et qu'il pouvait ternir ma réputation en un claquements de doigts.
- vos collègues ont-elles subies pareille ?
- Elles ont toutes démissionnées et perdues leur procès. Monsieur Denver est intouchable.
Oh Kim tu ne me connais pas encore.
- C'est ce qu'on verra, le procès est dans quelques jours, il faut que sois prête. Vous pouvez disposés.
Kim hoche la tête sans oublier de prendre dans ses bras Tyler.
Mon dieu, quelle vue.
Elle part et Tyler me regarde.
- Alors on fait quoi ?
- Moi tout, toi rien
- Tu plaisantes ?
- Non pas du tout, tu me déconcentres va plutôt réconforter ta petite amie
- Ce n'est pas ma petite amie
- ok
Je continue à taper sur mon ordinateur et l'ignore.
- Jessica je sais que c'est un peu compliqué entre nous mais je voulais...
- Tu veux quoi ?
Ma voix est agressive.
- Maintenant je sais qu'on m'a refourgué un collègue incompétent, égoïste et imbu de lui même. C'est bien maintenant je sais avec qui je travaille.
- C'est vraiment comme ça que tu me vois ?
- Non c'est comme ça que tu es
Il me regarde comme si c'était la première qu'il me voyait.
- Va trouver ses anciennes collègues on aura besoin de témoin. Tu peux disposer.
Il beug un moment puis part s'assoir dans son bureau.
Je souffle.
Mon téléphone sonne.
C'est la mère de Julie.
- Bonjour Maître
- Bonjour, je comptais vous rappelez à propos du procès. On peux faire...
- Ce n'est plus la peine, Julie ne veux plus continuer
Quoi ?!
- Et pourquoi cela ?
- Elle m'a dit qu'elle avait déjà ce qu'elle voulait et que ce n'était pas la peine de continuer
- Est-ce que je peux lui parler ?
- Oui bien sur...Julie !
- Allô
- Bonjour Julie, ta mère vient de me dire que tu ne voulais plus continuer, c'est exact.
- Oui, Hailey a été condamné et maintenant ça va mieux à l'école. La CPE a quitté l'établissement et maintenant on a une autre beaucoup mieux.
- Tu es sur de ton choix ?
- Oui, merci pour tout Maître
- Tu peux maintenant m'appeler Jessica
- Ah d'accord merci Jessica
- De rien Julie bonne continuation
- Merci à vous aussi, au revoir
- Au revoir
Je raccroche et sens un poids dans ma poitrine.
"Le passé nous retient c'est pour cela que le présent nous échappe"
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