Chapitre 3-La Tour du Karma
PDV Extérieur
Toutes les personnes présentes dans la salle s'étaient assises. Chaque individu avait alors formé de nombreux groupes au sein de cet espace vaste. Le plus imposant d'entre eux était celui dirigé par Akira, qui comptait un total de 47 membres, tous unis sous son autorité. Akira, le leader naturel, semblait parfaitement à l'aise dans ce rôle. En revanche, Hishida observait son groupe d'un air détaché. Il n'était plus du tout impressionné. À vrai dire, il savait déjà qu'il aurait un groupe immense, et cela ne le surprenait plus. Il était habitué à voir les autres se rallier à lui, mais il se sentait toujours aussi indifférent à cette reconnaissance.
Soudain, le devant de la salle se mit à s'ouvrir. Un immense rideau se leva lentement, révélant une statue d'une taille impressionnante. Cette sculpture était ornée d'un kimono traditionnel, et ses traits, bien que humains, étaient déformés par des oreilles pointues caractéristiques d'un elfe. Une statue d'elfe dans un kimono, vraiment étrange, pensa Hishida, intrigué par cette apparition inattendue.
Puis, un phénomène étrange se produisit. Les yeux de la statue s'illuminèrent d'un éclat surnaturel. Ils se transformèrent en deux opales rouges, brillantes et intenses, qui semblaient presque vivantes. Un frisson parcourut la salle tandis que la statue, en quelques mouvements gracieux mais fluides, se mit à se déplacer lentement, comme si elle prenait vie. La lumière rouge de ses yeux se répandait lentement dans toute la salle, éclairant les murs et les visages des spectateurs. La scène devenait de plus en plus surréaliste, à mesure que la statue semblait se transformer en une entité presque tangible, vivante.
Face à ce spectacle stupéfiant, un silence profond envahit la pièce. Tous les regards étaient braqués sur la statue animée, et un respect silencieux se fit ressentir dans l'air. Les murmures cessèrent, les mouvements ralentirent. Chacun attendait, suspendu, observant avec une attention accrue, se demandant ce qui allait se passer ensuite. L'atmosphère était devenue tendue, chaque personne consciente que quelque chose de grand allait se produire. Hishida, malgré sa nature détachée, ne pouvait s'empêcher de se sentir légèrement perturbé par cette scène qui le dépassait.
Voila quelque chose qui n'obéit à aucune logique pensa Hishida .Ce dernier avait éliminé toute possibilité impliquant les conflits avec d'autre personne et tout ce qui touchait au réaliste .Et de nouvelle supposition germa dans son esprit formant un tissu infini de possibilité .C'était beaucoup trop , beaucoup de possibilité et d'éventualité .Mais chercher une logique là ou il y en a pas est inutile .Hishida le sait bien , il serait plus rationnelle d'écouter la statue que plutôt cherchait une logique au événement qui se produit sous ses yeux
Même Wilfried n'arrivait pas y croire , le rideau était apparus comme par magie tout comme la statue .Une statue si immense n'aurait pas pu être là dès le début .Ils avaient fouillés la salle de fond en comble , la statut était donc bel et bien apparus
Aurus- Bien le bonjour , humain et humaine , je suis Aurus , plus communément dans votre language je suis ce que vous pouvez qualifier de dieu .Je suppose que chacun d'entre vous ici présent, vous vous demandez pourquoi vous êtes ici .Vous ne pourrez pas qualifier votre situation de chanceux ou de malchanceux
Sa voix était forte et elle imposa une pression insoutenable à toute les personnes du théâtre .Tout le monde l'entendait résonnait dans leurs tête , la statue ne bougé , elle restait immobile regardant son public d'un air absent et vide .Elle était régulé de sorte à ce que tout ceux présent ici se sentait métaphoriquement à un chat face à un tigre du dragon de la taille du montagne assoiffé de sang .Le premier à vomir fut Wilfried , avec son instinct de survie , il n'avait pas supporter .Mais il continuait malgré tout à rester prudent , attentif et rationnelle .Son corp ne le supportait pas mais son esprit demeure
Wilfried-Ses.....ses ....lèvres ne bougent pas .....est ce de la télépathie ?
Hishida haletant lui aussi parla difficilement
Hishida-On dirait bien ....
Hishida , Melody et Wilfried était en train de souffrir tout comme le reste de la salle .Cette voix dans leur tête leur donné l'impression que leur cerveau ou leurs coeur allait sortir par leurs oreilles .Une sensation très agréables
Aurus- J'ai appelé , des personnes de plein d'univers différents , vous n'êtes actuellement pas les seuls à qui je suis en train de tenir se discours .Actuellement 50 000 autre personnes sont dans la même situation que vous
Hishida fit le calcule dans sa tête , autrement dit il parlait dans plus de 500 théâtre différents en même temps .Cette statuette n'était donc pas son vrai corp , c'est un avatar ou peut être même un transmetteur , il communique à travers la statue .Et il a parlé de différents univers , il y aurait donc un multivers ?Non pire encore , as t'il un total contrôle sur ses univers ?Hishida eut un léger frisson à cette pensée mais il se reprit rapidement
Aurus-Vous allez être téléporté dans un nouveau monde , et vous en deviendrez les habitants , là bas le danger vit en maitre .Vous habiterez dans une royaume qui possède un total de 100 étages .Chaque étages possède sa propre carte , ses propres villages et tout les 10 étages .Il y a un royaume dont le contrôle appartiendra au gagnant .Pour obtenir ses royaumes , il faut battre le boss qui règne en maitre .Si vous battez tout les bosse de ce monde alors vous obtiendrez un voeu , soit de faire retourner tout le monde chez vous , soit d'accorder un de vos voeux puis de rester dans ce monde
Il fit un temps de pause
Aurus-Il existe trois règles les plus importante qu'il soit .Première lois tout conflit se règle par un jeu , que ce soit le combat ou tout autre défis .Deuxième loi , celui qui triche perd automatiquement dans le conflit .Troisième loi , si tu ne remet ou si tu ne n'effectue pas les enjeu du conflit , tu mourra .Dernière loi , tachez de bien vivre dans ce monde
Un immense cercle lumineux envahit soudainement la salle, enveloppant tout l'espace dans une lumière éclatante et irréelle. La scène entière sembla se suspendre dans l'air, et avant même que les spectateurs ne réalisent ce qui se passait, ils se retrouvèrent projetés à l'extérieur de la salle, tombant dans un vide béant. Le sol avait disparu, emportant avec lui la pièce de théâtre, ainsi que la grande statue qui se tenait fièrement au centre de la scène. Le chaos s'installa instantanément.
Les cris de terreur et de confusion se mêlèrent, certains spectateurs hurlaient de panique, d'autres se cognaient entre eux, dans une tentative désespérée de se raccrocher à quelque chose, tandis que quelques-uns restaient figés, cherchant désespérément à comprendre ce qui leur arrivait. Leurs yeux ne saisissaient qu'un abîme sans fin, comme si la gravité elle-même avait perdu toute logique. Ils étaient là, suspendus, dans un ciel étrange et sans repères, une sensation d'isolement totale envahissant chacun d'entre eux. La pièce de théâtre, les acteurs, tout avait disparu, emporté dans le tourbillon de ce phénomène inexplicable.
Alors que la chute semblait interminable, un sentiment étrange se mêlait à l'horreur croissante. Aucun d'entre eux ne semblait avoir conscience de la durée de leur chute. Après une quinzaine de minutes, le sol restait toujours introuvable, et le vide ne semblait pas vouloir se finir. Leurs voix, de plus en plus désespérées, se noyaient dans le silence inquiétant de cet espace sans fin. Où étaient-ils donc ? Que se passait-il ? Pourquoi n'avaient-ils pas atteint le sol ? Les questions fusaient dans leurs esprits, mais aucune réponse n'émergeait.
Certains commençaient à douter de leur propre perception du monde. Avait-ils été transportés dans une autre dimension ? Était-ce un rêve collectif, ou quelque chose de bien plus étrange ? L'un d'eux se rappela les paroles d'Aurus, la statue qui se prenait pour un dieu. Mais qu'avait-il voulu dire par "le monde" ? Était-ce ce vide éternel dans lequel ils flottaient désormais, un espace entre la réalité et l'illusion ? La statue, en prenant une forme divine, semblait détenir un savoir que les spectateurs, eux, ne comprenaient plus. Aurus avait mentionné un autre monde, mais où était-il ? Et comment pouvaient-ils y accéder ?
Les regards se croisaient, cherchant des réponses, mais tout restait flou. Le temps, ou du moins ce qu'ils pensaient en être, semblait avoir suspendu son cours. Aucun repère, aucune sensation de mouvement, à part ce vertige constant. La chute se poursuivait sans fin, et plus le temps passait, plus l'idée que quelque chose de surnaturel et de profondément troublant se jouait autour d'eux devenait évidente. Certains essayaient de communiquer entre eux, mais leurs voix se perdaient dans l'immensité du vide, comme si elles n'étaient plus qu'un murmure insignifiant dans cet espace infini.
L'angoisse montait à chaque seconde, et l'incertitude devenait insupportable. Que deviendraient-ils ? Comment sortir de cet abîme sans fond ? Et surtout, quel rôle Aurus, cette statue imposante, avait-elle dans tout cela ? Était-elle simplement un témoin silencieux ou un acteur clé de ce qui était en train de se produire ?
À chaque instant qui passait, la peur s'intensifiait. Les spectateurs se demandaient si jamais ils retrouveraient un jour la réalité, s'ils reverraient un jour la scène, les visages familiers et les sons de la vie quotidienne. Tout semblait maintenant incertain. Et pourtant, la chute continuait, implacable et silencieuse.
Aurus -Arriver à tuer le dernier bosse de la tour , arriver à tuer le dieu de la tour du Karma
Alors que tout était plongé dans le noir absolu, une sensation de vide infini flottait autour d'eux. Le silence pesait lourdement, comme si le monde lui-même avait suspendu son souffle. Puis, lentement, le vide béant se transforma, s'éclaircissant peu à peu en un bleu clair, apaisant et magnifique. Une lumière douce envahit leur champ de vision, et peu à peu, la scène qui se dévoilait devant eux semblait appartenir à un autre monde. Ils étaient dans le ciel, suspendus dans une dimension irréelle. En dessous, l'immensité de la mer s'étendait à perte de vue, scintillant sous les rayons du soleil, dont la lumière se répandait à travers l'horizon sans fin. Des nuages légers flottaient à leur hauteur, emportés par une brise fraîche et agréable qui effleurait la peau de chacun, offrant une sensation de calme et de sérénité.
Mais malgré la beauté et la tranquillité de cet endroit, quelque chose d'étrange attira leur attention. Une silhouette gigantesque, imposante, se dressait au loin, bien plus grande que tout ce qu'ils avaient pu imaginer, bien plus grande que n'importe quel bâtiment ou monument qu'ils auraient pu concevoir dans leurs vies. Il s'agissait d'une tour, d'un gris clair presque irréel, qui semblait défier toute logique, toute raison. Sa présence était si intense qu'elle semblait vibrer d'une énergie mystique, fantastique, et presque effrayante. À mesure qu'ils la scrutaient, le ciel autour d'elle semblait se courber, comme si l'atmosphère même était influencée par cette structure colossale.
Cette tour, bien que d'apparence simple, dégageait une aura surnaturelle, quelque chose d'inaccessible, de sacré. Elle se dressait dans toute sa splendeur, si imposante qu'il était difficile de croire qu'elle était réelle. Le diamètre de sa base était tel qu'il aurait pu englober un pays entier. Quant à sa hauteur, elle semblait se perdre dans l'espace lui-même, disparaissant dans un ciel lointain, inatteignable. La tour semblait toucher les étoiles, se fondant dans l'immensité du cosmos, ce qui la rendait encore plus irréelle. Comment un tel édifice pouvait-il exister dans cet endroit suspendu entre le ciel et la mer ? C'était une construction qui dépassait tout ce que l'esprit humain pourrait envisager, une structure aussi magique qu'impossible.
Tous les regards étaient tournés vers ce monument. Les spectateurs, qui jusqu'à cet instant étaient perdus dans un état de confusion totale, commencèrent à comprendre que ce qu'ils voyaient était bien réel, même si cela semblait défier les lois de la physique. Ils étaient comme hypnotisés par cette tour, fascinés et terrifiés à la fois. Chaque mouvement de l'air, chaque reflet de lumière sur sa surface donnait à la tour une vie propre, comme si elle avait une âme, une force mystérieuse et puissante qui attendait d'être révélée.
La scène autour de la tour était d'un calme presque irréel. En un instant, tout le groupe se retrouva sur le sol, dans une prairie d'une beauté saisissante. L'herbe était verte et dense, les fleurs sauvages parsemaient le sol de touches de couleurs vives, et une douce brise continuait à souffler, apportant avec elle une sensation de bien-être. Pourtant, une étrange sensation régnait dans l'air : tout semblait parfait, et paradoxalement, personne ne ressentait la moindre douleur. Aucun d'eux ne pouvait expliquer comment ils avaient atterri ici, ni pourquoi ils n'éprouvaient aucune gêne après la chute vertigineuse qu'ils avaient vécue quelques instants plus tôt. Leurs corps n'étaient pas douloureux, aucun signe de fatigue ou de blessure n'apparaissait. C'était comme si, d'une manière ou d'une autre, la chute n'avait pas eu lieu ou n'avait pas eu d'impact sur eux. Comme si tout avait été enveloppé d'une sorte de protection magique.
Ils se relevaient lentement, un peu désorientés, les yeux toujours rivés sur la tour, se demandant si cela était un rêve ou une réalité alternative, mais l'ombre imposante de l'édifice en face d'eux semblait leur dire que non, ce n'était ni un rêve ni une illusion. Ils étaient là, dans ce monde étrange, face à quelque chose de bien plus grand qu'eux, quelque chose qui les dépassait. Tout était à la fois fascinant et inquiétant. La brise légère continuait de souffler, comme si la nature elle-même voulait les apaiser, mais en dépit de la beauté du paysage, une question persistait dans l'esprit de chacun : qu'était cette tour ? Et pourquoi étaient-ils ici, dans cet endroit magique et inexplicable ?
L'incertitude flottait dans l'air, tout comme les nuages autour d'eux, mais une chose était sûre : ils ne pouvaient pas ignorer la présence de cette tour, car elle semblait détenir la clé de ce monde, de cette dimension nouvelle dans laquelle ils se retrouvaient soudainement piégés.
Hishida-Ou suis je
Hishida regarda autour de lui, les yeux écarquillés, presque incapables de saisir la réalité de ce qu'il voyait. Tout semblait irréel, comme un rêve éveillé. Les paysages autour d'eux étaient d'une beauté presque surnaturelle, mais aussi étrangement menaçants. Wilfried, tout aussi abasourdi, n'arrivait pas à croire que tout cela se passait réellement. Il avait l'impression d'être plongé dans un anime, un univers parallèle qu'il n'avait jamais cru possible. Ses yeux se perdaient dans le décor irréel, comme s'il était un simple spectateur dans un monde qu'il ne comprenait pas.
À côté de lui, Melody se leva lentement. Des fleurs, de toutes sortes, étaient attachées à ses cheveux et à ses vêtements. Agacée par leur présence, elle commença à les retirer avec frustration, secouant ses mains pour se débarrasser de chaque pétale et tige. Ce qui semblait charmant aux premiers abords la dérangeait profondément, comme si la nature elle-même voulait l'enchaîner dans un décor trop parfait.
Hishida, pourtant, ne perdit pas de temps à s'attarder sur les détails. Il fixa la silhouette imposante de la tour au loin. Un frisson parcourut son corps. Il comprenait maintenant pourquoi ils étaient ici, dans ce lieu étrange. Il s'éclaircit la gorge et, d'une voix basse mais ferme, murmura :
Hishida- Voilà donc la fameuse tour... La Tour du Karma.
Ses yeux brillaient d'une lueur déterminée, mais aussi pleine de défi.
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