7 - Réconfort en cuisine
Nina
J'ai besoin de réconfort et j'ai envie de lui. Ma raison me crie que ce n'est pas le moment, que j'ai dix millions de trucs, de démarches à effectuer. Pourtant, mon corps, déjà électrique, me met au supplice. Je me frotte contre son membre enflé quand un soupir rauque sort de sa gorge. Je sais ce qui va se produire et je l'attends.
Sa main tient fermement mes cheveux lorsque sa bouche vient s'écraser sur mes lèvres totalement offertes. Je gémis de plaisir. Son baiser se fait fougueux, sa langue pénètre au fond de ma bouche, envahit tout l'espace. Dans cette urgence, nos dents s'entrechoquent, exprimant notre impatience mutuelle.
Nathan me pousse plus qu'il ne me porte sur la table de la cuisine. Il balaie d'un revers de la main ce qui s'y trouve, m'allonge sur le bois dur, puis s'attaque à défaire mon chemisier avec des gestes empressés.
Nathan
Lorsque les jambes de Nina enserrent ma taille, je ne peux m'empêcher de grogner, accentuant ma frénésie d'elle. Son chemisier, ma braguette, je ne sais plus où donner des mains. Mon Dieu, elle va me rendre fou. Je n'ai jamais agi de la sorte avec quiconque, ce n'est pas possible, cette fille m'a ensorcelé. Quand je lis la même fièvre dans ses yeux, j'admet que plus rien ne peut nous arrêter.
D'une main, je défais rapidement les satanés boutons de son chemisier, de l'autre, je m'attaque aux foutues pressions de ma braguette. Nina s'impatiente et se redresse d'un geste souple. Les pans du tissu fluide s'ouvrent, m'autorisant à admirer ses seins ronds, lourds, attirants. Hier, j'ai respecté sa pudeur en laissant les lampes éteintes, mais là, tandis que je dégrafe son soutif, je compte bien profiter de la vue. En apercevant les deux aréoles sombres qui entourent ses mamelons dressés d'excitation, le spectacle est au-delà de ce que j'avais pu fantasmer.
Nina
Je ne tiens plus. Je veux sentir Nathan sur moi, en moi. Je m'assois et déboutonne sa braguette. D'un geste rapide, je baisse jean et boxer. Je le vois bloquer sur mes seins qu'il vient de libérer de mon soutien-gorge. L'envie que je devine dans son regard brouillé décuple la mienne. Pas de préliminaires, je sais toute la moiteur entre mes cuisses, je la sens lorsque je me tortille sur la table pour me débarrasser de ma petite culotte. Sans douceur, j'attrape ses hanches, noue mes bras autour de son cou et l'incite à me pénétrer.
— Viens, viens, je halète, s'il te plaît... viens !
Je ne me reconnais pas dans cette plainte essoufflée. Nathan n'attend que cela, comme si je lui délivrais un bon d'autorisation. D'un geste brusque, ses mains sous mes fesses, il rapproche mon sexe de son érection. Après quelques caresses, il s'enfonce au plus profond de mon intimité, m'arrachant des gémissements de plaisir, allant et venant en moi dans un rythme crescendo. Mon clitoris frotte sur sa base à chacun de ses coups de bassin. C'est trop bon !
Soudain, mes jambes se mettent à trembler, prises de spasmes nerveux. Une agréable chaleur, accompagnée de fourmillements familiers, engourdit ma tête, mon ventre, mes mollets. J'essaie de repousser l'inéluctable. Mon visage toujours enfoui au creux de son cou, les corps soudés l'un à l'autre, je veux profiter encore longtemps de ces sensations de pur délice. Lorsqu'à mon oreille, le souffle chaud de Nathan m'enjoint de jouir avec lui, je perds totalement pied, mords son épaule et contracte mon vagin autour de sa hampe, déclenchant ainsi mon orgasme aux mille petites bulles.
Nathan
Quand Nina m'implore de la pénétrer, je ne me fais pas prier. Survolté par sa supplique, je plonge ma queue durcie jusqu'à la garde et entame un va et vient, accélérant mes entrées à chacun de ses gémissement. Les soubresauts de ses seins m'excitent au plus haut point, mais quand elle s'accroche à mon cou, et que leur lourdeur s'écrase sur mon torse, je sens que je ne vais pas durer très longtemps. J'accentue alors mes déhanchements, autant que le permet le peu d'espace libre laissé entre nos corps transpirants. Elle est si étroite, putain c'est divin ! Et, lorsque je nous sens atteindre un point de non retour, je commande à Nina de jouir.
Je suis aussi surpris par la puissante explosion de son orgasme autour de moi en elle que par la morsure de ses dents sur ma peau. Je me contracte douloureusement et réussis, dans un contrôle qui me demande beaucoup d'effort, à me retirer pour éjaculer sur sa poitrine et finir ma jouissance dans l'un des plus beaux fantasmes masculins.
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