Rendus - Poètes
Ici, tous les rendus de poèmes !
Juges : jsp-quoi-mettreeeee (& moi)
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RENDU DE : hermilise
Ma place
Et si ma place était là, au paradis ?
Loin des gens, de la pollution et de la vie
Tu me demanderas... Pourquoi la pollution ?
Notre quotidien se retrouve pollué
Notre quotidien... Ou bien seulement le mien ?
J'ai souvent l'impression de tomber loin, très loin
Comme si la voix des ténèbres me parlait
Cette voix dans ma tête, toujours plus forte
Alors serait-ce mieux si je disparaissait
Oh tu sais j'aimerais tant aller au paradis
Mais je n'ose pas, pas encore, pas maintenant
Je voudrais danser là haut avec les anges
Je voudrais ressentir cette paix inconnue
Je voudrais m'en aller, là où est ma place
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RENDU DE : Ninja1705
Quiétude estivale
Allongé sur l'herbe verte les yeux fermés
Je sens venir la floraison des émotions
Dans mon cœur. Bourgeons éclos. Doux liseron
Je profite du repos de ce bel été
Ce merveilleux sentiment enivrant de paix
Mon cœur petit oisillon me donne raison
Et telles les ailes déployées d'un héron
Mon esprit apaisé s'envole libéré
Et le doux bruit enchanteur d'un calme cours d'eau
Ce simple son, signe d'un joyeux renouveau
Quel exquis bien-être quiet et chaleureux
Des fleurs, de l'eau, mon cœur et ce doux vent solaire
Dans ce long silence tranquille et savoureux
Mais malheureusement beaucoup trop éphémère
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RENDU DE : JolieOmbre27
Fleurs de printemps
Quand les fleurs ont fleuris, arrive la féerie,
Qui illumine la vie avec sa magie,
Leur divin parfum florale font leur charme,
Avec les couleurs qu'abordent leurs pétales.
Le doux soleil se pose sur leurs pétales,
La rosée du matin, sur leurs feuilles, brille,
Leur beauté, leur parfum, ne sont pas anodin,
Elles apportent la joie le petit matin.
Avec grace, magnificence et beauté,
Le souffle du vent du printemps les fait danser,
Un ballet digne de la haute royauté.
Leur danse, les fait tournoyer et trembloter,
Ce spectacle n'a lieu qu'une fois par année,
Admiré pour leur fragrance et leur beauté.
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RENDU DE : Just_smile_Val
Là-bas
Je dansai au centre des sépales de roses,
Je voltigeai sur la grève de tes regards,
Ça pouvait être un palace ou un vieux hangar,
Mais rien n'importait si ce n'est ta morne prose.
Les arcs-en-ciel pleuvaient sur tes sinistres joues,
Le pétrichor me ramenait à tes mots doux,
Là-bas, les nuages pleuraient des manèges,
Les éclairs entonnaient en cœur des arpèges.
Là-bas, c'était nulle part comme c'était partout,
Là-bas, c'étaient les astres jaspés sur ton cou,
Là-bas, on se demandait toujours quand, pas où.
Quand les violons sombreront dans le sommeil,
Quand les percussions écloront sous le soleil,
Quand le ciel nous couvriras de son blanc vermeil.
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