Texte 3
Texte de Clem-Otaku-Muser (quand je copie-colle ça enlève le gras, l'italique les trucs centrés, bref tout, donc désolée si je me suis gourée)
Le brun aux yeux azurs soupira et se gratta l'oeil de son index et de son majeur, avant d'aborder une expression de pure agacement.
Pour bien commencer, il l'avait fait... Mais maintenant il se demandait pourquoi il l'avait fait...
En plus d'arriver dans un endroit qu'il ne connaissait pas et de n'en parler presque rien, il devait retrouver son meilleur ami. Mais quel con il était !... Ou peut-être juste beaucoup trop enfantin pour son propre bien... Un jour ça le perdra, ou c'est même déjà fait.
Le jeune brun marcha rapidement entre les passants, il voulait le retrouver au plus vite et pourtant, dans sa errance, il se retrouva immergé par les grandes personnes l'entourant. C'est con, il est tellement petit comparé à ces grandes asperges étrangères.
Lorsqu'on le bousculait, le brun les fusillaitdu regard, furieux et leur marmonnait des insultes que personne n'entendaient.
Le jeune homme s'arrêta devant un arrêt de tram, essoufflé comme jamais, Il avait couru, trop couru, pire que lorsqu'il était sur scène à chanter comme un fou, jouant rageusement avec sa guitare. Bon...
Un homme se plaça devant notre jeune ami, le détaillant du regard, le brun le regarda, sceptique.
L'homme sourit au chanteur, l'ayant reconnu, celui-ci lui envoyant des putains d'éclairs avec ses yeux bleus azurs.
«Vous êtes perdu ? Fit l'homme, dans un anglais parfait.
-Non. Répliqua insolemment notre grandgarçon.
-Alors que fait Matthew Bellamy ici ?
-Vacances. Répondit Matthew, furieux.
-Ah. Bonnes vacances alors.»
Le chanteur regardait, un peu surpris, cet homme qui s'en allait, puis la fureur vint le saisir, avant qu'il se souvienne qu'il devait trouver son meilleur pote, et il se disait comme même que des gens pourraient réussir à l'entendre ou même le reconnaître donc il décida de quitter cet endroit beaucoup trop rempli à son goût.
Matthew marchait, la capuche rabattue sur sa tête, cachant ses cheveux et le haut de son front, lorsqu'une main attrapa son poignet, le brun se retourna, surpris. Il vit son meilleur ami. Matthew fut rassuré de voir son meilleur ami, mais un sentiment persistait dans sa poitrine, la rage qu'il contenait, sortit, vexé que son ami l'évite.
«Dom ! J'te déteste, putain ! Commença violemment le brun, en colère mais en pleurs... Il pleurait car il avait peur. Très peur.
-Matt... Viens là... Fit l'autre, ouvrant ses bras, le virtuose courut s'y réfugier, cachant ses larmes. Chut... Ne pleures pas...
-Pourquoi tu m'évites ?
-Oh mon Matt...
-S'il te plaît... Dis-moi... Pour...!»
Le surnommé Dom posa ses lèvres sur celles ouvertes du brun, le faisant rougir comme cela n'est pas permis. Dom le relâcha et sourit. Tandis que le guitariste commençait à comprendre pourquoi son ami avait voulu l'éviter... C'était pas parce qu'il avait fait LUI une connerie, c'était que le blond avait... Des sentiments pour lui.
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