Jo_dub

Le 10 décembre, un des pires cauchemars de l'humanité surgit d'un laboratoire d'études médicales près de New York. Ils étaient en train d'étudier des anomalies cérébrales, ils voulaient trouver des remèdes ils en ont fait une maladie. Imaginez un homme, sans limite comportemental, sans raison, sans arrière pensée et sans paroles. Improbable non ? Pourtant en à peine une heure, New York fut infesté de ces personnes complètement barge détruisant une majorité de choses se trouvant sur leur passage, parce que la maladie destructrice de cerceau est aussi transmissible et beaucoup plus rapidement que l'on ne l'aurait pensé. Si en une heure New York était devenu une ville zombie, combien de temps faudrait-il pour que tout le pays soit touché ? Le continent ? Le monde ?On pourrait penser que l'Afrique, l'Eurasie et l'Océanie seraient épargnés du fait de l'océan qui les sépare de la maladie. Mais des dizaines d'avions en provenance de l'Amérique arrivent par jour. Puis les médias s'étaient fait une joie d'en faire des tonne, virus zombie, fin de l'humanité ou encore Apocalypse. Les habitants étaient apeurés et n'osaient plus sortir de leur maison et les villes devinrent désertes.

Quant à l'Amérique, l'épidémie continuait de se répandre à une vitesse hallucinante. En l'espace d'une après midi une bonne partie de la côte Est était touchée. Le froid faisait stagner dans l'air le virus, ce qui était bénéfique pour les autres continents et encore plus problématique pour les habitants. Petit à petit les villes et les états américains, se faisaient rayer de la carte, angoissant de plus en plus les pays voisins où la majeure partie de la population avait opté pour la même solution que leurs amis européens. Mais la maladie avait trouvé un moyen de braver tous les obstacles, l'air était contaminé, un simple touché suffisait à rendre malade et même les animaux pouvaient être atteint.

En une journée la maladie «Z» avait touché tous les États-Unis, la première puissance mondiale, anéantiz par un simple virus.Puis se fut le tour du Mexique, où la pauvreté de certains quartiers n'arrangeait pas les choses, l'Amérique Central, le Canada et l'Amérique latine. «Z» mangeait le cerveau des gens aussi vite qu'un gosse mangerait un bonbon, et il avait un appétit sans fin.Les oiseaux et les animaux marins finirent par faire arriver le virus d'abord, en Russie, ensuite au Sénégal et pour finir au Portugal. Il suffirait de quelques semaines pour que le monde entier ne soit peuplé que d'êtres fous, incapables de penser et de parler.Leurs cerveaux avaient été mangé par «Z», 7 milliards d'hommes, encore plus d'animaux, et plus un seul d'intelligent.Finalement les seuls survivants avaient été les végétaux.

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