A voter !
GAGNANTE : @Selenewrite
TEXTE 2 !
Bonjour à tous !
Ces derniers temps vous êtes moins présents, entre la reprise des cours, vos projets, mes retards, je voulais juste vous rassurer, mais aussi vous encourager.
Parfois, la vie n'est pas ce qu'elle est, et des moments se font compliqués, cependant, nous devons garder cette force qui nous relie. L'écriture, l'entraide, le soutient.
J'ai mis à jour les gagnants sur tous les thèmes précédant, sauf le 71 Paralysé, toujours en correction chez les correcteurs. J'ai bien conscience que mon retard vous pénalise, qu'il y a moins de vues sur vos textes, je ne peux vous promettre d'être plus à jour, la vie c'est des aléas, mais je ferais du mieux possible !
J'espère de tout cœur, que vous allez être nombreux à lire ces textes, à commenter, à partager, ce n'est pas pour moi que vous le faites, c'est pour eux, pour les aider, plus les auteurs ont des avis, plus ils peuvent s'améliorer.
Merci à vous !
Texte 1 : @Rose.H.Amaretto
Système d'un mercenaire
J-25.
Encore. Ce son qui heurtait mes tympans avec la douceur d'un TGV
Le même son qui semblait se répercuter à l'infini dans ma tête, tous les jours, plusieurs fois par jours.
LA détonation stridente.
Peu importait, mes yeux, eux, ne se laissaient pas distraire de ma cible d'entrainement.
Encore une fois. Ligne de mire. Objectif. Uniquement l'objectif.
Le mouvement de recul de mes bras douloureux à force de maintenir la position, je commençais seulement à l'encaisser, l'absorber, le maitriser...
Je vais la démolir. L'achever.
J-19
Trois heures par jour pour me parfaire, juste pour ce moment.
Trois heures par jour depuis des mois, et le compte à rebours venait de redémarrer, après un an de préparation.
Je me devais d'y arriver, pour moi, pour mes camarades déjà tombés avant moi.
Je vais la fumer pour de bon, cette fois.
Mon attention était entièrement vouée et consolidée à sa perte, à celle qui avait gâché une partie de mon existence.
Cette salope...
On m'avait pourtant prévenu, mais j'avais préféré prendre à la légère des conseils pour le moins avisés.
Les heures défilaient à l'instar des canettes qui volaient sous mes gestes précis, mes tirs proches de la perfection.
Concentres-toi !
La précision. La concentration. C'était tout ce dont j'avais besoin.
Je n'aurais qu'un seul et unique essai. L'opportunité ne me sera pas offerte deux fois...
J-7
La pédagogie est à la base de la répétition.
Encore un principe qu'on m'avait inculqué militairement dès l'enfance.
La pédagogie est à la base de la répétition.
J'étais formé pour ça.
Je pris une grande inspiration avant de reprendre ce pourquoi j'excellais.
La pédagogie est...
J-2
Des représentations qui s'enchainaient dans mon esprit, le défilé des visages et des murmures étaient devenus les brouilleurs permanants avec lesquels je devais composer chaque jour, mais j'étais préparé à ça.
J-1
Pas de seconde chance. Pas de filet de rattrapages. Aucun manquement possible.
Pas d'Alpha. Pas de Bravo. Pas de Steak028.
Pas de compagnon d'arme, cette fois.
Demain, je serai seul face à elle.
J'attendais depuis trop longtemps, personne ne pouvait m'ôter la satisfaction que j'éprouverai après lui avoir réglé son compte une bonne fois pour toute !
Ma cible. Ma target.
C'était moi, le mercenaire qui allait lui faire sa fête...
J-0
Pas de retour en arrière.
Je suis prêt.
Je m'emparais de mon arme de prédilection, les prunelles rivés droit devant moi, occultant tout le reste.
Elle est là...
Elle se révéla enfin, à quelques mètres de mon visage.
La surprise m'envahit, avant qu'un sourire ne s'étire sur les commissures de mes lèvres.
C'est donc toi, l'inconnue ?
Je retins un éclat de rire pour ne pas troubler le calme ambiant.
Peut-être aurais-je du m'en douter, finalement.
Tu es loin d'être la terreur que tu aimes semer dans ma section.
Parce que...
Aux vues du nombre indéfinisable d'équations que je m'étais exercé à résoudre cette année, en un seul coup d'œil, avant meme d'avoir usé de ma mine charbonneuse...
J'étais d'or et déjà cetain d'être parvenu à déterminer l'inconnu y, la plus évidente de ce système.
Objectif secondaire caché : Y. Suprimé.
Objectif primaire restant : inconnu X. A déterminer.
Il était grand temps pour moi de prouver ma valeur. J'avais deux heures.
Journal d'un futur physicien
Texte 2 : @Selenewrite
GAGNANTE
Je me suis donné tellement de mal pour en arriver là. J'ai donné tout ce que je possédais...
On m'a toujours répété que c'était impossible. Que je ne pouvais pas...
J'avais réussi à leur prouver le contraire, à tous ces gens qui parlaient, faussement compatissant... Mais voilà qu'elle m'annonce que je m'étais trompée... Que, finalement, la nature en avait décidé autrement. Elle avait décidé de donner raison à ces bouches remplies de poison camouflé...
« Je suis au regret de vous annoncer que vous avez fait... »
Non... Non... Ce n'est pas possible... C'est tout simplement impossible... Pas après tous les efforts que j'ai fait...
NON !! JE REFUSE D'Y CROIRE !
« - Et pourtant...
- Vous mentez !! »
Il a osé... Ce traitre... Comment a-t-il pu ? Comment a-t-il pu me trahir ainsi après m'avoir fait miroiter le paradis ? Comment a-t-il pu ainsi supprimer le rêve de toute une vie...
COMMENT !?
***
Cela fait maintenant plusieurs mois que l'on m'a annoncé cela...
La douleur que j'avais ressenti à ce moment est toujours présente, comme si elle avait décidé de m'accompagner dans mon deuil... Elle est là, à mes côtés, sa main sur mon épaule, comme pour me dire qu'elle me soutenait...
C'est elle qui me pourrit la vie au quotidien, malgré le soutien qu'elle voudrai m'apporter... Mon âme ne supporte plus sa constante présence. Elle me rappelle sans cesse ce que j'avais perdu...
Je me suis finalement retranchée sur moi-même ; l'affliction ayant possédé mon cerveau...
Ma joie a fui mon corps hanté de souvenirs...
Mon sourire s'est perdu dans les réminiscences du passé...
Dans des réminiscences de ces moments remplis de félicité. J'étais si fière... Après des années de labeur, de rendez-vous médicaux, j'avais enfin réussi... Mais ce traitre en a décidé autrement...
Aujourd'hui, je lui voue une immense haine. Même le mot haine n'est pas assez fort... Je voudrai le voir disparaitre... Comme il l'a fait avec elle...
Elle était toute ma vie, tout ce dont je rêvais...
C'était un miracle, il n'y avait d'autre mot...
Je suis atteinte d'aménorrhée définitive. Une maladie dû, dans mon cas, à une pathologie médicale.
Dans mon quotidien, cela ne me gênait aucunement... Mais quand j'ai voulu fonder une famille, tout est devenu plus compliqué... Mon compagnon ne comprenait pas pourquoi une grossesse était si compliquée... Je souffrais du fait que personne ne me comprenait. Quand je révélais ma pathologie, les gens me regardaient, d'abord étonnés puis ils se désolaient pour moi... Ils ne connaissaient cette maladie...
Dans l'imaginaire commun et même la réalité presque générale, les menstrues d'une femme sont réglées d'une façon bien précise... Les premières règles arrivent et vingt-huit jours plus tard, ou à quelques jours près, les deuxièmes surviennent...
Alors quand je dis que les miennes sont espacées le plus souvent de cinq mois, on me regarde, dubitatif... On ne me croit pas... Même quand je brandis mon diagnostic, tel un drapeau, on reste quelque peu perplexe... Puis la surprise se transforme peu à peu en regret pour ma personne et mon futur. Enfin... Ca, c'est quand la personne accepte que la réalité ne soit pas telle qu'elle l'a imaginée...
Maintenant que vous connaissez mon problème, imaginez ma joie quand ma gynéco m'a annoncé que j'étais enceinte... Mon rêve s'était enfin réalisé !! Un enfant, la chair de la chair, le sang de mon sang, grandissait en moi. Un petit être se développait dans mon ventre, celui que je considérais comme infertile.
Dans neuf mois, je pourrais tenir ce nourrisson dans mes bras... La câliner, le nourrir... Je pourrais le regarder grandir...
Mais c'était trop beau...
La nature, le hasard, le destin, appelez-vous comme vous voulez, a décidé de me faire miroiter le paradis pour me replonger en enfer ensuite...
Cinq...
C'est le nombre de mois que j'ai passé parmi les anges... Le nombre de mois où la joie était la seule émotion que je ressentais... Le nombre de mois que j'ai caressé mon rêve...
Trois...
C'est le nombre de minute qu'il a fallut à ma gynéco pour m'annoncer que mon rêve s'est effacé...
Le nombre de minute qu'il lui a fallut pour me dire que mon corps avait supprimer ce miracle qui grandissait en moi...
Le nombre de minute qu'il lui a fallut pour m'annoncer que j'avais fait une fausse couche...
Texte 3 : @FanFictions_Addict
Nous connaissons tous ce moment où notre raison nous dicte quelque chose mais que notre cœur veut l'inverse. Non ?
Jusqu'à peu je ne la connaissais pas... et je ne voulais pas la découvrir... mais voilà, aujourd'hui je connais ce sentiment partagé qui fait un mal de chien. Ma raison essaie de me raisonner mais mon cœur lui trouve tous les contre arguments sans peine.
Il l'a déjà fait lui... me souffle ma raison.
Tu n'es pas lui, c'est pas parce-que lui l'aurait éventuellement fait, que tu dois le faire... contre attaque mon cœur.
Tu te fais mal... tente alors ma raison.
T'auras encore plus mal si un jour tu veux la revoir si tu la supprime... me dit mon cœur.
Prise entre ces deux feux, je ne sais pas quoi faire... j'aimerais demander conseil à mes amis mais ces derniers sont clairs: Oublie le, poulette tu iras mieux !
Facile à dire mais moins à faire...
Mon téléphone s'allume sur mon nouveau fond d'écran, et j'ai un sourire nostalgique quand je pense qu'hier encore c'était lui.
Je regarde la notification, une photo de mon ex avec une fille accrochée à son bras. Mon cœur se déchire à la vue de cette image...
Il m'oublie vraiment alors ? je pense tristement.
Ma raison est dans le vrai, je dois avancer, mais mon cœur aussi à de bon arguments. J'attrape mon ordinateur et je fais un sous-dossier que je nomme "regret" puisqu'on ne sait jamais. Ce dossier se trouve dans celui scolaire, puis devoir, et enfin photographie, puisque j'ai arrêté ces cours là je ne risque pas de tomber dessus stupidement.
Je branche mon téléphone à mon ordinateur et je copie les photos de Thomas sur ce nouveau dossier. Ma conscience à raison, je dois faire le dernier pas pour commencer à avancer. Une fois toutes les photos où il apparaît déplacer, j'éteins mon ordinateur et reprends mon téléphone. Je sélectionne exactement les mêmes photos que cinq minutes plutôt à travers les larmes qui me brouillent la vue. Une fois toutes les photos sélectionnées j'appuie sur la poubelle en bas de mon écran, un sanglot franchit la barrière de mes lèvres mais j'ai encore une dernière chose à faire. Mes mains tremblent et j'ai du mal à tenir mon téléphone. Ma raison se rappelle à moi.
C'est le bon choix, pour toi, pour moi, pour ton cœur... c'est dur mais le bon choix... me murmure-t-elle.
Alors doucement je me calme et j'appuie sur la corbeille. Une dernière pression et je supprimerais définitivement 4 ans de relation mais c'est pour mon bien. Alors j'appuie sur supprimer définitivement. Si mon cœur saigne de voir une partie de ma vie s'envoler comme
ça, je sais que j'ai fait le bon choix. Je dois avancer, et pour avancer je dois l'effacer, le supprimer même si ça fait mal...
Aujourd'hui j'ai fait un pas de géant et tant pis si les regrets me gagnent, j'en avais besoin. Je l'ai supprimé par besoin. Je l'ai supprimé par nécessité mais je l'ai supprimé et demain ou dans un mois, quand la blessure aura cicatrisée je pourrais avancer.
Texte 4 :
Avez-vous déjà ressenti le besoin de supprimer une personne de votre vie ? Pourquoi, me diriez-vous, devrais-je répondre à un question aussi brutale que celle-ci ? A vrai dire, j'en sais rien... j'ai juste l'impression de ne pas vivre normalement, ok?! C'est comme si tout les choix que je faisais, n'en étaient pas réellement...
Lundi 4 novembre en 2013, le matin ( qui pourrait se traduire par la pire journée), 7h45 devant l'arrêt de bus. (Moi)
J'arrivai devant mon meilleur ami Florian, et le salua:
- Salut !
Me faisant un signe qu'il m'avait aperçu, il me répondit:
- Hey ! bien dormis ce soir ? dit-il, avec un clin d'oeil
J'hauchai la tête et dit:
- Bien sûr, trois heures de sommeilles me suffisent !
Il commença à se moquer de moi, alors je pris soin de lui rappeller l'élue de son coeur; evidemment, il n'avait toujours pas fait le premier pas, et cette fille, ne connaissait probablement même pas encore son existence. Sa timitidé était vraiment le plus gros problème.
Le bus arriva enfin. Nous montâmes, et arrivâmes en quelques minutes au collège rejoingnant quelques amis avec qui nous discutions habituellement le matin. La personne de notre groupe que je détestai n'était pas là. Victoire ! criai-je intérieurement. Cependant, par curiosité, j'avais demandé pourquoi il n'était pas avec nous aujourd'hui, mais ils ne me prirent pas au sérieux croyant que je faisais une blague, et ils me rétorquèrent tous qu'ils ne surent pas de quoi je parlai. Nous allâmes en cours, lorsque soudainement je mis à vomir: je fus pris d'une douleur grave. J'eus l'impression de vomir des petites lamelles de verre, tellement la douleur fut présente; mon visage, lui, s'était crispé, grossissant les veines bleues et vertes de mon visage. On aurait presque dit que je me faisais écarteler en place publique. Et même si l'on m'avait dit que j'avais exagéré sur le moment, j'aurais retorqué le contraire sans honte.
Le professeur ne s'attendant pas à me voir vomir l'intégralité de mon repas de la veille, décida d'intervenir:
- Ça va mieux ? dit-il en posant sa main sur mon épaule.
-Glurp... aaah ne vous inquiètez pas monsieur, j-je vais mieux. Quoi de mieux que d'évacuer quand ça va mal !
Tandis que je racontais les délires de mon cerveau malade, et ne me rendant même pas compte de l'absurdité de mes propos, et surtout de la façon dont sa aurait pu être interprété, je ne fis rien de plus, hormis l'action du rien.
Soudain, une main pleine d'empathie rencontra la mienne, et m'aida à me soulever, me redressant sur mes deux jambes.
Puis, mon ami voulu prononcer quelques mots:
- Tu es vraiment sûr que ça va ? Je pense que l'infirmière sera ravi de t'accueillir pour une vraie maladie
Nous avions discuté un peu de tout et de rien sur le chemin de l'infirmerie, lorsque nous nous décidâmes de parler des dernières technologies en vogue:
Florian dit:
- Mes parents l'avaient essayé, dit-il en parlant du casque VR, et crois moi qu'ils n'ont plus retenté l'expérience après voir eu des nausés toute la journée...
Le fichier "monde" rencontre un problème veuillez patienter...
Calcul en cours...
Le fichier "personnage principal" est corrompu...
Voulez-vous le supprimez ?
oui
Des modifications vont devoir être effectuées, ce qui pourrait très probablement altérer votre monde, voulez vous poursuivre ? (quelques erreurs pourront être présentes, cependant)
oui
Êtes-vous sûr ?
oui
Rechargement du monde et suppression des anciens fichiers associés à "personnage principal" est en cours...
1%
10%
60%
99%
100%
Le monde est prêt à redémarrer...
Voulez-vous y retourner ?
oui
En effet, le monde allait reprendre, mais à quel prix ? Il doit toujours y avoir un fichier avec " personnage principal", sinon le monde ne peut exister. Qui sera l'heureux élu ?
Lundi 5 novembre en 2013, le matin ( qui pourrait se traduire par la pire journée), 7h45 devant l'arrêt de bus. (Kévin)
Ce type me déteste ! Ce type me déteste ! Ce type me déteste ! Ce type me déteste !
Pourquoi il me déteste déjà ?! Ce n'est pas de ma faute ! C'était un accident... je vous en supplie, fait qu'il ne vienne pas aujourd'hui en cours...
Il vit le meilleur ami de celui qui le détestais, mais alla quand même vers lui car il savait pertinemment qu'il n'avait rien à craindre de ce dernier et qu'ils étaient amis malgré tout.
Ils se saluèrent, prirent le bus et arrivèrent devant le collège. Au début, ils échangèrent des banalités, mais lorsque la question de savoir ou était son détracteur fut posé sur la table, les autres eurent une réaction de surprise; visiblement, quelque chose n'était pas claire. Soit ils faisaient une blague vraiment bizarre, soit ils n'avaient en effet aucune idée de qui ce collégien pourrait-être.
- Kévin !!! fait quelque chose !!! par pitié sors moi d'ici !!!!!!
Interloqué, il regarda dans toutes les directions avant de s'apercevoir qu'il n'y avait personne à l'horizon.
Les autres lui demandèrent ce qu'il se passait, mais ils n'avaient pas l'air d'avoir entendu comme Kévin.
Le scénario se répéta: il alla en cours, il vomit; il se tordit de douleur de la même façon qu'une certaine personne.
Mais, des bugs apparurent: Florian, et les autres camarades n'étaient plus humains.
Ils ressemblaient à des bouillis de pixels multicolores; le ciel était en noir et vert. Même le fond d'écran (l'ancien) du windows était mieux détaillé. C'était une simulation, dit-il en étant obliger de se rendre à l'évidence. Il espérait juste que se soit un mauvais rêve, et que demain tout revienne à la normal.
- Si seulement j'avais pu éviter l'accident pour ta soeur... pardonne-moi...je t'en supplie...
Une autre simulation va démarrer veuillez patienter...
Jeudi 3 Octobre en 2013, le matin ( journée de l'accident), 18h45 devant l'arrêt de bus. (Kévin et Moi)
- Q-quoi ?! Que se passe-t-il ??? Hey ! il y a quelqu'un ?!
J'allais lui répondre, un peu énervé compte tenu du fait que je l'accompagnai avec ma soeur depuis déjà une bonne heure:
- T'as la tête ailleurs ou quoi ? On se parle depuis au moins une heure je te rappelle !
Voilà, nous sommes à la fin ! Vos textes sont d'ores et déjà en correction, et pour ma part, j'ai entrelu vos textes. Ils sont incroyables ! L'un m'a surprise par son originalité, comme toujours, un thème peut être si varié, c'est fou ce que les mots peuvent faire, et l'imagination, j'en suis bluffée. Bravo à vous !
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top