A voter !
Gagnant.e : @ttsw_d
Texte 3
Bonjour à tous ! J'espère que vous allez bien.
Plusieurs annonces avant les merveilleux textes sur le thème du challenge.
1. Le serveur discord se reprend en main à partir du 01/09/23, nous sommes plusieurs à l'animer, mais surtout à donner des conseils sur l'écriture, sur les mots, sur le savoir de manière général. Partagez un max ce serveur, plus nous sommes nombreux, plus nous serons en mesure de vous préparer des surprises.
https://discord.gg/6JUxHbsr53
2. Les correcteurs sont de plus en plus nombreux pour ce concours, et je vous remercie du fond du coeur, vous n'imaginez pas à quel point l'entraide fait du bien ! Autant pour vous, que pour moi ! MERCI !
3. Une FAQ se prépare, vous pouvez me poser toutes vos questions, et sur n'importe quel sujet. Commentez ici s'il vous plait ^^
Je répondrais soit en vocal sur discord, soit dans une vidéo sur insta.
4. Bienvenue à tous les nouveaux ! Et préparons cette nouvelle rentrée tous ensemble !
D'ailleurs, les candidatures sont toujours ouvertes, si vous voulez être correcteur pour le concours, animateur ou savant fou pour le discord etc !
Allez reprenons le concours ! Place aux textes !
Texte 1 : @Akualiss
L'énigme de l'Horloger
Partie 1 : L'intrigue
Dans une bourgade oubliée, l'horloger énigmatique Albert vécut au rythme des horloges murales et du tintement des carillons lointains. Une lettre mystérieuse perturba sa tranquillité, éveillant en lui une insatiable curiosité.
Le fin papier caressant ses doigts, les lettres tracées à la plume en encre noire d'ébène semblaient l'appeler vers l'inconnu. Avec tension, il rompit le sceau délicat, dévoilant une énigme complexe, cascade de mots le conviant à un défi inédit.
Ce défi, dans une prose envoûtante, promettait une récompense extraordinaire à celui qui résoudrait l'énigme. Entre étoiles et équations, logique et intuition, chaque mot déployait une danse élégante, l'invitant à une quête transcendant le temps.
Ses yeux scrutèrent chaque détail, analysant plis et tournures. Le langage cryptique stimule son esprit. Les heures se changèrent en minutes, minutes en secondes, Albert demeurant concentré, insensible au temps.
Dans l'obscurité de l'atelier, une bougie jetait des ombres dansantes, des spectateurs bienveillants tandis qu'Albert élaborait des théories, dépendant subtilement des indices semés dans l'énigme.
Au levier de l'aube, Albert réalisa qu'il avait pénétré une nouvelle dimension de défi. Ce n'était plus une simple énigme, mais une porte vers l'inconnu, où son esprit rivaliserait avec le cosmos.
Ainsi, dans la lueur timide de l'aurore, Albert accepte le défi. Sa détermination s'éveilla, la curiosité s'enflamma. Le tic-tac apaisant de ses horloges semblait rythmer un chapitre de sa vie, une symphonie de défis et de découvertes le conduisant vers des horizons inexplorés.
Partie 2 : La Chasse aux Indices
Le soleil émergeait, chassant les ombres nocturnes, illuminant les pavés de la ville. Pendant que le monde s'éveillait, Albert s'enferma dans son atelier, déterminé à décrypter les indices de l'énigme qui le captivait.
Chaque indice, une gemme à tailler avec précision, captivait Albert. Il scrutait chaque mot avec la minutie d'un horloger ajustant des rouages complexes. Chaque détail renfermait une signification cachée, chaque virgule pouvait être une piste vers la solution ultime.
Son esprit fonctionnait tel une machine, traitant l'information, dépendant des points, explorant les reculs de sa connaissance procurant au fil des ans. Parcourant les rues, Albert suivait les indices dispersés dans la ville. Un vieux clocher, une fontaine ancienne, un arbre vénérable – chaque lieu dévoilait un nouvel indice, le guidant toujours plus loin.
Les passants observaient curieusement l'horloger, le voyant parfois perdu dans ses pensées, annotant des idées dans un carnet usé. Sa détermination était tangible, son engagement inébranlable. À chaque défi relevé, il ressentait un frisson d'excitation, une vague d'accomplissement qui alimentait sa quête incessante.
Les énigmes se complexifiaient, mêlant références ésotériques, langages anciens et concepts abstraits. Albert plongeait dans un jeu intellectuel qui étirait les limites de sa compréhension.
Il est devenu un explorateur de la pensée, sondant les profondeurs du savoir humain pour révéler des secrets cachés.
Jours et nuits se confondaient alors qu'Albert traquait les indices. La fatigue n'avait pas de prise, car chaque pas le rapprochait de la révélation attendue. Sa détermination brillait comme une lumière intérieure, illuminant les étapes sombres de son parcours.
Alors que les énigmes gagnaient en complexité, la ville semblait répondre à la quête d'Albert. Les murs murmuraient des encouragements, les rues le guidaient. Les habitants l'observaient avec admiration, reconnaissant son engagement et son esprit d'aventure.
À chaque indice résolu, une nouvelle perspective se dessinait. Albert découvrait des liens insoupçonnés entre les éléments, des connexions dépassant les disciplines et les limites. Cette quête dépassait l'énigme ; elle explore les mystères de l'univers et de l'esprit humain.
À mesure que les jours passaient et que la quête s'intensifiait, Albert savait qu'il se rapprochait du voile du mystère. Chaque indice était résolu un pas vers la lumière de la vérité. Son esprit bouillonnait, sa détermination au zénith.
Partie 3 : Le Défi Personnel
Albert décryptait les indices, un écho du défi résonnait en lui. Les énigmes s'entremêlaient à sa propre histoire, reflétant les moments marquants de son passé. Chaque solution remuait des souvenirs, chaque choix résolu de l'énigme semblait être un choix de sa vie.
À travers les lignes cryptiques, il percevait ses propres expériences, réussites et échecs. La quête était un miroir introspectif, l'invitant à revisiter les méandres de sa propre existence, plongé dans une dualité entre défi intellectuel et exploration personnelle.
Les nuits s'enchaînaient, Albert ne ressentait plus la fatigue. Chaque énigme résolue était un pas vers la compréhension de soi. Il se rappelait les jours où il avait dû prendre des décisions difficiles, où chaque choix était un enjeu, chaque pas un défi. Les réponses le poussaient à affronter les peurs et les désirs, à revivre des moments d'intuition audacieuse ou de logique prudente.
L'atelier était sanctuaire de réflexion. À la lumière vacillante des bougies, il scrutait les énigmes, découvrant des réflexions cachées. Chaque décryptage explore logique et âme.
Habitants le voyaient avec fascination et respect. Albert était plus qu'horloger ; symbole de persévérance et découverte de soi. Chaque jour, il relève le défi avec détermination, ouvrant porte à son passé pour mieux comprendre le présent.
Un soir, énigme complexe touchait à sa fin, vague de clarté l'envahit. Les réponses s'alignaient, révélant schéma vaste, signification profonde. Défi n'était pas que résoudre énigme, mais confronter parcours, redécouvrir motivations et aspirations.
Dernière énigme s'éclaira. Solution était en lui dès le début. Avec émotions, Albert comprit que le défi ultime était reconnu cheminement et équilibre entre défi intellectuel et intérieur.
Quête touchait à sa fin, mais voyage intérieur débutait. Défi relevé, non seulement dans les énigmes, mais dans la compréhension personnelle. Albert trouva plus que des réponses ; essence du challenge – se découvrir à travers quête mystérieuse.
Partie 4 : La Révélation
Albert avait franchi un océan d'énigmes, et désormais, face à l'ultime défi, il se présentait sur le seuil de la révélation. Les énigmes avaient été des épreuves pour son esprit, des portes vers son passé, mais cette dernière énigme était une porte vers l'avenir.
Alors qu'il lisait les mots finaux de l'énigme, une onde de compréhension l'envahit. Tout pris sens dans une symphonie d'idées et de souvenirs. Albert réalisa que l'énigme était un miroir de sa propre vie, une représentation des défis et des choix qu'il avait affrontés.
La solution n'était pas simplement une réponse, c'était une clé pour débloquer les potentiels infinis qui sommeillaient en lui. Albert avait découvert que le défi n'était pas seulement dans les mots, mais dans la transformation qu'il avait vécue tout au long de sa quête.
La récompense n'était pas matérielle, mais spirituelle. À travers cette énigme, Albert avait redécouvert sa passion pour les horloges et leur signification profonde. Il avait trouvé un équilibre entre le monde intérieur de la réflexion et le monde extérieur de la créativité.
Les rues de la ville, autrefois des pistes pour les énigmes, dévenaient des témoins silencieux de son voyage. Les horloges dans son atelier semblaient désormais marquer les moments non seulement du temps, mais aussi de sa propre transformation.
Albert avait atteint un état de plénitude. En résolvant l'énigme, il avait résolu des parties de lui-même. Il avait exploré les profondeurs de la connaissance et les méandres de sa propre âme. Le défi avait été relevé, le mystère avait été percé, et dans ce processus, Albert avait réécrit son propre récit.
Avec un sentiment de calme et d'achèvement, Albert a pris une dernière fois les mots de l'énigme dans ses mains, les a supprimés s'imprimer dans sa mémoire. La quête touchait à sa fin, mais les implications de ce voyage intérieur se dévoilaient au fil des jours à venir.
Partie 5 : Le Défi éternel
Albert fixa la lueur de la solution. L'énigme résolue laissait une empreinte persistante. Comme l'a dit Ralph Waldo Emerson, "La vie est une énigme, résolvez-la." Chaque réponse était une étape, mais le vrai défi résidait dans la continuité.
Le défi, un voyage sans fin, se fondait dans la trame de la vie. Les énigmes n'étaient que des fragments d'une quête perpétuelle, une exploration intérieure infinie. Albert avait saisi l'essence du défi, embrassant la croissance continue.
En décryptant l'énigme, il avait ouvert la porte à un univers de potentialités, à une compréhension plus profonde du soi et du cosmos. Comme le souligna George Bernard Shaw, "La vie n'est pas un problème à résoudre, mais une réalité à tester." Albert avait fait de chaque expérience un défi, transformant l'existence en une aventure ininterrompue.
Il plia soigneusement l'énigme, conscient que bien que cette quête soit terminée, le défi se prolongeait à travers chaque instant. La vie était l'ultime énigme, une série infinie d'opportunités, comme l'illustre cette aventure. Chaque aube était un rappel que la découverte ininterrompue oubliait l'éternité du défi.
Texte 2 : @cookilla2006
Dernière Lettre
« Un challenge. Rien qu'un minable et puérile challenge. Toutes ces douleurs, toutes ces souffrances, ces regrets et doléances, pour une lubie enfantine ! Une envie éphémère, absurde et complète excentrique !
Que m'était donc passé par la tête ? Moi qui d'ordinaire, suis très prudente, je m'étais laissée faire avoir comme un bleu ! Tout ça pour quoi ? Pour lui montrer, lui prouver à lui cet idiot, que je ne suis pas aussi coincée qu'il le pense. Qu'elle idiote ! me détruire inconsciemment en relevant ce maudit défi.
' Arrête d'être aussi coincée ! J'ai pas envie d'une gamine comme toi, qui ne sait même pas s'amuser !'
Il me les avait crachées le regard rieur. Je m'étais senti rabaissée et pour une fois, j'ai voulu briser les codes. Me voilà servi ! Comment avais-je pu être aussi bête ? Capituler, baisser les armes, pour que ses beaux yeux de coureur de jupons me regardent enfin. J'aurais dû lui cracher d'aller en enfer ; que je ne suis pas courageuse mais prudente et que je m'en porte bien ! qu'il n'avait qu'à aller se chercher une de ces filles aux mœurs tellement plus... ouvertes.
Un rictus se forme sur mes lèvres pincées.
C'était trop tard, maintenant Bien trop tard.
Je suis certaine que toi qui me lie, te languis de connaître la nature de mon malheur, de ce piège morbide nommé 'challenge' qui a fini de me finir. Mais je ne peux pas. Je ne veux pas que tu le saches. J'ai trop honte de ce que j'ai fait, de ce qu'on m'a fait et pousser à faire.
Sais-tu que je suis en train de trembler ? Je n'arrive plus à écrire, à aplatir mon chagrin sur cette feuille. J'ai mal, tellement mal...
Sais-tu que mes larmes sont en train de couler sur l'ancre que tu lis ? Oui. Ces tâches nacrées voir jaunies que tu apprécies au détour des phrases sont l'empreinte de l'eau salé qui s'égoutte de mes yeux ternis. Et honnêtement, je ne pensais plus en avoir. Elle devait être égrenée depuis le temps qu'elle s'écoule...
Tous ce que je te demande, c'est de ne pas me juger. Ne juge pas ce que j'ai péché et je t'en prie ! dis à maman et papa, à Catherine et à Joshua que je suis désolée. Navrée de ne pas avoir su continuer à être la petite fille modèle pensée. Navrée de n'a pas avoir pu être la grande sœur chaleureuse et apaisante voulue. Navrée de ne pas avoir été, le rayon de soleil, la joie et la fierté espérée.
Ce que tu lis là est sans doute la dernière preuve de mon regret. C'est la dernière que je puisse encore éprouvée et brandir face à eux.
Je renifle, et lentement j'essuyai les traces des derniers fleuves asséchés sur mes joues creusées. Je souris. Oui je souris, tu ne te trompes pas. Tu sais pourquoi ? Tout simplement car dans quelques secondes, dans quelques instants futiles et lorsque les grains de sablier seront tout tombés, tout sera terminé. Tout ce qui me déchire depuis ce jour-là, ce jour de faute, ce jour de mal, tout cela qui me brule terrira. Disparaitra à jamais, une bonne fois pour toute.
Je crois bien qu'au moment où tu survole de ton regard attristé, dégoûté, furieux ou neutre – peut m'importe maintenant -mes dernières pensée, tu te doutes de ce que j'ai fait et comment ça s'est terminé, alors je te dis à dieux. Enfin, si je ne suis pas envoyée en enfer avant, et peut être que, qui sais, tu seras là à m'accompagner... Si tu fais comme moi. C'est pourquoi avant cela, avant de briser les chaînes, de finir mon monde, et d'accéder au repos que je souhaite, j'aimerais te dire une chose qui que tu sois : Ne fais jamais rien que tu ne souhaites pour plaire aux autres. Choisis bien ceux qui t'entourent et n'écoute jamais le murmure cruel de ceux ne t méritant pas car tu vaux mieux que ça. N'ose jamais le danger et écoute toi, ne fais pas comme moi et ne te brûle pas.
Kiara. »
Je reposé mon stylo noir, aussi noir que le ciel étoilé de cette nuit. Elle est belle, tellement magnifique. Elle brille tellement que j'en ai le souffle coupé. Mon sourire s'élargie. Elle m'attend. Elle me souhaite bon départ et bien venue. Les étoiles luisent de mille feux. Elles veulent que je me joigne à elles. Je suis pardonnée. Et c'est tous ce qui compte.
Mon cœur, contre toute attentes ne se déchaîne pas. Non, il est calme et bat doucement. Lui aussi, est apaisé.
Je m'applique à plier le dernier souvenir de moi, humaine, car bientôt je ferais partie d'elles, et le glisse minutieusement dans la lettre blanche toute simple que j'embrasse.
-Oui, comme ça. Tout doit être parfait. Je murmure faiblement, les lèvres souriantes doucement.
Je me relève de sur la chaise où j'étais, plus libre que jamais. Puis, ne trahissant mon impatience, mes pas stables se dirigent lentement vers la grande fenêtre que j'ouvris. Je m'y redresse sur le bord et respire l'air frais de cette nuit magique où tout va s'arrêter. J'ouvre mes yeux gris sur la beauté de laquelle je serais bientôt. Je suis prête. Prête à partir.
-Enfin... Je susurre le regard brillant comme les étoiles, mes futures amies le sont, et me laisse tomber vers l'avant. Vers le vide, et ferme les yeux. Pour toujours.
Texte 3 : @ttsw_d
GAGNANT.E
Quand les sentiments s'en mêlent
J'ai fini par détourner le regard du paysage de l'autre côté de la vitre. Il défilait trop vite.
J'avais bien sûr mon ordinateur, un livre, mon téléphone, mon casque, un carnet, un stylo sur moi, mais j'étais trop impatiente. Impossible de me détendre pour passer le temps sans imaginer les multiples réactions que je pourrais avoir de le retrouver. Réellement et pour la première fois depuis que l'on s'est rencontrés, un an plus tôt.
Un an. J'ai allumé mon ordinateur pour retrouver une certaine vidéo. Là. J'ai souri. Et me suis repassée dans ma tête tout ce qui n'avait pas été photographié ou filmé – presque tout. Et pourtant seulement trois jours – à peine.
Je regarde le curseur rouge clignoter sur mon téléphone. Je m'imagine dans un train filant vers la région parisienne. Mais je n'y crois pas vraiment. Peut-être que oui, j'aurais relevé le défi. Mais est-ce que je pourrai lui montrer ?
Et puis l'après. Je me suis replongée dans l'acharnement qui ne m'avait pas lâchée pendant des mois. Gainage. Épaules. Avant-bras. C'est ce qu'il avait dit.
Je saute une ligne parce que je ne sais pas si je suis vraiment en train de me challenger pour ce concours d'écriture. Le propos que j'ai choisi est un peu trop facile mais en même temps je veux sauvegarder ce qui traverse mon cœur le plus fidèlement possible.
Je n'aurais probablement pas tenu si je n'avais pas croisé le mot « challenge » comme thème d'un concours d'écriture. J'avais eu envie d'écrire en lien avec ces vacances mais je ne pouvais pas parler d'un défi potentiel que je n'allais pas relever.
C'était aussi ainsi une façon de toujours garder en vie une étincelle de notre amitié, pouvoir des mois plus tard rappeler un souvenir avec une conversation d'actualité.
Mais heureusement nous n'en avons pas eu besoin. Je réalisais que nous tenions un défi beaucoup plus beau et important, sans nous l'avoir réellement lancé. Nous. Il y avait toujours ce « nous » de l'amitié.
Ces trois dernières phrases feraient une jolie fin. Mais comment amener le défi central de l'histoire, d'abord ? Argh !
Je suis fatiguée, triste, en plein doute quant à ce choix d'idée pour le concours... Reprenons plus haut :
C'est ce qu'il avait dit être nécessaire, et depuis un mois j'avais mon drapeau, presque parfait, presque complètement à l'horizontale. Je ne lui en avais pas parlé, je ne lui avais même pas parlé depuis quelques jours. Je l'avais simplement informé tout à l'heure être dans le train.
Et c'était un calvaire, de retenir sa fierté, son impatience, son amour... tous ces élans qui menaçaient toutes les deux minutes de jaillir de ma poitrine.
Plus que trois jours pour finir ce texte. Je ne suis pas satisfaite, mais en même temps c'est souvent dans ces conditions que mes histoires sont complimentées. Sauf que là... je perds foi en cette idée.
Le curseur clignote et rien d'autre ne me vient. Je pourrais avoir le temps de faire quelque chose de complètement différent. Continuons tout de même :
Alors bien sûr, avant même de le voir, mes yeux se sont embués. C'est lui qui a traversé la foule pour me rejoindre, comme aux premiers soirs que nous avions passés ensemble. Et tant qu'elle ne s'est pas dispersée nous ne nous sommes pas lâchés.
Il faut bien sûr que j'écrive les retrouvailles. Je dois satisfaire les lecteurs même si elles ne viennent pas s'inscrire dans le thème.
La fin du texte est là. Je le sens.
L'histoire est trop courte, un peu trop mal écrite, mais j'essaie de toujours participer à ce concours d'écriture pour repousser mes limites, avec ses thèmes qui ne m'inspirent pas toujours.
J'espère que cette fois ça a marché.
Merci à vous tous, on se retrouve le 01/09/23 pour un nouveau thème !
A très vite!
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