A voter !

Bonjour à tous !

Comme vous avez pu le voir, j'ai allongé le délais jusqu'à hier pour tous ceux qui ont leurs examens, cependant, cela reste exceptionnelle.

Je n'ai eu le temps pour le moment de ne lire aucun texte, je vous demanderez donc de faire attention, il y a peut être des scènes choquantes, où parfois trop directs. S'il y a des hors thèmes, pareil, je n'ai pas fait attention, merci de tout de même rester poli en commentaires.

Merci à tous ceux qui ont participés ♥




Texte 1 : @Nozell

Assise sur un banc en bois clair au fond du jardin de notre nouvelle maison, j'attendais. J'attendais que mon papi me raconte une histoire. Chaque été, nous nous donnions rendez-vous au fond du jardin, dans notre havre de paix commun, pour qu'il me raconte une de ses nombreuses histoires, stimulant mon imagination d'écrivaine moderne et qualifiée. Après la publication de mon premier roman, je n'avais de cesse de m'acharner à la tâche, rien n'y faisait : je n'arrivais plus à écrire. C'est alors que j'ai pensé qu'il était temps que je m'éloigne de mon quotidien monotone et que j'aille enfin me ressourcer.

Soudain, un vent fort fit se soulever les feuilles des arbres habitant la forêt profonde derrière moi ainsi que mes cheveux bruns. Mon regard se posa sur l'espace vert derrière moi sans y voir quoique ce soit d'étrange. Cependant, mon instinct n'était pas d'accord, je me sentais.. observée. Poussée par un élan de curiosité impossible à réprimer, je me leva en quittant le banc et m'enfonça dans la forêt. Je ne pense pas que mon grand-père m'en voudra pour le lapin. De toute façon il doit avoir l'habitude depuis le temps !

Je dépassa rapidement l'orée de la forêt, ne m'y attardant pas plus que ca, et pénétra en son cœur. Lorsque j'arriva à destination, le sentiment d'être épiée se fit plus fort que jamais. J'avais l'impression que des centaines d'yeux invisibles chatouillaient ma peau. Je tenta de réprimer une soudaine vague d'adrénaline mélangée à de l'angoisse, en vain. Lorsqu'une branche se craqua à ma droite, j'étais certaine que je n'étais bel et bien pas seule. Alors, poussée une nouvelle fois par une curiosité malsaine, je me mis à parler.

- Je sais que je ne suis pas seule ! Montrez vous !

En réalité, je ne savais pas si il y avait plusieurs personnes. Si ca se trouve, je délirais complètement et j'étais seule dans cette foret. Mais pour en avoir le cœur net, je réitéra ma demande. Après des minutes d'attente, je me résolue à rebrousser le sentier, déçue de ne pas avoir contenter ma curiosité. Cependant, un nouveau bruit attira mon attention. C'était un bruit bien plus fort qu'un simple bruissons qui tremble ou qu'une branche qui se casse. Vivement, je pivota sur moi même et tomba nez à nez avec un homme. Grand, jeune et beau, il m'envouta l'espace d'un instant. Ses yeux marrons dorés brillaient d'une lueur qui m'était familière tandis qu'une nouvelle rafale de vent fit se tordre les mèches de ses cheveux noirs dans tous les sens. Sans le quitter des yeux, je vis qu'il avait des tatouages dans le cou ainsi que des épaules larges et carrées.

Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine tant il était beau. Ce regard, ces pommettes, cet air froid scotché sur le visage.. tout me fascinait chez lui. On aurait dit un véritable dieu vivant.

Lorsque j'eu finis ma contemplation, je remarqua qu'il n'était pas seul. 3 garçons et 3 filles, tous plus beaux les uns que les autres, l'accompagnaient. Mon stresse grimpa en flèche lorsque je vis qu'autours de leur taille, nouées à une ceinture de cuire marron, deux épées pendouillaient faiblement. Ma gorge se serra et je recula, les mains moites.

- Quel est ton nom ? Dit une voix féminine derrière moi.

Sans rompre leur formation cyclique autours de moi, ils marchèrent tous dans le sens des aiguilles d'une montre de sorte à ce que la voix féminine soit à présent sous mes yeux. Voyant que je ne répondais pas, elle répéta une nouvelle fois de sa bouche en cœur.

- Quel est ton nom ?

- I... sis...

- C'est un joli nom. Je m'appelle Mahera, me répondit-elle en souriant.

- Merci... mais qui êtes vous ?

- Des mercenaires.

A nouveau, ils marchèrent d'un même pas, comme un seul et unique homme, et cette fois-ci, un nouveau garçon me fit face. Sa carrure m'effrayait, je le trouvais immensément impressionnant. Ses yeux noirs corbeau me fixaient durement, comme si il voulait me tuer. Des frissons couraient partout sur mon corps, des sueurs froides descendaient lentement le long de mon dos et mon cœur s'arrêta de battre lorsque je vis une marque en dessous de son œil. Une marque bien distincte et horrible à porter. Une marque qui, dans notre monde où la magie disparaît peu à peu et où le pouvoir flanche, vous condamne inexorablement à une vie d'exilé. Une vie pleine de douleurs, de morts et de sang.

- Vous... vous êtes...

- Comment nous a tu repéré ? Tonna une femme aux yeux verts.

- Vous..

- Réponds ! Hurla-t-elle.

Terrorisée, je m'exécuta sans broncher. Qui sait ce que ces êtres aux pouvoirs étranges pourraient me faire si je ne leur obéis pas ?

- Je ne sais pas.. je vous ai juste senti..

- Senti ? On pue tant que ca ? Gloussa la femme qui m'a demandé mon prénom.

- Panrare, si c'est elle alors tu sais ce qu'il te reste à faire, intervint un homme discret aux yeux bleus et aux cheveux châtains, retombant en cascade sur ses épaules. 

Une dernière fois, ils marchèrent tous ensemble et l'homme du début se planta face à moi. Ses yeux dorés dans les miens me rappelaient vaguement quelque chose mais j'arrivais pas à me rappeler. Comme si ma mémoire était bloquée... Lorsqu'il leva une main et qu'elle s'enflamma aussitôt, au lieu de ressentir de l'effroi envers ce pouvoir, j'en ressentais de l'admiration. Tous ces gens me fascinaient autant qu'ils m'effrayaient. Panrare approcha sa main en flamme de mon œil et, sans que je ne comprenne ni pourquoi ni comment, il appuya juste en bas avec son doigt.

Au moment ou il le fit, une chose se brisa en moi. Un rempart, un mur s'écroula soudainement et un flash m'aveugla. Des images me revinrent en mémoire. Des images de moi en train d'embrasser cet homme dans une chambre, des images de moi montant sur un trône royal au bras de Panrare, entourée de tous ces mercenaires. Je revois une bataille féroce, du sang partout... et un regard doré empli de larmes, complètement brisé. 

Soudain, la voix de mon grand-père résonne dans ma tête.

Je me rappelle qu'une nuit, il y a très longtemps, lorsque j'étais une petite fille, il m'avait raconté une histoire un jour de juin.

- Tu sais Isis, je vais te raconter une histoire un peu spécial aujourd'hui. Il était une fois un homme qui était la définition même du mot pouvoir. Toujours entouré de ses plus proches amis, ils voyageaient ensemble et menaient des combats épiques jusqu'à la mort. Tous possédaient des aptitudes magiques colossales. Des rumeurs circulaient parmi le peuple, les qualifiant tous de véritables Dieux vivants. Un jour, cet homme devint roi. Pour se faire, il renversa le pouvoir avec ses amis et mit en prison le roi et la reine d'antan. Cependant, il ne put se résoudre à jeter la princesse au cachot.

- Pourquoi papi ?

- Pourquoi ? Je vais te dire pourquoi ma petite fille. Lorsque cet homme surpuissant plongea ses yeux dans ceux de la princesse, tout s'effaça autours de lui. Ses compagnons, les gardes, le monde entier disparu. Il ne restait plus que lui et elle. Il se sentait faible, vulnérable et terriblement amoureux de cette femme. Ses pouvoirs se mirent à tournoyer autours de la princesse et ceux de la princesse, que le monde entier pensait sans pouvoirs, se mirent à faire de même autours de l'homme. On dit qu'il avait trouvé son âme sœur à ce moment là.

- Papi, comment il s'appelait l'homme ? Et la princesse ?

Il me regarda un long moment, silencieux. Ses doigts glissèrent tendrement sur ma joue et replacèrent une mèche de cheveux derrière mon oreille. Il fit planer un silence apaisant et mystérieux avant de répondre à la question qu'avait posé la gamine de l'époque. Il m'avait dit « tu le découvriras bien assez tôt, Isis ».

 Maintenant, j'ai la réponse. J'ai enfin la réponse papi...

Ce roi s'appelait Panrare. 

Et cette princesse s'appelait...

Isis.










Texte 2 : @Starrys_minds

Septembre 1890.

Mon bâillement fatigué fut envolé par la brise matinale qui traversa mes cheveux emmêlés. Le pied sur la parcelle reliée au bateau, mon père me faisait signe d'avancer pour quitter la terre ferme. Le grand voilier appartenant à ma famille, était déjà chargé de mes affaires pour ce nouveau voyage. Mes parents, comme à leurs habitudes, s'étaient trouvés un nouveau client à qui vendre leurs coûteuses marchandises de pacotille. Cela étant fait, nous étions encore dans l'obligation de quitter le pays pour en rejoindre un autre par le Pacifique. Nous n'étions pas des pirates comme je me l'imaginais étant petite, mais de simples marchands qui étaient prêts à user de sournoiserie pour quelques francs. Même si j'avais beau penser que nous étions des escrocs, mon père détestait ce mot.

Du haut de mes dix-huit ans, je n'avais jamais logé ailleurs que dans ce vieux navire, le "syreni" qui signifie la sirène en latin, ne posant mes souliers que sur des terres qui pouvaient potentiellement nous rapporter de l'argent. Je menais une vie nomade à une époque où les jeunes femmes ne connaissaient pas plus loin que le pas de leurs portes.

Aujourd'hui était un jour particulièrement frais, de quoi rajouter un châle sur mes épaules durant le trajet qui risquait de durer une éternité. Ça devait se voir que je n'étais pas d'un enthousiasme égayé, mais ce n'est pas comme si j'appréciais le fait de devoir encore déménager. Bien que ma vie sociale soit plus résumée à des conversations avec des crustacés, vivants si possible, les gens en général ne portaient pas une grande attention à mon existence.

- Maryline ! M'appela ma très chère mère du haut du balcon surélevé à l'arrière du bateau.

- Viens tenir la barre ! Me demanda-t-elle en attendant que je monte les marches.

Je n'ai pas râlé et fais ce qu'elle m'avait demandé en prenant sa place. Le vent était plus fort à cet endroit du voilier, mais la vue était d'une beauté si bien qu'on en oubliait les désagréments. Je pouvais observer l'étendue du navire en bois sous mes yeux comme si j'en étais le capitaine, les grandes voiles blanchâtres sur lesquelles le vent venait se heurter et le mat qui se dressait fièrement, donnant l'impression qu'il pouvait toucher les cieux. Il me suffisait de garder la position initiale et je pouvais aisément conduire le bateau. C'était mon père qui m'avait appris à le faire, mais guider la barre était plus simple quand la mer était calme et aujourd'hui n'était pas le cas. Celle-ci était remuée par les vents, créant de l'écume sur la surface. Je pouvais entendre les vagues s'entrechoquer contre la coque du navire, de quoi effrayer les petites barques touristiques mais il n'y en avait plus à cette distance, nous avions déjà quitté le port depuis un bon bout de temps. C'est à peine si nous pouvions encore le distinguer à travers l'horizon.

Je pris une grande respiration, me concentrant sur le doux bruit de l'océan pour apaiser mes tourments, quand un lointain son effleura mes oreilles. C'était bien inhabituel d'entendre autre chose que les bruits marins, mais celui-là était particulier. En fait, je ne l'avais jamais entendu auparavant. Je tendis l'ouïe par curiosité et j'aurais juré que le son se rapprochait. On aurait dit un sifflement chantonné, peut-être un oiseau égaré?

Pendant que je réfléchissais, le vent s'était levé dans une danse orageuse et les vagues avaient maintenant doublé de taille. Cela ne me surprit guère, au premier abord, les tempêtes n'étaient pas inexistantes durant une traversée en voilier.

Soudainement, j'entendis une nouvelle note venant du sifflement qui n'en était maintenant plus un, c'était une mélodie. Discrète mais agréable. Composée de murmures engloutis par les eaux. Je me demandais bien qui pouvait en être l'auteur, mais je ne voyais rien de particulier devant moi, excepté un léger brouillard qui était venu s'initier autour du bateau. Un quelconque pécheur aurait fait demi-tour, mais en tant que fille de marchands vagabonds, j'avais l'adrénaline des océans dans la peau.

J'allais appeler mes parents pour qu'ils me viennent en aide avec la barre, quand je vis un reflet de lumière inhabituelle à la surface de l'eau. Trop intriguée, j'ai focalisé mon attention sur les vagues pour espérer revoir ce scintillement. Je pus observer des remous sous la surface de l'écume, comme si un animal se trouvait là. Étions-nous encerclés de requins? Je n'étais pas prête à ce genre d'éventualité. 

Agrippant la barre plus fort avec mes mains, j'ai fermé les yeux pour me reconcentrer sur le bateau mais au moment où ceux-ci furent envahis par l'obscurité, la mystérieuse mélodie imprégna mes oreilles si fort que je fus prise d'un sursaut. Rouvrant les yeux, je pouvais maintenant distinguer chaque écho venant gracieusement m'entourer. On aurait dit que la musique venait des eaux, tel un concert des mers. Les sons parvenaient de toutes parts autour du navire mais s'harmonisaient si bien que cela me calmait presque de la pression.

Trop facilement déconcentrée, le bateau fut brusquement basculé à cause d'une énorme vague. Il reprit sa position initiale mais j'avais déjà lâché la barre au vu de la surprise et il me fallut m'accrocher au ponton à mes côtés pour ne pas tomber. Ça y est, l'océan était incontrôlable. Je pensais que j'allais être prise de mal de mer en ayant perdu l'équilibre, mais bizarrement, je ne l'étais pas. Au lieu de cela, je sentais comme une douce sérénité qui m'englobait et j'aurais pu jurer que la musique en était à l'origine. Je me suis décidée à redescendre les marches qui menaient à l'îlot central du pont, car dans tous les cas ça ne servait plus à rien d'essayer de maîtriser le gouvernail ; quand une nouvelle bourrasque s'éleva et fit chavirer à nouveau le bateau, m'obligeant à m'accrocher à tout ce que je pouvais. Je reçus de l'eau sur la tête en constatant que les vagues ne faisaient plus que s'entrechoquer, mais elles dépassaient maintenant la hauteur du voilier. On aurait dit que l'océan déversait sa rancœur sur mon pauvre navire et moi en contrepartie. Il ne me fallut pas longtemps avant de me relever et de jeter un regard abasourdi vers la mer quand j'aperçus ce qui me pétrifia sur place.

Des sirènes avaient entouré le bateau. Elles étaient venues en grand nombre et se dressaient majestueusement, exposant leurs peaux nacrées jusqu'à leur poitrine encore recouvertes d'algues. On aurait dit qu'elles attendaient quelque chose, et cette hypothèse se confirma avec une sueur froide quand j'ai croisé le regard humain de l'une d'elles. C'était moi qu'elles voulaient.

Je me suis soudainement sentie attirée par les rambardes en bois à mes côtés et comme si mon corps avait pris les devants, j'ai descendu les dernières marches et me suis avancée vers le bord. Ce n'est qu'en me rapprochant que j'en ai compris l'évidence, c'était elles les délicieuses musiciennes qui jouaient la mélodie des mers.

C'était un pouvoir divin, celui de ce chant envoûtant, produit par les créatures les plus mystérieuses de l'océan. Elles m'attiraient vers elles, me charmaient, utilisant la beauté de leur voix pour m'ensorceler. Qu'allaient-elles me faire après? Je n'y pensais même pas. Aucune de ces questions ne m'intéressaient plus que de suivre la chanson. Je n'étais plus qu'un corps hypnotisé qui ne réagit même pas quand mes parents crièrent mon nom derrière moi.

Et quand mes mains lâchèrent la balustrade, faisant basculer mon corps par-dessus bord, je ne senti qu'un soulagement dans cette chute angélique m'emmenant tout droit dans les eaux du Pacifique.

- Maryline... Maryline. Maryline ! Ouvrant les yeux brusquement, je me suis retrouvée allongée dans un lit de chambre d'hôpital, mes parents devant moi m'observaient tranquillement.

- Où est le bateau? Articulais-je avec difficulté.

- Quel bateau? Nous n'avons pas de bateau ici, Maryline. Me chuchota mon père dans l'incompréhension.

Je les ai regardés avec étonnement, ne comprenant pas cette situation improbable juste après la tempête encore fraîche dans mon esprit. Mais mon corps me ramena à l'ordre et me sentant soudainement tout engourdie, je me suis laissé sombrer dans les bras de Morphée. Reposant ma tête lourde sur le côté de mon oreiller, mes yeux se fermèrent ne laissant que l'image d'une boîte à musique ornée de coquillages posée sur ma table de chevet.







Texte 3 : @malko27potter

Dalina, lycéenne brune aux yeux noisette, sort l'établissement. Seule sur la route, des larmes coules le long de son visage à la peau blanche. Elle avance en ce demandant ce qu'elle avait bien pu faire pour avoir une vie de la sorte. Pourquoi toutes ces moqueries ? Pourquoi toute cette haine ? Elle n'en peut plus de devoir chaque jour faire comme si tout allait bien devant sa famille. Les larmes coulent et les questions défilent dans sa tête. Pourquoi ? Pourquoi les gens la détestaient à ce point ? L'année prochaine, elle quitterait le lycée, elle avait hâte. Les larmes coulent encore et encore. Pourquoi cette vie ? Les larmes coulent sur ses joues rougies par la chaleur. Elle tourne la rue qui mène au parc à la verdure claire. Les larmes coulent et elle avance. Sur un banc de bois, une blonde, qui devait avoir son âge, était assise et écoutait les oiseaux chanter. Cette fille, était Angelina Phacélie, une amie à Dalina, qui n'était pas dans le même lycée qu'elle. Les larmes coulent et Dalina se dirige vers le banc. En la voyant, la blonde se décale et laisse place à son amie. Les larmes coulent et la brune s'assoie. Le grand sourire de son amie s'estompe, et laisse place à un visage de questions, de tristesse. Angelina questionne la lycéenne, sur la raison des larmes qui coulent sur son visage fatigué. Les larmes coulent et elle raconte sa journée, les moqueries des élèves qui la harcèle. Angelina avait, selon Dalina, le pouvoir de réconfort, dans n'importe quelle situation de détresse, de colère, de peur, de tristesse. C'est au près d'elle qu'elle aime raconter ses misères, car peu importe ce qu'elle dit, elle sait que la blonde ne critiquera jamais. Les larmes coulent et son amie utilise son « pouvoir ». Les larmes s'arrêtent peu à peu, et la brune se dit que sans le pouvoir de son amie, elle serait perdue dans la tristesse chaque jour. Les oiseaux chantent, et ce pouvoir de douce mélodie s'accorde avec celui de la blonde. Les larmes s'arrêtent.








Texte 4 : @Quelquunnnnnnnnn

Pouvoir aimer


J'étais un humains,

Tu étais une fée,

Un bel être divin,

Dont l'histoire fait rêver.

~

Si tu étais là vie,

Je devais être l'envie.

L'envie de m'enivrer,

Et d'un jours pouvoir danser,

Avec toi a mes côté.

~

Mais un monde nous séparait.

Et si le miens semblait carnage,

Tu avais l'espoir en héritage.

Et l'espoir se doit d'être gardé.

~

Cette espoir tu l'as brisé.

Quand dans mes yeux ton regard c'est échoué.

Quand sur ma mains tu t'es posé m'aspergeant d'une poudre étoilée.

Histoire que rien qu'un soir je sois moi aussi une fée.

Cette espoir tu l'as brisé,

Faisant du rêve une réalité.

~

Et le temps d'une soirée on a appris à aimer.

Quand nos lèvres se sont goûtées,

Quand nos corps se sont rencontrés.

Mais l'infini c'est terminé, laissant le jours se lever.

~

Tu aurais pu me laisser, pointer t'es ailes pour t'envoler,

Mais t'es enchantement tu les as légué au passé,

Histoire de vers moi pouvoir te tourner

Moi qui n'est comme seule magie d'aimer.

Et c'est ainsi que le plus doux des pouvoirs c'est créé.







Texte 5 : 

Le poète rêveur 


Les mots ont un pouvoir
Les mots ont une histoire
Tes mots m'ont bercée
Tes mots m'ont hantée

Les mots ont un pouvoir
Ils peuvent blesser
Comme ils peuvent nous sauver
Ils portent un espoir

Les mots
Les maux
Tant de jeux de mots
Tous ces maux de trop

Mots ou maux
Mots de joie
Mots entre toi et moi
Mots qui tombent à l'eau

Tes mots me faisaient être bien
Mais maintenant ils ne sont plus rien
Ils ont disparu dans l'obscurité
D'une nuit étoilée

Mots je vous cheris
Vous donnez un sens à ma vie
Vous me dites la vérité
Quand lui se tait

Lui , le mensonge
Lui , mon songe
Lui tout simplement
Le temps qui passe insolemment

Mots vous m'aidez
À ne plus sombrer
Vous me retenez
Quand les autres me laissent tomber

Mots , pour moi vous brillez
Mots Vous êtes une partie de moi
Mots En vous j'ai la foi
Mots vous êtes ma vérité

Mots vous qui avez
Ce pouvoir illustre
Donnez moi l'obscurité
Pour que je devienne un lustre

Les mots ont un pouvoir
Les mots ont une histoire
Les mots sont mon sang
Et je ne peux vivre sans.



Voilà, merci à tous !

Dès ce soir je vous donnes mes avis, et surtout, je publie le prochain thème et le gagnant ♥ 


Bonne journée !

Lauwern

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