Premier texte '' Ma mort ''
Texte de @Djustand
Assis sur un morceau de béton recouvert d'un fin tissu blanc, j'attends le verdict de mon exécution. Nous somme le 20 janvier 1793, il est 6 heures 30 du soir quand un garde de la maison du temple viens me déposé un lettre.
Condamné depuis pas mal de temps pour avoir pris la fuite leur de l'attaque des tuileries, j'attends ce verdict pour savoir si je vais mourir. Véritablement, je ne pense pas que je dois être condamné pour avoir obéis à mon peuple, j'ai quitté la ville en pensant qu'elle ne serait plus attaqué si les concernés n'en fessait plus parti. Cela n'a pas fonctionné et plus de 650 personnes sont mort au combat, 200 à 300 parisiens et 300 prisonniers sont mort pour la France.
« Coupable de conspiration contre la liberté de la nation, et d'attentat contre la sûreté générale de l'état » « Vous serez exécuté dans les vingt-quatre heures à compter de la notification »
Signé : Les députés de la convention nationale. »
Je voudrai trois jours pour pouvoir me préparé à ma mort.
Cela n'est pas possible Louis, les députés ont voté.
Je voudrai voir ma famille, je ne suis pas encore un homme mort, je suis toujours votre Roi, Cléry.
Je te prévois un rendez-vous à 8 heures du soir avec l'Abbé de Firmont.
Parfait tu lui donneras cette lettre (voir media)
Mon Vallet se dirigea vers la sortie,pendant qu'un garde me ramène mon dernier soupé.
Me croit-on assez lâche pour attenter à ma vie ?
Je mourrai sans crainte. Je voudrais que ma mort fît le bonheur des Français et pût écarter les malheurs que je prévois, le peuple livré à l'anarchie, devenu la victime de toutes les factions, les crimes se succédant, de longues dissensions déchirant la France.
Le garde par, sans même me répondre. Après mon soupé sans couvert, je frotte mes mains contre mon bout de tissu, et tamponne le bord de ma mâchoire.
Je regarde la pendule à balancier à travers les barreaux de ma cellule, l'Abbé de Firmont fait son entré avec des documents entre ses mains. Je sors mon testament et lui lis, sans émotion concrète tous ce que j'ai écrit, seul les moments où je parlais de mon fils et de ma femme m'ont fait approuvé de fort sentiment.
Ma famille se trouve là devant moi, ma fille, mon fils, ma femme et ma sœur. Je suis le roi le plus heureux avant de mourir, ma femme est là et me demande de la revoir demain matin à 7 heures, mon fils est là, il me fait la promesse de ne jamais se venger de la mort de son père. Cela fait une heure que ma famille, la famille royale est à mes côtés pour la dernière fois, les gardes nous regardent parla petite fenêtre vitrée depuis plusieurs minutes. Des larmes se créent sur les visages de tous les membres de ma famille et également sur le mien.
Il est 5 heures du matin quand mon Vallet me réveil, je lui confis que j'ai bien dormi et que j'en avais extrêmement besoins. J'enfile, mon habit marron doublé des a toile écru et le boutonne avec ses magnifique bouton doré, je me rase, et demande à Clery de me couper les cheveux mais l'on refuse de nous confier une paire de ciseau, il pense encore que je veux mourir avant.
Je sors de mes poches ma lorgnette, et ma boite à tabac.
L'Abbé de Firmont nous as rejoint pour célébrer ma communion du mourant, le viatique, je reste à genoux pendant toute la cérémonie, l'abbé positionné derrière la commode fessant office d'Autel, Cléry à ces cotés.
Après avoir appris la mort d'un député ayant voté pour ma mort, la sécurité a était renforcé et je ne pourrai donc pas revoir ma famille.
Je confie mon cachet aux armes deFrance à mon vallet, pour qu'il le remette à mon jeune fils, jedefait également mon alliance, pour qu'il la donne à ma femme enlui disant bien que je la quitte avec peine, je garde juste au doigtl'anneau du sacre.
La voiture verte de Nicolas Chambon m'attend dans la seconde cour, j'ai obtenu le droit d'être conduit par le maire, au lieu de monté dans la néfaste charrette des condamnés.
Je rejoins ce carrosse dans un froid atroce, environ 3 degrés je pense.
Je monte en compagnie de l'Abbé etde deux autres hommes de la milice, et me retourne vers l'un desconcierges du temple.
J'ai eu un peu de vivacité avec vous avant-hier soir, ne m'en veuillez pas !
La voiture quitte le temple, cet endroit qui m'a retenu prisonnier pendant tout ce temps, le bruit des trompettes et des tambours résonnants dans mes tympans. Je récite des psaumes et la prière des agonisants, en regardent à travers la vitre le nombre de personne venu voir ma fin. Plusieurs sont posté sur la route et veulent ma mort et d'autres sont plus silencieux, tous des lâches. Les magasins sont clos, la ville est entièrement morte, aujourd'hui c'est à mon tour.
Arrivé devant l'échauffant, je suis très aimablement accueillit par le bourreau Sanson. J'ouvre mon col de chemise et ôte ma redingote et ma cravate sous l'ordre de ce bourreau.
Me lier ! Non, je n'y consentirai jamais. Faites ce qui vous est commandé, mais vous ne me lierez pas, renoncez à ce projet. »
Mon Abbé a réussi à me convaincre en prenant un exemple du christ, je déclare alors :
- Faites ce que vous voulez, je boirai le calice jusqu'à la lie.
On me lie alors les mains dans le dos avec mon propre mouchoir, un assistant de Sanson découpe grossièrement mon col valant une fortune puis le rabat, il me coupe les cheveux pour mon plus grand malheur.
Accompagné par des roulements de tambour, je monte sur l'escalier et rejoint les cinq bourreaux sur la plate-forme.
Je me poste sur le bord gauche de l'estrade, je fais signe au tambour de s'arrêter et proclame haut et fort
Je meurs innocent de tous les crimes qu'on m'impute. Je pardonne aux auteurs de ma mort. Je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France.
Il est 10 h 22 quand la lame se détache, tout comme mon corps quelques secondes après.
******************************************************************************************************************************************************************************
Je me suis permise de changer l'image car c'était un gif et je n'ai pas réussi à l'intégrer mais j'ai pris une image similaire, j'espère que cela ne te dérange pas ;)
Un grand bravo à toi pour toutes ses références historiques sur les personnages ! Même moi j'ai du faire des recherches pour voir si tes personnages étaient réels et ils le sont ! Pour le bourreau du roi, Sanson, je le savais mais bien trouvé pour Nicolas Chambon et l'Abbé de Firmont. J'aime beaucoup le fait que le personnage principal est Louis XVI et que nous sommes dans ses dernières pensées juste avant son exécution. C'est très puissant surtout quand il voit pour la dernière fois sa famille. J'aime beaucoup le fait que l'Abbé récite des passages de la Bible avant la mort du roi. Pour moi ton texte parait vraisemblable !! Bravo !!
Les indications temporelles structurent bien ton texte et permettent non seulement de rappeler une chronologie et installer un climat de suspens.
En revanche attention à l'anachronisme quand il dit '' béton '' à l'époque je ne suis pas sûr que le béton était un terme employé.
A un moment tu nous parles de média mais je ne sais pas de quoi tu parles car dans ton mail je n'ai eu que la photo avec ton texte et pas de lettre. Si tu l'a oublié tu peux me la renvoyer si tu veux :)
Encore une fois, RELIS-TOI BIEN ! Il y a des fautes que tu aurais pu éviter comme '' nous somme '' sans le ''-s'', '' me déposé '' c'est '' me déposer ''...Il y a encore pleins de fautes mais je préfère ne pas m'attarder là-dessus. Tu sais ce qu'il te reste à faire ;)
Voilà les notes :
5/5 Divers
2,5/ 5 Orthographe
4/5 Originalité
5/5 Contenu
Cela nous fait un total de 16,5 sur 20 !! Félicitation et progresse encore en orthographe pour avoir une meilleure appréciation la prochaine fois ! La note des autres membres du jury seront en commentaire.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top