Textes des participants.
Holà, voici tout les textes des personnes qui ont participer à notre mini concours. Je dois avouer que vous avez vraiment tous de belle plumes et beaucoup d'imagination. J'aurai pas pu faire mieux ça c'est sur. Je vous laisse lire c'est beau texte, vous pouvez dire vos avis dessus. ( Mais ne changera pas concernant les votes car nous avons déjà les texte gagnant oui oui deux texte, je vous explique tout sa, sur le poste suivant. )
Texte N°1. @ Elijahlamagicienne
Dure réalité...
Prison noire qu'est la réalité
Où les mensonges priment sur la sincérité
Où l'apparence est reine
Où il ne reste plus que la haine
Comment vivons-nous dans ce monde dénué de toutes valeurs ?
Dans ce monde où il ne reste que la peur et les pleurs ?
J'ai cru, enfant, que nous étions égaux
J'ai compris par la suite que c'était faux
Depuis lors il me semble
Que nous ne sommes pas faits
pour vivre ensemble
Car de cette fusion d'êtres humains que l'on nomme humanité
Il ne ressort que haine et cruauté
Si Dieu existe réellement, pourquoi nous a-t-il créés ?
Texte N°2. @Dark_famous
Une Renoi et un Babtou: Un amour interdit
Noir et blanc, différents mais fusionnels
Un amour qu'ils interdisent mais un amour réel
Un amour en garde à vu, leur fesant vivre dans une prison, un emprisonnement éternel.
Ils parlent d'égalité
Mais la couleur de peau nous prive de liberté
Ensemble, on s'était dit mais la valeur humaine n'est pas leur tasse de thé
T'inquiètes, l'hiver finit toujours par se faire chasser par l'été
Égalité de droits, ils nous trompent avec ces mots
En réalité, tout ce qui sort de leur bouche est faux
Laissez-nous la liberté de nous aimer, le temps de l'esclavage est révolu,
A jamais la chance de vivre comme il faut.
Texte N°3. @ projetmorjane
Traquées
Vivons heureux, vivons cachés,
Telle est la devise des gens traqués.
Mais comment disparaître à leurs yeux,
Quand on porte un voile sur les cheveux ?
Un bout de tissu qu'ils pensent être une prison,
Une insulte à leur démocratie, une provocation.
Ils voudraient qu'avec eux on fusionne,
Que notre foi, on l'abandonne.
La France, pays des droits de l'Homme athée.
Liberté, Égalité, Fraternité.
De belles paroles qui partent en vrille,
Dès que sont chassées de l'école ces filles,
Ces futures femmes de la République,
Accusées de trahison parce que jugées trop pudiques.
Comment pouvons-nous être égaux,
Quand vous nous regardez de haut ?
Comment construire ensemble un monde meilleur,
Quand nous ne partageons pas les mêmes valeurs ?
À force de nous chasser, ce sont vos âmes qui ont fuit.
Traquées, humiliées, bâillonnées, nous sommes l'Ennemi.
Texte N°4. @Sousmaplume
C'était partout autour de moi, dans l'air, dans la poussière. Dans le vent et dans le temps. Je sentais cette odeur si singulière, si particulière. Elle était pour moi un rayon de lumière, d'espoir qui me libérait, l'espace d'un instant, d'un moment. C'était doux et amer, comme une épice. Une délicieuse tentation, un exquis vice, auquel je ne pouvais succomber. Je n'avais plus que mon fin odorat, pour combler mon appétit. J'étais plongé dans le noir le plus total, plus sombre que les ténèbres encore, plus profond que son cœur. Elle m'avait aimé pourtant, je ne pouvais le nier, mais elle m'avait plongé ici, dans cette prison. Ensemble, nos âmes étaient fusions, mais je ne suis maintenant plus que trahison. Je nous avais cru égaux, mais je m'étais fourvoyé et l'avait usé, reniant mes valeurs et la parole de mon coeur. Elle avait été mon souffle, ma douleur, mon gouffre et mon bonheur. Nous avions vécus, elle m'avait cru. J'étais seul maintenant et je ne sentais plus que son odeur qui me hantait comme une lente douleur.
Texte N°5 @xX_Karim_Xx
Rose.
Cette bulle de lumière, cette prison de verre.
Mon seul habit, ma seule maison.
Je suis belle, en voici la raison.
Mes pétales sont de diamants, ma tige d'or blanc,
Ce mouvement gracieux, n'est-ce pas ravissant ?
Les passants hument, inlassablement,
Les nuées que je dégage, un parfum envoûtant.
Ils me courtisent, audacieux :
<< Vivons ensemble, vivons heureux >>
Malheureux !
Ne savent-ils pas que je suis prise ?
Le soleil est déjà sous mon emprise.
Il s'avança, resplendissant,
Me réchauffant, m'aveuglant.
Je lui offrit ma tige : voltige !
Il en eut le vertige.
Mes feuilles s'abandonnèrent à lui,
Sous leur charme, il luit.
Et de cette fusion, naquit Petit Blond.
A présent, mon soleil me dédaigne.
Ne connait-il ma valeur ?
Ne partage-il pas ma peine ?
Vous, les hommes, vous êtes tous égaux.
Preux, ingrats, idiots.
Quel toupet, quel culot !
Sauf mon petit blond,
Qui sera un homme bon.
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