Voici enfin les textes de nos participants au mini concours sur le thème du football!
Vous n'avez plus qu'à voter pour élire le meilleur texte en commentaire en précisant bien le nom du texte :

❌ Votes clos le 10 juillet ❌

Texte de @toorancorus

Depuis petit, le foot m'a passionné.
À partir de rien, j'ai débuté.
Après des années laborieuses d'entrainement,
Me voilà aimé de tout ces gens.
Grâce à eux, ma passion me fait vivre.
J'entre, et tout le stade vibre.
Mon père m'avait donné comme conseil :
N'abandonne jamais tes rêves.
J'ai fait en sorte de le suivre,
Après quoi je suis entré au Real de Madrid.
Je n'en croyais pas mes yeux,
J'étais parmi les chanceux.
J'ai remporté abondamment de victoire,
toujours plus incroyable.
Je suis Cristiano Ronaldo,
une légende du football.

Texte de @Just_Laurine

Formidable est cette équipe,
Où les occasions sont,
Omniprésentes et magiques,
Transformant un match en un moment fantastique,

Futiles sont les passes,
Où l'équipe adverse n'y peut rien,
Où les supporters crient de joie,
Tant l'espoire de réussir est présent,

France-Albanie,un match tellement rêvé,
Où les penaltys ne sont qu'extraordinaires
Où les coups-francs ne sont que parfaits,
Transformant un match en un moment fantastique.

Texte de @vanelope27 :

Moi, vous parlez de foot?
Mais vous êtes fous
Je n'y connais rien
Je sais, c'est pas malin

Mais j'veux participer
Montrer que je peux y arriver
Même si je ne connais que Neymar
Ouai, je sais, vous en avais marre...

Vous savez j'aime bien le foot
Mais les règles de jeu
J'les respecte qu'un peu

Faut que je vous parle de la coupe de quoi?
La vérité? J'comprends pas.
J'suis pas faites pour ça.

Bon, vous allez quand même me donner un prix?
Si c'est le cas, jvous remercie.

J'en demande trop?
Vous savez, le second prix,
Ça me va aussi!

Texte de @BeHimself :

L'excitation, l'adrénaline, le suspens,
Tous à l'heure quand les tribunes s'allument, prêt à l'attaque
A l'endroit même où la fraternité prend sons sens,
Tous debout à bout de souffle, et au bord de l'arrêt cardiaque,

Le commentateur hurle c'est le but !
Tous nous hurlons d'une seule voix, des cris de joie s'entendent crescendo,
Ici le monde deviens petit, et les « ils » deviennent des « on »,
Pendant que s'égrènent les minutes

Les poteaux, les fautes et les buts font hurler mes frères et mes sœurs,
Plus de limite, tant que le ballon est sur le terrain,
Les joueurs et les spectateurs tous de la même couleur vêtues, ne fessant qu'un,
Mais voilà, bientôt le sifflet de l'arbitre jouera son aire,

Et tout le monde repartira le sourire aux lèvres,
Et les larmes en grèves, Jusqu'où irons-nous ?
Pour l'amour d'un maillot et ses pulsions,
Très loin même si c'est pour d'une illusion.

Voici ensuite quelques textes qui ne participent pas à la compétition, c'est juste pour le plaisir :
[HORS COMPÉTITION, c'est à dire qu'on ne peut pas voter pour ces textes là]

Texte de @PlumeTurquoise :

L'issue de cette finale, regardée par des millions de gens, présents dans le stade ou derrière leurs écrans de télévision, est inévitable. L'enjeu de la coupe n'est pas importante que pour les deux équipes. Elle est aussi importantes pour tous leurs supporters, qui les suivent depuis le début du tournoi. Alors que les quatre-vingt-dix minutes de jeu viennent de s'écouler, ainsi que les trois minutes de temps additionnelles, le score reste à un partout. Le match ne peut se terminer sur un score égal. Les joueurs ont quelques minutes pour se concerter avec leur coach, afin de définir la meilleure tactique de jeu. Les supporters, eux, ont encore plus de temps pour retenir leur souffle, pour souffrir de ce sort, de penser à tous les scénarios possibles et imaginables pour la fin de ce match qui annoncera la fin de ce tournoi européen.
Malgré les prolongations, rien n'y fait. Les deux équipes restent au score nul. Pour les départager, ce sera la séance tant redoutée par tout le monde : les tirs au but. Chaque équipe définit cinq tireurs, qui tenteront leur chance, face au gardien de l'autre équipe. Un face à face plus que stressant. Et alors que chacun des joueurs se prépare mentalement à tirer, le stade tout entier retient son souffle. Aussi bien les supporters de l'équipe qui tire que les supporters de l'équipe adverse. Et alors que les deux équipes ont donné tout leur possible pour gagner cette coupe, l'inévitable arrive. L'une d'entre elles sort vainqueur et remporte le titre de champions.
Et c'est à ce moment, que le stade se divise en deux parties bien distinctes. La partie joyeuse, festive de ceux qui viennent de remporter le duel, et de leurs supporters, qu'on appelle le douzième homme car sans supporters, une équipe ne peut aller aussi loin. Ils sont aussi importants que n'importe quel joueur ou technicien de l'équipe. Ceux-ci vont fêter le titre toute la nuit, entre eux. Ils vont envahir les rues de la ville, les bars et vont boire jusqu'à ne plus tenir debout. Ils vont crier leur joie sur tous les toits. Ils vont s'embrasser, s'enlacer, rigoler ensemble.
Et il y a les autres. Les moins chanceux. Ceux qu'on qualifiera de vice-champions mais qui ne veulent clairement pas de cette étiquette, maintenant, pas à chaud alors qu'ils ont tout donné pour réussir à remporter ce titre. Ceux-là pleurent, dégoûtés de leur défaite. Les joueurs sont déçus, ont honte d'avoir tant fait rêver leurs supporters pour une illusion. Les supporters pleurent de voir leur équipe favorite échapper de justesse à cette coupe. Et ils ne pensent qu'à une chose : rentrer chez eux et pouvoir pleurer autant qu'ils le voudront sans être jugés. Ils souhaitent sortir de ce stade au plus vite et ne plus avoir à supporter la joie de l'autre équipe, qui leur rappelle à quel point ils sont passé près du titre de champions.
Mais ces deux émotions fortes et contradictoires sont la beauté même de ce sport.

Texte de @PrincessPC13 :

Une chant de gloire qui s'élève,
Des cris qui fusent de toute part,
Des voix qui se répondent et s'unissent,

Des mains et des bras qui s'agitent dans les airs,
Des écharpes, des drapeaux, des symboles poussés vers le ciel,
Un moment de plénitude, de sensation intense, d'explosion de joie,

Puis une hésitation,
Un silence, un instant,
Le moment tant attendu est enfin là.
On a marqué.
La victoire est là, comme on l'attendait.

Vous n'avez plus qu'à voter pour votre texte préféré parmi les 4 précédents en compétition!

À vos claviers !

@LaPageDuPartage @PrincessPC13