Prix-Julien

ATTENTION SPOILER ALERTE!!!
VEUILLEZ VOUS ASSUREZ D'AVOIR LU LE ROMAN AVANT DE LIRE CE ONESHOT.
ATTENTION SPOILER ALERTE!!!

Le jeune garçon de 8 ans était assit sur son lit à brosser les cheveux de sa mère assit au sol devant lui. Il y allait tout doucement. Répétant son geste lentement. Lorsqu'il allait être des plus doux et soyeux, il allait lui tresser les cheveux. Ça allait être une bonne journée. Il fallait que ce soit une bonne journée. Malheureusement, un noeud qu'il n'avait pas vu, se prit dans les dents de la brosse. Soudain la tête de sa mère pencha légèrement par derrière tirer par le mouvement de son fils. Julien retira la brosse des cheveux de sa mère et retient sa respiration. Il l'entendit pousser un long soupir de découragement.

"Tu sais que je pourrais te couper la tête d'avoir été si disgracieux pendant la préparation de ta reine."

"Je suis navré mère. Ceci ne se reproduira plus."

Mais la femme se leva déjà un sourire mauvais aux lèvres. Les lunettes du petit garçon glissa sur son nez et d'un geste nonchalant, il les repoussa.

"Regarde toi. Un prince ne devrait jamais ce comporter comme ça. Tu as le dos vouté et tu baisse le regard."

"C'est que..." commença le jeune garçon en redressant son dos. "Je ne baisse pas le regard devant les autres. Juste vous."

Mais sa mère lui aggrippait déjà les cheveux pour le tirer en bas du lit. Il tomba à genou s'éraflant la paume de main sur le sol et retient ses larmes pendant que sa mère tirait plus fort sur ses cheveux.

"Vous me faites mal, mère." Ce lamenta le garçon.

"Un futur roi ne se lamente pas." Dit-elle en le relâchant et lui administrant un coup de pied.

Le fils eut la seul et unique chance de gémir quand son père traversait le couloir. Alertait par le bruit, il ouvrit la porte de la chambre de son garçon pour voir sa femme donner un second coup à leur garçon. Il se précipita vers elle pour l'éloigner immédiatement.

"Qu'est-ce que tu fais! Ne le frappe pas."

"C'est qu'un petit ingrat tout comme toi." Lui répondit sa femme lui assénant une gifle et tentant de le faire lâcher sa prise sur son bras.

"Tu as prit ta médication ce matin?"

La femme lui asséna un autre coup, mais le mari beaucoup plus fort et solide la martrysa pendant que hystérique, elle se mit à hurler.

"Julien va jouer chez Camélia le temps que ta mère se calme." Demanda le mari tentant de la faire taire en plaça sa main devant sa bouche.

Le jeune garçon se leva doucement du sol, épousseta ses vêtements. Repeigna ses cheveux de ses doigts avant de quitter la pièce. Il traversa le jardin et se trouva devant la maison voisine avant de refaire sa routine et enlevant les plis de ses vêtements et défaisant les noeuds dans ses cheveux. Puis il cogna tentant de calmer sa respiration. Un homme ouvrit la porte en le dévisageant.

"Camélia, ton ami est à la porte."

Une jeune fille descendit les escalier a grande vitesse avant de ce planter devant Julien.

"Bonjour Juju!"

"Bonjour Camélia."

"Mes parents mon acheter des pouliches, vient voir!" Dit la fille en lui aggrippant la main et le tirant vers sa chambre.

Arriver à destination, elle lui relacha la main sachant qu'il n'appréciait pas qu'on le touche trop longtemps et s'assit au sol devant une dizaine de poney multicolore. Julien l'imita en s'assurant de ne faire aucun pli dans ses vêtements, ajusta son dos pour qu'il soit droit et releva le menton en aggrippant un cheval.

"Tu veux m'aider à tresser leur crinière? C'est toi le meilleur pour ça."

Elle ouvrit une boite d'élastique miniature et lui tendit une brosse en plastique rose qui venait avec un ensemble de barbie.

***

Julien observa les garçons de sa famille d'accueil jouer dehors au ballon. Il quitta la fenêtre pour changer de chambre et allez dans celle des filles. Elles étaient trois âgé entre six et douze ans. Assis en cercle au sol, elles jouaient tranquillement à la poupée.

"Je peux jouer avec vous?" Demanda Julien en voulant prendre l'une des poupées au sol.

"Non, va-t-en le bizarre." Répondit la plus vieille des filles. "Les gars jouent au ballon. Va jouer avec eux."

"Je préfère jouer à la poupée." Répondit Julien en la dévisageant malgré qu'elle était plus âgé que lu.

"Tu es aussi folle que ta mère! Ses pour sa que ta plus de famille."

"C'est faux. Mon père est censé revenir me chercher. Il me l'a dit hier au téléphone."

"J'ai entendu dire que ton père ses un alcoolique." Renchérit la fille.

Julien haussa les épaules. Il n'aimait pas cette maison. Il n'aimait pas cette famille. Sa mère dirait que c'était tous des paysans arriérées et cette pensé le fit sourire. Il avait hâte que la police lâche son père pour rentrer avec lui. Il pourrait alors recommencer à jouer avec Camélia à la poupée. D'ailleurs parlant de son père, une sonnette retentit dans la maison et sa mère de substitut l'appela. Il alla donc à l'entré pour voir son père l'observer avec désintérêt.

"Va chercher tes choses Julien. Je te ramène à la maison."

Le jeune prince obeit allant chercher son sac déjà tout en ordre. Bien élevé et pour ne pas que les paysans se sentent désapprécier, il remercia sa fausse mère de l'avoir héberger durant la semaine et s'abstient de tout commentaire sur la propreté des lieux. Puis il rejoignit son père qui l'attendait dans sa voiture. Aucun câlin ni prise de main à l'horizon. Ils avaient été séparer une semaine durant laquel la police avait mis leur nez dans leur chose, mais ni l'un ni l'autre ne semblait montrer un manque.

Arriver à la maison et abandonnant son sac dans la voiture, il se dirigea vers la maison de Camélia. Il fit sa routine de beauté avant de cogner. Il avait hâte de revoir son amie plus que son propre père. Sa mère n'avait pas été gentille avec elle la semaine passé, mais tel un bon prince, il l'avait protéger.

Quand la porte s'ouvrit sur le père de son ami, il attendit qu'il l'appel, mais le père ne fit rien.

"Tu étais pas chez les fou toi?"

"Pardon?"

"Approche toi plus de ma fille. Je croyais qu'on se serait débarasser de votre famille quand la police à débarquer."

Julien tourna son regard vers son père qui se dirigeait vers la maison avec son sac.

"Ma mère est dans un hôpital pour traiter sa maladie, mais moi et mon père ne sommes pas malade." Expliqua doucement le jeune garçon. "Est-ce que Camélia est là?"

"C'est quoi ta pas compris? Approche toi plus d'elle. Hors de question que ma fille se fasse blesser par ta faute." Dis l'homme avant de lui claquer la porte au nez.

Julien haussa les épaules sans plus de cérémonie. Il allait la revoir à l'école de toute façon. Pourtant le lendemain, lorsqu'il se dirigea à son bureau, elle devient livide.

"Bonjour Camélia. Je suis revenu. On pourrait faire de la corde à sauter tout les deux."

"Euh... j'ai plus le droit de te parler." Dit simplement la fille en quittant sa chaise.

"Pourquoi?"

"Mes parents disent que tu es dangereux."

"Non, je ne le suis pas."

"Ouais bah... ta mère me fait peur."

"Elle n'est plus à la maison. Elle est à l'hôpital."

"Julien, j'ai d'autre ami maintenant. Je peux plus te parler." Dit-elle simplement avant de partir rejoindre un groupe de fille qui le devisageait. En fait toute la classe semblait le dévisager.

***

Voyant son père commencer à boire plus qu'il ne faut, il était devenu en colère. Du haut de ses 14 ans, ils devaient vraiment être la seul personne responsable dans cette maison? Il se dirigea vers la cuisine et prit une bière dans le frigo pour l'ouvrir et la vider dans le lavabo. Il recommença son geste avec tout l'alcool qu'il put trouver jusqu'a ce que son père entre dans la cuisine se revitailler.

"Qu'est-ce que tu fais?"

"Je vous apprend la sobriété, père." Dit-il entre ses dents serrer.

Erreur, son père le tira par le bras avant de lui asséner un coup qui le propulsa au sol.

"Petit merde. Mon alcool!"

Sans attendre le prochain coup, Julien se leva et quitta la maison entendant son père l'insulter. Marchant dans la rue, il serra son poing encore et encore ayant juste le goût de frapper dans quelque chose. De faire souffrir un autre que lui. Il aimerait tant voir un autre personne que lui souffrir de son existence.

Il releva la tête pour apercevoir un chien qui boitait sur le bord de la route. Il l'observa un moment sans bouger avant de se diriger vers lui. Qu'elle proie facile. Un animal blessé et abandonner. Il se pencha et appela la bête qui se tourna vers lui. Elle se mit à boiter dans sa direction et Julien lui tendit la main laissant la bête mettre sa patte blessé dans sa paume ouverte. Julien serra sa prise et observa le chien qui gémissait devant lui.

Il glissa son regard vers sa patte pour remarquer des morceaux de verre incrusté dans ses coussinets. Doucement il vient enlever les morceaux un à un. Jusqu'à ce qu'il n'en reste plus. Le chien déposa doucement sa patte au sol avant de venir lui lécher la main. Aussitôt, le faux roi se leva dégoûter. De la bave de chien, dégoûtant. Il observa la créature reprendre son chemin boitant beaucoup moins.

Pauvre âme innocente. Personne ne mérite de souffrir ainsi. Il devait trouver quelqu'un pourtant. Quelqu'un  qui serait d'accord d'avoir mal. Un garçon de préférence. Il avait regarder des sites internet intéressant entre garçon. Il ne savait pas ce qu'il y avait de plaisant dans la douleur, mais s'il pouvait se trouver quelqu'un qui appréciait, il pourrait non seulement libérer sa rage, toute en se faisant plaisir.

***

Camélia avait cogner à sa porte à peine cinq minutes après que sont père soit partie. Il leva les yeux au ciel en l'apercevant.

"Salut Julien."

"Bonjour Camélia. Que me désires-tu?"

"Mes parents ne sont pas à la maison ce soir et visiblement le tien non plus, alors je me demandais si tu voulais qu'on regarde un film ou je sais pas?"

"Tu ne me parle pas pendant des mois et tu viens me proposez un film?"

"Tu m'ignores dans les couloirs de l'école!" S'insurgea la fille.

"Oui, tout comme tu m'as ignorer pendant longtemps."

"Julien, j'étais jeune et j'avais peur."

"Tu as encore peur visiblement."

"Non, c'est faux!"

"Alors pourquoi avoir entendu le départ de mon père?"

"Il... j'ai pas entendu son départ."

"De toute façon je refuse ton offre. J'attend quelqu'un."

"Quelqu'un? Qui? Je le connais? C'est un garçon?"

"Tu ne le connais pas, mais oui, c'est un garçon."

"Et vous vous êtes rencontrez comment?"

"Sur internet. Dois-je réellement te raconter chacun de mes faits et geste?"

"Non, mais tu la déjà vu en vrai?"

"C'est ce que je vais faire lorsqu'il arrivera."

"Julien ça pourrait être n'inporte qui! Un vieux monsieur de 50 ans qui ce fait passer pour un jeune par exemple."

"D'accord."

"Tu t'en fou?"

"Un peu oui."

"Mais Julien..."

"Camélia je te demanderai de rentrer chez toi. Je crois que je vais être capable de le gérer. Peut-importe qui il est vraiment, c'est plus lui qui devrait avoir peur de moi."

La fille voulut rajouter quelque chose, mais son ancien ami lui ferma déjà la porte a nez. Vingt minutes plus tard le son de la sonette retentit et Julien alla ouvrir pour ce retrouver face à un punk avec beaucoup trop de percing au visage. Le garçon visiblement plus âgé que lui de 5 ans l'observa un moment avant de baisser le regard.

"Bonjour maitre."

"Entre." Dit simplement le garçon au cheveux long avant de le laisser passer. Il observa la maison voisine voyant Camélia l'espionner de la fenêtre. Il roula des yeux espérant qu'elle soit rassurer de l'âge du garçon. Il se tourna d'ailleurs vers lui. Parfait, il devait être habitué à la douleur avec tout ses percings.

***

Camélia vient plaquer ses mains sur la table ou Julien c'était assis avec son plateau repas. Peut impressionnable, il leva simplement la tête pour l'observer en levant un sourcil.

"Ju, tu devrais dire à Rémy de venir manger avec toi." Dit-il en pointant un garçon blond ancienne populaire qui s'installait à une table seul.

"Je n'en vois pas l'intérêt."

"C'est ton petit-copain."

"Et alors?"

"Il n'a plus personne. Ça lui ferait plaisir que son copain le soutien après... le drame et les révélations que ses parents ont apporter à l'école."

"Camélia, je doute que mon soutient est ce qu'il veut. Je te signale que je ne suis pas la personne la plus apprécier de l'école."

"Mais il t'apprécie."

"Sa réputation compte beaucoup pour lui. Déjà ils affrontent le regard des homophobes de notre merveilleuse école, si j'irai le rejoindre, il devrait aussi affronter le regard de tout ceux qui ne m'apprécie pas et ils sont nombreux. S'il veut mon soutien, il viendras de lui même le chercher, je lui évite l'humiliation d'être vu à mes côtés."

"Tu est vraiment idiot." Dit Camélia en s'éloignant.

Julien commença à manger avant qu'un ombre passe sur lui.

"Je peux manger avec toi?'' demanda Rémy le regard rivé au sol.

''Tiens donc. Tu veux faire parler de toi en grand. Non seulement tu es gay, mais en plus tu veux manger avec un sous-être comme moi.'' Répondit Julien sarcastiquement et d'une voix forte et confiante.

Rémy rougit violemment.

''Et bien on sort ensemble, non? Si je dois assumer mon homosexualité, je le ferais au côté de mon copain.'' Tenta Rémy d'une petite voix pour que le moins de personne possible l'entend.

Le brun retient mal un sourire en coin puis il fit signe à Rémy de prendre place.

''Quel est la suite du programme, maître?''

***

Le prétendu roi se tourna dans le lit pour faire face à son petit-ami qui ronflait à ses côtés. Il avait réellement envie de lui donner un coup pour qu'il tombe en bas du lit et que le bruit cesse. Il se retient néanmoins, tentant de frêner son désir sadique lorsqu'il n'était pas en scéance de jeu. Il vient donc pincer le nez de Rémy qui maugréa en se réveillant.

"Quoi?"

"Tu ronfles. Arrète de ronfler."

"Je ne ronfle pas."

"Si!" Vient en aide Camélia qui se redressa de son lit de camp au pied du lit des garçons. Les trois avaient passer leur soirée ensemble.

Le blond se retouna dans le lit en maugréant que c'était n'importe quoi et Julien lui donna le fameux coup de pied qui le propulsa au sol.

"Aie!"

"Reste au sol si tu peux pas contrôler ta respiration." Dit-il froidement.

Camélia sauta alors sur le lit pour s'approcher de lui.

"Soit plus gentil avec Rémy. Vous sortez ensemble!"

"Et alors."

"Et alors dans un couple on est doux et compréhensible."

Des bruits à la porte ce fit entendre et elle s'ouvrit doucement pour qu'une silhouette entre. Ne voyant que du flou sans ses lunettes, Julien présuma son père qui fut confirmer par le son de la voix.

"Tout va bien ici? J'ai étendu un bruit étrange."

"Rémy est tomber tel un bébé qui a besoin d'une barrière pour ne pas glisser en bas d'un lit." Dit Julien un sourire moqueur.

"Ah... ok. S'il y a de quoi les jeunes, hésiter pas."

Puis il quitta la chambre et Camélia se choqua.

"Julien! N'humilie pas Rémy devant ton père quand même."

"Pourquoi pas. Lui il me faisait le coup devant toute l'école."

Rémy se redressa doucement en tirant la langue.

"On peu oublier le passé? Je me tenais avec de mauvaise personne et puis tu tes assez venger."

"C'est vrai, mais c'est tellement amusant." Approuva Julien qui aimait plus que tout ce jeu de pouvoir qu'il avait maintenant.

"Rémy!"

Le faux roi se tourna vers Camélia intrigué. Sans ses lunettes, il ne voyait que le monde embrouiller. Qu'avait fait son esclave pour énerver la fille?

"Il y a un problème."

"Non, aucun!" S'empressa-t-elle de dire gêner.

Et maintenant elle lui mentait. Il aggrippa ses lunettes pour retrouver le vision et ne vit que Rémy ricaner en s'installant sur le matelas de fortune que Camélia utilisait quelques secondes plus tôt. Bien, de toute façon, il n'avait pas besoin de bonne raison pour mordre au sang le corps de son copain. Il se vengerait peut-importe l'affront imaginaire qu'il avait subit. Il retira ses lunettes et se recoucha pendant que Camélia prenait la place à ses côtés.

***

"Puis-je savoir ou tu m'amènes?" Demanda Julien à Rémy en regardant par la fenêtre de la voiture les bras croisé.

Il n'aimait pas quand Rémy prenait des initiatives. C'était lui qui était censé décider. Tout le temps. Pas Rémy. Surtout qu'il avait la plupart du temps des idées merdiques.

"J'ai contacter des appartements et je me suis dis, qu'on pourrais les visiter. Ils sont proche du cégep et pas trop cher. Pour nos études et car je suis fatigué de me promener entre ta chambre et le divan de mon frère."

"Mmmh."

"On avait parler qu'on voulait tout les deux devenir indépendant et possiblement vivre ensemble, alors je me suis dit que c'était une bonne idée."

"Si tu le dis." Dit simplement Julien en continuant de regarder par la fenêtre.

Il n'appréciait pas. Ça voulait dire que son copain avait sélectionner des appartements sans lui. Sans qu'il est pu donner son mot dessus. Bien sûr, ils n'allaient emménager que dans celui qu'il donnerait son approbation finale, mais il aurait aimer être en charge de tout le processus. Il serra les dents mécontent.

"Tes cheveux poussent vite." Tenta Rémy pour enlever le silence dans l'habitacle.

Julien observa son reflet dans la vitre. Ses cheveux noir arrivait jusqu'au oreille, considérant qu'il y avait trois mois, il était rasé à quelques millimètre, effectivement on pouvait considérer qu'il poussait très vite même. Il se tourna vers le blond qui les tenait jusqu'à son menton.

"Il ne pousseront pas plus. Je vais m'assurer qu'il reste court."

"Cool. Tu étais beau avec les cheveux long aussi tu sais."

"Ça me rappelle trop ma mère. J'ai pas envie. Imagine qu'il te prenne l'idée de les tirer."

Rémy hocha la tête. Il n'aura jamais oser, sinon il se ferait fouetter.

"Moi tu peux me tirer les cheveux autant que tu veux." Dit-il avec un sourire coquin en se tournant vers son maitre qui leva un sourcil.

"J'ai pas besoin de ton approbation pour ça."

"Ta besoin que je dise pas mon safeword du moins."

Visiblement il regretta ses paroles immédiatemment en voyant le regard meurtrier que Julien lui envoya. S'il passait la soirée ensemble, il allait recevoir cinq coups pour son commentaire. Dix s'il était d'humeur sadique et Julien était souvent d'humeur sadique.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top