PDV Adrien :

Quelqu'un toque a la porte de ma chambre. En ouvrant j'imagine tombé sur Isabelle ou Speedy qui vont me dire encore une fois que je ne suis pas faible, mais non. Ellena se tient devant moi, une pile de vêtements dans ses bras.

-Salut... dis-je gêné, Tu veut entrer ?

Elle met un peut de temps à répondre.

-Nan, c'est gentil. Mais ta soeur m'as juste envoyer te donner ça. dit-elle en me donnant les vêtements avant de répartir précipitamment.

Je reste sans comprendre sa réaction. Avais-je fait quelque chose qui ne lui avait pas plu ? Je décide d'aller la voir plus tard. Je me pose les vêtements et enlève les miens. J'enfile ensuite ceux qu'Ellena m'a apporter. Le t-shirt blanc est un peut trop grand, le jean me va plutôt bien et les baskets bleus sont confortables. Soudain la porte explose et Speedy se tien devant moi.

-Nan mais t'es malade ! De un : tu casse ma porte, de deux : tu m'as fait une peur bleu !
-Désoler mais il fallait absolument que je sache !
-Speedy tu aurait pu ralentir l'allure !!! hurle ma soeur qui venait d'arriver et qui ne semblait pas le moin du monde dérangé par ma porte en morceau
-Nan j'aurais pas pu ! s'exclame Speedy en me fixant un grand sourire
-Alors ? me demande Isabelle
-Alors quoi ? demandè-je sèchement

Speedy et Isabelle se regarde interloqués.

-Et bah ... Avec Ellena ... dit Speedy
-Tu lui a dit !? hurlè-je a Speedy en montrant du doigt Isabelle
-Ouais mais m'en veut pas mec, elle ...
-Mais je t'avais dit de garder ça pour toi !!!
-Adrien ! hurle Isabelle, Elle t'aime aussi !

J'écarquille les yeux, j'en reste sans voix. Des milliers de choses se bouscule dans ma tête. Comment est ce possible ? Et si elle m'aimait vraiment ? Pourrais-je.... Non, je n'ose même pas pensée a ça. Et je n'ai même pas de preuve pour affirmer qu'elle aussi à des sentiments pour moi.

-Je... Comment vous... Elle vous l'a dit ? Dis-je en bégaillant
-Pas exactement mais on est sur. dit Isabelle
-Mec faut vraiment que vous vous parliez ! s'exclame Speedy
-Je sais pas... Faut que je réfléchisse... murmurè-je
-Mais... voulut protester Isabelle
-Ok. la coupe Speedy, Mais réfléchis bien.

Puis il sort de ma chambre en tirant ma soeur par le bras. Je m'affale sur mon lit épuisé, je n'ai rien fait et pourtant j'ai l'impression d'avoir fait le tour de l'île en courant. Le si beau visage d'Ellena s'imprime dernière mes paupières closent. Relevant la tête, je ragarde les morceaux de ma porte que gisent a terre. Je tend mon bras vers l'encadrement de ma porte et en créé une en glace pour compenser le manque. Je me lève, prend un balais dans mon placard et balay les gisements de mon ancienne porte. A peine ai-je terminé que quelqu'un toque a la porte.

-Entrez ! crie-je

Isabelle entre et me jette un sourire amusé.

-Sympa ta nouvelle porte ! me lance-t-elle
-Fallai bien que je trouve quelque chose. dis-je en haussant les épaules
-Et, elle ne fond pas ?
-Nan, pas tant que je ne le souhaite pas ...
-Tu créé de la glace qui ne fond pas, tu te transforme en gros glaçon et tu ose dire que tu est faible !

Elle croise les bras et me jette un regard noir. Je baisse les yeux, je sais qu'elle ne me comprend pas. Elle qui est si forte.

-Tu m'énerve l'iceberg! Tien, t'auras moin froid. dit elle en me donnant un sweet.

Je prend le sweet et l'examine. Il est tout blanc avec un flocon bleu dans le dos. Exactement pour moi ! Je relève la tête pour la remercié mais elle est déjà parti. Je me lève et sort, j'ai besoin de prendre l'air. En chemin j'enfile le sweet. Je descend les escaliers rapidement, la tête baissé, je ne veut parler à personne. Dehors le temps est plutôt moche, il fait frais et de gros nuages noirs pointent a l'horizon. Je me dirige vers la bibliothèque. Mes pensées swinguent entre ce qu'il c'est passé ce matin dans la salle d'entraînement et Ellena. Si bien que je ne voie la personne qui ce tien devant moi qu'en lui rentrant dedans. Je relève la tête un peut étourdis.

-Tien, tien, mais c'est notre glaçonnet préféré! dit une voie masculine

Cette voué je la reconnaîtrait entre mille. Johnathan. Je le déteste ! Il est plutôt grand avec des cheveux blonds et des yeux verts, il est métamorphe comme Mila. Il se croit le plus fort et bien sur son souffre douleur c'est moi ! Il m'en fait voir de toute les couleurs ! Je pris intérieurement pour qu'il ne me casse pas le nez aujourd'hui, j'ai pas vraiment la tête à ça. Mais décidément c'est pas mon jour, a peine ai-je voulu le contourné qu'il m'as attrapé pas le bras et jeté par terre.

-Alors glaçonnet ? Tu m'évite maintenant ? ricane-t-il

Je grogne.

-Lâche moi connard !

Il éclate de rire. Ce qui me met encore plus en colère, moi qui est si calme d'habitude. Je me surprend tout seul. Oui je sais ça devient grave .... Mais on est jamais mieu servis que par soi-même! Je me relève et lance un regard noir a Johnattan qui, a mon plus grand étonnement, perd son sourire. Il jette un regard a ses potes qui semble comprendrent un message que je ne saisis pas. Ils nous entourent et ne me laisse aucun échappatoire. Johnattan me regarde comme un félin regarde sa proie favorite.

-Alors Adrien, on se rebiffe devant plus fort que soie ? sussure-t-il, Tu vas le regretter petit.

Sur ce, je suis projeté en arrière et me fracasse le dos en retombant. Le coup me coupe le souffle. Impossible de ma relevé, je roule sur le côté mais me prend un coup de pied dans le ventre. Le goût de fer emplis ma bouche et je tousse, éclaboussant le sol de sang. Johnattan ricane et se prépare à me frapper une nouvelle fois mais au dernier moment je me transforme en glace. Sous le choc, il recule rapidement. Avec mes dernières forces je me lève et par une énergie que je ne me connaît pas, enchaîne mes frappe. Une droite dans la tête, une gauche dans le ventre, un coup de pied entre les jambes, un coup de coude a l'arrière de son crâne et il s'effondre. Ses amis me regardent incrédules. Je regarde Johnattan qui gît à terre, me perdant dans mes pensées. Avais-je vraiment fait ca ? Relevant la tête je vit que les potes de Johnattan avaient disparus et qu'à la place des soldats en uniformes pointaient leurs armes sur moi.

-Ne bougez plus ! hurla un des hommes, Vous êtes cerné, vous ne pouvez pas vous échapper ! Mettez vos mains bien en évidence !

Je m'exécute sans bronché. Deux soldats vinrent me memoter alors que les autres me tenaient toujours en joue. Il me prirent chacun un bras et m'emmène je ne sais où. Quand j'entendis un voie familière appeler mon nom je relève immédiatement la tête et regarde autours de moi. Je les vois; Speedy, Isabelle, Mila, Mark, Timmy, Valentin et ... Ellena. Ils me dévisagent stupéfaits et inquiets. J'essais de me libéré de mes gardes en gesticulant dans les sens mais l'un d'eux me donne un coup violent sur le crâne et ce fut le noir totale.

Un petit peut plus d'actions même si c pas grand chose. Je vais essayer d'accélérer un peut les choses. BISOUS

Votre dévoué Émilie