coup mortel

Aujourd'hui, je ne suis pas allée en cours. J'étais bien trop fatiguée de ma nuit blanche, ou devrais-je dire, demi nuit ?
Puisque après avoir laissé mon corps se trémousser, le sommeil ma enfin trouvé.
Demain, je serai en weekend, ce qui me laissera encore un petit peu de répit. Mais lundi...
Ça y est, nous sommes lundi, et j'ai peur, j'ai très peur . Je suis dans un collège certe, mais je ne m'y s'en pas en sécurité pour autant.

5 mois auparavant :

- "Putain, Neïma, mais tu te rends compte ? Il te kiffe meuf !"
- "Charlène, t'ai toi tout le monde va t'entendre. "
- " Meuf, t'es obligé de dire oui ! C'est obligé !"
- "Mais enfin Charlène, je ne le connais pas. C'est insensé."
-"On s'en tape. Ce mec là, c'est une bombe, et toi t'es une bombasse."
- "Tu m'énerve." Je lança en lui donnant une légère, même très légère claque sur l'épaule.
- "Salut ma belle."
À qui appartient cette voix, et de quel droit, cette enfoiré ce permet de me surnommé "ma belle" ?!
Et bien, ça y est, j'ai ma réponse.
- "Salut Gabe, on n'était justement entrain de parler de toi. " En disant ces mots, elle me fit un clin d'œil discret, suivie d'un sourire au coin.
Charlène, c'est officielle. JE VAIS T'ENTERRER VIVANTE !
Oups, je viens de me rendre compte qui je sourie. Je veux dire d'un mauvais sourire. Vous savez, celui des psychopathes. Et bien là, j'ai l'air d'une psychopathe justement. A n'en pas douter.

Cela fait maintenant deux heures que je suis ici. Que je suis cloîtrée dans ces toilettes, celles de mon très chère mal aimé, collège.
Je veux rentrer chez moi .
Je n'en peux plus.
Dix heures vingt , je me décide enfin à sortir. Je me lave les mains, puis passe un petit peu d'eau sur mon visage palie par la peur.
Allez Neïma, il faut sortir désormais.
Sortir, c'est ce que je voulu faire, ce que je m'étais résonné à faire. Mais il ne m'en laissa pas le temps.
Le jeune homme qui m'avait attrapé par la taille il y a quelques jours, ce tenais désormais devant moi.
Il va se produire quelque chose de grave, je le sais .
Alors même que je m'apprêtais à encaisser la pire des sentences, il posa une de ces mains sous mon menton.
- "Regarde moi .Il me chuchota à l'oreille. Pourquoi s'en cesse baisser les yeux ?" Il continua.
Désormais, mes yeux étaient plongés dans les siens.
- "Pardonne-moi pour ce que je vais faire princesse."
Il se rapprocha de moi, me plaqua contre le mur . Désormais, sont regard était dur. Il me faisait peur. Il était affamé. Affamé de sex .
Il me caressa la cuisse, j'étais comme figé, et n'avais plus la force de bouger. Contre lui, je ne faisais pas le poids, et je le savais.
Il enfonça deux doigts en mois. Après m'avoir déshabillé entièrement, il enfonça en moi son sexe .
Ça me fait mal, je t'en supplie, arrête.
Les va et viens lorsqu'il s'enfonçait en moi, me répugnait et me donnait atrocement envie de vomir.
Il se retira, enfonça une dernière fois un doigt dans mon sexe , puis lécha ce doigt.







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