PDV DU CHEF

Je marchais encore et encore dans cette foutue entrée de ce foutue hôpital. Une sirène retentit et les lumières bleus du camion s'arrêtèrent pour ce trouver à l'extrémité d'où je me trouve, des médecins accoururent simultanément en criant des ordres aux subordonnés qui s'exécutèrent, c'est à ce moment seulement, lorsque des hommes vêtus d'une blouse blanche descendant un brancard avec un homme vêtu de noir que j'accouru également. Jimin. Un des nombreux médecins me poussa et regardait l'état de son patient que l'on ne peut même plus décrire comme un état. Un agents de la E.K.S.A descendu et me fit comprendre qu'il voulait me parler.

- Chef, le gouverneur à été mis sous surveillance dans nos locaux de secours, mais comme vous pouvez le constater, l'agent Park est dans un très mauvais état. Lorsque nous l'avions retrouver, il respirait à peine.

- Très bien, reste ici et fait venir des renforts pour les chambres des agents Park et Kim. Je m'occupe du gouverneur.

- D'accord.

Sur ce dernier mot, je le quittai et partis vers les locaux de secours de notre agence.

* suite du flashback du chapitre précédent*

PDV YURI

Nous étions a présent sorti du véhicule et des balles avaient déjà fait plusieurs morts, au loin, je pouvais apercevoir du renfort qui était destiné pour nous. D'un coup Jimin me plaqua à terre telle un joueur de rugby ce qui me fit éviter de justesse un des projectiles d'un revolver que des tireurs adversaire tiraient. Ma tête heurta fortement le sol et Jimin m'écrasait de tout son poids. Il se releva vite et m'entraîna derrière notre voiture.

- Imbécile! Concentres toi!

Comme une gamine de douze ans je m'excusai et nous nous concentrions sur ce qui se passait devant nous.
Des agents appartenant au gouvernement, évacuèrent le garçon et étaient partie nous laissant sous les coups de feu des ennemies. Nous étions fichu, nous n'avions plus de voiture, juste nos jambes pour pouvoir nous enfuir. Un bruit strident retentit et nous cassa littéralement les oreilles. Profitant de cette opportunité, les personnes du camp opposé tentèrent de reprendre l'une de leur voiture et de se mettre à la poursuite du fils du gouverneur. Jimin pris le réflexe de tirer sur les pneus ce qui évacuait leur possibilité de poursuite mais pour désavantage cela diminuait nos chances de s'en sortir. Bordel qu'est ce que l'on pouvait faire à présent. Les personne masqué sont à présent sur les nerfs et  on en subira les conséquences si nous nous en allons pas immédiatement. Nous n'avions rien à part notre arme et un couteau, toute nos munitions sont dans notre coffre et nous pouvions pas les atteindre de peur d'être à découvert. Ce qui ce concluait à être dans la merde ou plutôt dans de la bonne diarrhée. Je regardais Jimin ne sachant plus quoi faire, nos compétences d'évaluer un plan en quelques secondes étaient mises à rude épreuve à cet instant précis. Je cherchais encore et encore un moyen de sortir de ce beau merdier mais rien. Rien. Absolument nada, nothing. Mes yeux se baissèrent pour regarder le sol et fixe finalement le petit boîtier noir se trouvant sous la voiture. Le petit boîtier qui est accroché. Le petit boîtier qui est accroché.... Je le fixais encore et encore, intensément, je sentais mes sourcil froncé sous le coup de ma réflexion.

- Le petit boîtier!! Jiminie!!!

Je le tapais à l'épaule activement et lui pointai du doigt le petit boîtier noir. Il me regarda avec incompréhension puis compris ensuite ce que je voulais que l'on fasse.

****

- À trois.... un...

Plus il avançait dans ce compte à rebours, plus mon coeur ratait des battements à cause de la peur qui me paralysait. Calmes toi, calmes toi.

- Deux, trois. Maintenant.

Il jetai le boîtier noir vers les hommes et moi je jetai des fumigènes. Une fois cette démarche faite, nous courons tout les deux le plus loin possible et le plus vite. Mon plan? Faire croire à ces abrutis que le petit boîtier noir qui enfaite n'était qu'un simple GPS était une bombe avec les fumigènes nous étions couvert assez de temps pour courir. Je tournais ma tête toujours en courant et vis que la fumée commençait déjà à se dissiper, Jimin qui le vit aussi pris ma main et couru de plus belle. Nous étions à seulement  une dizaine de mètres des malfaiteurs et ils pouvaient encore nous rattraper. Je n'en pouvais clairement plus mon souffle était plus que saccadé et mes jambes ne voulais plus avancé mais la pression de la main de mon compagnon me redonna en quelque sorte des forces car je ne voulais pas le ralentir et prendre le risque de le mettre en danger. Je tournais ma tête quelques secondes sur mon côté droit et je vis les hommes se mettent à notre poursuite. Merde merde merde! Il faillait redoubler de force dans nos enjambés et ça Jimin le compris bien vite car il accéléra encore plus la cadence. Nos mains devenaient moites et manquaient de se lâcher à plusieurs reprises mais à chaque fois que ma peau glissait contre la sienne, il remit un pression supplémentaire entre nos paumes.

- Ji-jimin...

J'haletais, ce n'était en aucun cas glamour mais sur le coup je n'y pensais pas.

- Tais toi et cours!

Je n'en pouvais plus, je n'en pouvais clairement plus à chaque pas j'avais l'impression qu'un poignard transperçait ma cote tellement mon poing de côté était fort. J'inspirais et expirais bruyamment et irrégulièrement. Je n'avais pas le choix je ne pouvais pas ralentir le rythme de mon compagnon et risquer de nous mettre dans une sale situation.

D'un coup j'entendis des coups de feu venant de l'arrière, instinctivement, je tournais une nouvelle fois la tête et vis que ces hommes avaient arrêter de nous poursuivre et essayais en vain malgré la distance de nous atteindre avec leurs armes. Chimchim esquissa un sourire car s'était le signe de notre victoire, mais celui ci s'arrêta aussitôt qu'il était apparu. Une voiture était posté devant nous, sa carrosserie était littéralement défoncer, les vitres briser et cette voiture était celle des renforts de tantôt là où se trouvait le fils du président.
D'autre hommes baraqué apparurent et se postèrent devant nous armes à la main avec un visage impassible. On était littéralement encore une fois dans la diarrhée. À présent il n'y avait plus aucune issue et je compris bien vite que les coups de feux que je pensais désespérés tantôt ne nous étaient pas destiné mais c'était plutôt destiné à alerter les hommes qui se trouvait devant nous.

Que faire que faire, j'essayais de ne pas paniquer, mais mon expression n'écoutait pas ma pensé intérieure maigres qu'elle soit très forte. Nous n'avions qu'une arme qui ne contient même pas toutes les balles qu'elle peut contenir. J'en ai marre de me retrouver dans des situations aussi merdiques, marre de ne pas trouver des solutions, marre d'avoir été sélectionné par le chef pour je ne sais quelles raisons, j'en ai marre d'être moi tout simplement.

Je regardais mon compagnon d'armes mais pas que d'armes vous même vous savez, et son visage impassible ne me dis rien qui ne vaille. En d'autre terme, cela veut vraiment dire qu'il n'y a pas d'issue à ce piège.
Un des hommes baraqués avançait, et les autres suivirent le mouvement, nous nous retrouvions encerclé et Jimin tira une balle au sol afin de les éloignés mais c'était en vain. Cela à eu pour effet d'engendrer un combat entre eux et nous. Rapidement les coups s'enchaînèrent entraînant notre perte. Ne pouvant plus bouger, étant en position qui ne s'appelait même plus faiblesse, ces inconnus nous prirent et nous embarquaient dans leur van sans aucune délicatesse.
Les portes du coffre dans lequel nous nous trouvions se fermèrent et l'obscurité prit place avec un silence pesant. Que faire? Il n'y a même pas cette question à ce poser, on ne peut rien faire. Seul les vibrations du véhicule et la sensation d'une route non goudronné animait ce trajet.
La voiture se stoppa, et les portes s'ouvraient sur les inconnus qui nous prit toujours dans la plus grande des délicatesses, nous nous trouvions devant un bâtiment dans un coin perdu. L'intérieur était plutôt jolie? Enfin bref c'était pas cela qui était important. Nous attendions l'ascenseur et l'homme qui me tenait par le bras me secoua d'un coup sans aucune raison. Je suppose que cela lui fait plaisir, ce qui est tout à fait le contraire de Jimin qui le regarda de son air le plus mauvais ce qui fit rire les deux hommes qui nous détenaient. L'ascenseur arrivé nous descendions au sous sol je présume. Les portes métalliques s'ouvrirent et ils nous conduisaient dans une cellule avec juste comme porte d'entré des barreaux. J'écarquillais les yeux lorsque je vis que le fils du gouverneur s'y trouvait, à peine eu je le temps d'exprimer mon étonnement que les inconnus nous projetèrent dans cette prison.
Ils refermèrent les barreaux et partirent je ne sais où.

- Tu vas bien? Qu'est ce qu'il t'ont fait?

Je me précipitais sur le jeune homme suivit du regard de Jimin.

- J-je n'ai rien.. il m'ont juste demandé des choses auxquels je n'ai pas répondu.... Ils ont failli me frapper mais leur chef est intervenu et à parler d'un échange et qu'ils ne devaient pas me taper.

- Qu'est ce qu'il cherchait? Qu'elles étaient les questions posées?

Demanda mon petit ami en se positionnant derrière moi et en prononçant son interrogation.

- Je ne sais pas ce qu'il cherchait, leurs questions étaient plutôt bizarres, elles n'avaient ni queue ni tête je crois qu'il cherchait des chiffres, des chiffres oui c'était bien cela qu'il cherchait, toutes leurs questions avaient pour réponses des chiffres.

- Des chiffres? Tu te rappels avant que nous sortions de la voiture, tu m'avais donné une série de chiffre.

C'est sur un coup de mémoire que je lui affirmais cela.

- Je vous ai donné des chiffres?

Il avait l'air dubitatif, comme si il ne se
souvenait pas.

- Oui, c'était vingt sept-

Je me fis interrompre par lui même qui avait l'air d'y comprendre quelque chose.

- C'est pas possible, ce n'est pas ça qu'il cherche, comment pourraient ils être au courant?

Son expression était apeuré et très paniqué.

- Expliques nous.

Demanda Jimin, le garçon nous regarda hésitant à nous dévoilé ce qui ressemblait à un secret très confidentiel, mais ne lui fit un petit signe de tête pour le rassurer et lui dire que nous sommes de son côté.

- C'est le mot de passe d'un dossier confidentiel qui contient des informations de la Corée du Nord. C'est le premier code qui sert à passé les premières barrières de sécurités de ce dossier informatique. Avec ces chiffres ils peuvent débloquer le premier système de sécurité bien qu'après il y ait encore des barrières afin d'atteindre ce qu'il cherche.

- Très bien, très bien Yuri vu que tu sais le code tu sais ce que tu dois faire, quant à moi, ne me dites pas le code comme cela je ne saurais que son existence mais pas sa composition. Maintenant il faut qu'on sorte de cet endroit.

Jimin prit les commandes et arracha la doublure de sa semelle de chaussure et nous dicta la suite de son plan.

- Donc cette semelle que ces abrutis n'ont même pas pu découvrir va nous servir d'échappatoire n'est ce pas Yuri?

Il me sourit avec un sous entendu car cette semelle c'était moi qui l'avait créé, elle a la particularité de se déboîter et de s'emboîter comme les pièces d'un Lego vu que la semelle était faite de petit carré aplati et par conséquent prendre forme de tout type d'objet pas très volumineux.

- Et ensuite j'attendrais qu'un garde sorte de l'ascenseur et je le tabasserais pour récupérer ses armes, grâce à cela nous pourront assurer un minimum nos arrières. Et après il faudra courir et en même temps tirer sur toutes les personnes qu'on croise afin de sortir. J'espère que tu sais courir vite petit.

- Ou-oui ne vous en faites pas je ne vous ralentirais pas.

- Très bien alors Yuri façonnes cette semelle pour que je puisse sortir.

Il me tendit sa main dans laquelle se trouvait l'objet et je la pris Non sans effleurer sa peau. Comment pouvait réfléchir aussi vite dans ce genre de contexte? Je ne sais pas mais la n'est pas le moment ni la question que je dois me poser.
J'analysais quelques secondes la serrure et compris approximativement quel forme la clef devait prendre. Une fois la construction fini, je la testai et le petit "clic" se fit entendre. La porte barreaux s'ouvrit et Chimchim sortit.
Il attendu devant les portes métalliques par lesquels nous étions entré précédemment et une quinzaine de minutes plus tard, la lumière qui indiquait qu'une personne arrivaient à notre étage s'allumait.......