Chapitre 11 ❤️
* flashback quelques mois avant leur mission*
PDV YURI
Je revenais tout juste de ma mission, et je m'apprêtais à l'instant même d'entrer dans l'appartement de mon compagnon, aka Jiminie. En ouvrant la porte, je sentis une odeur, mon odorat fut submergé non pas d'une senteur de nourriture, comme vous auriez pu le penser, mais d'un parfum, son parfum. Son odeur qui n'étais pas agressif comme quelques un des parfums pour homme, mais doux, si doux qu'il me fit voyager jusqu'à la cuisine où l'homme qui sent bon s'y trouve. Et de là, émane une autre odeur, celle de la nourriture. Instinctivement, je me dirigeai tout de suite vers la casserole qui chauffait encore la nourriture qui se trouvera dans mon petit ventre en ignorant l'auteur de cette belle action. Je trempai l'un de mes doigts très certainement pas propre dans la sauce et me fis ensuite gronder comme une enfant par Jimin qui me tapa la main, et m'enlaçais, m'étant son visage au creux de mon coup de part sa grandeur qui devait faire une tête de plus que moi.
- Tu sens bon des cheveux.
Je sentais ses lèvres bouger sur ma peau tout en prononçant sa phrase, et ma peau frémir.
- N'essayerez vous pas de me draguer monsieur park?
- Pas le moins du monde car je sais que vous êtes déjà sous mon charme madame.
- Tu es trop prétentieux!
Il rigola et reserra son emprise, nous restions ainsi jusqu'à qu'une odeur de brûlé nous interrompu. À cet instant je maudissais cette sauce qui avait l'air succulente de montrer son existence, et je maudissais également mon compagnon qui l'avait laisser brûler. Mon pauvre petit ventre, que va t'il manger......
Activement, on se décollait l'un de l'autre pour voir notre précieux repas partir dans l'au-delà.
- Bon et bien je crois que tu mangeras des ramen, pour ton retour.
Jiminie affichait un sourire bête en prononçant cette phrase, et moi je suppose que j'affichais une tête blasé. Bha quoi? La nourriture avant tout!
****
Après une dizaine de minutes dans la salle de bain et une dizaine de minutes à débattre sur le goût du ramen que nous allions manger, nous étions face à face à table, avec les fameuses nouilles instantané devant nous. Finalement, chacun avait opté pour sa saveur, au moins dix minutes passer sur un débat pour en finir à cette conclusion... On est exaspérant.
À la fin de ce succulent repas, nous débarrassions et mîmes, les bols et couverts dans le lave vaisselle, et pour le dessert, et bien il n'y en avait pas, comme l'entré qui c'est volatilisé. En résumé mon petit ventre n'a été nourrit que de nouilles....
À cause de cette pensée, j'ai envie de pleurer, mon pauvre bébé n'est pas assez nourrit.
****
Deux jours étaient passé depuis ma rentré et nous étions toujours au repos attendant une mission, ou un ordre quelconque de notre supérieur.
Et comme de par hasard, à cette pensée, nos portables retentirent en même temps, je porte malheur!
Je regardais Jimin, qui instinctivement me regarda lui aussi et nous montions à l'étage de son magnifique duplex afin de chercher nos sacs de mission. Tout en recevant les informations dictées par le leader, nous descendions à la hâte les escaliers et sortions en courant jusqu'au garage, à l'entente, que la mission était commune à nous deux, nous enlevions notre oreillette et j'activais le bluetooth de la voiture.
- Vous devez protéger le fils du président, il détient un secret qui ne peut être révélé et il se trouve en danger pour je ne sais quel raison, le gouverneur du pays ne veut pas expliquer la raison, partir de maintenant vous deux, vous aller le suivre vingt quatre heure sur vingt quatre sept jour sur sept.
- Bien.
À l'entente de ma réponse, Jimin accéléra en direction de l'école du prénommé Jisung.
****
Nous étions arrivés depuis une dizaine de minutes, finalement mettre le pied sur l'accélérateur n'avait pas servit à grand chose. Nous attendions le petit jeune homme devant la voiture de mon compagnon, dans le froid de la saison. On pouvait voir de la fumée sortir de nos bouches ou de notre nez à chaque fois que l'on respirait et cela en était plutôt amusant. Mes mains étaient froides malgré qu'elles se trouvaient dans mes poches. C'est à ce moment là où comme toute personne normale, vous vous demandez: " Mais pourquoi ils n'attendent pas dans la voiture?". Et bien la réponse mes chers amis, c'est qu'une des nombreuses règles de l'agence stipulait qu'il fallait attendre le client en dehors car cela était plus poli surtout s'il s'agissait d'un grand homme mais là en apparence il s'agissait d'un petit homme. Vous avez comprit la blague? Oui bon j'arrête!
Donc après quelques minutes, une sonnerie se fit retentir et des adolescents sortirent des bâtiments qui se trouvaient à travers le portail.
Un jeune garçon d'environ quinze ans je dirais se dirigeais vers nous et les yeux rivés sur son smartphone comme tout les autres jeunes de son âge je dois dire. Je vous avoue qu'il était plutôt mignon avec son uniforme Et ses cheveux légèrement décoiffé. Bref... Il arriva vers nous et se courba signe de politesse. Et bien c'est qu'il est bien élevé ce petit, j'aurais pensé que part sa richesse il serait irrespectueux et égoïste. Mais apparement il était tout le contraire de cela et tant mieux car servir un fils à papa ne m'enchanterais pas, j'en ai déjà fais l'expérience!
Je lui ouvris la portière tandis que Chimchim passa à l'avant et s'installa au siège du conducteur. Pourquoi monsieur c'est d'office attribué ce rôle? Pourquoi il ne me laisse pas conduire? C'est du sexisme! Enfin bon, passons je montais également et une fois que le bruit de ma portière claqué contre le carrosserie à retentit, le chauffeur démarra. Quelques mètres plus loin, deux voitures noires aux vitres teintés se placèrent de part et d'autre de l'avant et l'arrière de notre voiture. Jimin me lança un regard et il s'apprêtait à prendre la file de gauche afin d'accélérer et de semer ces voitures, mais une voix à l'arrière de notre véhicule se fit entendre nous dit:
- Ce sont des voitures envoyées par mon père ne vous inquiété pas.
Une pression retomba instantanément de nos épaules, pourquoi le chef ne nous a pas dit qu'il n'y avait pas que nous qui assurait la protection du fils du président? Argh! Il est complètement crétin, à cause de lui on aurait pu passer pour des kidnappeurs!
Le trajet ensuite se passa sans encombre, nous pénétrions à présent à l'intérieur de la grande propriété du gouverneur et descendions du véhicule. Galanterie y oblige je dû ouvrir la porte au jeune adolescent et me plaçai avec Jimin de par et d'autre de son corps. Il soupira un instant comprenant que nous ne faisions pas que le déposer chez lui mais que nous le surveillerons tout le temps. Cela doit être éprouvant pour lui, après tout il n'a que quinze ans mais il n'est pas libre de ses faits et gestes comme le sont ses amis. Tout cela car son père et un homme politique. Je me suis toujours demandé d'ailleurs, qu'est ce qui se passerait si une telle chose arrivait: imaginons que le président est complètement nul, ses enfants auront des répercutions aussi non? Ses camarades peuvent très bien insulté son géniteur ou même les parents de ses compagnons en pensant qu'il ne fait rien pour son pays... Et je pense que cela ne devrait pas être très plaisant pour lui.
****
Cela faisait quelques semaines déjà que nous restions au côté de la progéniture du politicien et tout ce passait plutôt bien ma foi.
Nous étions dans la voiture faisant le retour au domicile de notre client comme d'habitude mais cette fois ci deux véhicules non identifiés roulaient en direction de nous mais ayant pour cible les portières avant de la voiture autrement dit là où nous nous trouvions. Les deux voitures rentraient en collision avec nous, mais pas assez brutalement pour mourrir sur le champ. Je vis les autos de renforts qui sont comme toujours placer au devant et à l'arrière de notre véhicule se stopper et des personnes de notre camp courant dans notre direction avec des armes à la main.
- Jisung?!
Jimin avait crier le nom du garçon qui était dans sal état mais toujours vivant probablement choqué de ce qui venait de ce dérouler. Celui ci ouvra les yeux difficilement contrairement à nous qui commencions à vouloir sortir du véhicule. Hé oui les gars, c'est le métier qui rentre à force, ce n'est pas cela qui nous fait faiblir. On pris tout deux notre arme de service et cassions les vitres afin de pouvoir sortir par celle ci, mais nous fûmes couper par une voix, celle d'un garçon qui n'a pas encore mué.
- 270701.
- Comment?
Je n'eu aucune réponse à ma question car il c'était évanoui. Qu'est ce que pouvait représenter cette combinaison de chiffre? Je réfléchissais un instant, mais Jimin m'arrêta.
- On s'en occupera après Yuri.
J'acquiesçais d'un signe de tête et nous sortions tout les deux par le bout du verre brisé.
* fin du flashback*
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