Moi : - Alia...

J'ouvre les yeux.

Moi : - Alia...

Je me relève et regarde les autres.

Moi : - Alia!

Ils me regardent sans comprendre.

Moi : - Je m'appelle Alia, je me souviens maintenant je m'appelle Alia!

Tout le monde cri et Thomas, Newt et Minho arrivent devant moi en souriant. Sans réfléchir je cours et prend dans les bras Thomas qui est en face de moi. Il est surpris mais il rend mon étreinte. On se sépare et je sautille de joie.

Plus tard

Je ne distingue pas bien ce que je vois, tout est flou. Et tout résonne dans ma tête. Mais toujours la même phrase.

...... : - Wiked est bon.

Quelqu'un me pique avec une serringue et je hurle.

Soudain je me redresse, je regarde autour de moi, je suis dans mon amaque, il fait nuit et tout le monde dort. Je soupire et me rallonge.

Le lendemain

Je me fais réveillé par des agitations. Je me redresse et voit Thomas et Minho ainsi qu'un petit groupe entrés dans le labyrinthe en courant. Woaw qu'est ce qu'ils font? Je croyais que personne n'avait le droit de rentrer là dedans? Je me lève et m'apprête à courir pour les rejoindre mais quelqu'un me retient par le bras. Je tourne la tête et voit Chuck, le petit garçon aux bouclettes.

Chuck : - Où tu comptais aller comme ça?

Je me rassois et il me lâche.

Moi : - Thomas et Ninho, ils sont partis dans le labyrinthe. La porte est ouverte et-

Je me redresse.

Moi : - Faut aller les aider.

Je me tourne et commence à partir.

Chuck : - Non!

Je m'arrête et me tourne vers lui.

Moi : - Quoi? Mais tu vois bien qu'ils sont en danger. Thomas m'a dit hier que personne ne devait allé là-bas!
Chuck : - Il a aussi dû te dire que c'était le seul moyen de sortir.

Je fronce les sourcils.

Moi : - Il ne me l'a pas dit.
Chuck : - Et bien c'est le cas.

Je me rassois sans le quitter des yeux.

Chuck : - On les appelles les coureurs.

Coureurs.. J'ai déjà entendue ce mot.. Mais oui, c'est de ça qu'ils parlaient..

Chuck : - Tous les jours quand les portes s'ouvrent les coureurs rentrent dans le labyrinthe pour trouver une sortie. Ils longent chaque mur, chaque passage.
Moi : - Ça fait combien de temps qu'ils cherchent?
Chuck : - Trois ans.

Trois ans?! C'est énorme.

Moi : - Ça fait beaucoup.
Chuck : - Ouais. Mais ils vont trouvés une sortie. Je crois en eux.

Il se lève et part.

Moi : - Et Chuck?

Il s'arrête et se tourne vers moi.

Moi : - C'est quoi ces choses dans le labyrinthe? Je veux dire.. ces cris hier soir....
Chuck : - Ce sont des griffeurs. Personne n'a vécu assez longtemps pour en avoir vu un. Mais c'est très dangereux. Et terrifiant.

Il s'en va sans ajouter un mot de plus.

Plus tard dans la journée

Je suis monté dans une sorte de cabane perchée sur une arbre. Je suis allongé et je regarde le ciel.

...... : - Tu fais quoi ici toute seule?

Je tourne la tête et vois Thomas s'allonger à côté de moi.

Thomas : - Ça va?

Je regarde à nouveau le ciel.

Moi : - C'est vrai qu'avec tout ce qu'il se passe en ce moment dans ma vie je ne pourrai qu'aller bien!

Il rit.

Thomas : - On sortira d'ici. Très bientôt.

Je me redresse et le regarde.

Moi : - Vous avez trouvé une sortie?

Il fronce les sourcils et se redresse à son tour.

Moi : - Chuck m'a tout expliqué. Les coureurs, les griffeurs, le labyrinthe.

Je regarde en face de moi, j'observe les gens de loin.

Thomas : - On continue de chercher.

Je le regarde.

Moi : - Thomas si en trois ans vous n'avez pas trouvé de sortie alors ça veut peut-être dire qu'il n'y en a aucune.

Il me regarde et je sors un papier de ma poche. Je le lui tend.

Moi : - J'avais ça dans la main le premier jour.

Il prend le mot et le lit.

Thomas : - "C'est la dernière".

Il me regarde.

Moi : - Et c'est pas tout, regarde au dos.

Il retourne le papier et le lit.

Thomas : - "Le meilleur pour la fin".

Il me regarde à nouveau.

Thomas : - Qu'est ce que ça veut dire?
Moi : - J'en sais rien.
Thomas : - Peut-être que t'es pas si inutile finalement.
Moi : - Finalement?

Je lui donne un coup et il rit.

Moi : - N'en parle à personne.
Thomas : - Quoi? Pourquoi? C'est peut-être important.
Moi : - Ça l'est sûrement. Mais je n'ai pas envie d'être pointé du doigt encore plus.
Thomas : - Comprends-les, tu es la seule fille ici et la dernière que la boîte à ammené.

Je soupire.

Moi : - Tu es ici depuis longtemps?
Thomas : - Je suis arrivé juste avant toi.

Je hoche la tête et me redresse. Je met mes pieds sur l'échelle et le regarde.

Moi : - Merci de parler avec moi je me sens moins seule.

Il sourit.
Je commence à descendre mais au même moment une corde craque et avant que l'échelle ne se casse complètement je saute et m'aggripe à l'arbre.

Thomas : - Alia ça va?!

Je lève la tête et voit Thomas se penché.

Moi : - Ouais. Tout va bien.

Je lâche et saute par terre. J'atterit en roulant, je me redresse et regarde Thomas faire de même.

Thomas : Woaw tu aurai pû tu faire très mal.
Moi : - Mais je n'ai rien.
Thomas : - J'ai vu ça.

Il sourit.

Un peu plus tard

J'aimerai être plus utile au bloc mais pour l'instant la seule tâche qu'on m'ait donné c'est d'aller chercher du bois pour le feu. Sérieusement? Chercher du bois? Je soupire.

C'est pourquoi je suis seule dans la forêt. A un moment j'aperçois quelque chose alors je m'approche. Quand je suis assez proche je remarque que ce sont des.. tombes.

Il y a un squelette déposé sur le sol.
Je m'approche pour lire le nom mais au même moment quelque chose se jette sur moi. Je me retourne et voit un homme.

Le garçon : - C'est de ta faute!

Je cri et me débat mais il semble fou.

Le garçon : - C'est de ta faute!
Moi : - AU SECOURS!

J'arrive à me dégager, je cours le plus vite possible et j'arrive à sortir de la forêt.

Moi : - A L'AIDE!

Je regarde derrière moi, il est en train de me poursuivre.
Je regarde à nouveau devant moi et cours encore plus vite.

Moi : - AU SECOURS! AIDEZ-MOI!

Je continue de crier et les autres m'entendent. Ils courent vers le garçon qui me poursuit alors je ralentie un peu. Mais je n'aurai pas dû car le garçon saute sur moi et me frappe.

Le garçon : - C'est de ta faute!

Je me protège et les autres le neutralise. Je recule et je me redresse.

Thomas : - Ben ça va pas!

Alors il s'appelle Ben.

Minho : - Soulevez son t-shirt.

Je fronce les sourcils et je m'approche.

Ben : - NON NON NON, MINHO!

Ils soulèvent son t-shirt, il a une sale blessure. Ses veines sont noires.

Minho : - Il s'est fait piqué.