Chapitre 4 : Première lune

Note de l'autrice: pour le dernier chapitre, je ne voyait pas où étaient la plupart des commentaires que vous mettiez (prend de grandes respirations pour essayer de ne pas casser son téléphone) bref c'est pour ça que je n'est pas trop répondu aux commentaires.... Je ne sais pas si ça va me refaire ça pour ce chapitre.... Mais en tout cas, ça me fait vraiment plaisir de voir vos commentaires, même quand je n'ai pas la moindre idée de où est ce qu'ils sont et que donc, je ne peux pas répondre.

ptite note de Mary: BONNES VACANCEEEEES ET BON COURAGE A CEUX QUI NE LE SONT PAS ENCORE et voila un zoli ptit chapitre pour bien commencer les vacances ! Bonnneee lecture !!!

réponse d'axel : je vais tuer la prochaine personne qui parle de vacances

☆☆☆

Lily attrapa le journal que lui apportait un vieil hibou qui volait maladroitement tout en ajoutant une goutte de lait dans sa tasse de thé.

— Encore une disparition. soupira-t-elle. Et avec ce qu'il se passe en Irlande, difficile de savoir si ce sont les Mangemorts ou bien les moldus. Mais il y a de grandes chances que ce soit encore à cause du sorcier qui se fait appeler le seigneur des ténèbres.

— Arg, le jour où il y aura la paix dans le monde, appelez-moi! soupira Alice avant d'attraper une tranche de pain en baillant.

— Heureusement qu'il n'y a pas trop de conflits entre les Irlandais et Anglais au niveau magique. Pas plus que du côté moldu en tout cas.

— Le combat des Irlandais est juste! s'exclama alors Nora. On a droit à notre indépendance.

— Je ne veux pas me mettre à débattre politique, surtout pas avec toi, je dis juste qu'il y a trop de morts autant à cause des conflits Nord-Irlandais qu'à cause des Mangemorts. Ça commence à faire beaucoup de victimes.

— Va dire ça à Voldemort. plaisanta Nora. Oui bonjour, alors en fait, il y a déjà une guerre en Irlande tu vois, il va falloir attendre ton tour!

— Arrête de rire sur ce genre de choses. la réprimanda Lily.

— Il vaut mieux en rire qu'en pleurer. répondit simplement son amie avant de finir sa tartine de pain.

— Et si on arrêtait juste d'en parler? Histoire de ne pas commencer cette journée en étant complètement déprimées en pensant au fait qu'en dehors de Poudlard on pourrait mourir à tout moment, attaquées par un Mangemort. soupira Alice.

— Alors parlons d'un certain Gryffondor dont le nom commence par Frank et finit par Londubat!

— Pitié! Ferme-la! rougit Alice. Quand je disais de changer de sujet je ne disais pas que tu pouvais commencer à me harceler avec ça.

— Désolée 'Lice, lui sourit Lily, mais je ne peux que me sentir bien en me disant qu'au moins Nora arrête de m'embêter avec cette histoire de Potter.

— Oh mais je n'ai pas fini avec vous deux. Seulement, je vois bien que tu n'es pas prête à accepter que vous soyez fait l'un pour l'autre, tandis qu'Alice, elle au moins, admet avoir des sentiments pour Frank.

Les maraudeurs arrivèrent dans la grande salle et à cause d'une simple pomme de terre qui trainait au sol, Sirius et Nora se mirent à se disputer, Sirius affirmant que la jeune fille l'avait placé là dans l'espoir qu'il marche dessus, glisse, et tombe. Alice retourna à son assiette, soulagée de ne plus être le centre de l'attention.

— Evans...

Lily se tourna vers James qui s'asseyait à sa droite, en soupirant, sachant pertinemment ce qu'il allait dire.

— Si c'est pour me demander de sortir avec toi, garde ta salive pour dire des trucs intelligents.

— C'est quand même au grand James Potter que tu parles.

— Oh... pardon, je voulais dire garde ta salive pour dire des trucs pas trop stupides.

— Dis-moi Evans, je me suis posé la question pendant les vacances, mais comme je n'avais pas ta charmante compagnie pour y répondre, je ne te la pose que maintenant, de quoi as-tu peur? lui demanda-t-il en ignorant sa remarque.

— J'ai peur qu'un jour je n'arrive plus à me contrôler et que je t'étrangle. Je me ferai virer! Tu te rends compte, quelle horreur! s'exclama-t-elle tout en prenant une gorgée de thé, signe qu'elle aimerait cesser cette conversation.

— Très drôle Evans. ironisa James. Allez! Je veux savoir!

— Ça dépend... tu as peur de quoi toi?

— Moi? C'est mal me connaître Evans! Je n'ai peur de rien!

— Alors disons que moi non plus. déclara la rousse en tournant la tête, signe que la conversation était terminée.

— S'il te plait Evans! Promis, je ne le dirai à personne!

— Tu insinues par-là que toi tu peux n'avoir peur de rien mais pas moi?

— Quoi? Non, ce n'est pas ce que je voulais dire... Bon et bien si tu ne veux pas me le dire je vais essayer de le découvrir, mais ne t'étonne pas si tu te réveilles avec des araignées dans ton lit.

— Tu es exaspérant. soupira-t-elle.

La suite de la journée fut plutôt calme, et étonnamment, sans disputes. Les cours furent longs et épuisants, et tout le monde se retrouva à faire ses devoirs dans la salle commune ou à la bibliothèque en fin d'après-midi.

☆☆☆

— Tu es sûr que c'est là? chuchota Peter.

— Oui, lui assura James, il passe par un passage sous le saule cogneur. Sirius arrête de me marcher sur les pieds.

— Alors avance plus vite. grogna son ami.

— Chut, on va se faire prendre par Rusard sinon. paniqua Peter.

Ils se turent et continuèrent à avancer, traversant le parc en avançant lentement pour ne pas marcher sur la cape d'invisibilité de James. Une fois arrivés devant le saule cogneur, ils s'arrêtèrent, ne sachant pas quoi faire.

— Vous pensez que si on essaye juste de passer ça va marcher? demanda Sirius en voyant que l'arbre restait immobile.

— Je préfère ne pas prendre le risque, un élève s'est déjà retrouvé à l'infirmerie. Il doit bien y avoir un moyen de passer sans risquer de mourir... non?

— Et bien... moi et Peter on peut y aller sous la forme d'animagus, mais pas toi, Jamesie. fit remarquer Sirius

— Il faut qu'on se dépêche, sinon on arrivera trop tard. grogna James. Bon, allez-y et je vais essayer de me débrouiller.

Sirius hocha la tête avant de prendre la forme d'un grand chien noir, vite suivi de Peter qui prit celle d'un rat. Les deux animaux réussirent à passer sans problème jusqu'à un trou au niveau du saule cogneur, mais cela réveilla l'arbre qui était désormais prêt à écraser James lorsque celui-ci s'avancerait.

— Ça commence bien. ironisa-t-il, baguette à la main.

Il tenta de s'approcher mais recula aussitôt en voyant une immense branche foncer dans sa direction.

Il vit Peter remonter sur le tronc, ou plutôt un rat, pour voir si son ami allait réussir à s'en sortir.

— Tu n'as pas une idée? lui demanda James en regardant son ami commencer à tourner en rond entre les racines.

Il s'avança de quelques pas, mais encore une fois, dut subitement reculer pour sa survie. Son plan n'avait pas vraiment été de finir écraser par un arbre.

L'arbre s'immobilisa soudainement quelques secondes avant de se remettre à bouger dans tous les sens. James regarda Peter qui continuait à tourner en rond. L'arbre s'immobilisa à nouveau puis se remit à nouveau en mouvement. Ce n'est que lorsque le saule cogneur s'arrêta une troisième fois que James comprit.

— Peter, tourne un peu à gauche! lui hurla-t-il alors que l'arbre reprenait l'usage de ses branches en les faisant bouger dans tous les sens. Encore un peu... parfait ne bouge plus!

Le saule cogneur s'immobilisa alors, comme s'il avait reçu un sortilège de plein fouet.

Prudemment, James avança d'un pas, pour s'assurer que l'arbre ne bougeait plus avant de se mettre à courir vers le tronc pour se glisser dans le tunnel tout en prenant le rat au passage.

— Vivant et en un seul morceau! s'exclama James en se redressant avant de poser Peter qui reprit sa forme humaine pendant que Sirius leur demandait en un regard ce qu'il venait de se passer.

James alluma sa baguette puis se mit à raconter sa petite mésaventure à son ami tout en commençant à avancer dans le tunnel dans lequel ils avaient atterri.

Ils étaient sous terre, et visiblement le lieu n'avait pas été énormément aménagé. Ils avançaient donc, à la seule lumière de leurs baguettes, tout en observant chaque bout du tunnel pour s'assurer qu'aucun professeur n'apparaissait.

Après quelques longues minutes, ils arrivèrent face à des escaliers en piteux état, leur indiquant qu'ils étaient presque arrivés.

— C'est... réalisa James. C'est la cabane hurlante?

— Mais oui! s'exclama Sirius avec de grands yeux ronds.

Il voulut ajouter quelque chose, mais poussa un petit cri de surprise en voyant une souris courir entre ses pieds.

— Marche pas sur ma cousine. pouffa Peter.

Ils avancèrent dans la vieille cabane en tentant d'éviter les marches qui craquaient et les trous dans le parquet, se disant que le lieu avait sérieusement besoin de réparation. Il y avait quelques portes, mais presque toutes étaient complètement pourries et il ne restait que la moitié qui restait attachée au mur.

— Ça doit être celle-là. souffla Sirius en pointant la seule porte qui semblait encore en état de marche.

Ils avancèrent silencieusement, toujours en évitant les débris qui trainaient au sol

— Surprise Mumus! s'écria James en ouvrant la porte, laissant entrer Sirius et Peter.

Le jeune homme étouffa un cri de surprise avant d'observer ses amis, espérant qu'il les imaginait simplement à cause de la fatigue, un symptôme de la venue de la pleine lune. Mais se rendant compte que ses amis étaient bel et bien là, il se mit à paniquer.

— Qu'est ce que vous faites là ?! C'est dangereux... Je suis dangereux!

— Quelle question, on vient t'accompagner cette nuit, hors de question que tu vives ça seul. répondit simplement Sirius.

— Est-ce qu'il y a quelque chose que vous n'avez pas compris dans « je suis un loup garou » ?! Donc, si je vous mords, vous en devenez un aussi! s'égosilla-t-il, entre colère et affolement.

— Seulement si on est sous notre forme humaine.

— Pardon? bredouilla Remus avant de reculer d'un pas en voyant un cerf prendre la place de James, un chien prendre celle de Sirius et un rat prendre celle de Peter.

Il balbutia quelques mots incompréhensibles, les yeux rivés sur les trois animaux, les mains devant la bouche.

— Alors, t'en dis quoi? s'exclama James en reprenant sa forme humaine, suivi de ses deux amis.

— Vous... Vous êtes des animagus? bredouilla-t-il, s'attendant à se réveiller à tout moment d'un mauvais rêve.

Ils hochèrent vigoureusement la tête, visiblement fiers d'eux, pendant que Remus bafouillait des paroles incompréhensibles, tentant de digérer la nouvelle.

— Des animagus non identifiés?

— N'est-ce pas excitant?

— Excitant ?! Sirius, c'est tout sauf excitant! Vous risquez de...

— De passer la fin de nos jours à Azkaban. compléta Peter d'une voix calme et posée même si au fond de lui il redoutait le moment où la lune se lèverait dans le ciel. On le sait.

— Et on est prêts à prendre le risque! compléta James avec un immense sourire.

— C'est hors de question! s'écria Remus. Vous ne risquez peut-être pas de devenir des loups-garous à votre tour, mais vous pouvez être gravement blessés par ma faute.

— Pour résumer, on a passé presque deux ans à se casser la tête pour devenir des animagus rien que pour t'aider, en sachant très bien qu'on risque de finir en prison jusqu'à notre mort. Et maintenant tu nous dis simplement « non ». On est donc devenus des animagus pour rien, notre liberté est en danger pour... pour rien.

Remus balbutia quelques mots incompréhensibles pendant qu'un sourire apparaissait sur le visage de Sirius, fier d'avoir trouvé les bons mots pour convaincre Remus de les laisser l'accompagner lors des nuits de pleine lune.

— On est déjà des animagus Mumus. renchérit James. On ne peut pas revenir en arrière, alors autant que ça serve à quelque chose.

Remus ne trouva pas les mots pour les faire partir.

— De toute façon tu sais qu'on est de vraies têtes de mule, tu ne réussiras pas à nous faire lâcher prise.

Le lycanthrope les regarda un à un avant de se mettre à sangloter. Ses amis arrivèrent aussitôt pour le prendre dans leurs bras pendant que Remus les remerciait en affirmant qu'il n'aurait pas pu trouver meilleurs amis.

— Arrête de chialer Mumus, j'aime pas les moments trop émotionnels. plaisanta Sirius.

— Ce ne sera pas très beau à voir. renifla-t-il, se rendant compte de ce à quoi ils allaient assister.

— On y survivra. répondit simplement James avec un haussement d'épaules.

Remus jeta un regard vers la fenêtre miteuse de la chambre en tout aussi mauvais état, et à son expression, ses amis devinèrent que la lune ne tarderait pas à se montrer. Il se tourna ensuite vers Sirius, James et Peter, prêt à leur dire une dernière fois qu'il valait mieux qu'ils partent avant qu'il ne soit trop tard.

— On reste! le devança James. Et arrête d'être inquiet Mumus, je t'assure que tout ira bien. Et si on se retrouve blessé, ce ne sera pas ta faute, mais de la nôtre pour ne pas avoir été assez prudents.

Remus tenta de leur lancer un regard menaçant pour essayer de les convaincre de partir, mais il n'y arriva pas, car au fond il voulait qu'ils restent, même s'il savait qu'il ne se le pardonnerait jamais s'il blessait l'un d'eux. Il les remercia alors d'un simple regard.

Il s'assit sur le lit poussiéreux, soudainement pris de fatigue. Ses amis s'inquiétèrent mais essayèrent de ne pas trop le montrer, se doutant bien que Remus savait ce qui lui arrivait et comment agir... du moins, comment agir lors de ses nuits normales où il était seul.

La lune se leva dans le ciel, éclairant la pièce d'une lumière blanche. James, Sirius et Peter se regardèrent, puis un grand chien noir, un gros rat et un cerf majestueux prirent la place des trois garçons. Remus, lui, était en pleine transformation, sa bouche se transforma en gueule, ses bras et ses jambes s'allongèrent, son corps se couvrit de fourrure dans une douleur, qui, malgré le fait qu'elle devienne habituelle, n'en était pas moins insupportable. Il tenta de ne pas montrer cette souffrance, ne souhaitant pas que ces amis le voient ainsi, alors il serra les dents et pria pour qu'ils restent prudents et que le loup qu'il allait devenir ne les blesserait pas.

☆☆☆

— Hey Remus! s'exclama James en ouvrant les rideaux qui entouraient son lit, laissant passer la lumière de l'infirmerie.

Le jeune homme grogna tout en se cachant les yeux.

— Vous allez bien? Personne n'est blessé? s'inquiéta-t-il d'une voix pâteuse, se souvenant soudainement des événements de la veille.

— Tout le monde va bien. lui assura Sirius avec un grand sourire. On est tous en un seul morceau avec quelques mini égratignures, mais c'est tout. Toi ça va?

— Étonnamment, oui. avoua-t-il en sous-entendant le « grâce à vous » qu'il ne dit pourtant pas explicitement, ne voulant pas inciter ses amis à recommencer..

Peter posa sur sa table de chevet quelques chocogrenouilles avant de lui tendre une part de tarte au chocolat qu'il avait ramené de la grande salle après avoir pris son petit déjeuner.

— Mais vous ne devriez pas le refaire, je...

— On en a déjà parlé Mumus. le coupa Sirius. On ne peut pas faire marche arrière, alors autant que ça serve à quelque chose. Et puis si on arrive à faire en sorte que tu te blesses moins, il est hors de question de rater ne serait-ce qu'une seule nuit de pleine lune.

Remus les serra dans ses bras en les remerciant sincèrement avant de commencer à manger sa part de tarte.

— Au fait Mumus, faut que je te raconte! s'exclama alors Sirius en se dégageant de son étreinte.

— Je persiste à penser que je n'ai rien fait de mal. se défendit James avant que son ami ne commence.

— Qu'est-ce que tu as fait encore? soupira Remus.

— Tu vois quand tu avais dit à notre cher Jamesie de s'intéresser un peu à Evans, de savoir ce qu'elle aime, ce dont elle a peur. En gros, James a demandé à sa chère rousse de quoi elle avait peur.

— Elle n'a pas voulu me répondre.

— Donc, Jamesie s'est donné comme défi de le découvrir par lui-même comme un grand garçon.

— Je sens la connerie arriver. grimaça Remus.

— Je ne sais pas où il a réussi à le trouver, continua Sirius, mais James a pris un serpent et il l'a foutu dans la chambre de Evans avant de partir vers la cabane hurlante hier soir.

— Et il se trouve que Lily n'a pas peur des serpents... et me déteste encore plus. grimaça James.

— Oh Merlin! soupira Remus en cachant tant bien que mal le rictus amusé qui se dessinait sur ses lèvres.

— J'ai survécu une nuit avec un loup garou, ça veut dire que je peux bien survivre à Lily! répondit simplement James avec un hochement d'épaule.

— Ce n'est pas la même chose, l'une de ces deux créatures est plus effrayante que l'autre... et c'est bien sûr Evans. rit Sirius pendant que Remus se contentait de lever les yeux au ciel.

—Il nous faut des surnoms! s'exclama alors James, ignorant la remarque de son ami, souhaitant changer de sujet au plus vite. On avait déjà Lunard pour Mumus. Il en faut pour nous!

Ils se mirent donc à discuter en riant tout en proposant des surnoms souvent bien ridicules. Sirius s'amusa à donner des surnoms en référence à Lily pour son ami qui l'ignorait à chaque fois.

—Je veux être Bambi! s'exclamait James pendant que Sirius refusait catégoriquement, répétant que Bambi était plus adorable que lui.

Après de longues minutes où Remus se contenta de les regarder en riant, ils finirent par adopter Cornedrue pour James, Patmol pour Sirius et Quedver pour Peter.

—Oh! Attendez! s'exclama alors Sirius en attrapant la carte des maraudeurs de la poche de James et en prenant un encrier et une plume du sac de Peter.

Il se pencha sur la table de chevet de Remus et se mit à griffonner pendant que James, penchée par-dessus son épaule, essayait de voir ce qu'il écrivait. Sirius prit alors sa baguette et lança quelques sortilèges au bout de parchemin. Il donna un coup de coude à son ami pour que celui-ci recule avant de continuer à ensorceler le parchemin.

—Admirez! s'exclama-t-il finalement. Je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises.

Au lieu que le plan de Poudlard n'apparaissait aussitôt comme c'était le cas avant, des lettres apparurent, laissant Remus lire à haute voix « Lunard, Quedver, Patmol et Cornedrue spécialistes en assistance aux maniganceurs de mauvais coups sont fiers de vous présenter la carte du Maraudeur »

—Ooh! s'exclama Peter.

—C'est super! renchérit James en attrapant la carte.

—Évidemment! lui répondit Sirius avec un petit sourire.

Ils restèrent à l'infirmerie encore une bonne heure à discuter et rire avec Remus pour lui tenir compagnie avant de devoir partir, chassés par l'infirmière qui leur reprocha d'empêcher le jeune homme de se reposer.

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