Février - 2 / TW
La chronologie de Star Trek : C'est vrai que j'aurais pu commencer par une des innombrables espèce d'extraterrestre que compte ces films/séries/bouquins, mais je me suis dit que pour débuter ces chapitres dédiés à l'univers de l'exploration spatiale, je pouvais insulter sa chronologie. Vous avez du mal à suivre les Marvel ? Je vous présente Star Trek, où c'est encore plus dur de s'y retrouver. Les chronologies font n'importe quoi, et certains réalisateurs (c'est toi que je vise, JJ) se moquent complètement de l'univers sur lequel ils travaillent, et font leur sauce dans leur coin (avec un certain amour pour la destruction de planète (oui, c'est encore toi que je vise JJ))
Fun fact sur Star Trek : c'est grâce à cette série que les fanfictions sont nées. Hé oui, les premières ff mettaient en avant le Capitaine Kirk et son second Spok (le mec qui fait ça 🖖🏻)
TW : Sexe
Je remonte vers lui, et il me fixe avec des yeux franchement brûlants. Si je n'étais pas encore décidé à franchir le pas, je le suis désormais. Je pourrais m'enflammer dans la seconde.
— C'est-à-dire ? m'interroge-t-il tout bas.
— J'ai envie de toi tout entier Curtis. Tout entier.
— Mais tu as dit que...
— J'en ai envie.
— Je ne veux pas que tu regrettes.
— Je te l'ai dit. Je n'ai plus honte de te désirer.
— Pourquoi ?
— Parce que tu es toi.
Cette simple remarque le fait revenir contre mes lèvres. Il ne les embrasse pas tout à fait, attendant mon acceptation silencieuse. Je la lui donne en pressant ma bouche contre la sienne, et en avançant dans la salle de bain. Les mollets de Curtis butent contre la céramique de la baignoire, et son regard s'allume d'une lueur parfaitement coquine.
— Je vais te piquer ton idée de la baignoire. Je peux ?
— Tout ce que tu veux.
Il se penche pour ouvrir les deux robinets d'eau, mais laisse bien plus couler l'eau chaude que la froide. Comme si c'était possible, avec lui à quelques millimètres de moi, que je sois refroidi d'une quelconque manière que ce soit. Il rajoute ensuite une grande coulée de savon à la menthe verte, qui est apparemment son préféré.
— Ta peau aura un goût délicieux comme ça.
Il mordille légèrement mon épaule, et je me gorge de tout le bas de son anatomie lorsqu'il entre dans l'eau, qui monte toujours, formant d'immenses amas de mousse. Comment regretter d'être proche de lui ? Comment regretter de ressentir du désir ?
— Samuel ? Tu n'as plus envie ? Il n'y a pas de problème.
— Je t'observe. Et bon sang, ce que tu es beau.
Je le rejoins dans la baignoire, et me colle immédiatement en face de lui. Son dos est appuyé contre la céramique blanche et mes jambes s'enroulent autour de son bassin, pour le ramener contre moi. Nos érections se frottent sous l'eau et la mousse, et je sens la chair de poule monter.
— J'ai tellement envie de toi, glissé-je entre deux baisers fiévreux.
— Arrête de dire des trucs comme ça, ou je risque de finir avant de commencer.
— Alors, commençons. Qu'est-ce que tu as envie de faire ? De me faire ?
— T'es sûr que tu veux être en dessous ? Enfin, si c'est ce que tu sous-entendais dans ta phrase.
— Si tu continues, je vais devenir cru et vulgaire pour te répondre. Alors embrasse-moi plutôt.
La plante de mes pieds, tout contre la céramique, nous pousse un peu plus au milieu de cette gigantesque baignoire. Curtis n'a plus vraiment de point d'appui, mais je suis un peu moins contorsionné contre lui. Je me détends bien plus, en lui rendant ses baisers au centuple.
L'idée d'échanger nos rôles par rapport à notre première fois me plait beaucoup, même si je ne suis pas tranquille. Curtis semble dans le même état, et ne me touche pas plus haut que le cou, alors que chaque parcelle de ma peau lui est offerte.
— Ça va le faire. Je te fais confiance.
Mes mains descendent vers son ventre, et la chute de ses reins. Je le ramène plus encore contre moi, et nos érections s'emmêlent plus encore dans la mousse. Il avale un gémissement en collant ses lèvres sur les miennes.
— J'ai une idée, dis-je tout d'un coup en me détachant de lui en un smack sonore.
— Pour ?
— Pour que tu prennes ton pied.
J'avance plus encore contre lui, afin que mes fesses soient en face de son entre jambe. Je la sens juste au-dessus de ma peau, et je souris. Parce que Curtis a parfaitement compris où je voulais en venir.
— Tu aimes cette position.
— Oui. Parce que je peux te voir.
C'était une certaine frustration la première fois. Comme il était dos à moi, je ne distinguais strictement rien de ce qui se passait sur son visage. Là, je vais être aux premières loges.
Il me prépare avec douceur, en me demande à chaque fois si j'ai mal. C'est la première fois pour moi, mais l'eau chaude adouci cette intrusion. Je hoche donc positivement la tête lorsqu'il me propose d'y aller. Je l'aide même dans son mouvement, presque avide que mon idée se mette enfin à exécution. Au début, il n'ose pas bouger les hanches, de peur de me faire mal. Mais moi, je ressens déjà le plaisir, et je me mordille les joues pour ne pas m'exprimer pleinement. J'enclenche donc le premier mouvement, qui fait remuer l'eau qui nous entoure. Les yeux de Curtis se ferment, et je sens que ça lui plaît.
— Oh bon sang, laisse-t-il échapper.
— C'est bon ?
— La vache, oui.
— Alors continue.
Il s'approche de ma bouche, presse rapidement la sienne contre la mienne avant de déclarer.
— N'hésite pas à t'exprimer. Ça m'excite.
Ça, je l'avais bien remarqué. Nous sachant complètement seuls dans cette grande maison, je lâche son prénom à chaque nouveau coup de rein. Je plante mes dents dans le creux de son épaule, et je perds complètement pied lorsque, pendant un mouvement vif touchant un point extrêmement sensible, il attrape mon sexe pour commencer à le toucher. La mousse rend le mouvement encore plus fluide et plus rapide, et je ne sais plus où donner de la tête ; ce qui se passe entre mes jambes, ou entre mes reins.
Il jouit tout contre mes lèvres, dans un presque sursaut. Il me mord la lippe inférieure dans l'exercice, avant de l'embrasser totalement. Moi, je viens juste après, après un dernier coup de hanche accompagné d'un mouvement bien placé de la main. Et tout comme lui, je l'embrasse à pleine bouche au lieu de crier.
Il se retire, et je m'éloigne légèrement de lui. Mes jambes, que j'avais crochetées dans son dos pour m'accrocher à lui sont dénouées, et je retrouve des sensations dans cette partie la de mon corps.
— Tu t'en vas déjà ?
— Non. Je change juste de position. J'ai un petit cadeau à te faire.
Je lui demande d'avancer vers l'autre côté de la baignoire, pour que je puisse me mettre a exécution. Je pose mon dos contre le côté gauche, et je lui souris au milieu des bulles.
— Viens. Dos à moi.
Il se retourne donc dans cette baignoire gigantesque, et son corps entre à nouveau en contact avec le mien. Les sensations reviennent comme si elles ne m'avaient jamais quittés.
— Qu'est-ce que tu fais ?
— Je te l'ai dit. C'est un petit cadeau.
Je colle mes lèvres contre sa nuque et je l'embrasse avec lenteur. Il se tend tout contre moi, et soupire d'aise. Je savais que j'allais provoquer ça chez lui.
— Tu veux déjà recommencer, c'est ça ? C'est pas humain ce que tu me fais.
— Tu peux parler. Tu t'es pas entendu. Tes soupirs respirent l'érotisme.
— C'est pas ma faute. Tu m'inspires tellement de trucs aussi.
— Comme ce qui vient de se passer ?
— Oui. Comme ça.
Je pose mes lèvres contre sa peau, et j'ose même un coup de langue. Ça peut ne pas lui plaire, mais je tente le coup. Le soupir laisse place à un vrai gémissement, et je sens que je suis sur la bonne voie. Mes mains, tout contre sa taille, avancent un peu sous l'eau.
— Oh.
— Désolé. Je t'avais dit que ce n'était pas humain, ce que tu me faisais.
— Ça ne me dérange pas que tu réagisse autant à mes baisers. Mais tu ne veux pas qu'on se déplace dans la douche ? L'eau d'ici n'est pas spécialement propre, et j'aimerais changer de position.
— T'as assez d'énergie pour le deuxième round ?
— Mets tes mains dans ton dos, et tu verras.
Je me rapproche un peu de lui, et ses doigts rencontrent mon entrejambe tendue de désir.
— C'est la faute de tes soupirs.
— Oh. En effet. Tu as de l'énergie pour un deuxième round. J'imagine que tu veux échanger nos places ?
— T'imagines très bien. Ça te va ?
Pour toute réponse, il se retourne en se mettant à genoux dans la baignoire, et se penche vers moi pour me donner un très long baiser. Je soupire d'aise entre ses lèvres. J'adore vraiment l'embrasser.
— Totalement.
Il se lève et me présente sa main. J'ai peur de dégueulasser toute la salle de bain, mais apparemment, Curtis n'en a rien à faire. Il marche vers la douche et commence à faire couler l'eau chaude. Comme les vitres de protection sont transparentes, je peux absolument tout voir depuis ma place. Il enlève la mousse de son corps, mouille ses cheveux et attrape du savon en bidon. Sa main passe sur ses épaules, son ventre, jusqu'à atteindre son entrejambe tendue. Il se touche juste devant moi, sous prétexte de se laver. C'est incroyablement sexy, et ma seule envie est de le rejoindre.
La culpabilisation tente une petite percée en moi, en me rappelant que j'ai joui à cause d'un garçon. Mais je l'envoie valser loin de moi, en allant rejoindre ce même garçon pour l'embrasser goulûment, lui faisant lâcher ses activités. Je recouvre ce sentiment négatif par quelque chose de très positif. Dans cet exemple, les lèvres de Curtis.
— J'ai eu peur de devoir finir tout seul.
— T'inquiètes pas. Je ne t'aurais pas laissé faire.
L'eau coule sur nous deux, et je ne peux pas lâcher ce sexe tendu vers moi. J'ai envie de le goûter, surtout maintenant qu'il est propre.
— Est-ce que je peux... ?
Le verbe est bloqué dans ma bouche. J'ai l'impression d'être vulgaire, et je cherche un euphémisme qui l'est moins.
— Me sucer ?
La manière dont il l'a dite m'envoie une décharge d'électricité dans tout le corps. Comme je lui ai fait remarquer tout à l'heure, il respire l'érotisme.
— Oui.
— Il est à toi. Juste...pas de coups de dents s'il te plaît. Je déteste ça.
Je me crispe à l'idée que d'autres personnes se soient mises à genoux devant lui, pour lui faire plaisir. Je sais qu'il a un passé, contrairement à moi, dont les connaissances s'arrêtent aux scènes que j'ai lue dans des romans. Je ne suis pas là pour critiquer ses anciennes partenaires, même si ça me crispe.
La jalousie m'envoie un décharge de énergie et je me mets au travail. Le sol est un peu glissant à cause de l'eau, si bien que je m'agrippe au corps de Curtis, tout en profitant un peu.
— Petit pervers, dit-il lorsque j'effleure ses fesses.
— Ça te dérange ? Je peux me déplacer.
— Non.
Il continue avec ses yeux de braise. Sous l'eau, avec les cheveux presque noirs et plaqués sur son visage, il est diaboliquement sexy.
— Ça va me rendre pressé. Pressé que tu arrives à cet endroit là.
Mon corps réagit à la moindre de ses phrases, et je commence mon travail. Ce n'est que la deuxième fois que je le fais, et je ne suis pas sûr de la réussite de la première. Je commence donc très doucement avec des coups de langue, avant de me faire arrêter par Curtis.
— Vas-y franchement. Je n'attends que ça.
Alors j'y vais franchement. J'ouvre la bouche et je débute mes va et vient. Ma langue se promène sur cette peau tendue, et je dépose même quelques petits baisers par ci par là. Je relève les yeux vers mon partenaire et la vision qu'il m'offre est tout bonnement à couper le souffle.
Sa main est coincée dans mes mèches de cheveux, qu'il a saisit pour s'accrocher. Ses magnifiques iris sont cachés par ses paupières fermées. Mais le pire est la position de sa tête, renversée, la bouche à demie ouverte, comme s'il allait crier mon nom.
— Fais-le si tu as envie.
Je n'aime pas spécialement qu'on soit trop expressif dans les paroles avec moi — je préfère les soupirs et les gémissements — mais j'ai l'impression qu'il va exploser s'il ne dit rien.
— Sam...Sam...
Je continue donc, ayant délaissé son entre jambe pour lui parler. De petits mouvements m'accompagnent dans mes va et vient, signe qu'il ne contrôle plus rien. C'est agréable, parce que j'ai l'impression qu'il veut me donner du plaisir à moi aussi.
Lorsque je le sens venir, je termine à la main. Je n'ai pas spécialement envie qu'il m'éjacule dans la bouche, et je crois que lui non plus. Il le fait plutôt entre mes mains, et contre son torse, qu'il rince aussitôt. Le bonheur de la bouche.
— Et maintenant, on passe aux choses sérieuses.
Il se tourne alors que je me relève, et me présente tout l'arrière de son anatomie.
— Je me suis préparé dans le bain, pendant que tu étais sur moi. Alors tu peux y aller directement.
— T'es sûr ? Je ne souhaite surtout pas te faire mal.
Il se tourne à nouveau vers moi et me colle un baiser sur les lèvres. Il ne reste pas longtemps, ce qui me frustre. Mais je comprends pourquoi. Il n'a pas fini de parler.
— J'ai vraiment très envie de toi, Samuel. Alors oui. Je suis sûr.
Il se tourne à nouveau et me présente même ses fesses en abaissant très légèrement son bassin. Mon érection me fait mal, tant cette vision me mets à l'envers.
— J'y vais.
Bien que je sache qu'il soit préparé, je commence doucement. Il sursaute légèrement, et pour le calmer, je vais saisir ses mains pour les plaquer contre le mur de la douche, et lier nos doigts. Je dépose aussi un baiser sur sa nuque.
— Bouge.
C'est presque un ordre, murmuré du bout des lèvres. Je m'exécute donc et je fais aller mes hanches contre lui. Sa bouche lâche un cri de plaisir, et il s'excuse immédiatement après.
— Je sais que tu n'aimes pas trop ça
Je lui embrasse la nuque pour toute réponse, en continuant à bouger en lui. Moi aussi, j'ai envie de m'exprimer à voix haute. Mais mon vocabulaire très peu varié. Ça se résume surtout à son prénom.
— Mais toi, vas-y. Lâche toi. J'adore ça.
Alors je recommence comme tout à l'heure. À chaque coup de rein, je murmure son prénom dans son oreille, avant de la mordiller légèrement. La chaleur de l'eau coulant sur nous réchauffe mon dos, mais je suis bouillant de l'intérieur. J'aimerais tant le voir.
— Attends, murmure-t-il, en reprenant son souffle. Recule toi légèrement.
Je commence à stresser, de peur de lui avoir fait mal, d'être allé trop loin même. Mon visage se tord, et j'essaie de cacher mon expression inquiète lorsque mon compagnon se retourne.
— J'ai envie de t'embrasser pendant que tu...déclare-t-il, en me fixant bien droit dans les yeux.
— Et comment comptes-tu faire ? Ce n'est pas spécialement facile face à face.
— Soulève-moi.
— C'est déjà ce que je suis en train de faire.
Il rit, avant de me glisser un baiser sur les lèvres. Il est tellement doux.
— Littéralement. Soulève-moi de terre.
Oh, je sais ce qu'il veut faire.
— Tu es sûr ? Je n'ai pas un équilibre très stable, et je risque de glisser avec toi dessus. Je n'ai pas spécialement envie de finir aux urgences et d'expliquer ce qui s'est passé.
— Il y a un tapis anti-dérapant, parce que justement, je me suis déjà cassé la figure. Tout seul, je tiens à le préciser.
Cette petite remarque réveille mon égo, et je lui glisse un baiser sur la clavicule, le plus chaud possible.
— Okay. On y va.
Je le saisis par la taille, et le soulève très légèrement. Il en profite pour s'accrocher à moi par les pieds, qu'il serre le plus possible. Il est très légèrement penché, pour que ses fesses soient toujours accessibles, et son dos repose contre le mur, qui sert de parois de douche.
— Allez, reviens maintenant.
Ses mains sont tout contre ma nuque, et ses lèvres à quelques millimètres de la mienne. Tout en m'introduisant à nouveau en lui, je l'embrasse avec toute ma fouge possible. Je le sens tressauter lorsque je recommence à bouger, et resserrer ses jambes contre mon dos. Chacun de ses cris sont avalés par des baisers, et il prend juste le temps de respirer avant de revenir contre moi. Il a raison. Bien que cette position me fasse presque peur — puisque je n'ai aucune envie de le blesser physiquement dans l'exercice — elle est encore plus agréable. Parce que je peux le voir, et couvrir ses lèvres de baisers.
Je ne mets pas longtemps à venir, tout contre lui, et je le sens vibrer tout contre moi. Je suis épuisé, et mais mes yeux sont voilés de plaisir. Je repose Curtis à terre, et il m'embrasse fiévreusement.
— C'était...
— Nul ? Tu sais que je suis inexpérimenté.
— Génial. Fantastique. Brûlant. Torride même.
Je lui souris de toutes mes dents. Je sens mon coeur se gonfler.
— Et toi ? Est-ce que tu...
Je lui coupe la parole en mettant mes mains devant sa bouche.
— Ce mot est désormais proscris de notre vocabulaire de couple. On le dit plus. Parce que j'ai bien l'intention de ne plus le ressentir.
Ce ne sont pas du tout les mêmes sensations que la première fois. Je me sens bien, contre ce corps chaud, qui ne regarde que moi. Pas mal à l'aise, comme à l'hôtel. La culpabilisation est là, je la sens, je l'entend dans le placard dans lequel je l'ai enfermée. Mais je ne la laisserai pas sortir. Parce qu'elle n'a pas sa place. Curtis me plait, c'était très très consenti, et je me sens bien avec lui. C'est exactement ce que j'ai dit avant de commencer. C'est parce que c'est lui que ça se passe comme ça. C'est lui qui m'a aidé à enfermer la culpabilisation dans un placard.
Il me sourit, et m'embrasse une nouvelle fois avant de sortir de la douche. Il va chercher des serviettes dans un placard, et je l'observe marcher, nu comme un vers, sans aucune forme de honte. Je quitte à mon tour la cabine, et je ferme l'eau chaude. J'espère qu'il en restera pour la douche du reste des habitants de cette maison, ou Curtis risque de passer un sale quart d'heure.
— Je peux te sécher ?
Il me propose une serviette vert pâle, presque de la même couleur que ses yeux. J'accepte en hochant la tête, et je me laisse couler dans les sensations qui m'envahissent, tout en me répétant une phrase. Oui, vraiment, embrasser Curtis est la meilleure chose qui soit.
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