Chapitre 13
Une fois ces pieds par terre, deux bras l'attrapèrent. On lui bandit les yeux et l'enferma dans un champ de force. Elle sentit une main lui caresser la joue.
- Salut ma belle, lui dit la voix de Ruy, se n'était pas ton petit copain qui était sensé venir? Tu es aux courant que si il n'est pas là dans trois jours, dix personnes subiront les conséquences de ses actes. Tu le sais ça ma jolie.
Sophie sentit la panique lui ronger l'esprit. Elle n'avait pas penser à se détail. En voulant épargner son copain, elle avait mis la vie de dix autres personnes en danger en plus de la sienne.
- Tu es au courant que tant que tu sera enfermé dans se champ de force, tu ne pourra pas instiller, lui rappela Ruy.
Il lui caressait toujours la joue se qui la fit avoir des frisson. Sophie ne savait plus quoi faire.
Il l'emmena dans une cellule, enfin se qu'elle supposa être une cellule car elle avait toujours les yeux bandés et la ligota à une chaise.
Quelque minute plus tard Sophie entendit une nouvelle voix s'adresser à elle.
- Tien, tien, tien. Je ne m'attendait pas à se que tu viennes à la place de mon fils. Mais bon, c'est toujours un plaisir d'avoir en notre compagnie le Colibri enfermé.
Sophie réussit à peine à contrôler sa colère. Mais elle ne pouvait accepter que la femme qui se trouvait en face d'elle était la mère d'un garçon formidable. Elle avait fait tend de mal à son fils. Elle avait mentit, manipuler, lui avait fait de sa vie un enfer avec l'aide de son père, bien entendu.
- Alors, cher petite, tu as perdue la langue ?
- Non, je ne vois juste pas l'intérêt de vous adresser la parole, dit Sophie qui cherchait comment faire partir la panique qui faisait trembler sa voix.
Je vois, lui dit-elle avant de sortir laissant Sophie seule avec ses pensée. Quoi que prise au piège par le champ de force, elle réussit un transmettre à l'un de ses amis.
- Foster, c'est bien toi.
- Oui, c'est moi Keefe, je n'aurai jamais du faire sa, à cause de moi il y aura des blessés voir des morts, et puis...
- Du calme Sophie, dit moi où tu es.
- Je ne sais pas trop. J'ai les yeux bandés et je suis prise au piège d'un champ de force. Pour l'instant je n'ai entendu que la voix de Ruy et... de ta mère.
Un long silence gênant apparu. Sophie redoutait le moment d'annoncer au jeune empathe que sa mère participer à sa séance de torture mais elle ne pouvait le nier.
- Je..., ne..., non. Sophie, pense tu que nous pouvons te localiser avec la bague que ta offert Dex.
- Pourquoi je n'y avait pas penser. Attend, je suis emprisonner par un champ de force donc les signaux seront surement bloquer.
- Ah mince. Ne leur adressent pas la parole. Et chaque matin, midi et soir tu me transmet.
- OK, dit Sophie en coupant la discussion.
Le soir, enfin se que Sophie pensait être le soir car elle n'avait aucune idée du temps qu'elle avait passé enfermer, elle entendu la porte de sa cellule s'ouvrir.
-- Ma chère Sophie Foster, qu'elle plaisir de te voir.
Cette voix. Cette voix hantait les nuits de la jeune télépathe. Cette voix avait torturer ses parents humains mais aussi de nombreux autres humain avant eux. Cette voix appartenait à une certaine Vespéra. une prisonnière oublié du conseil que les invisibles avait aidé à s'échapper.
Ne savant quoi faire Sophie décida de contacter Keefe à cette instant.
- Sencen, Vespéra vient de rentrer dans la pièce ou je me trouve, que doit-je faire ?
- Ne lui répond que si c'est nécessaire et rapporte moi toute les paroles qu'elle te dit.
- D'accord.
- Alors, cher colibri, qu'est-ce qui t'amène en ces lieux.
Écoutant son petit-ami ( PDV l'auteur : j'adore me rappeler que Sophie et Keefe sortent ensemble ), Sophie ne lui répondit et transmit le début de conversation au jeune empathe.
- Tu veux jouer à sa, comme tu l'aura voulu. Tu n'aura plus besoin de me répondre à présent.
Sophie sentit la peur la dévorer. Les paroles de Vespéra n'augurai rien de bon. Soudain, elle sentit une une grande douleur dans le bras droit. on venait de la piquer avec une seringue. Elle avait l'impression qu'on venait de lui remplir le cerveau avec du coton. On lui avait administrer des sédatifs. n'entendant plus rien et sur le point de sombrer dans un sommeil artificiel, Sophie eu tout juste le temps de transmettre à Keefe " on vient de m'administrer des sédatifs ".
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