Obstination
Le Monde le monde cesse de me dire
Ne cesse de me répéter sans fin
"Parle parle des cailloux qui t'ont fait trébucher
Ô combien leurs pierres ont construit un escalier
Que devrais je dire annoncer
Quelques mots fades de sens
À celleux dont le chemin encense
D'une façon différente
Que mon brasier passé a aveuglé
Ma peine mes mots tranchants
Contre la seule personne
Qui restait mon âme
n'est pas légitime de parler au nom de millions
Jamais un individu n'a remplacé les Nations
Sans devenir despote doux guide paternalisant
L'esprit critique
Mais toustes celleux qui me connaissent
M'ont répété un•e à un•e les mêmes messages
les mêmes idées et alors je suis apparu•e comme
Une toile cubiste commune incomplète
Dont les couleurs n'existent pas complètement sur Terre et qui par endroits n'est pas complétée
Des parties sont rongées d'un acide amer
Les taches d'eau salée de mes yeux ont
Laissé leurs sillage pluie changer les teintes
Jamais la flamme ne s'est éteinte
mais parfois l'Hermite en a caché la lueur
Je n'étais pas prêt, prête, peut importe
Vous non plus d'ailleurs
peut-être qu'un jour où mes mots prendront sens
Mon parler des étoiles ne semblera plus offenses
Dissimulées mais des idées qui prendront graines
Comme la forêt phosphorescente
Qui a naquit dans mon esprit
Au mot poésie
Pardonnez moi de condamner mes mots que je trouve
Trop flous pour évoquer l'intensité de la flamme poétique
J'essaie je raterai peut-être
On ne peut se hisser sur du vide
je crois
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