chroniques: Mme Bon sang

Mon lit était trempé comme si une averse avait pleuré dessus, j'était à bout de souffle comme sur un sprint de 100 mètres et  je ne sentais plus mon corps. En avais je d'abord un? Tout était flou, ma vision, mes pensées. Qu'est ce qui c'est passer la veille ?  Comment ai-je pu être sur ce lit? J'essayais de tourner ma vue voir les alentours et l'endroit ressemblait à mon chez moi. Je reprenais mes esprits je m'y forcais car rester dans le noir ne me plaisait guère je devais chercher ce qui n'allait pas. Certaines scènes me paraissaient et cela me donnait de fort maux de têtes alors je pris une grosse bouffée d'air pour faire le vide. Je ressentis de nouveau mon corps  partiellement j'arrivais à me mouver cependant c'était douloureux et malgré cela je mis mes mains en poche et trouva une facture de consommation payée et une carte personnelle avec un mot qui disait juste à demain. Puis des fragments de la soirée refirent surface. Vaguement, ce type qui me proposa du travail et puis rien. Je fronçais mes yeux me trouant la mémoire comme pour faire apparaître cette soirée devant moi puis brutalement mon cerveau me cria avec froideur le nom de Mme Bon sang et je sentis l'air se rafraîchir autour j'aurai crû être dans un frigo. J'étais apeuré car la partie la plus horrible de cette soirée je m'en suis souvenu. Ai-je rêvé !? Qui m'a ramené? J'ai pas voulu m'eterniser dessus et j'ai même pas eu le temps car on venait de frapper à ma porte. Hier je suis sûr que c'etais pas du mojitos. Puis on frappa à nouveau ce qui me fit sursauter. Avec tous les efforts possibles j'eus la force de me mettre sur mes deux jambes et d'aller ouvrir. Un homme en costume deux pièces se tenait droit comme une ligne verticale, on dirait jeffrey.
_M. Je viens de la part de votre employeur
Étonné vraiment je l'ai été.
_ Employeur ?
Puis je me suis souvenu que c'était aujourd'hui que je devais rencontré ce type à manteau noir. Alors je demandais à jeffrey de patienter, je fis un petit sprint bancale vers la salle de bain afin de me rincer le visage par la suite je me dirigea vers mon amoir pris un survet et retourna auprès de ce brave jeffrey. On allait dehors et il faisait pas chaud,le ciel couvert et le berger avec son troupeau passaient. Je n'arrivais toujours pas à comprendre comment dans une cité il pouvait y avoir une ferme enchantée. Mais cela ne perturbait pas jeffrey il me mena près d'un véhicule. J'étais à ce moment comme perplexe. Qui était cet employé qui avait un majordome et une belle voiture? Quel genre de boulot cela puisse être? Il m'ouvra la portière et avec classe j'y montais. J'avais presque oublier l'événement d'hier,presque. Un peu pensif pendant le trajet je ne m'occupais pas du chemin pris par jeffrey loin dans mes pensées j'avais pas la notion du temps. Je repensais à hier mais pourquoi Mme bon sang m'est venu c'est quoi ce délire. Le véhicule s'immobilisa et je redscendis sur terre. On avait garé devant une assez grande bâtisse et à voir l'endroit j'aurai pas su dire dans quoi il travaillait le monsieur d'hier . Jeffrey venu m'ouvrir la porte et quand je posa les pieds dehors à ma grande surprise le ciel était assombri avec les vitre teinte en noir j'avais pas pu remarquer. On se dirigea vers la porte d'entrée et je me rendis compte que cette grande bâtisse c'était une demeure à la déco assez lugubre il n'avait vraiment pas de goût un vrai célibataire plein de fric, triste. Arrivez au cœur de la bâtisse ce qui était sûrement la pièce de réception. Juste devant nous se tenait un grand fauteuil qui était de dos avec un homme assis dessus. Nos pas faisaient échos dans cette piece même notre respiration. Alors le monsieur assis éleva la voix et dit :
_ bienvenue cher ami.

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