Erreur monumentale...

Tout à coup la porte du cachot s'ouvre violemment. Je me stoppe. J'entends des bruits de pas qui descendent en furie l'escalier en colimaçon.

J'aperçois un homme, baraqué avec une tête vide de tout cheveux.

Il se place sous l'ampoule.

***: Qui est la chienasse qui a osé faire tout ce bruit ?!

Je vois toutes les autres filles reculer vers le fond de leur cellule et j'avoue que moi aussi je fais la même chose sans m'en rendre compte. Je croise le regard de Chaston et je la voie s'avancer vers les barreaux de sa cellule.

Elle: c'est moi connard !

J' écarquille les yeux. Mais qu' est ce qu' elle fous ?

***: dis donc Chaston c'est devenu une habitude pour toi de faire le boucan à chaque fois qu'on accueille une nouvelle pensionnaire ? Tu crois c'est ton père qui a fabriqué cette cellule pour toi ou quoi ?

Il se rapproche de sa cellule et l'attrape par le menton.

Elle: mon père ? Il t' emmerde.

Elle lui crache au visage.

***: tu sais très bien que je ne tolère pas l' impotesse avec moi ! Tu vas le payer !

Il sort une clé de sa poche, ouvre sa cellule, y entre et referme à clé derrière lui.

Il attrape Chaston par les cheveux et la projète au sol. Elle tombe face contre le sol. Il détache une matraque de sa ceinture et commence à la battre avec.

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Cela dura une quinzaine de minutes. Je me recroqueville dans un coin de ma cellule, les genoux serrés contre ma poitrine, les yeux fermés et les mains serrés contre mes oreilles pour ne pas entendre les cris de Chaston.

Sans que je ne m'en rende compte mes larmes se mettent à couler silencieusement.

Et puis tout s'arrête. Plus aucun cri, plus aucun coup de matraque juste juste le bruit d'une porte qu'on referme à double tour.

J'ouvre les yeux doucement et découvre avec horreur Chaston étendu sur le sol de sa cellule. Je m'avance vers elle à quatre pattes.

Moi: Smeh Chaston... wallah smehli ! Je ne savais pas...

Chaston (me coupant): ce n'est rien tu ne pouvais pas savoir... depuis peut-être 3 ou 4 ans que je me fais souvent  taper à la place des autres en espérant y perdre la vie mais rien n'y fait ! (Elle éclate en sanglot) à croire que je suis destinée à passer toute ma vie ici, à vieillir ici, À MOURIR ICI !

Elle se lève avec difficulté et pars s'allonger sur son lit et peu à peu chacune des autres filles fait de même à tour de rôle.

Tout d'un coup toutes les ampoules s'éteignent.

***:c'est le couvre-feu....

Je reste encore quelques minutes là dans le noir puis rejoins à mon tour mon matelas en espérant me réveiller de cet horrible cauchemard.

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C'est la fin de ce chapitre !

D'habitude je fais beaucoup de mots mais là je suis en panne d'inspiration et en plus c'est les vacances donc j'en profite !

Et aussi j'ai eu mon brevet😆 et je passe en seconde scientifique😩 (malheureusement) !!!

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Bisous !