24.
Bon vous connaissez tous comment on se réveille après un évanouissement mais là c'était différent.
J'avais ni les mains ni les pieds attachés et sur un lit très confortable. Quand j'ai pu voir clairement j'étais bel et bien dans une chambre immense avec une décoration impeccable.
Il ne va jamais cesser de me surprendre ce Malick.
Je sais pas j'étais encore étourdi quand la porte s'ouvre brusquement.
Un mec grand genre 1m96 entre avec une cagoule, il était tout en noir avec des gants aussi.
!? : bouge ton cul de là.
Cette voix je la connais.
Il a commencé à ramasser des trucs dans les placards qu'il mettait dans un sac noir.
!? : PUTAIN BOUGE TON PUTAIN DE CUL DE LÀ SALE CONNE DE MES COUILLES.
Moi : Younes ?
Il a retiré sa capuche et j'avais bel et bien raison.
Younes : oui c'est moi sale conne et si tu veux pas que Malick te tue bouges toi.
Il est malade ce pd d'où il me kidnappe.
Il a fermé le sac qu'il avait et il est venu me porter en sac de patate.
Moi : LÂCHES MOI SALE ENCULÉ DE MES OVAIRES PUTAIN LÂCHES MOI ÇA VA PAS DANS TA TETÊ.
Il marchait sans me calculer je bougeait dans tous les sens mais ça servait à rien. Nous sommes passés devant ses hommes et il s'est arrêté devant un gar qui pouvait avoir 21 / 22 ans et qui lui ressemblait beaucoup.
Younes : tu prend soin d'elles.
Le mec : t'inquiète.
Puis il m'a fait un clin d'œil.
Moi : NIQUES TOI BÉBÉ.
Arrivé au parking Younes m'a balancé dans une Ferrari blanche et il a pris le volant.
Younes : TU TENTES UN TRUC UN SEUL JE TE DROGUE et ce sera mieux pour tous.
Il a commencé à rouler très vite ce baiser.
Son téléphone a sonné et rien qu'à voir comment son visage se plissait on peut savoir qu'il est loin d'être content.
Il a lâché son téléphone.
Younes : PUTAIN.
Tellement il a crié j'ai tremblé toute seule.
Je vous ai dit qu'il roulait vite bah c'était rien maintenant il roule comme un malade.
Moi : ROULE BIEN NÉGRO.
Lui : FERME TA PUTAIN DE GUEULE.
[....]
Younes : nous sommes arrivés.
Moi : t'es fou Wallah.
Younes : MAIS ARRÊTE DE DIRE WALLAH T'ES CHRÉTIENNE.
Moi : pourquoi tu cris maintenant et je dis wallah quand je veux ok.
Il a pris le sac qu'il avait et il est sorti de la voiture. C'était une magnifique villa pas les villas de bibi hyper grande non une petite maison.
Nous sommes rentrés et c'est encore plus beau. J'ai commencé à inspecter c'est le salon y avait une photo d'une voilée et d'un bébé.
Elles étaient trop belles.
Moi : qu'est-ce qu'on fait là ?
Younes : je vais être bref. Malick avait prévu te tuer aujourd'hui comment je sais j'ai un homme dans ses trouilles. Tu vas rester ici parce qu'il connaît toutes tes villas et qu'il ne te cherchera pas ici. Et pendant qu'il te cherche tu ferais mieux de le rattraper et prendre une longueur d'avance sur lui. Et maintenant va prendre un bain tu pues ta chambre c'est la deuxième à droite.
Moi : zerma tu m'as sauvé ?
Younes : bref c'est pas pour toi mais pour mes propres intérêts mais si t'es pas contente tu prends la porte.
Moi : parle meilleur ok.
Younes : tu pues aussi de la gueule donc ferme là.
J'ai pris ma valise celle avec laquelle je suis arrivé d'Algérie.
Moi : JE FAIS TOUT POUR RESSEMBLER À TA MÈRE.
Là j'ai commencé à courir vers la porte qu'il m'a dit et heureusement il a glissé sinon il m'aurait rattrapé en 2-2.
Arrivé j'ai bloqué la porte et je me suis jeté sur le lit. J'explorais la chambre et vie de moi c'est tellement simple et jolie. Il a du goût le Younes.
Sur la table de chevet y'avait un coran. Ok.
Bon j'ai oublié de vous dire que l'autre il arrête pas de violenter la pauvre porte en balançant des "OUVRE CETTE PUTAIN DE PORTE SALE PUTE."
Je suis allé dans le dressing histoire de ranger mes affaires mais y'en avait déjà.
Il avait tout prévu Younes.
D'autres vêtements étaient dans les valises car le dressing était pas assez grand.
Je suis allé prendre un bain et j'ai pris tout mon temps. Y avait mon gel préféré vraiment tout été parfait.
Quand j'ai fini, j'ai fait mes soins du visage avec les produits qui était dans la valise avec laquelle je suis rentré.
Ensuite j'ai fait un chignon avec mes cheveux. Je me sentais trop fraîche et mes ongles ils étaient trop beaux.
Je kiffais trop cette manucure. C'était un truc comme ça.
Ensuite je suis allée fouiller le dressing et j'ai enfilé un pull adidas avec un jean et des sandales.
Votre pote avait calmé sa rage. Je sors du dressing et je pars m'allonger sur le lit et c'est là que je remarque que la porte est ouverte.
Je suis conne c'est sa maison il doit avoir le double des clés. Je cours fermer la porte et quand je me dirigeais vers le lit.
!? : *rire* me dis pas que tu me pensais aussi bête.
Moi : si.
Younes : répète.
Moi : t'es un gros pd.
Il s'est approché de moi et j'ai rien compris que ma tête avait tourné. Il m'avait mis une baffle dimensionnel.
Je crois qu'une larme m'a échappé mais j'ai vite essuyé.
Lui : déso......
Moi : FERME TA GUEULE OK. TU ME GIFLE DE QUEL DROIT T'ES NI MON PÈRE NI MA MÈRE TU COMPREND DONC NIQUE TOI. T'AS CRU ON ÉTAIT AMIS HEIN WALLAH TU VAS ME PAYER ÇA.
Pendant que je parlais je tapais son torse et je crois que j'ai lâché quelques lames vu à quel point j'étais vénère.
J'arrêtais pas de crier et là il a serré mes bras très fort puis il a posé ses lèvres sur les miennes.
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