Depuis 30min je n'arrêtait pas de fixer son corps ce n'était même pas un corps c'était de la bouffe pour monstre.

J'avais jamais vu quelque chose aussi répugnant de toute ma vie, la personne qui a fait ça vraiment y'a pas de mots pour le décrire.

On a découpé chaque partie de son corps comme si c'était un steak, y avait juste sa tête qui était intact. Tout ceci était inhumain.

Loris : Ke.....

Moi : appelle Younes. Et débarrassez ma chambre de tout ceci.

Alex : la vie de ma mère je vais tuer celui qui a fait ça.

Il a donné un coup dans le mur et il est sorti en frappant la porte bien-sûr si je ne connaissait pas Alex j'aurais dit qu'il part pleurer.

Loris : tu penses que ce sont...

J'ai fait un oui de la tête. Sérieux celui qui a fait ça c'est vraiment je sais pas quoi dire quand tu regarde tu penses que c'est de la viande vu que c'est cuisiné j'ai su que c'était son corps quand j'ai vu la tête.

Loris a appelé des hommes pour débarrasser ma chambre de tout cela et moi j'étais toujours figé.

!? : KEZIAH......... AAAAAAAAAHHHHHHH.

J'ai compris qu'elle a aperçu sa tête. Elle était figé et Loris et moi avions tourné la tête vers elle. Rach ne parlait pas depuis c'est vrai qu'Éric était le frère de Alex mais Rach était son meilleur ami.

Elle s'est avancé vers mon lit et m'a fait un câlin.

Luna : il a eu quoi le bg ?

Moi : ça ne te regarde pas Luna.

Luna : ma...

Moi : s'il te plaît.

Luna : ok

Moi : tu étais où ?

Luna : ça ne te regarde pas Keziah.

Elle est sortie mais bon j'ai pas son time j'ai bien mieux à faire.

Loris : je vais essayer de le joindre.

J'ai juste fait un oui de la tête. Loris est sorti et Rach était en face de moi, il était comme possédé.

Moi : Rach

Rach : c'est de ma faute.

Moi : raconte pas de la merde c'est.....

Rach : tu sais rien du tout Keziah.

Je l'ai regardé un long moment pour demander une explication.

Rach : pendant notre dernière opération tout s'est bien passée et vu que j'étais de bonne humeur j'ai invité Éric prendre un verre. Tout se passait bien jusqu'à ce que je bouscule un mec et vu qu'il faisait grave le nerveux ça s'est transformé en bagarre et à la fin de tout ça Eric a été obligé de tuer un homme pour me sauver la peau et depuis je reçois des menaces des....

Moi : algériens.

Il m'a lancé un regard noir , Rach déteste être coupé.

Rach : et j'ai pas trop pris ça à coeur mais...

Il avait une mine triste j'ai fait une grosse crise à ma conscience avant de décider de lui faire un câlin.

Rach : j'ai une gadji.

J'ai éclaté de rire , paix à l'âme d'Éric mais c'est lui je veux consoler le petit il me crée des vies.

Moi : t'as trop cru. Bon débarrasse le plancher.

Rach : c'est la dernière fois tu fais tes trucs de zemel avec moi grosse.

Il est sorti et j'ai profité pour prendre un bain. J'ai mis un survet sérieux quand tu as la flemme c'est trop la base.

J'étais sur mon lit à réfléchir quand on frappe à la porte.

Moi : entrez.

C'était le frère de Younes.

Riwan : salam.

J'ai juste souri et il me l'a pas rendu. NIQUE TES FRÈRES.

Riwan : je voudrais te parler après si t'as du temps.

Moi : par rapport à ?

Riwan : tu sais pas la signification de après ?

Moi : tu peux pas répondre normal ?

Riwan : azy tu m'as soulé je te parle tranquille et toi tu veux faire la patronne keke.

Stop ! !

Moi : tu m'as appelé comment là ?

Riwan : arrête de sourire chacal.

Il est sorti non mais son frère le chacal. Je suis descendu et je suis allé dans mon bureau et y avait déjà Younes qui parlait avec Loris.

Non mais je vais finir par croire que Younes est amoureux.

Moi : pourquoi tu m'as pas prévenu qu'il était là ?

Loris : il venait d'arriver.

Moi : c'est....

Younes : arrête de m'ignorer chacal.

Moi : pourquoi tu grattes toujours ?

Younes : parce que ça démange.

Moi : très drôle. Bon revenons à nos moutons.

Younes : mots et tons vielle cruche.

Moi : pardon ?

Younes : on dit revenons à nos mots et tons.

Loris : jure ?

Moi : bière.

Younes : très drôle.

Je lui ai lancé un regard noir. Pff toujours il me copie.

Moi : bref j'ai perdu un de mes hommes....

Younes : et ?

Moi : je peux continuer ?

Younes : tu es chez toi.

Je sais idiot.

Moi : je pense que ce sont les algériens et j'aimerais que tu me les décrivent sans sauter un détail.

Il a souri puis il s'est assis et il a pris un verre de whisky. Il a même pas eu besoin du "fait comme chez toi" illettré va.

Younes : ............