#PDVNORA

RECTEUR: Bon, j'ai fini avec vous, vous pouvez y allez.

MOI: Merci.

Je pris mes affaires, me dirigea vers mon casier et y serra mon sac, avant de prendre mon cartable pour le cour d'économie. Je me rendis au local demandé et toqua à la porte que je vis toute la ''gang''.

???: Bon, je suppose que tu es la nouvelle. Peux-tu te présenter à la classe ?

MOI: Ok; Donc salut. Je m'appelle Nora, j'adore les séries télévisés, le surnaturel-paranormal, les mets qui vient de mon encien chez-moi - entre autres la poutine, et les loups.

???: Et ton encien chez-toi, c'est où?

MOI: Québec, au Canada.

???: Parfait tu peux t'asseoir à côté de Stilinski.

MOI: Voisin de maison, voisin de pupitre.

Tout le monde parti à rigoler, même le prof.

???: Bon, j'en était où....?

KIRA: Euh coach, vous étiez à expliquer les taxes...

COACH: Merci, Yukimura.

STILES: Il faut que tu demande ce cahier, avant que le coach te jappe comme un chien après parce que tu ne l'as pas.

MOI: Coach? J'ai pas le paquet de feuille qui sert à ''apprendre''.

Scott, Stiles, Isaac, Malia et quelques autres partirent à rire. Un gars en diagonal de moi fit;

COACH: Tu sais quoi, je t'ame bien!

LA CLASSE: Ouuhhhhh!!!!

Lydia, un peu plus loin était bouche bée.

COACH: Je peux savoir qu'est-ce qu'il y a?

SCOTT: Coach, vous n'avez jamais dis ça à personne! Même pas à Jared...

MOI: C'est parce que je suis populaire et que tout le monde veut être ami avec moi! Quelle autre explication?

STILES: Tu veux rire? Je fais le même genre de blagues et on me colle pendant une semaine!

COACH: Tu exagère Stilinski... C'est que trois jour pour toi!

STILES: C'est toujours plus que les autres...

MOI: Je sens qu'ici c'est plus sévère que là-bas...

COACH: Quoi? Y'avait moins de jours de colle?

MOI: Une heure pour une journée... Si tu arrives en retard et que c'est non jutifié, que tu déranges le classe en cours, etc, tu n'à qu'une heure!

On passa le reste du cours à niaiser et tout et tout. J'apris malgré moi qu'il n'y avait pas de semaine de relâche ici. Quand la cloche sonna, j'entendis même quelques élèves soupirer, mais pas de soulagement. Qu'ils sont bizarre, ici...