Chapitre 9 : Alex et Anna 16/05/03

Ce jour là, je devait le matin me levait pour mon fils pour l'ecole. J'allumai la lumière de ma montre que je portais à tout moment pour voir l'heure, il était 5h31, je souris. Eleonore n'était pas dans son lit, seuls Alexandre et Annabelle dormait au milieu du lit, les nouveaux bébés de la famille. 

Je pris la lampe torche pour m'approcher d'eux afin de voir si ils dormait. Ils était magnifique et n'avait que 4 mois. Je sortis de la chambre et je me retrouvai au salon. La porte du salon était ouverte. Mais cela n'avait rien d'étonnant, Eleonore n'était pas au lit. J'entendis des bruits dehors. Je sortis, il faisait encore frais.

Je regardai le ciel qui n'était pas vraiment noir comme pendant la nuit mais c'était comme même noir. Il y avait des étoiles et la lune. J'avais l'habitude de voir la nuit je travailler occasionnellement au urgence de l'hôpital Henry Barbousse en Seine-Saint-Denis le petit matin au moment ou le ciel n'était plus noir mais bleu, mais ce matin la, pour la première fois. J'étais content pour cela. La surprise de l'aube n'avait pas encore fini puisque je venais d'entendre de nouveau bruit dans la cuisine et directement j'ai pensé à Eleonore, je la rejoignis en sautillant

- Fais doucement, tout le monde n'est pas encore réveillé.

Je me calmais et m'assis tout prêt d'elle sur un tabouret.

- Comme tu es vite réveillé aujourd'hui !

- Oui, je suis content de voir Oliver rentré pour la première fois à l'école.

- Toi qui ne voulais pas qu'il y aille à l'école.

- Oui c'était il y a un an

- Non, a peine trois mois. Je souris.

- Comment faites vous pour vous réveillez tôt tous les jours ?

- Quand tu seras capable de laisser Oliver aller à l'ecole.

Tout les matins, avant de se rendre à la caserne. Il faut apprendre le maximum pour pouvoir effectuer les interventions. En réalité. Je oubliait au fur et à mesure. 

Oliver avec beaucoup d'autres enfants du quartier devait aller à l'ecole. L'ecole se trouvait juste en face de notre maison enfin appartement, seule la rue nous séparait. Chaque matin on pouvait depuis notre appart entendre les enfants crier dans la cours. Nous étions assis sur le balcon .Si par malheur j'oubli de faire une manœuvre, sera sévèrement punis par mon pere.

Notre chef s'appelait Gustave Johatone mon grand pere et mon pere a pris sa place pour la raison que mon grand pere est à la retraite, c'était un vieux d'une 50aine d'années avec sa tête aux cheveux toujours gris mais si c'est pas lui c'est Apollon et lui c'est nôtre Karma de famille Johatone. Il était fier de cela et il n'aimait pas la méchanceté .Il était aimé par tout le quartier et était considéré comme un sage. L'après midi à 13 heure on revenait pour la caserne pour d'autre interventions et le soir aussi de 19 à 20 heure pour des future interventions, le lendemain matin avant remmener Oliver à l'école.

Une fois qu'on quitte chez le chef , on se lave, s'habillait en uniforme et prendre le petit déjeuner avant de prendre le chemin pour les interventions. Papa me donne toujours quelque pièce d'argent qu'on mangeait pendant la pause.

 J'attendais tous nos pas qui marchaient sur le sol, les cailloux qui se cognaient, je regardais mon frère qui n'arrêtaient pas de faire de mouvement. Je sentais la fraicheur du temps et aussi la chaleur du soleil matinal qui nous illuminait. Sur la route j'ai vu des écoliers. Je me demandais comment sera ma réaction une fois que j'aurai vu mes amis.

J'étais heureux de quitter la maison, mon pere, la cuisine ou encore la famille avec toutes ces manières de penser. Heureuse aussi de revoir parce que pour moi la caserne est une autre famille que j'aime beaucoup ou la façon de penser est différente de celui de la maison.

C'est une famille composée de plusieurs personnes, plusieurs familles, plusieurs langue et qui essaye tous d'adopter une seule langue qui était le français. Nous essayions tous de vivre ensemble malgré nos différences. La cour. Les anciens pompier faisaient des retrouvailles alors que les nouveaux étaient un peu timides et restaient un peu méfiants.

Mon frère François qui étaient avec moi avait disparu pour aller visité la caserne il la conné pas assez et il a que 13 ans ?! Le brouhaha était total. Plusieurs pompier des nouveaux recru qui s'inscrivaient et formaient un rang devant le bureau de mon pere.

Je regardai tout droit devant moi, je fixai Karim fut le premier de mes amis que j'ai vus. Je fus content. Je me précipitai les pas pour la rejoindre. 

Il me fit comprendre que j'étais en retard avant de me montrer les autres amis. Nous formâmes un petit groupe comme les autres au milieu de nombreux autres groupe d'amis. La joie se lisait dans tous les visages, on parlait de tout et de presque rien.

J'étais sure que comme moi, touts mes amis étaient excitées de leur nouveau grade sauf moi je l'avait eus avant les autres grâces à mon père. Le silence coupa notre conversations de rien du tout laissant chemin libre au sourire, on se regardait dans les yeux.

Ça y est, je suis enfin arrivée dans ma nouvelle maison, une grande maison en plein Saint-Ouen (c'est mieux pour mes 3 enfants bien mieux qu'un appart' 2 chambres), est-ce que Oliver aura des amis je ne sais pas... Avec ma famille, nous déballons les cartons, une fois terminer je décide de sortir prendre l'air, pour me vider et pourquoi pas rencontrer de nouvelles personnes pour mon fils.

Je marche dans les rues, je m'assoie sur un banc, et là des jeunes passent, ils ont à peut prêt mon âge.

Ils s'arrête devant moi et une fille :

-Salut, Moi c'est Diane. Eux c'est Jawad, Emma, Julien, Anthony et Laura.

J'hésitais à répondre mais je finit par répondre :

-Salut, Moi c'est Esteban.

Anthony : Tu as quel âge ?

-23 ans depuis peu, vous venez d'où ?

Laura : On viens tous de partout.

Jawad : ça vous dis, on va se poser ailleurs pour fumer ?

Je le regarde septique, je ne savais pas quoi dire, il est mystérieux, plutôt mignon, son charme ne me laisse pas indifférent.

Jawad : Tu fumes Esteban ?

Moi : nan mon pere veut des pompier de haut niveau !

Diane : t'est pompier ton pere c'est le chef de la caserne ?

- oui je suis son successeur Esteban Johatone.

Jawad : D'accord, T'es un bon toi, A mon avis tu vas vite t'intégrer et en plus de ça tu es super mignon.

Emma : Esteban, pas mal alors je materait le feu pour que tu vient !

-Tu crois ?

-Oh oui, j'ai jamais vu Jawad parler comme ça avec un gars, mais fait attention Diane l'aime beaucoup du moins elle apprécie.

-Ha d'accord Ha oui j'ai oublier de vous parler de moi, je m'appelle Estéban, j'ai 23 ans, je suis a la caserne grade sergent depuis peu. Je suis marié depuis 3 ans,3 enfants, 3 ans et 4 mois ils s'apelle Oliver il a 3 ans et mes 2 jumeaux Alexandre et Annabelle  4 mois.

- On doit rejoindre ma copine devant le cinéma, on y va.

- Ta cru qu'on voulait voir cette cruche traîner avec nous elle fout la merde.

Une grande blonde arriver avec un style de bimbo mais pas vulgaire, mais qui assez hautaine rien que d'apparence. Elle s'appelle Pauline.

Pauline : C'est qui lui ?

Diane : Bonjour toi, lui c'est Esteban, un conseil évite de t'en prendre à lui, certaines personnes pourraient de s'énerver dont moi.

-Ça y est vous vous êtes trouver un nouveau toutou !

-Tu m'es bien drôle, je te pensait intelligente pour une bimbo.

-Reste à ta place le nouveau

Jawad : Calme toi Julien, c'est pas de notre faute si ton copain est stupide.

Pauline commence à s'avancer vers à lever sa main, elle a pas le temps de poser la main sur moi que je la mets à terre.

-il est fou celui là !

-Bien jouer le pompier !

- il est pompier ?

-Hé oui, sergent caserne Menilmontant !!!!

Diane : On se détends, je vous propose de partir acheter des bouteilles, et qu'on aille fumer.

Tout le monde : Oui, cool.

-Tu viens Esteban ?

-je peut pas je dois m'occupé des mes 3 enfants.

-Aller viens !

-Je passe chez moi chercher de la tune et je vous rejoins

-Je t'accompagne !

-Pas besoin !

-c'était pas une question !

-Mais laisse le tout seul ce bouffon.

-Ta cru qu'on allait laisser Esteban tout seul dans la rue à cette heure là !

-c'est que j'habite juste la en face !

Tout le monde part, Jawad et moi on commence à partir pour passer chez moi. D'un coup il s'arrête.

-Quoi ?

Il part en courant !Je repars chez moi pour chercher de l'argent. Je cherche Jawad mais ne le trouve pas !

- Ha bah te voila toi !

-Oui désolée, j'ai discuter avec Eleonore ma femme !

Jawad me regarde, je suis gêné

Pauline : Il ta fait le coup je me bar en courant c'est ça ?

- De quoi tu parle ?

Pauline : Non, rien ! On passe une bonne soirée, on fume, on boit un coup, il est déjà très tard.

Diane : Bon y'a qui qui rentre ?

tout le monde part sauf moi et Jawad.

Jawad : Moi !

Tout le monde part je m'assoie sur un banc, Jawad s'assoie à coté de moi, on ne se parle pas, j'entends des bruits derrière moi !

Inconnu : Salut mon beau, t'es bon tu sais !

-Casse toi et surtout ne le touche pas !

L'inconnu commence à frapper Jawad, Il tombe à terre, il se fait encore frapper, il ne bouge plus.

-Arrête.

Je vais prêt de Jawad il a du sang partout.

L'inconnu s'approche de moi . Il me frappe au visage plusieurs fois, il part, je suis en pleurs, je sort mon téléphone et j'appelle les pompier et la police !

Pompier : Le jeune homme est inconscient, c'est mauvais

-okay ... je note sur mon carnet.

-pourquoi faire ?

-pour mon père il dit "tu note toute tes interventions que tu fait en dehors de tes heures de travail note le"

-ah okay ...

-caserne epargny je suis sergent !

-très bien sergent !

Je suis sergent à la caserne de mon père. Je suis un gars qui n'est pas du genre à avoir froid aux yeux et à se laisser faire, je suis un battant et très fière de l'être. Je sais que je vous décrie la, le fils model que tout parent aurait bien voulu avoir mais je ne suis pas celui que vous croyez. 

Je suis quelqu'un dotée d'une imagination débordante, je peux parler de tout et n'importe quoi (sauf ce qui concerne la vie intime des filles)et faire comme si j'étais intéressée (c'est un don) ! Le décès de ma mère à l'âge de 19 ans à était un véritable choque pour moi sa a surement anéantie mes étude de médecine .

Enfin... être vidé de son sang ça fait mal. Et qu'est-ce que j'en sais bref c'est que je suis pompier et urgentiste, je disais qu'elle en a dut souffrir, la police dit que ce sont des animaux qui ont dut l'attaqués mais j'y croie pas vraiment !

Comme je vous le disais je suis un gars pleine d'imagination, je me suis toujours dit si les personnage de fiction existe vraiment, je ne sais pas, par exemple les vampire ,les loup-garou ou encore les sorcière ou sinon les personnage de la mythologie grec.

 En tout cas si ils existent je voudrais bien les voir une fois dans ma vie, je sais que vous devait me trouvais très étrange mais tous ses histoire pourrait être vraie enfin de compte.

J'ai toujours étais passionner par ce genre de chose, les gens n'arrêtent pas de me dire que je pers mon temps à panser a sa, mais comme je vous les dis je ne suis pas facile à influencer, je n'en fais qu'à ma tête ! 

Vous savez bien que certaines personnes trouvent ce genre de sujet tabou, donc le meilleur moyen de ne pas se faire remarquer est de ne surtout pas en parler. 

Bref, je disais que je suis un gars « normale » de la Seine Saint Denis qui vie ça vie d'adulte normalement, qui passe du temps avec sa « famille» et qui n'arrête pas d'envoyer des messages.

Au faite, vous saviez que pour un gars brun avec des yeux noisette ses pas facile de pas se faire remarquer autours d'une bandes de fou ! Kevin mon meilleur pote c'est un garçon trop maladroit il a deux pieds et deux mains gauches, mais heureusement qu'il a encore un cerveaux, ce mec est un surdoué et pour temps il est policier qui l'aurait cru, ses surement héréditaire.

 J'ai eu vraiment de la chance de tomber avec lui comme amis, c'est vrai qu'il est hyper maladroit mais c'est aussi un garçon adorable quand il veut. J'aime bien quand il fait le Bad-boy mais vraiment des fois...! Même si Loan aussi c'est mon meilleur ami pas c'est pas encore la même chose.

J'ai fait des rêves très étrange, on peut pas dire que ce sont des cauchemars parce qu'ils font pas peur donc, j'étais dans ma maison d'enfance, c'était un soir de noël, mon père avait inviter l'un de ses amis qui venait de New York, je ne me rappel pas à quoi il ressembler ,cette partie était un peu flou, 

mais je me souviens que bizarrement il avait des yeux d'une couleur inimaginable, couleur or entourer de noir, c'était les plus beaux yeux que je n'avais jamais vue, puis ma mère lui a fait la bise et allait à la cuisine, mon père m'a présenter a son ami,

 je ne sais pas pourquoi mais dans mon rêve j'avais sauté dans les bras de cette homme et lui est fait un câlin, je fixer ses yeux du regard qui était perçant ,magnifique et très impressionnant. Je ne sais pas pourquoi, mais mon rêve c'est stopper la, je me suis lever, et sortie de ma chambre Éléonore était en train de prendre son petit déjeuné

-salut Juju alors on fait la grâce mat... eummm wouw!! S'étonne elle

- quoi, qu'est-ce qu'il ? Dit je.

-non, non, c'est juste que... Rajoute elle

-ouai je sais, j'ai une sale tronche. Continuais je.

-non, non pas du tout... hésite elle dans ses propos

-ouai je te crois. Terminais je.

J'avais les cheveux en pétard, j'étais vraiment cerné et mon gel avait dégouliné pendant mon sommeil, j'étais vraiment horrible.

-tu me dis pas ce qui ses passer pendant ton sommeil ! Relance Eleonore

-un cauchemar, rien de très intéressant... Dit je

-allez ! raconte ! Dit elle comme un enfant

- tu veux vraiment que je te parle de ma mère ? Dit je presque en pleurant

-j'ai rien dit. Rajoute elle.

-pas grave, bon, alors on fait quoi aujourd'hui? Dit je

-C'est toi qui voie, rappel toi que aujourd'hui ses ton jours. Continue telle.

-mon jour? Questionnais je.

-bien ouai tu sais, tes .... Tu veux vraiment que je te rappel? Parce que moi je n'ai pas vraiment envie. Rajoute elle

-oh t'inquiète, je n'ai pas oublié. Aujourd'hui c'est le jour ou ma mère est morte, je vais à la maison de mon enfance et au Parc qui est juste en face. Fini je.

Je prend mon petit déjeuné et je prends la route pour ma garde à la caserne. Il faisait bon, comme à son habitude la caserne est très grande, et la façade toujours abîmer, et la je vais dans le bureau de mon père il passe toutes ses journées dans son bureau triste et je me à pleurer, 

je me remémore les moments passer avec mes parents dans le jardin de ma maison d'enfance, mon père tondait le gazon et ma mère apporter la citronnade, moi jouant avec mes voitures dans le jardin avec le chien Rico, un très beau berger allemand. 

Puis je me suis diriger vers le Parc qui était magnifique comme dans mon enfance, je suis allé au Parc de jeux, il y'avait un petit bac à sable et une balançoire coller à une cabane en bois. Je revois les images de mon père en train de me pousser sur la balançoire je lui disais (en vrai à voix haute en pleurant)

-papa, s'il te plait, encore!

-Juju tu n'est pas tout seul.

-Mais papa, je lui ai fait la tête de chien battu!

-bon d'accord deux petites minutes, et sa marche toujours à perfection! Alors je me suis assis et me suis accrocher aux chênes.

-Plus haut papa plus haut!!

-Jusqu'au ciel, pour toucher les nuages.

-non, pour toucher les étoile !

nous étions restez tout la journée !Je vois encore le sourire sur son visage, un visage épanouie, un visage fier et heureux.

****

Il était là, sur le bureau, seul en train de pleurer, je crois que sa dois faire 2 jours que l'on ses pas vue, mon père me parle

-arête de pleurer Esteban, Juju répond mon cœur c'est papa ? Dit il inquet

- pourquoi ? Dit je.

- je sais que tu est triste mais pourquoi tu est venu travailler aujourd'hui ? Me rassura il

-c'est toi que je veut pas aller travailler ! Papa, tu m'as tellement manqué. Je me rappelle encore quand on jouer à la maison avec maman et mes frères et sœurs quand j'etait jeune, toi tu me manque beaucoup. Dit je en pleurant

-moi aussi viens ici. Dit il.

- j'ai retrouver il y a pas si longtemps Kevin ! Rajoutais je

- il va bien ? Demanda il.

-oui il va bien ! Dit je.

- enfin ne pleure plus. Termina til.

- Papa, je sais maintenant pourquoi tu tenais beaucoup à moi, tu me laissais jamais abandonné ? Demandais je.

- oui je n'arrêter pas de me dire que je faisais sa pour te protéger toi et t'est frères et sœurs, mais sa je crois que tu le savais, j'ai eu une enfance beaucoup plus difficile que celle d'autre enfants mon père me battait souvent, maintenant je sais que porter cette chose mais encore trop douloureuses j'ai repris la caserne de mon vrai père celui que tu a connu n'est pas le mien, mais sa a des avantages. continu il

- Papa, tes berceuses me manque, j'ai pas gardais tout tes tableau, il m'aidera à ne pas vous oublier et à me remémorer toutes ces bon moments passer ensembles. Rajoutais je

- Bon, je crois que tu dois aller en interventions. Reprend il au sérieux

- tu crois mais si je pleure encore ? Demandais je

-tout le monde est au courant ils savent quoi faire pour se cas. Dit il en mentant

****

-Salut ?

J'ais sursaute, je ne connaissais pas cette voix, j'ai essuyé mes larmes puis me suis retourné, c'était un adolescent d'environs 22 ou 23 ans je crois, je ne l'avais jamais vue avant mais son visage me disait quand même quelque chose. Il s'est approché de moi puis ses assis sur le banc qui était en face de moi.

-excusez-moi mais, est ce que je vous connais? Dit je

-je pense que oui, mais sa doit faire très longtemps que nous-nous ne sommes pas vue, je m'appelle Mike. Dit il

-... moi c'est Esteban. Dit je

- je sais, alors comment tu vas ? Demande il

-euh ... bien et toi... Rajoutais je

-Bien !! dit il

-Oh. Bon, il faut que je rentre il commence a ce faire tard et j'ais rater le déjeuner avec mon père. Rajoutais je.

-ouai je comprends, au revoir alors. Dit Mike

-ouai au revoir.... Mike. Terminais je

****

PDV de Mike :

Merde, je crois que je lui ai fait peur, sympa la première phrase "Salut" bla bla bla , quel débile ! Je suis vraiment stupide, j'espère qu'elle ne me prendrais pour un pervers, pouf, mais quelle con je fais-moi, je dois le revoir il faut bien que je me rattrape. En passent, il est devenu super canon, de beau cheveux cours brun comme il avait 15 ans, avec une taille parfait et des yeux noisette, il est mille fois mieux que dans mes souvenirs.

****

PDV Esteban :

Wouaw se mec était vraiment bizarre, je les jamais vue moi, j'avoue que ses yeux me rappel quelqu'un mais bon, il était assez grand de taille, il avait des cheveux courts noir, et il était pas mal musclée pour un mec de son âge. Je cours vers le bureau de mon père, le temps a est passé très vite, il faut que je fasse vite sinon. Je suis arrivé au bureau mais mon père avait déjà pris les paquets de Pop-corn, je me suis assis à coté de lui.

-j'ais rater quelque chose? Demandais je

- non ! Dissa mon père

-ouais on va dire sa comme ça. Rajoutais je

-he ho he ho Juju tu vas bien, la terre appel Juju t'es la? dit il

-hein... Dit je

- heureusement sinon j'aurait du demander au gars de t'emmener au urgence ! Dit il

-comment ça. Questionnais je

-parce que t'était dans les vaps de puis tout à leur. Repond il

-comment ça dans les vaps, et depuis quand ? Demandais je

- 1h30!! Etonnais il

-quoi ? Répondis je

-Juju t'es sur que tu te sens bien ? Demande il

-ouais .... Non je ne sais pas ... Dit je

-t'est sur ? tu veut pas qu'on t'emmène au urgence ? Dit il

-euh ..... Rajoutais je

Je lui est fait un câlin, j'ai déverrouiller la portière de moi voiture et j'ai commencé à conduire. Je ne savais pas si je partait ou resté. Je me suis posé plein de question pendant le trajet.

-Qui était cet homme ? Posais je la question

Comment ça se fait que je les déjà vue dans l'un de mes rêves et plus pertinent encore d'où il connaissait mes parents ?J'étais effrayé, tétaniser, tout d'un coup je commençais à sangloter sans raison, je me sentais seul au monde, je ne comprenais pas. J'ai dû puiser de toutes mes forces pour arrêter de pleurer.

- non de dieu Juju ! Crié mon père

j'ai entendu la voix de mon père mais j'arrivé pas à répondre ou autre chose.

Joshua ( en criant pour que les collègues dans la caserne lui viennent en aide)

-manœuvres de désincarnations générale de dernière minutes !

1h30 plus tard je me retrouve dans un brancard dans une ambulance !

ha ha quel idiot! J'ai fini par renter chez moi après une petite visite au urgence, je n'ai même pas eu la force de faire savoir à Éléonore que j'allais bien, elle était devant la télé, un cônes de glace à la main, elle n'a pas eu le temps de me demander ou j'étais passé car je lui est tomber dans les bras et je les serrer très fort, elle a fait de même.

-ça va Juju? Demanda telle

-non. Dit je

Puis je me suis allonger sur son torse et me suis assoupie, lui me tenait dans ses bras. Au moment que je fermais les yeux elle m'a chuchoté:

-je serais toujours là pour toi Juju, toujours. Dors bien. Puis elle ma pauser un baiser sur la joue. Et je me suis endormi. Ma t'elle dit

-Juju mon amour mon fils tu me manque mon ange sache que je serais toujours à t'es cotés ne l'oublie jamais. J'ai entendu une voix familière

-maman c'est toi ? Demandais je

-mon ange nous serons la quoi qu'il t'arrive sur tout il ne faut pas t'inquiéter. Dit elle

- maman c'est toi ? Dit je

-mon amour, mon bébé. dit elle

-Maman! Je t'aime tu me manquer tellement je n'arrête pas de pansera à toi ! Dit je

-moi aussi, mon fils ne pleure pas je serais la prêt de toi ! Dit elle

Ça main s'était approcher de mon épaule puis elle ma serrer très fort dans ses bras je n'ai pas pu retenir m'est larmes, je les sentir s'en aller.

-non je t'en supplie rester encore et puis pourquoi ? Dit je

-au revoir mon amour... Dit elle

-non, maman! Crie je

-ne l'oublie jamais ne serons toujours la... Dit elle

-maman! Ne part pas! Dit je 

Je me trouver seul devant un champ désert je me retrouver encore une fois tout seul. Je pleurais de plus belle en criants « maman » a tu tête jusqu'à ce que...

Puis, je me suis réveiller Éléonore a mes coté près de mon lit, elle était blanc comme un cachet d'aspirine, je voyer dans ses yeux de la peur et de la pitié. J'étais tout en sueur, les cheveux coller à ma nuque et mes joues souiller de larmes. En la voyant je lui ai sauté dans les bras comme je l'aurais fait avec mon père après un cauchemar.

-Juju calme toi, chute, respire, je suis là... Calme-toi. Me rassure Eleonore

-Éléonore, j'ai rêvé de ma mère, elle semblaient si réel, elle me touchaient, elle m'avaient pris de ses bras, elle me parlaient. dit je.

- calme-toi Juju... dit je

elle caresser ma tête froide de sueur contre son torse chaud, elle me réconfortait comme l'aurait fait avec nos 3 enfants .

-merci Éléonore, merci... Dit je 

-il y a pas de quoi Juju, il y a pas de quoi. Dit elle

-Éléonore tu veux bien me emmener voir mon père. dit je

- Juju je vais aller prendre une douche pour me réveiller un peu. Dit elle

-ouai bien sûr. dit je

Je l'ai raccompagné a la porte puis elle a fermer la porte à clef, je suis allée dans la chambre d'Oliver, je repensais à mon rêvé, à mes parents puis soudain a Mike, je ne sais pas pourquoi cette fois en pensant à lui au lieu d'avoir peur et de m'interroger sur lui je me suis détendue et relaxer. Et suis sortie de sa chambre. 

Éléonore était elle aussi habiller, elle portait une chemise a moitié ouverte et un pantalon noir et des chaussures noir classe.

-tu vas mieux.

-non, tu sais fait vite!

Je lui ai souris et elle m'a sourie à son tour.

-fière pour toi alors je conduis ou tu conduis?

-je veux bien que tu conduit.

-ok, tien les clefs.

On est sortie de la maison puis on a pris la voiture direction l'hôpital... Éléonore n'a pas eu le courage de me poser des questions sur ce qui ses passer hier, nous n'avons pas discuter pendant tout le trajet, lorsque nous somme arriver à coter de la porte de l'hôpital,

-je me suis toujours demander pourquoi! haha

-facile, parce que les gens ne te cours pas après puisqu'ils te reconnaissent pas je peux être enfin moi-même.

-ouais pas faux !

-tu fait quoi?

-euh, tu sais je ne suis pas trop sur.

-comment ça tu vas peut être pas y allait!

-j'ai pas le morale pour voire des morts vivant danser.

-bon on en reparlera plus tard.

-ouais plus tard.

On est sortie de la voiture tout ça était vraiment fatiguant ils ne veulent pas comprendre. Sa veut rend triste à leur place je serais vraiment désespérer.

-Éléonore tu veux vraiment allais bossé aujourd'hui ?

-bien sûr !

J'ai au beaucoup de mal à me faufiler entre les gens qui me prenne par les bras pour me retenir et les autres qui essayer de me parler, je ne sais pas pourquoi j'ai eu l'impression que le sol avait disparu, c'est estompé, il faisait très sombre, 

mais j'apercevais quand même une lumière blanche très lointaine. Lorsque j'ai eu enfin le courage de me lever, la première chose que j'ai remarqué c'était que je n'étais pas en rue la salle était beaucoup trop éclairer s'était très difficile de distinguer là les objets qui m'entourer,

il y avait une table de chevet, une chaise à côté du lit et une odeur qui m'étais familière....l'odeur des produits désinfecter.

je le reconnait je travaille la ! J'étais à l'hôpital, je me suis lever d'un coup, j'avais la tête qui tourner qu'est ce qui c'est passer pour que je me retrouve ici?

 J'entendais des bruits je ne savais pas qui m'appeler et me prenait pas les poignets, puis j'ai pu en fin distinguer les voies et les personnes autour de moi.

-juju je suis la calme toi tu es en sécurité ici. Juju c'est moi papa regarde-moi !

-pourquoi je suis là pour quoi je suis dans un hôpital celui que je travaille?

-tu as eu un malaise en ville, tu t'es évanouie.

-évanouie?

-tu ne te souviens pas ?

-non de rien du tout.

-comment ça se fait tu me parler pendant le trajet à l'hôpital.

-ce genre de symptômes sont très fréquent lorsque l'on s'évanouie, vous avez parlé a sont subconscient.

-excusez-moi Loan ?

-j'ai pris soin de toi, et tu souviens juste de moi je crois qu'on assez proche !

il m'as expliqué que je t'es évanouie c'est à cause du bruit et du nombre de personne qui était autour, il croit que j'ai eu une baisse de tension causé par le stresse ou par quelque chose qui me tourmente.

-tout ça pour du bruit.

-non pas que pour ça, je pense que vous étiez en état de choc vous ne pouviez pas supporter de voir beaucoup de monde, votre père ma expliquer pour la mort de votre mère, son décès vous a surement laisser plein de cicatrise c'est pour ça que vous faites c'est cauchemars ou c'est rêves sur votre mère.

- comme un traumatisme je sais ça lui arrive souvent.

-...c'est exactement ça.

-..hmm ... je vois. Merci pour m'avoir aidé, mais il faut que je rentre chez moi.

-pas ce soir Juju, tu es encore fatiguer.

- je peux reposer chez moi.

-il y a les petits ils feront trop de bruit.

-tu verras quand je vais leur faire la tête de petit garçon qui leurs fait un caprice.

Lorsque papa et revenu avec Loan (le médecin/collègue), j'ai sorti ma botte secret, elle était vraiment infaillible, grâce à ça à Loan ma laisser entre chez moi et ma donner des médicaments à prendre avant de dormir. Pendant le trajet papa n'a pas arrêté de me perler pour savoir si j'allais bien :

-tu es sûr que tu vas bien?

-sur est certain ne t'inquiète pas pour moi.

-en faite tu étais vraiment conscient quand tu me parler.

- je ne sais même pas ce que j'ai dû te dire.

-tu me parler d'un garçon qui s'appeler Mike je sais pas quoi..

- oublie ce que j'ai dû dire sur ce mec.

-si tu veux...tu sais tu n'as répéter que son nom

-très rassurant...

Lorsque nous sommes arrivée à la maison, Éléonore m'avait prévenu qu'elle allait sortir avec des amies en boite ce soir, lorsque je suis entré et elle ma dit ton père vient pour s'occupé des petits, j'ai trouvé un petit mot qui me disait :

si j'ai oublié de te le dire dans la voiture je t'ai laissé ton plat préféré dans le réfrigérateur, il aurait tout fait pour me remonter le morale celle la haha! 

Après avoir mangé mes tagliatelle au saumon devant la télé, je suis allé me prendre une douche pour ne plus avoir l'odeur de l'hôpital ça fait du bien de plus sentir le désinfectant mais je sens toujours j'i travaille! Comme j'avais chaud j'ai mis un short et un t-shirt trop grand pour moi mais t'en qu'il était léger, ses bien.

Puis je suis allé à la cuisine me préparer des Pop-corn caraméliser pourvoir un bon film fantastique a la télé, j'ai allumé le micro-ondes et mis le pop-corn a l'intérieure, soudain un bruit de verre briser a retentis de ma chambre ,

je suis allé prendre la bâte d'Oliver dans le placard a chaussure qui se trouver a coter de la porte d'entrer, j'ai marché tout doucement vers la porte de ma chambre, mon cœur battait la chamade, puis j'ai entre ouvert la porte ,

je ne voyer rien, j'ai pris mon courage a demain et j'ai ouvert la porte d'un cous sec et allumer la lumière, il n'y avait vraiment personne ,tout ce qui était louche c'était ma fenêtre briser.

- encore ses gamins qui veulent faire les malins, merde, ils auraient pu viser la voisine, elle, elle l'aurait mérité. 

jusques je vais dire à Eleonore moi et le pire ses qui a même pas de preuve que ses quelqu'un qui a lançait quelque chose, il va croire que ses moi et que je suis devenu singlé. 

Et puis merde il faut que je ramasse tout ça. Je suis allée prendre le ballet et suis retourné dans ma chambre, je ne sais pas pour quoi mais j'ai eu l'impression que je n'étais pas seul dans la maison a part mon père et mes enfants, j'ai levé le ballet au-dessus de ma tête puis j'ai ouvert la porte, personne.

- qui est là?

Personne ne répondait, j'ai vérifiais dans la penderie personne, sous le lit non plus puis je me suis diriger vers la salle de bain. Puis j'ai crié :

-qui êtes-vous?

Puis j'ai senti un souffle chaud juste derrière ma nuque...   

Des jumeaux, l'un de mes plus beau jours de ma vie, pourquoi étant petits vous etiez si proche et aujourd'hui vous vous haïsez ?

5 mois, ma fille a le même visage que son papa, et toi Alex qui aimé tant la vie pourquoi tu a décidé de tout claqué et en finir avec ? Tu a eu des moment durs je comprend mais arrête de t'enfermer et sort un peu...

Votre première sieste chez cousin François en vrai c'est le cousin de maman mais peu importe maintenant.

Alex, tu a été le plus beau bébé, je regrette de ne pas t'avoir aidé, je ne savais pas que tu été si triste

Anna, tu est ma princesse, a peine deux ans, tu été bavarde et intrépide maintenant tu a l'uniforme comme tu la toujours rêver et moi qui a aussi rêver que ma princesse sois comme sa maman je voulez te faire une princesse et tu est devenu reine

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