Chapitre 2


Lundi deux septembre 1985 j'avais 4 ans j'en suis heureux comme ça.

Ma deuxième année, nous avions un peu changer, Scott n'était pas dans la même classe, Tanguy ressemblé de jour en jour a un enfant Oriental, Sam c'est fait un ami, c'est son seul d'ailleurs, moi je souffrais secrètement de mon insuffisance cardiaque, j'étais très blanc, plus que Sam. Loan est si beau, il fessait toutes les demoiselles sur son passage. Kevin lui devais être jaloux de quelqu'un sans doute. Je me souviens pas très bien de mes camarades de classes parce que je n'en est aucun souvenir. L'année se déroule normalement, juste que j'allais à l'hôpital pour des examens de routines.     


Deuxieme année de maternelle

Lundi 1er septembre 1986

Ma dernière année d'école maternelle, Scott porté déjà des lunettes, un polo bleu, un jean et des baskets rien d'extraordinaire. Moi, j'étais plus qu'heureux, j'avais mis ma plus belle chemise, un jean ainsi que des chaussures montante, Loan il été venu avec une veste rouge, d'un jean aussi et de simple chaussures, à coté de lui se trouvait Kévin, un pull un jean et des chaussures clair, il fessais des doigt, il été le clown de la classe. Sur la deuxième rangé de la photo, Tanguy et Sam. Tanguy devenais de plus en plus foncé, c'est celui qui change beaucoup, il avait un haut vert, un short et des sandales sans chaussettes. Sam, il portait un bas de jogging et un haut simple blanc et rouge rayé.


Dernière année de maternelle

Mardi 1er septembre 1987

Le commencement de l'école élémentaire. Eléonore, je commençais déjà avoir des sentiments, elle avais 3 ans été très intelligente son qi est de 170, c'est plus que Albert Einstein, elle n'été pas comme les autre enfants de 3 ans qui rentrée eux en deuxième année de maternelle.

Moi j'été habillé en bleu avec une veste tricoté par ma mamie Julie, elle été blanche et verte. à coté de moi le guignol de Kévin, il fessait une grimace, avait des montante avec des lacets rouge, une marinière et un simple jean bleu. 

Eléonore été habillé comme fille, elle avait une queue de cheval elle été mignonne. Au second rang ce trouvé Tanguy, encore plus que l'an passé, il avais des bouclettes, il portais une veste verte, et un jean.

 Et le troisième rang se trouvais Loan, Scott et Sam et son meilleur ami Noah. Loan, été habillé en orange et bleu. Sa bouille de premier de la classe. Scott lui été habillé, d'un pull gris, et sa paire de lunettes ronde. Sam lui, il avait un sweat à capuche vert, un jean. J'ai appris à écrire, compter et à lire. L'été qui suivais je suis aller en colonie de vacances.


Juillet-Aout 1987 Colonies de vacances.

- Eh ! Toi ! La bas ! Oui toi le moche viens ramène ta fraise ! Disais un jeune garçon

- Eh j'ai rien fait ! Dit je.

- Le mec pas beau viens ou je te défonce ton p'tit frère ! Exprima le même garçon.

-Déjà tu veux que faire des embrouilles alors pourquoi tu veux défoncé mon frère ? Dit je à mon tour.

- Il parle à personne et puis quand il est assis il bouge d'avant en arrière ! Dit il méchamment.

- Il est autiste et albinos si tu le frappe moi je te tue sur place pigé ! Dit je en le menaçant

- C'est pas tes menaces qui me feront peur. Dit-il.

- Tu veux vraiment que je me batte avec toi ? Dit je.

- T'arrives même pas mes chevilles. Ricane t'il.

Après avoir battu le débile pendant 2h oui les animateurs ne sont venus 2h après parce qu'il a eu la bonne idée de se battre dans une forêt non loin du camp. Je suis tombé dans les pommes, c'est 3 jours plus tard que l'on me réveille dans un hôpital.

- Juju tu m'entend ? Francis dit-il.

Je ne répondis pas à Francis. Pendant un mois, les médecins essayé que je reste en vie déjà parce que la plus part des soignants m'ont déjà sauvé la vie 6 ans avant, 3 ans plus tot aussi donc étant le petit miraculé d'Henri Barbousse je suppose qu'il vont pas me laissé mourir.

Jeudi onze septembre 1987

-Juju je suis désolé de te le dire mais ... Dit Francis.

Francis Murray arrivé pas trouvé ses mots ce jour-là pour que je reste en vie surtout que faire un arrêt cardiaque après avoir fait une bagarre peut que tombé sur moi.

-Mais ton père à décider de quelle que soit la raison pour laquelle tu te trouves... Dit Francis.

Je sais c'est pas la faute qui que ce soit mais vraiment j'avais que 5 ans et pour moi et pour mon entourage aussi ont eu peur ce jour-là ... Il n'y avait pas d'autre espoir ni issus de secours.

-Dans un très long sommeil alors ton père m'a dit de faire éteindre la machine qui te garde dans un long sommeil ... Dit Francis. Mais ma fille est folle amoureuse de toi je ne veut pas voir mes enfants triste. Termina Francis.

Pour un médecin expliqué à un enfant qui fait souvent des arrêts cardiaques qui l'ai dans un coma profond il est difficile de dire les mots juste mais adapté aux enfants.

-Mais moi je veux pas te vexer ou te faire du mal sans le vouloir mais je veux pas à ton âge que tu parte rejoindre l'au-delà et c'été très dur pour ton père de perdre un second fils. Dit-il.

En cette fin du mois de septembre, l'été jette ses derniers feux. La ville est magnifique, le soleil est encore chaud et l'on se croirait en plein été.

Personne à l'horizon. Je suis seul, seul dans ma chambre personne ne viens me voir, je me sent tellement seul. La nuit tombée, j'avais froid ce n'était pas le froid que je ressentais d'habitude je n'étais pas du tout à l'aise, je me souvenu alors l'âge de 5 ans, et que bas en fait je ne n'est plus la suite du souvenir... Parce qu'en fait j'été dans un coma et que personne ne savais si j'allais me réveiller un jour. Mais moi se que je voyais n'étais pas comme les gens pense c'est comme un long rêve.

Ma mamie Julie, c'est ma mamie préféré sur les deux que j'ai.

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