Chapitre 16 : Barry 01/04/2016
En 2016 j'ai la plus grosse surprise aussi la pire mon fils Barry ne devait pas appeler Barry moi et Éléonore on a choisi se prénom qu'a la dernière minute. atteint de Schizophrénie, d'hasme et d'autisme c'est le plus beau des cadeau qu'ont peut me faire vraiment, tu ne souris presque pas sur les photos, tu est un sacré bonhomme, malgré ton handicap, je suis fière de toi, même si tu est venu 17 mois après ta sœur, tu fait la joie de toute la famille.
(2018)
— Tout va bien, mon chérie, dit je en caressant les cheveux de son fils. Espérant que ma voix ne trahissait pas la panique qui l'avait envahi, je poursuivit :
— N'essaie pas de parler. Contente-toi de respirer. Inspire
— un, deux. Expire
— un, deux. Très bien. Et on recommence. Inspire
— un, deux. Expire
— un, deux.
Comment l'état de Barry avait‑il pu à ce point empirer en à peine une heure ? Pourquoi, désormais dans l'ambulance du SMUR
J'avait bien essayé le vieux truc de la salle de bains saturée de vapeur d'eau pour soulager ses voies respiratoires, mais cela n'avait pas marché. Il n'arrêtait pas de tousser
— une toux horrible, déchirante.
Il allait finir par manquer d'air. Il devait agir. Maintenant. J'appelait une ambulance, Barry aurait trop peur. De toute façon, il irait pas plus vite en la conduisant moi-même à l'hôpital. Mais il serait tout seul dans son siège à l'arrière de la voiture, sans personne pour lui tenir la main et le calmer.
Et il était trop tard pour appeler mon père ou mon frère, qui n'auraient pas manqué d'accourir pour l'aider. Il ne pouvait plus attendre. Une fois de plus. Il n'était pas du genre à s'apitoyer sur lui-même, mais j' était terrifié à l'idée que je risquais de perdre mon précieux petit garçon... Parce que je n'avait pas été assez vigilant et ne j'était pas rendu compte assez tôt que son état s'était aggravé.
Quel genre de père était‑je donc ? Et quel genre de médecin ou de pompier ? J'étais a coté de mon fils, devant le brancard dans l'ambulance en train de laché des larmes sans m'en rendre compte
— On a besoin d'un médicament spécial pour cette toux, lui dit‑je doucement. Comme on n'en a pas à la maison, je dois aller en chercher là où je travaille. D'accord ?
Il hocha la tête, le fixant de ses yeux immenses, si semblables à ceux de sa mère, et je me sentit coupable. Au passage, j'avais saisit une couverture et le nounours préféré de Barry, dans mon sac avec bien sur son carnet de santé.
— Papa est la, mais je peu pas te tenir la main. Mais Pin-Pon sera près de toi pour te faire un câlin, comme ça tu ne seras pas tout seul.
Une fois Barry attachée sur le brancard, il lui mit le nounours dans les bras et l'enveloppa dans la couverture pour qu'il ne prenne pas froid. Je lui parla sans relâche pendant tout le trajet, jusqu'à ce qu'on arrivent aux urgences.
Et, pendant tout ce temps, tout ce qu'il entendit d'lui fut cette horrible toux. A son grand soulagement, l'infirmière chargée du triage les repéra immédiatement et les dirigea vers l'unité de pédiatrie.
Je ne connaissait pas le médecin de garde, mais peu importait. Tout ce que je demandait, c'était de soigner mon fils le plus vite et le mieux possible.
— Bonjour, Barry. Je suis le Dr André Martin. dit le jeune homme en s'accroupissant pour être à la hauteur de l'enfant.
Barry tenta de répondre, mais se remit aussitôt à tousser.
— Ne t'en fais pas, mon cœur, dit André. Tu n'as pas besoin de parler. J'entends très bien ce qui ne va pas. Je vais poser un masque sur ton visage, il t'aidera à respirer mieux et à moins tousser. Puis je mettrai une sorte de tuyau sur ton doigt. Ça ne fait pas mal, c'est juste une lumière qui traverse ton doigt et me donne des chiffres. Ça me permettra de bien te soigner, pour que tu te sentes mieux. Tu comprends ?
Barry hocha la tête.
Bon. Le médecin allait vérifier le pouls et la saturation du sang en oxygène, comme il l'aurait fait lui-même. André regarda les chiffres et sourit à son patient.
— C'est ce que je pensais. Barry, je vais te donner un médicament spécial avec un autre masque, qui va vraiment t'aider pour la toux. Je vais aussi parler un peu à ton papa, d'accord ?
Barry acquiesça de nouveau et André se tourna vers moi.
— Pour lui permettre de mieux respirer, je vais lui administrer de l'adrénaline à l'aide d'un nébuliseur. Ce n'est pas aussi effrayant qu'il y paraît, il lui suffit de respirer dans l'appareil. Il ira très vite beaucoup mieux.
J'hocha la tête et peu à peu, en le regardant travailler, je me détendit. André Martin connaissait manifestement son métier et il savait s'y prendre avec Barry. Tout en installant le nébuliseur, il lui expliqua ce qu'il faisait d'un ton rassurant. Surtout, il avait ce sourire qui illuminait la pièce entière. Je fit la grimace. Qu'est‑ce qu'il me prenait d'avoir de telles pensées alors que mon fils était si malade ? Moi qui, se consacrant entièrement à ma famille et à mes travails . Je me sentit rougir d'une honte coupable.
— Monsieur Johatone ?
— Désolé... Je n'ai pas saisi ce que vous disiez.
— Je vous demandais s'il y avait eu des cas d'asthme ou d'allergie dans la famille de Barry, dit André.
— Non, aucun. et j'ai son carnet de santé.
— Est‑ce qu'il lui arrive de respirer bruyamment, de dire qu'il se sent oppressée dans la poitrine ou qu'il a mal ?
— oui.
— Bien. Avez-vous remarqué si il semblait parfois à bout de souffle, ou si ses narines étaient rouges ? Mais si il a sa depuis sa naissance comme indique son carnet.
A l'évidence, il passait en revue des symptômes bien spécifiques.
— Vous pensez que son asthme qui c'est empiré ?
— Il y a une forte probabilité, répondit‑il.
Il secoua la tête.
— Barry a juste eu un rhume. Quand il était bébé, il a eu une bronchiolite et a dû rester une semaine sous oxygène.
— Les rhumes sont souvent pires chez les petits qui ont eu ce genre de problème, dit André. J'imagine que le voir sous oxygène doit évoquer de mauvais souvenirs pour vous.
— En effet. J'étais si petit que lui quand j'ai eu mon insuffisance cardiaque.
Eléonore et moi s'étaient relayés de nombreuses nuits au chevet de leur bébé, le nourrissant à l'aide d'une sonde parce que Barry était si épuisée qu'il ne pouvait pas boire normalement.
— Je crois que j'ai un peu paniqué...
— Pas du tout. Vous avez fait ce qu'il fallait en appelant les secours, répondit André en souriant. Il n'absorbait pas assez d'oxygène.
J'aimerais le garder en observation pour la nuit. Il a donc eu un rhume récemment ?
— Il y a 3 ou 4 jours. Et hier, il a commencé à avoir cette mauvaise toux. Habituellement, un bain de vapeur suffit à améliorer son état, et je lui fais boire du jus de cassis chaud en la tenant assis bien droit sur mes genoux. Bon après il est parti en crise d'autisme.
— C'est tout à fait indiqué pour soigner une toux, répondit‑il, encourageant. Comme les rhumes sont des infections virales, les antibiotiques sont inefficaces, mais du paracétamol liquide devrait éviter une poussée de fièvre.
Il était peut‑être temps d'informer André que j'était moi-même médecin et connaissait bien les problèmes de résistance aux antibiotiques ? Mais il était trop préoccupé par la santé de son fils.
— Je lui en ai donné il y a environ 4 heures lorsque j'ai vu que le bain de vapeur ne fonctionnait pas, répondit‑je simplement.
— Est‑ce qu'il lui arrive souvent de tousser comme ça ?
— Trop souvent. Quand cela se produit, il déteste manquer l'école même si il son a la maison, mais cette toux qui ne s'arrête pas le fatigue trop.
André parut réfléchir un instant.
— Votre médecin de famille lui a-t‑il déjà prescrit des corticostéroïdes ?
— Oui.
— C'est habituellement un traitement pour l'asthme, mais c'est aussi très efficace pour diminuer l'inflammation des voies respiratoires chez les enfants qui ont ce type de virus. Ces corticostéroïdes ressemblent à ceux que le corps produit naturellement, ils n'ont rien à voir avec ce qu'emploient les culturistes.
A présent, il était trop tard pour dire à André que j'était médecin, cela les aurait mis tous les deux dans l'embarras. Mais j'appréciait la façon dont il expliquait les choses. C'était dommage qu'Il soit affectée en pédiatrie le soir, il l'aurait bien vue avec les nouveau-nés. Il était peut‑être remplaçant ?
Je le vérifierait la prochaine fois que je serait de service. Et si c'était le cas, je demanderait à Théo de le prendre dans notre équipe. Il serait un véritable atout pour eux. La respiration de Barry s'améliora peu à peu, à mesure que les médicaments faisaient effet. André consulta les chiffres de l'oxymètre.
—Il réagit bien, dit‑il. Barry, j'aimerais que tu restes ici cette nuit qu'on soit sûr que cette vilaine toux ne va pas revenir et que l'on puisse te soigner. Ton papa peut rester avec toi
— à moins que la maman de Barry ne veuille passer la nuit avec lui ?
Il se tourna vers lui.
Il sentit sa gorge se serrer.
— Je vais rester avec lui, quitte a faire ma garde au urgence maintenant et pas demain .répondit‑il d'une voix étouffée.
André les conduisit dans une chambre, coucha Barry et s'assura qu'il était bien installé avant de s'occuper des papiers.
— Je vous verrai tous les deux demain avant la fin de ma garde, dit‑il. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, allez voir l'infirmière. En cas d'urgence, appuyez sur le bouton, quelqu'un arrivera aussitôt.
Il savait tout cela, mais apprécia la façon dont il s'occupait d'eux.
— Merci.
Il serra la main de Barry.
— Tu essaies de dormir un peu, mon chérie. D'accord ?
La petit garçon hocha la tête d'un air las et ferma les yeux.
Le médecin quand il eut fini, il passa voir comment Barry allait. moi j'avais l'air d'avoir très peu dormi, et le petit toussait encore dans son sommeil.
— Bonjour, lui dit‑je avec un sourire fatigué.
— La nuit a été difficile ? demanda-t‑il, compatissant.
Il hocha la tête.
— Mais je suis content d'avoir pu être auprès d'lui. Et je n'ai pas eu d'urgence cette nuit
— J'ai réfléchi au cas de Barry. Etant donné qu'il n'y a pas d'antécédent familial pour l'asthme, je pense qu'il doit avoir des voies respiratoires très réactives. En général, lorsqu'on a un rhume, elles sont un peu enflammées. il esquissa quelques traits sur une feuille de papier.
— Voici les poumons de Barry. Ils fonctionnent un peu comme un arbre, avec le tronc qui correspond à la trachée et les bronchioles qui sont comme des ramifications couvertes de muscles. A l'intérieur, il y a des membranes qui produisent du mucus pour que les poumons restent propres. Lorsque Barry a un rhume, ses muscles se contractent et les membranes se gonflent, produisant plus de mucus qu'à l'ordinaire. Les voies respiratoires rétrécissent, ce qui rend la respiration difficile.
Il lui jeta un coup d'œil pour s'assurer que le manque de sommeil ne l'empêchait pas de suivre ses explications.
— Comment comptez-vous le traiter ? demanda-t‑il.
— Avec des corticostéroïdes, un inhalateur et un nébuliseur. Un de mes collègues vous montrera comment les utiliser. Je vais vous faire une ordonnance, mais Barry dort si bien, je n'ai pas envie de le réveiller. Les corticostéroïdes vont traiter le gonflement de sa gorge. Et si vous l'habituez à utiliser l'inhalateur et le nébuliseur dès que les symptômes apparaissent, il ne devrait pas avoir cette toux la prochaine fois.
— Merci.
— Il peut y avoir des effets secondaires, dit‑il, prudent. Barry aura peut‑être mal à la tête, ou des nausées. Si c'est le cas, votre médecin pourra adapter le traitement et prescrire un médicament légèrement différent, mais celui-ci devrait faire l'affaire.
Il lui sourit.
— Je voulais vous remercier d'avoir été si rassurant, la nuit dernière. Vous avez vraiment été super avec Barry.
Ma remarque lui fit chaud au cœur, et c'était bien là le danger. Je ne se laissait jamais aller à ce genre de réaction, avec personne. Je faisait bien son travail, mais ne permettait à personne de l'approcher de trop près, qu'il s'agisse d'un patient ou d'un collègue.
Depuis Joey, j'avait compris qu'il était mieux seul. Ainsi, Il ne risquait pas d'avoir trop d'attentes déçues. Il haussa les épaules avec désinvolture, lui rendant son sourire.
— Je vous en prie, je ne fais que mon travail.
Il écrivit quelques mots sur le tableau de Barry.
— Avez-vous des questions, des points que vous souhaitez éclaircir au sujet de son état ou du traitement ?
— Non, merci, c'est très clair.
— Eh bien... Bonne chance.
Après lui avoir serré la main, Il quitta le service.
(2016) Estéban fut appelée au service maternité pour ausculter un bébé après une césarienne d'urgence. Le chirurgien obstétricien était encore en train d'opérer, et il se présenta à la sage-femme et à l'interne en attendant que le bébé soit né.
— De quoi s'agit‑il ? demanda-t‑il.
— Une pré-éclampsie qui s'est déclarée très soudainement, expliqua la sage-femme. Au dernier check-up, tout allait bien. La tension de la patiente était un peu élevée, mais elle s'était agitée toute la journée. Et puis aujourd'hui, elle ne se sentait pas dans son assiette et a commencé à avoir mal à la tête. Elle avait les chevilles enflées, ne pouvait pas bouger et sa tension avait encore monté. Estéban n'était pas satisfait des battements de cœur du bébé et il a tout de suite fait amener la maman ici.
Moi je devait être l'urgentiste de garde se jours là. La seule façon de soigner la pré-éclampsie était de faire naître le bébé.
— A combien de semaines de grossesse en est la mère ? demanda-t‑il.
— 36.
Les poumons du bébé devaient dont être suffisamment formés, même s'il risquait d'avoir besoin d'aide pour respirer et aurait sans doute droit à un supplément d'oxygène.
Dès que le bébé fut né et le cordon ombilical coupé, je procéda à un rapide check-up. Le rythme cardiaque et la respiration étaient tous deux un peu lents et les mains du nouveau-né légèrement bleues, mais il avait une bonne tonicité musculaire. Il fit la grimace et se mit à pleurer. Il pesait également un bon poids, ce qui lui permettrait de mieux s'en sortir. Il l'enveloppa dans un linge et l'apporta à sa maman.
— Félicitations, lui dit‑il. C'est un magnifique garçon.
Nous allons l'emmener quelque temps dans l'unité de soins spécialisés afin qu'il bénéficie d'une assistance respiratoire, mais c'est simplement parce qu'il est né un peu tôt. C'est une procédure tout à fait normale, ne vous faites aucun souci. Vous pourrez aller le voir quand vous voudrez, et je serai là pour répondre à vos questions.
— Merci, répondit la maman d'une voix faible.
Lorsque j'eut terminé l'admission du bébé dans l'unité de soins spécialisés, l'urgentiste avait fini de recoudre la maman, qui avait été ramenée en salle de réanimation.
Il se dirigea droit vers Loan et retira son masque.
— Désolé de n'avoir pas eu l'occasion de me présenter plus tôt. Je suis Estéban ...
— Monsieur Murray, fit‑il en balbutiant. Mais t'est débile ? Je suis ton beau frère !
(2018)
Il était bien la dernière personne qu'il s'attendait à trouver ici. Dire que lui avait expliqué en détail le cas de mon fils ! il avait dû passer pour un idiot.
Il reprit aussitôt un ton professionnel.
— Comment va votre petit garçon ?
— Mieux, merci, répondit‑il avec un soupir. J'ai un peu honte d'avoir paniqué comme je l'ai fait. Et j'aurais dû vous dire plus tôt que j'étais médecin.
Ainsi, il se sentait aussi embarrassé qu'lui... Tout pouvait donc encore être rattrapé. Et c'était tant mieux, parce qu'il y avait de grandes chances qu'ils soient amenés à travailler ensemble.
— Aucun problème, dit‑il. Tous les parents paniquent lorsque leur enfant ne peut plus respirer. Et c'est sans doute pire pour un médecin, qui connaît toutes les complications potentielles. Quand je pense que je vous ai fait un dessin des poumons de votre fils...
Il se mit à rire.
— C'était tout à fait ce que j'avais besoin d'entendre à ce moment‑là. D'ailleurs, je suis ravi que vous fassiez partie de l'équipe pédiatrique. J'ai cru un instant que vous étiez remplaçant.
Il lui jeta un coup d'œil surpris.
— Pourquoi êtes-vous content ?
— J'étais sur le point de demander à Théo Pet rakis mais le mieux c'est Loan Murray ?
— Le patron ?
— de vous prendre à la maternité 1 an au auparavant. Vous savez vous y prendre avec les parents qui paniquent
— et je parle d'expérience.
— Merci.
— Je pourrais peut‑être vous offrir un café plus tard dans la journée ? demanda-t‑il.
Un café ? Était‑ce le collègue qui parlait, un parent reconnaissant, ou bien s'agissait‑il d'un rendez-vous galant ? Incapable d'y voir clair, il sentit la panique la gagner.
De toute façon, il ne voulait fréquenter personne, point. Chat échaudé craint l'eau froide. Mieux valait classer les gens en deux catégories : les patients et les collègues
— Ce n'est vraiment pas la peine, répondit‑il. Je ne faisais que mon travail. Je ferais mieux de rejoindre mon service.
— Bien sûr. Content de vous avoir revue, André.
— Moi aussi, marmonna-t‑il avant de s'enfuir.
tout à commencés le 14 juillet 2018 au bal des pompiers tout la famille était très heureux même si les triplets c'était endormis au feu d'artifices alors Barry décide du haut de ses 25 mois encore une fois d'explorer la caserne.
-Barry tu es où répond ? Crie je
-mon petit Barry vient on te fait une grosse surprise . Dit Eléonore
alors Barry ne répondis toujours pas mes appel ni ceux de qui ce sois.
-Rexie peut le retrouver non ? Dit mon fils a son chien
(wouaf wouaf)
-Rexie est d'accord. Dit Alexandre
-Rexie ne c'est pas parler en plus tu connait même pas tes cours de S.V.T!!! Dit a son tour Annabelle
( Alexandre en faisant une grimaces de "tes sur de toi")
-arrêtez de vous chamailler on le retrouvera pas comme ça !!! Crie je
Éléonore dans sac garde toujours les carnet de santé de ses enfants au cas ou s'ils leurs arrive un truc même si ils en à 19 ( Barry ne peut pas tenir plus d'une heure sans sa Ventoline)
- il est très curieux ils peut être que dans la caserne. Dit mon ainé
-on va le chercher dans toute la caserne ont se sépare. Dit je
-mais les triplés alors ? Annabelle pose la question
-Oliver ,papa et moi on en prend un. Rajouta ma femme
toute la famille se mirent à chercher le petit dans toutes la caserne.
-super sa me remet en forme. Je devrais pas dire sa moi
-Barry mon petit coco dit t'es où ( en espérant le retrouver conscient).
- Papa,Maman Oliver vous êtes où ?????Barry demande en pleurant
-je crois avoir entendu Barry chéri. Dit ma femme
Barry partit plus loin sauf que ils ne savait pas trop s'orienter avec une lampe de poche et de quoi grignoter dans son petit sac à dos jusqu'au moments ils se retrouver face à une cabane en bois très loin dans la campagne Parisiennes ne savant plus il était , sa famille avait fait le tour de la caserne plus d'une fois décidé d'appeler la police.
3 h 45 du matin toujours pas de nouvelles de Barry , la famille craignait le pire en plus d'être loin de lui sans traces de lui, dans son sac avait plus rien à manger ni à boire alors que le lever du soleil commence tout juste de se lever.
-je vais aller voir mon papy. Dit Barry
comme le pense Barry lui qui connaît la capitale par cœur même si elle est bouclé par la polices des alentour ils retrouvera sa famille sain et sauf mais Barry intelligent comme il est il échappera à la police jusqu'à se retrouver loin de Paris ça faisait déjà 5h qu'il le retrouve pas.
-il avait des chaussure de marque, un jean délavé blanc, un gilets en imitation cuir noir de motard et un sac à dos simple bleu. Dit je
-monsieur avez vous une photo de lui récente ? Demande la police
-la plus récente que j'ai. Dit je
-ok ont va essayer de le retrouver malgré la difficulté. Rajouta la police
J'avait les larmes aux yeux en pensant d'être un mauvais père de familles, une fois les recherches fini et Barry était retrouvé à la gare de Montparnasse les yeux tout rouges et il avait du mal à respirer j'ai couru le plus vite que j'ai pu au premier VSAV que j'ai vu dans la caserne et à était emmené à l'hôpital au service pédiatrique.
Et il manquait un des triplé dans la poussette c'est-à-dire Léane qu'Oliver avait dans ses bras mais j'était pas au bout de mes surprise en prenant la petite et la mettre dans la poussette et essayer de le sauver en même temps et de bercé la petite dans une pièce sombre qui commence à brûler. J'étais avec les pompiers de l'autre coté pendent que mon fils de 17 ans et ma fille d'un an été prisonniers dans les flammes
mais je savais qu'il avait pas sa tenue de feu et la porte se mirent à bloqué et j'ai dit à Olivier
derrière la porte "mon fils je t'aime mais sauve ta petite sœur"
. Et la les pompiers disent derrière la porte.
-c'est les pompiers ouvre la porte.
-hé bande d'incapable elle est coincé elle ne s'ouvrent plus et le jeune sapeurs pompiers Johatone c'est à dire mon fils Oliver est coincé derrière avec sa sœur, sauver mes gosses...
Pour moi mes enfants je les sauverais peu importe le danger. J'étais aller te voir Barry a l'hôpital et ton état ne s'amélioré pas, tu est resté 2 mois a l'hôpital.
Sur la PS4 des grand, on n'avais pas branché le casque pour evité que tu parle a des inconnu...
Le jour de tes 3 ans, tu voulais qu'on fasse un anniversaire pompier, bien sur le déguisement vien de la malle de ta sœur.
Tu adorais faire des tours ou d'aligné des objets, pour moi quand tu joue tu reste dans ton monde et faut jamais t'en sortir sinon tu fait des crises,
Toi et Léane, l'âge rapproché vous permet de vous entendre ...
Ma photo préféré, le voyage en voiture a été une galère, de Paris pour Guéret en voiture tu n'étais pas le seul a avoir crié et dire s'en cesse la même phrase "C'est quand qu'on arrive" même Oliver 17 ans a l'époque il le disais, malgré tes petits frères et ta petite sœur on pleurer, il fallais s'arrêter a chaque fois pour leurs changé la couches les nourrir, il avais pas encore un mois.
Barry n'a pas parler avant l'âge de 4 ans et demis... N'a pas pu marchais avant l'age de 2 ans...
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