Chapitre 10 : Jay et Will 06/07/2005
J'ai l'impression d'avoir dormi pendant 25 ans ? Par quoi faudrait-il commencer ? Par le début, sûrement. Mais des prémices de mon existence, je n'en ai aucun souvenir, pas la moindre réminiscence. Avant 4, 5 ans, rien.
Sauf quelques images, si confuses, si lointaines, qu'elles se confondent avec d'autres images de rêves, anciennes et plus récentes. Impossible de se remémorer précisément la réalité.
Est-ce cette absence de sensations qui n'a pas favorisé cette reconnaissance ? Je suis resté longtemps sans sensations, incapable de forger des sentiments exprimables.
C'est mon drame, un drame très personnel, j'en conviens j'ai passer 10 ans le coma entre mes 5 ans et 15 ans . Pas de quoi contrarier le cours de l'Histoire. J'aurais pu rester toute ma vie dans cet état d'enfermement. C'était sans compter avec la destinée. Je suis resté assis pendant de longues minutes, à pleurer. Je regardais mes 5 enfants. J'imaginais devoir les laisser, les quitter, l'abandonner. Je me revoyais enfant avant mes 5 ans. Non pas une représentation mais la certitude exacte que j'étais cet enfant, incapables d'assumer une quelconque réalité.
Mère narcissique et dépressive, angoissée, mélancolique et cancéreuse. Père toujours la, trop attaché à ses enfants pour être capable d'entretenir une relation autres que sa femme.
Surtout incapable de soutenir une quelconque difficulté. Nous n'étions pas ces parents-là pour nos enfants. Nous étions différents. Guère plus avancés pour autant. 20 ans de vie commune et 6 ans de vie mariée, presque autant d'analyse.
Il fallait bien ça pour consacrer une résurrection émotionnelle. Une question d'ailleurs se pose. Existe-t-il un rapport entre 26 ans de vie conjugale et tout ce temps de courage et de douleurs ressenties ?
Il semble que oui. Cela paraît même assez évident. A me demander si ma femme n'est pas l'objet de mon analyse, plus que l'objet de mon amour.
Remonter plus en arrière, 26 ans exactement. Je suis quelque part au bord de la mer. Je suis assis, la nuit est douce, le ciel est parfaitement étoilé, la lune s'avance. Il y a du mouvement autour de moi, beaucoup d'agitation.
J'ai 5 ans. Je cherche une réponse, je scrute la voûte céleste, j'essaye de voir clair en moi, je voudrais à ce moment-là répondre à une question apparemment simple. Ai-je des sentiments pour elle ?
La réponse ne vient pas, il fait noir à l'intérieur, aucune étincelle ne jaillit. Impossible de savoir. J'ai vécu avec cette perpétuelle impression. De ne jamais être sûr.
Peut-on aimer sans le savoir ? Même après toutes ces années d'analyse, je ne saurais répondre à cette question. Pourquoi moi ? Pourquoi ai-je eu cette chance ?
C'est étrange, mystérieux, incompréhensible. Croisez un fou dans la rue. Essayez de lui dire qu'il est fou. Il ne va pas comprendre. Il ne va pas ressentir sa folie.
Il est l'expression, l'incarnation vivante de sa névrose. Pas de recul possible sur lui-même, aucune distance. Il n'y a pas de dialogue possible, tout juste une histoire de fous.
Incommunicabilité universellement répandue. Je ne peux pas dire, il ne peut pas ressentir. Voilà comment débute la relation analytique. Sur ce constat.
Et moi, j'étais celui qui ne pouvait pas entendre, bien sûr. Et mon analyste, celui qui ne pouvait pas dire. Et ma femme (elle avait 2 ans), celle qui ne pouvait pas entendre ce que j'avais à lui dire. Et moi, celui qui ne pouvait pas ressentir ce qu'elle voulait me faire partager.
26 ans plus tard, il n'y a qu'une relation qui a changé. J'écoute mon analyste qui me dit ce que je ne pouvais pas entendre. Révolution intérieure inouïe. Aujourd'hui, je ressens, j'ai des affections, certes parfois encore confuses.
Il m'arrive encore d'avoir des crises d'angoisse, des tensions émotionnelles assez violentes avec leur cortège de 5 manifestations somatiques en tous genres.
Je m'étonne souvent d'être toujours de ce monde, après autant de palpitations et autant de malaises. Je regarde ma femme, suis-je en train de regarder ma mère à travers elle ?
Suis-je entrain de réaliser que rien ne peut survenir parce que justement j'ai en moi et non en face de moi l'expression vivante, la continuité d'une impossibilité, à force de l'avoir intériorisée. Je suis le résultat concret de cette impossibilité communicative.
Je suis vis céralement incapable d'envisager une relation profonde avec ma femme. Est-ce la raison ? Je ne suis pas et ne serai être pour personne, voilà ce que je suis. Je suis moi, enfant.
Suis-je condamné à perpétuité ?Resteras-tu dans ton état intérieur, resteras-tu dans ton jeu de représentations ?Continuerais-je à être tour à tour et ton père et ton frère, tantôt l'un, tantôt les deux à la fois ?
Je ne fais que préciser des images d'hommes, je ne parle pas du masculin qui pourrait se situer ailleurs. Chez une mère par exemple. Parfois, par-delà les poncifs de la psychanalyse, peut-être ne faut-il pas chercher trop loin du sens.
Notamment les raisons d'un échec. Moi aussi, j'ai pleuré. Beaucoup pleuré, beaucoup souffert. Sans jamais recevoir l'ombre d'une compassion, même pas un geste tendre.
J'ai réalisé la profondeur douloureuse et amère de ma solitude, celle qui me renvoie immanquablement à mon état d'enfant. Peut-être est-ce cela devenir adulte, réaliser sa solitude et vivre en paix avec elle. La nuit de ma naissance le 14 juillet 1981, mon père était la. Il se trouvait pas en intervention.
Ma première désolation, je lui dois. Celle de voir ma mère pleurer à l'instant où je l'entrevois. Elle ne pleure pas que de joie. Elle pleure aussi sa solitude et sa peine.
Mais ne l'a-t-elle pas un peu cherché ? Faire un enfant (pour ce cas c'est des jumeaux) contre la volonté d'un homme ne peut réduire ce dernier qu'à l'état de géniteur malgré lui.
Alors je comprends mieux sans pour autant l'excuser son incapacité à assumer ce qu'il ne désirait pas. Il partait mal dans la vie, lui aussi. Elle aussi, finalement. Séparément, ils ont recommencé.
A l'arrivée, j'ai 2 sœurs et un frère plus jeune que moi (en dehors du faite que Samuel sois mon frère jumeaux) et 1 grand frère. C'est étrange cette propension de l'histoire à se répéter. Je trouve l'analogie superbe et cruelle.
Comparer le désir à un réservoir d'essence qui se vide au fur et à mesure qu'il se consomme est l'exacte représentation de ce qui, malheureusement, se passe à l'intérieur d'un couple.
A la fin, c'est la panne sèche. Le désir conditionne toute la relation. L'envie, le plaisir, l'entente dérivent de sa présence. Un jour Sam ma raconter une des ses mésaventure
"le cour terminé, monsieur Conrad l'appelle pour je suppose comme souvent me parler de lui, qu'il est autiste. Tout les élèves l'embête de son plus jeune âge a dire "Samuel le débile" à la place de Samuel Johatone. Mais bon, là Samuel était là aussi, il lui dit
Monsieur Conrad : Samuel, savez vous pourquoi vous êtes là?
-Non, dis je, pourquoi ?
-Pour connaitre votre origine fraternelle. Connaissez vous les dieux grecs?
-Oui, et alors?
-Et alors, savez vous que dans ces dieux, deux sont frère et sœur jumeaux. Et lesquels?
-..., APOLLON et ARTÉMIS .
-Exact. Réfléchissez y,
monsieur Conrad : Allez en cours maintenant.
Après, c'était latin. Et en ce moment il parlé des dieux grecs. Le cour est trop cool, APOLLON et ARTÉMIS ne sont pas liés. Sachant qu'ils peuvent descendre sur terre et avoir des enfants avec des "mortels".
Mais maintenant je me demande si mon père est vraiment mon père et quel est son vrai nom de famille. De plus pourquoi c'est monsieur Conrad qui nous dit cela. Sa matière n'est pas la mieux placée pour ce genre de chose, mais bon. une fois rentré à la maison, je fait mes devoirs, mange et vais me coucher.
Dans mon rêve, je vois un homme éblouissant sur un char, tout en or, même ressemblant au soleil. Ce char est tiré par 4 chevaux. L'homme qui conduit le char tient une lyre en or dans sa main et de l'autre un arc en or aussi et a une couronne de laurier sur sa tète. Il conduit mais dans les airs, et même au dessus des nuages.
Mais ce n'est qu'à la fin du rêve que je m'aperçois que l'homme est en fait APOLLON. Ce matin, c'est vendredi cool donc école et après le week-and. Arrivé à l'école, je retrouve mon ami Kevin Voltairien. Il est français. Et on s'entend très bien.
Après la récréation, nous allons en cours d'anglais. Puis après les 7 heures de cours, je rentre à la maison. Et là, pendant que je fait mes devoirs, j'ai l'impression que le soleil brille de plus en plus, qu'il s'approche.
Puis, tout d'un coup, un traîneau, le même que dans mon rêve atterri sur la terrasse et APOLLON en chair et en os rentre dans la maison après avoir rétréci d'au moins 10 mètres. Je cours vers lui pour lui ouvrir la porte mais d'un coup de claquement de doigts, la porte s'ouvre. Il est encore plus éblouissant que dans mon rêve. En me voyant, il me dit :
-Comme tu es grand Samuel Johatone. Tu es très beau.
Après l'avoir observé de la tête aux pieds, je pris enfin la parole pour dire :
Monsieur, vous êtes APOLLON , n'est ce pas!
-Oui c'est exacte, mais comment le sais tu ?
-C'est monsieur Conrad. qui m'a mis sur la voie hier. Et aussi mon rêve.
-Ah bon et il t'a dit quoi ZEUS ? ... heu enfin monsieur Conrad ?
-ZEUS ? Le dieu du ciel et de la terre, avec son éclair, monsieur Conrad !
-Oui. En fait, c'est moi qui lui ai demandé de te surveiller il y a deux ans. Pour m'assurer que tu aille bien.
-C'est le fils monsieur Johatone ou pas ?
-Oui, et toi, tu es mon fils.
-Et Jacques, ce n'est pas mon père ?
-Non, il s'appelle Jacques MARTIN. Mais pour lui tu es le fils de sa deuxième femme. Solène APHRODITE, précisément.
-C'est ma mère ? Mais j'ignorais qu'elle s'appelait comme cela comme mon beau-père.
-Oui. Et si tu as compris, tu es un dieu. Mais Samuel tu n'en est pas un
-Quoi, m'écriai-je. Mais ... APOLLON et APHRODITE ? on n'en à jamais parlé ?
-Non me dit mon père, c'est un amour non dit. Depuis la séparation d'APHRODITE et Héphaïstos, non dit non plus, et celle d'ARES, je suis le compagnon de la belle APHRODITE.
-Vraiment, et que vais-je faire maintenant ?
-Tu as une quête à accomplir si tu veux être un dieu. Si tu le veux avec un ou une de tes amis. Puis tu pourras alors être dieu et vénéré.
-D'accord mais je veut pas etre laisser seul Samuel. Mais cela fait beaucoup à digérer en deux jours, il faut que je réfléchisse quand même.
-Tu as une semaine, me dit mon père, après cela ne sera plus possible.
Puis il s'envola avec son soleil. Ce matin (lundi 28 mai 1967), comme toute la semaine, école. Bizarrement monsieur Conrad n'est plus là. Pendant la récréation, Kevin me rejoint et je lui explique ce qu'il m'est arrivé la veille.
-Tu sais, Sam. Moi aussi je suis différent. Je suis mi-dieu, mi-humaine. Mais moi, mon père est ÉOLE, le dieu du vent. Il est tombé amoureux d'une femme en Angleterre, donc ma mère et je suis née. J'ai vécu à Londres douze ans sans rien savoir et on ma dit ma véritable personnalité.
-Toi aussi tu es venue pour moi ?
-Non, mais j'ai tout de suite vu que tu n'étais pas normal à ta beauté rayonnante.
-Merci, et aussi, APOLLON m'a dit que pour être dieu, il faut que j'accomplie une quête. Et ..., je me suis demandé si tu voulais bien venir avec moi pour accomplir cette quête car j'ai le droit de la faire avec quelqu'un.
-Et ton frère, il sait que tu est demi-dieu ?
-Je ne sais pas,..., en fait je ne lui parle jamais, vu que l'on s'adore. Si tu vois ce que je veux dire.
-Oh, c'est bête, pourtant tu est gentil Samuel. Et puis, tu est beau aussi. Aussi clair que la lune. C'est parce que tu t'en doute, tu est le fils d' ARTÉMIS. La déesse de la chasse et de la nuit.
-Alors, dis-je, tu veux bien faire la quête avec moi ?
-Si tu me le demande, j'accepte avec joie.
-D'accord, bon et bien on va en cours.
(il c'est passé 1 mois et demis) Aujourd'hui, c'est le premier jour des vacances et mon père doit venir m'annoncer ma quête. Je suis impatient. Ce n'est qu'a 6 heures du soir qu'il apparaît
-Alors, c'est non, avec Kevin !"
Depuis ce jour Sam ne crois plus au dieu grec
07/08/2005 Rêves et cauchemars ...
Un beau costume de belle facture, des chaussures assorties, une cravate Armani. Une voiture confortable et sûre, un 4X4 c'est le must, car pour se rendre en week-end à Saint-Ouen, c'est quand même la garantie de ne pas être embêté par tous ces cons en monospaces.
La maison de campagne j'aime pas la campagne, vaste, beaucoup plus que la maison de Paris, le double, au moins 40000m2 avec quelques hectares pour ne pas être dérangé par les voisins. Pas trop au bord de l'eau j'aime pas la campagne (a faire avec une voix de dégoutant), c'est invivable l'été avec tous ces cons qui viennent à la plage,
mais pas trop loin quand même pour pas être trop près des peigne-culs locaux. Et puis bien sûr, des chevaux, pour les enfants et ma femme, moi non, ça m'emmerde les chevaux, comme mes enfants et ma femme d'ailleurs, alors avec ça au moins ils me foutent la paix.
Saint-Ouen c'est bien, à deux heures de Paris, comme ça eux partent le vendredi soir, ça me fait moins longtemps là-bas. De toute façon y a qu'une chose qui m'intéresse, c'est mon boulot, ah , ma famille aussi, mais je n'ai pas le temps d'y être souvent, et comme ça je suis seul. Mon boulot, ça marche à fond, je suis sergent (sapeur pompier), je suis incroyable.
Je crois que si ça continue je vais me mettre à mon compte pour tous les baiser, y a pas de raison que mon talent leur profite à ces cons. Mes clients, j'en ai rien à foutre, de toutes façons j'en voulais pas, mais comme mon père est le chef de la caserne.
Elle à bossé cette truffe, elle a un beau cul mais c'est son seul atout et c'est ma meilleurs amis, et je suis sûr que dans 20 ans elle sera aussi moche que sa mère. De toutes façons, dés que la caserne tourne à plein et que j'ai coulé mon con de père, je vais pas divorcer et à moi la belle vie je l'ai fait en 2001 pour Nathan Dia Z, et j'emmerde ce con qui n'ont pas de boulot, tous des feignasses, quand on veut, on peut...
6 mois plus tard...... Aujourd'hui, je suis allé m'inscrire au chômage, non je plaisante je vais resté pompier (pompier un jours pompier toujours) mais je n'ai le droit à rien, peut-être le RMI, je dois voir une assistante sociale demain.
Tout allait bien et puis y a eu ce jour où mon père est entré dans mon bureau pendant que je sautais la secrétaire devant le portrait de ma femme et mes gosses. Il m'a laissé le choix entre démissionner ou tout raconter à ma femme, alors j'ai démissionné.
Cet enfoiré lui a quand même tout dit, et elle a demandé le divorce, il a témoigné et la secrétaire a porté plainte pour harcèlement sexuel (il avait du la menacer).
J'ai plus rien, je vis dans un foyer en proche banlieue, j'ai avait l'envi de brûlé mon CV car avec cette histoire plus personne ne veut de moi, les clients que je pensais lui piquer m'ont tous tourné le dos, et mes enfants ne veulent plus me voir.
Comme j'avais craché au visage de toute ma famille dont j'avais honte, je suis seul, tout seul. Hier, j'étais sur un banc dans Paris, près du parc Monceau, j'habitais là avant, alors j'y viens parfois pour essayer de voir mes enfants,
mais eux tournent la tête quand ils me voient. Un type est venu s'asseoir à côté de moi, et m'a parlé. Un de ceux que je considérais comme un con avant dans ma vie "antérieure"; hier, ça m'a fait du bien, ça faisait plus d'un mois que personne ne m'avait parlé juste comme ça, pour rien.
Finalement il n'est pas si con que ça, il a même un diplôme d'ingénieur en informatique (il est plus champion de boxe dommage), et il allait monter sa boite quand un soir , en rentrant de chez des amis, il avait un peu trop bu, il a eu un accident. Sa femme et ses trois enfants sont morts sur le coup, lui aussi il mort.
Et le lendemain, un autre con m'a parlé des compagnons d'Emmaüs, au début ça m'a fait bizarre, moi avec tous ces pauvres, tout ceux que je méprisais tellement avant, et puis, il a du lire dans mes yeux, et il m'a souri et m'a dit, "tu sais , parmi tous ces cons de pauvres, y a plein d'anciens cons de riches qui comme toi et moi ont tout perdu".
Le soir, c'est le plus dur, être seul, le vide d'une vie inutile, où on est rien, où tout le monde me regarde comme une merde ou un parasite. Tout à l'heure, à l'ANPE j'ai retrouvé mon ancienne carte du parti libérale auquel j'adhérais avant... je ne suis plus si sûr qu'ils aient raison, mais qui s'en soucie, à part Kevin, mon seul ami, mon camarade de banc...
Et je sursaute d'un bon je regarde ma femme sur le lit et j'ai dit
-Éléonore je te promet de jamais baiser la secrétaire de la caserne !
- quoi tu compte le faire ?
-je crois que j'ai bu ?
-va prendre la voiture tu verra bien si tu est bourré !
14 juillet 2005
Le jour de mon anniversaire précisément à l'heure pile de mes 24 ans LE jour où je suis né dans cette même hôpital ou je travaillais avec mon pote Loan on aller fêter notre journée de meilleur amis à vie depuis que l'on se connaissait c'est à dire toujours, notre anniversaire on aller couper le gâteau fait par les cuisiniers de l'hôpital,
j'ai eu ma part du gâteau au chocolat et c'est la que tout bascule (dans le sens figuré et propre) je le mangé tranquillement à la salle de repos, alors je le dégustait bien se bon gâteau, j'ai mon bip qui sonne, manque de peau, j'étouffait avec un morceau, d'après mes collègues qui été la dans la salle ce jour là, m'avait fait parvenir je cite
"on fessait tout pour le maintenir en vie, malgré les gestes que lui été fait, il avait manqué trop d'oxygènes, on a faillit pas le ramener à la vie, quand il nous à donnait signe de vie c'était un moment plus que magique".
Ses collègues là je ne les remercierais jamais assez de m'avoir sauver, il mon mis au monde il y a 41 ans et la plus par du temps ils mon sauver la vie si se sont pas mes collègues de l'hôpital c'est mes hommes et femmes.
Jayden 3kg 600 à 15h45 le 6 juillet 2005, sur la photo il allais sur c'est 6 mois, oui il est plus petit, plus faible mais c'est parce qu'il avais son cancer du coeur et sa l'affaibli beaucoup, il y a une greffes a l'age de 4 ans mais il a beaucoup de mal en ce moment mais je pense pas qu'il lui faut encore une nouvelle fois une greffes j'espere pas !
Et William qui est né à 16h03 pour 3kg
Fier de cette balade sur une barque, pourquoi êtes vous diffèrent de l'un de l'autre
William tu a toujours été proche d'Alex que plus de Jay, les vacances a la montagne, de très belle vacances qui serais impossible au jours d'aujourd'hui...
Cette journée été magnifique un été comme vous en avais eu plein a la campagne
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