Partie 86.
Partie 86 :
"Refait ta vie, Monica. Tu es si jolie, Monica "
Deux mois plus tard, j'avais complètement changer physiquement. Je n'étais plus l'ancienne Camélia, celle au coeur écorchée. Oh non ! Désormais, je suis Maissa, une femme froide comme la glace et forte comme le feu ardent. J'étais reconnue dans le milieu grâce à Mariano et Youssef. D'autant plus, je me faisais passée pour la petite soeur de Moha qui avait vécu au Brésil et qui travaille en tant qu'associée à la mafia brésilenne dont celle de Mariano. En très peu de temps, la nouvelle s'était répendu et toutes les mafia souhaitaient me rencontrer mais aussi me détruire comme celle de mon frère.
Du point de vue physique, j'étais une autre femme : mes cheveux bruns était désormais d'un rouge ardent et plus sexy, ma peau était plus bronzé que jamais avec les bains de soleil que je prenais au bord de la piscine, et de plus, je portais désormais des lentilles qui révèle le vert de mes yeux. A tout cela, s'accompagne d'un changement radicale dans ma garde de robe. Je portais dès à présent que des vêtements de hautes coutures dont je n'aurais cru un jour en avoir la possession. Selon, Mariano et les filles ceci était indispensable pour me forger une image de personne forte et rempli de pouvoir. Mariano m'avait appris à devenir une vrai femme fatale et je l'en remercie. Il était grave gentille en vérité. En peu de temps, il était devenu comme un frère lui aussi.
Du coté des mecs, Youssef et l'équipe se chargent de voler toutes les marchandises de Younes et Imed. Youssef était très impliquer dans ce projet mais il ne veut pas que j'intervienne pour le moment enfin t'en que Mariano lui a pas donnée le feu vert. Cependant, il s'occupait toujours de mon entrainement ce qui je l'avoue me gênait un peu. Je n'étais pas très alaise avec lui. Je sais vraiment pas pourquoi mais il m'intimide vraiment. Heureuse que Moha m'entrainait quelques fois aussi. D'ailleurs, Youssef, Djibril et Foued sont partis régler des affaires à Nice, il y a trois jours. Ils reviendront aujourd'hui normalement.
De plus, la dispute de Leila et Brahim ne sait toujours pas arranger. C'est la guerre entre les deux. Miskine, je plains Samir qui se retrouve au milieu. Le pire dans l'histoire est qu'il ignore la vrai raison de leur dispute. Leila et Bram's ont une putain de fierté tout les deux, c'est incroyable. Mais ce n'est pas la seule guerre à la villa, il y aussi Soraya et Yanis qui lui essaye par tout les moyens de se faire pardonner malheureusement se n'est pas gagner. Le seule couple de la villa qui va bien est le celui de Sirine et Moha. Ils se sont vraiment bien trouvées tous les deux et je suis heureuse d'avoir y contribuées. D'ailleurs, je ne vous ai pas dit aussi mais notre petit Djibril s'est posée ! Et oui, il nous a bien caché son jeu celui-là. Tout ce que je sais, c'est que c'est une belle congolaise-tunisienne. Eh oui la puissance soit tu l'as soit tu las pas.
Et aussi, je voyais de tant à autre Amira et Amir à la villa. Ils avaient juré de rien dire à Ryad ou à qui que ce soit de ma famille à propos de ma nouvelle identité.
Quelques fois, je me demandais si tout cela en vallait la peine, si je devais me venger. Oui je l'avoue j'hésitais mais quand je plonge mon regard dans le miroir et que j'admire chaque partielle de mon corps me remémorant toutes les critiques et coups que j'ai subis, je sus que je prenais la bonne décision. Détruire mon frère à son propre jeu. Certains penseront que ce serait un cadeau pour lui mais non...au contraire, il n'aura plus rien. Et quand je me retrouverais en face de lui, je n'existerais pas à le voir souffrir et me supplier d'arrêter. Et là...adieu Younes !
Tu as voulu jouer, on va jouer mais prépare toi à perdre car ton chatiment sera pire que la prison.
Aujourd'hui, je vais enfin contribué à ma vengeance. Moha m'a prévénu que Youssef nous a charger d'une mission avec Mariano, Brahim et Samir aujourd'hui. On doit récupérer une livraison ennemies volée par un de nos alliés. Maissa va enfin entrer en scène, les amis !
: J'ai vraiment du mal à m'y faire avec tes cheveux rouges
Je souris et me retourne vers Moha.
: Le rouge est très à la mode en ce moment. Et puis sa fais du bien le changement, non ?
Moha : Pas faux. Sa te vas bien.
Moi : Merci. Tu remplis drôlement bien ton rôle de grand frère avec tes critiques.
Moha : Il n'y a pas de quoi petite soeur mais je suis venu pour te dire qu'on part dans 15 minutes.
Moi : Ça marche.
Il me laisse et j'enfile les vêtements que j'avais déjà déposé soyeusement sur mon lit dont un petit jean slim troué au genou et retroussé au chevilles, un haut débardeur ample super beau, une veste en cuir assez légère, et des chaussures à talons de couleur beige. J'avais juste laissée mes cheveux bouclés et fait un make up simple. Je mets mes lentilles, me parfume de mon parfun bois d'Argent de Christian Dior, mes lunettes de soleil. Je suis prête.
Je descend rejoindre les mecs à la voiture où ils m'attendaient tous déjà et on démarre.
On s'arrête devant une villa. Bon, elle n'était pas aussi belle et grande que celle de Youssef mais ça allait. On se gare puis on descend quand Moha se rapproche de moi.
Lui : Ça va ?
Je lui réponds que oui mais intérieurement je tremblais comme une feuille pourtant j'en ai déjà fait ce genre de chose avec Farès mais là, c'était différent. On rentre à l'intérieur. Je suis les garçons avec Brahim à mes cotés. J'avais désormais un rôle à jouer. J'étais Maissa et non Camélia. Au milieu du salon se présentait plusieurs hommes mais un d'eux se distinguait plus des autres sûrement leur chef. Moha m'avait raconté qui se nomme Kassim.
Lui : Moha ! Que me vaut se plaisir ?
Moha : Les affaires.
Lui : Mmh et je vois que tu as amené ta soeur.
Il s'approche de moi à la limite du face à face tout en m'observant de la taille au pied.
Lui : Maissa je présume, dit il en tendant sa main.
Je tends la mien qu'il saisit en offrant un léger baiser sur celle-ci qui me dégouta un peu.
Moi : En personne.
Je parle d'une voix froide et glacial avec un léger accent latino.
Lui : C'est un honneur. Alors le Brésil ?
On détache nos mains.
Moi : Le meilleur endroit pour faire de bonnes affaires avec des hommes de confiance mais puis-je en dire autant de toi ?
Il sourit.
Lui : Je suis un homme de confiance.
Moi : Si c'est le cas où est la cam que l'on ta demander ?
Lui : Déjà ?
Moi : Le bissness, c'est le bissness chico.
Brahim : Trêve de baliverne Kassim. Où est la cam' ?
Lui : J'ai beaucoup mieux à vous proposer ?
Mariano leva un sourcils.
Lui : Ce n'est pas ce qui a été convenue.
Samir : Igo on a pas le temps pour les devinettes.
Kassim fit un signe de tête à deux de ses hommes derrière nous qui disparaissent.
Lui : En plus de la cam' que j'ai pété avec mes hommes chez Younes, on a réussi à prendre disons un bonne objet d'échange au cas où ?
Brahim : Qu'est ce que t'as fait ?
Au même moment, les hommes de Kassim reviennent avec jeune fille qui n'arrêtait pas d'hurler. Attendez deux secondes... cette voix c'est pas possible. C'était ma soeur, ma femme, ma vie...Sophia !!!!!!
Elle arrive enfin vers nous en nous regardant avec haine enfin surtout Kassim. Quand son regard s'attarde un moment sur moi, je priais dans ma tête pour pas qu'elle me reconnaisse. Elle fronce d'un coup les sourcils, j'en fais autant.
Samir : C'est qui elle ?
Moi : Sophia, la petite soeur de Mehdi.
Ils me regardèrent tous choquer. Merde il faut que je rattrape les choses.
Moi : C'est l'alliée de Younes, voyons. Vous devriez revoir vos informations.
Kassim : Bravo Maissa. Tu m'impressionnes.
Moi : C'était un jeu d'enfant, Kassim. Maintenant, explique moi pourquoi la fille se trouve avec vous ? On avait pourtant stipuler seulement la cam' et non des kidnapping dans le contrat. C'est juste de la lâcheté ce que tu as fais.
Lui : Tu m'as pris pour ton pd.
Moha braque une arme sur Kassim
Moha : Finis même pas phrase, Kassim. Personne insulte ma soeur et pas moins qu'un pd de ton genre.
Il fit un sourire narquois.
Kassim : Pourquoi tu tire pas Moha je sais que tu attends que ca.
Oh non ! Je ne permeterais pas que Moha commettre cette acte par ma faute. C'est hors de question ! Il faut que j'intervienne.
Moi : Baisse ton arme !, dis-je en me mettent entre les deux.
Il m'obéit et le lâche. J'en profite pour administrer à Kassim un coup avec le cross de mon arme. Du sang s'échappe de sa bouche.
Kassim : Une vrai femme fatale. On ne se trompe pas sur ton nom, annonce-t-il difficilement.
Mariano : On fais quoi de la fille maintenant ?
Je me retourne vers Kassim.
Moi : Samir va te payer comme convenu tandis que je récupèrer le fille. Je me chargerais personnellement de son cas.
Je me retourne prête à partir mais j'entends le bruit du canon derrière moi. Il fallait s'en douter que ce ne serait pas facile.
Lui : C'est bête de mort.
Je me retourner vers lui. D'un bras, je lui saisis son bras et de le l'autre je le frappe d'un coup le faisant laisser tomber son arme tandis que je récupère la mienne et la pointe face à lui.
Lui : Tu tiras pas.
Moi : Il faut se méfier des apparences.
Avant que je puisses commettre l'irréparable, Moha lui tire à la jambe lui faisant arracher un cri de douleur. Je peux vous dire que ma main tremblait. Je ne l'avais pas tuer mais j'avais conscience de ce que j'allais accomplir. J'allais tiré sur qqn. Moha m'a sauvé de cet acte. Mes oreilles bourdonne encore, j'étais figé dans le temps jusqu'à que Samir me cri de me secouer. Je reviens à la réalité. Les hommes de Kassim nous entourait ne savent pas quoi faire.
Moi : Que personne discutent un seul de mes ordres, ok ! Amenez-le à l'hôpital tout de suite. Brahim ?
Il me regarde.
Moi : On la prends avec nous.
Sophia : Hors de question que je vous suive. On a pas élevé les cochons ensemble.
Je braque mon arme sur elle.
Moi : Soit-tu me suis gentillemment, soit je te laisse avec eux et je ne penses pas que ce qu'il te réserve va te plaire. Maintenant à toi de te décider.
Je la laisses à sur ses mots et sort de cette maison suivit par la team.
Mariano : Maissa ?
Moi : Je m'occupe d'elle. Rentrez à la villa.
Moha : Je reste avec toi quoi qu'il arrive.
Moi : Tu n'es pas obligé. C'est mon affaire que je dois régler seule.
Moha : Hors de question tu es ma soeur et je ne pas qu'il t'arrive quoi que ce soit tu m'entends. Alors hors de question que tu fasses le boulot seule !
Je tourne la tête exaspérée pour y découvrir Sophia arriver vers nous accompagnée de Brahim. Je remis mes lunettes de soleil.
Moi : Monte dans la voiture.
Elle me regarde un instant avant de s'exécuter.
Moi : Je suis peut-être ta soeur mais c'est ma vengeance personnelle. Je n'ai pas été former pour admirer mais pour me battre.
Je monte dans la voiture avant de démarrer rapidement et de m'éloigner d'eux. La route se fit en silence. Personne échangea un seule mot. Je sentais son regard sur moi. C'était une question de minute avant qu'elle ne puisses commencer à dépiter. J'essaye de rester concentré sur la route.
Sophia : Où tu m'emmène ?
Je ne lui réponds pas
Elle : Je te parle.
Moi : Et j'ai entendu.
Elle : Alors pourquoi tu me réponds pas, Maissa machin chose.
Je brandit mon arme pour qu'elle la voit.
Moi : Si j'étais toi, je fermerais ma gueule ou non plutôt tu devrais me remercier. De t'avoir sauver.. Et mon nom c'est Maissa. Retiens-le car ce ne sera pas la première fois que tu entendra parler de moi.
Elle se tut. Chose rare chez Sophia. Je la regardais par dessus le rétroviseur. Putain, qu'est-ce qu'elle a changer...toujours aussi belle malgré les mois qui se sont passée. Elle avait le regard vide jusqu'à ce que ses yeux s'attardent sur moi. Je détourne le regard.
Sa me fait intérieurement de la voir comme ça perdue mais sa me fait mal aussi de la voir heureuse sans moi. Voir que pour elle je suis comme invisible me détruit mais je crois que le pire de voir que une autre fille est là pour elle, qui joue mon propre rôle en l'occurrence ma soeur Nayla avec qui je l'ai vu sur les photos. Je peux pas le supporter. Je devrait relativisé mais au fond de moi, j'ai mal car je sais que je dois avancer un jour sans elle. Sans son soutien, ses rires, ses excès de colère... D'autant plus, plusieurs personnes étaient jalouse de notre amitié. Elles nous enviaient car nous restions toujours unis. Si je me suis éloigné d'elle, c'est pour l'éviter de souffrir. Je veux le meilleur pour elle même si je lui en veux. Je me pousserais toujours à la sauver parce que je sais que si notre situation serait inversée, elle aurait fait la même chose.
C'est dans ses moments que je me rends compte que ma soeur me manque, que je l'es fais souffrir et qu'elle aussi indirectement. Je ne pouvais en vouloir qu'à moi-même.
Elle reste ma meilleur amie. Je pourrais tuer pour elle.
***********Dans la peau de Sophia***********
Cette fille, je sais pas pourquoi mais une voix en moi me chuchotait de lui faire confiance. Oh mon dieu ! Qu'est-ce que j'ai envie de la frapper ! Elle se prends pour qui avec ces airs supérieurs ? En sah, elle a de la chance que je ferme ma gueule. Elle ne me connaît pas cette Maissa. Mais bon vu ce qu'elle a fait à l'autre bâtard de Kassim et qu'elle m'a dans un sens sauver, je vais laisser passée.
Je me demande pourquoi elle m'a aidé. Elle est juste venu pour récupérer sa marchandises haram. D'ailleurs, j'avoue que sa me choque un peu une femme qui bibi. J'avais entendu les deux autres hmars qui me surveillait qui disaient qu'elle était très dangereuse et pour ce que j'ai vu, ils avaient bien raison. Je me demande qu'elle sont ses motivations;
Pourtant, je vais pas mytho. Cette meuf est un missile avec ces cheveux rouges. J'avais déjà vu des meufs sur Insta avec cette couleur qui est super tendance en ce moment. Elle avait un corps de oufff la salope quand même, c'est pas moi avec mes poignée d'amour enfin mes poignée en chocolat qui allait rivaliser avec elle.
Pfff en plus, mon connard de mari n'arrête pas de me charier avec ça. Bah finalement, il avait raison ! Sa m'apprendra à faire des courses maintenant parce qu'il avait plus de chocolat à la casa.
En plus, la meuf ça se voyait qu'elle était archi sûre d'elle rien qu'à sa démarche et son accent prononcée. Olololooo pourquoi je peux pas être parfaite comme elle là. Bref revient sur terre, Sophia. Tu es dans une voiture avec une inconnue qui ta menacer avec son putain de gun. Putain pourquoi, j'écoute pas un peu plus mes frères moi. Ils m'avait pourtant dit de ne pas parler aux inconnus. Cheh dans ma gueule, voilà !
Seulement, je ne sais pas pourquoi mais cette femme m'était comme familière. Elle ressemblais à ma Mia...Allah y rahma. Non arrête Sophia ! Camélia est morte ! Morte ! Arrête tes conneries. Y a Allah qu'est-ce qu'elle me manque ! La dernière fois que je me suis faite kidnapper elle était avec moi. J'aimerais tant qu'elle soit là encore pour me rassurer. Mais je n'arrive pas à faire mon deuil correctement car je lui en voulais d'être partie. La famille n'est plus rien sans elle. On se détruit tous peu à peu surtout Farès et Younes qui ont plonger encore plus dans leur trafic pour venger sa mort.
Sans que je puisse controlée, une larme s'échappe de mon oeil.
***********Retour dans la peau de Camélia***********
Je vis une larme rouler sur sa joue. Intérieurement, sa me détruisait mais ma haine me rappela systématiquement à l'ordre.
On roula un moment avant d'arriver à la gare. Je prit un bigo qui trainait dans la boite à gants avant de lui tendre. Elle me regarde avec incompréhension.
Moi : Appelle ta famille. Dis-leur que tu rentres et que tu a réussi à t'échapper toute seule. Bref, je sais pas invente un truc mais surtout ne mentionne pas mon nom.
Sophia : Pourquoi ?
Moi : Tu poses trop de question. Tu veux les appeler, oui ou non ?
Elle prit le téléphone. Je fixe un moment sa main où je vis à son annuaire une bague de fiancialle. Nadir avait bien raison finalement.
Elle compose un numéro et me regarde un moment avant que sa décroche.
Sophia : Allo ?
:.....
Sophia : Oui, C'est moi Nassim.
:.....
Sophia : Oui je vais arrete de t'inquiètez et préviens les mecs. J'ai réussi à m'échapper mais écoute je serais dans pas longtemps de retour à maison, ok ?
:......
Sophia : Moi aussi, N'brick.
Elle raccroche et me tends le téléphone que je récupère.
Moi : Mmh un petit ami ?
Eh oui il fallait que je joue le jeu. C'est drôle vous diriez, je lui tape un peu la conversation.
Elle : Non, c'est mon mari. On a fait le hlel.
J'avale difficilement ma salive.
Moi : Mabrouk. Toutes mes félicitations.
Elle : Merci. Maintenant à toi de répondre à mes questions. Qui es-tu et pourquoi tu m'as sauvé ?
Moi : On est arrivée.
Je me gare devant la gare et descends. Elle sortit à son tour. J'allais commencé à avancer mais elle me barre le chemin.
Elle : Stop tu a pas répondu à mes question.
Je souris.
Moi : Qui suis-je ? Ton ennemie ou plutôt je dirais ton pire cauchemar. Pourquoi je t'ai sauver ? Parce que tu n'es pas ma cible pour le moment. Quels sont mes intentions ? Que tu retrouve ta vie parfaite avec ton mari parfait tandis que moi je ne souhaite qu'une chose détruire ta famille entière en commençant par tes frères.
Elle resta sur le cul. Je la dépasse et prends un billet pour elle avant de revenir pour la découvrir entrain de me jeter des regards de travers. Je lui tends son billet qu'elle prit. Je m'assois à ses cotés.
Elle : C'est pas la peine que je te demande comment tu sais d'où je viens.
Moi : Tu as tout compris.
Elle : Pourquoi tu fais ce que tu fais ?
Je savais à quoi elle faisait allusion.
Moi : La haine me nourrit. La vengeance est ma survie.
Elle : Le mec ce Moha c'est...
Moi : Mon grand frère.
Je la regarde à travers les glasses de mes lunettes. Pendant, quelques minutes, nous restions dans le silence.
Elle : Tu me fais penser à quelqu'un. C'est chelou. Tu me fais rappelle elle.
Mon coeur se serre d'un coup.
Moi : À qui ?
Je me retourne vers elle. Ses yeux brillait.
Elle : Une amie qui est partie comme une lâche et qui m'a abandonné. Mais elle....
Je fis un rire nerveux qui la stoppa dans ses paroles.
Moi : Si, elle est sûrement partie c'est peut-être qu'elle avait ses raisons. Au lieu de penser à toi et ta vie parfaite, tu devrais regarder ce qu'il a autour de toi.
On annonce au même moment que le train pour Lille est sur le point de partir. Je me lève d'un coup. J'étais énerver. Je m'avance pour partir mais je me tourne une dernière fois vers elle.
Moi : Oh j'ai un service à te demander. Un message en faite pour tes frères enfin ta chère petite famille. Dis leur de faire très attention à leurs arrières et que je prendrais un malin plaisir à les détruire tous un par un. J'ai déjà commencé ma vengeance et je compte continuer....
Je tourne les talons et regagne ma voiture. Je roule jusqu'à la villa me rappelant sans cesse les mots de Sophia "Une amie qui est partie comme une lâche et qui m'a abandonner'' pff c'est l'hôpital qui se fou de la charité sincèrement. Et ça confirme de plus en plus, mon idée de vengeance. J'arrive à la villa où je trouve la voiture de Youssef en face de la maison. Il est enfin rentrer. Quand je rentre, je retrouve tout le monde dans le salon en train de m'attendre. Le bruit de mes talons les réveilla dans leur réflexion. Belka se lève du canapé et se dirige vers moi pour me faire un calin. Je le serre à mon tour.
Lui : Sa va ?, me chuchota-t-il
Moi : Je sais pas. Je pense que oui, dis-je avec une petite voix. Je vais monter dans ma chambre.
Il acquiersce et me laisse monter. J'ouvre la porte de ma chambre pour découvrir Youssef qui se retourne instantanément à mon entrée. Directe, il se dirige vers moi pour me prendre dans ses bras, chose qui ne lui ressemble pas. Je savais que les autres lui avait raconter l'échange.
Lui : Tu m'as manquer.
Je ne sais pas si c'était l'effet d'avoir revu Sophia qui m'a mise dans cette état mais je profitait de son affection.
Moi : Pareil. Pars plus, s'il te plaît.
Lui : Promis.
On se détache.
Lui : Je suis au courant.
Moi : Je sais.
Lui : Tu veux en parler ?
Mes larmes montèrent d'un coup. Il prit ma main et on se dirige vers le lit où on s'allongea. Je pose ma tête sur son torse. Il me caresse les cheveux. Mon dieu ! Qu'est ce qu'il sentait bon !
Moi : J'ai fahi tiré sur un homme aujourd'hui mais Moha est intervenu. Je ne sais pas si je dois être soulager ou au contraire dépité.
Il ne dis pas un mot.
Moi : Je crois que j'ai totalement louper mon rôle. Je suis désolé,
Youssef. J'ai été faible sur ce coup-là. Je ne suis pas prête. Mariano avait tort.
Il grogne.
Lui : Tu es prête, Mia. Aujourd'hui, tu n'as pas tirer sur quelqu'un et je t'avoue que je suis soulagé. Blesser ou tuer une personne est une tâche dure à supporter, crois moi. Quand tu commets cet acte, tu dois vivre avec ce regret. Tu dois supporter tout les jours de voir le visage de la personne à laquelle tu as oté le vie. Je suis fière de toi, Mia. Ne remets jamais en doute, ma parole.
Moi : C'est ce que tu ressens quand tu l'as fait ?
Il met du temps à répondre.
Lui : La première fois, tu es rongé par les remords puis quand ceci devient ton train au quotidien, tu apprends petit à petit à vivre avec. Pour certains, cette habitude peut les rendre tellement indifférent que sa en deviens dangereux tandis que pour d'autres, ils se remémorent sans cesse le visage de leurs victimes.
Je lui caresse un moment le bras réfléchissant à ses paroles. Je sentais qu'une part de lui regretter ses actes. Il était tirailler entre son devoir et sa conscience.
Moi : J'avoue que je suis partie mais c'était pour délivrer de mon frère. Elle devrait me comprendre. Tout dans sa vie à été parfait. Elle n'a jamais subit ce que j'ai subis. J'ai tellement la haine contre elle. Elle a l'homme qu'elle a toujours aimé, elle a fait son hlel, elle a des frères qui ne l'ont jamais obligé à quitter l'école ou qu'ils l'ont reniée à cause de son physique...
Lui : Mia stop.
Youssef lève ma tête vers lui où je plonge mon regard dans le sien.
Lui : Ne penses plus à ça. Le passée est passée. Ok, ta pote n'a jamais souffert d'au moins un quart de ce que tu as eu. Ok, Elle a eu une vie parfaite. Mais elle n'est pas toi, Camélia. Elle n'est pas ce qui te rends différente des autres. Elle n'a ni ta force ni ton courage. Elle n'est pas la Mia qui me rends complètement fou à chaque fois qu'elle est près de moi.
Il me regarde un instant. Il m'a complètement perturbée ce con.
Lui : Tu es différente. Tu es belle. Et surtout désormais tu as une famille qui te protège. Mais si tu veux arrêter ta vengeance, alors arrête-là. Tu as toujours la possibilité d'y renoncer. Je te force à rien. Au contraire, je souhaiterais même que tu restes en dehors de cette histoire et que tu t'éloignes de tout ça. Et même de moi, s'il le faut. Je m'occuperais de Younes, ne t'en fais pas.
Je me détache d'un coup de lui, énervée.
Moi : Non, non non...c'est hors de question que je renonce. Non Youssef. Et puis pourquoi tu dis qu'il faut que je m'éloigne de tous surtout de toi ? T'es malade !
Il se lève rapidement à son tour.
Lui : Parce que j'ai raison. C'est pas pour toi tout ça. Alors éloignes toi de moi.
Je me rapproche un peu plus de lui. Je sentais presque son souffle sur ma peau.
Moi : Et si pour une quelconque raison, je ne veux pas m'éloigner de toi. On fait comment ?
Il me regarde profondément quand sa toque à la porte. Je m'éloigne de lui et va pour ouvrir. Je découvre Amir qui abordait un magnifique sourire qui s'évanouit aussitôt qu'il vit Youssef dès à présent derrière moi. Je ne calcule pas tandis que Amir m'interroge du regard. Youssef lui fronça les sourcils pour pas changer et part énerver. Sincèrement ce mec, je le comprendrais jamais.
Amir : Tu m'explique ?
Moi : Y a rien. Il est juste venu voir comment ça allait par rapport à Sophia.
Il rentre dans la chambre.
Lui : Tu veux en parler après on se fait un film nous deux.
Moi : Ça marche.
On s'assoit sur le lit.
Lui: T'es sure qu'il se passe rien avec Youssef ?
Moi : Il y a rien. Il m'aide juste pour ma vengeance.
Il me lance un regard septique mais on changea de sujet. Je lui raconte mes mésaventures puis on se mettent un film dans la soirée.
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Voilà plusieurs semaines où s'installe la routine. Je continuais de bibi avec les mecs. Parfois, Soraya était de la partie avec moi pour m'aider mais sa va je gèrais. J'étais définitivement Maissa et non Camélia. Les brides de mon passé n'était qu'un lontain souvenir dès à présent. Tous le monde gardait néanmois le surnom de Mia ce qui me dérangeait pas. Youssef, quant à lui, me faisait la gueule pour je ne sais quel raison depuis la dernière fois avec Amir. Je détestais cette situation mais par fierté je ne souhaitais en n'aucun cas intervenir.
Je sortais tout juste de la douche quand j'attéris en bas les cheveux mouillé dans la cuisine. Mais à ma surprise, Youssef s'y trouvait aussi ne m'adressant aucun regard. Je ne le calcula pas et me concentre à faire du café. C'était comme si nous étions de parfait inconnus et que l'un pour l'autre nous existions pas. Problème, je devais prendre la coupe de sucre qui se trouvait juste derrière. Je tends mon bras mais il le prit avant moi pour me le tendre. Je le pris et le remercie quand il s'apprête à ouvrir sa bouche mais Walid, tablette à la main, nous interrompt avec le reste de l'équipe.
Walid : Wsh les amoureux !
Nous : Tg
Eux : Ptdrrr
Foued : Waah Mia ! Je suis offusqué. Tu oses me tromper avec lui.
Moi : Mais voyons, Foued comment pourrais-je ? Tu es le seul dans mon coeur.
Du coin de l'oeil, je vis Youssef contracter sa mâchoire.
Belka : C'était pas moi dans ton coeur, Balboette. Tu me fais doublette maintenant.
Foued : Quel doublette ?! Elle m'aime plus que toi oui.
Moha : Non nuance, elle n'aime que moi. Je suis son préférer.
Samir : Fouedounette, je demande le divorce.
Foued : Mais omri...
Samir : Non je vais me marier avec Brahim ou encore notre beau papa chtoko, Djibril.
Djibril : Quel chtoko poto je suis noir au naturel.
Foued : Tellement noir que tu deviens bleu comme un shtrompfs au soleil.
Nous : Mddrr
Moi : Bon allez ça suffit les garçons. Je vous aimes tous, ok ?
Amir : Et moi ?
Moi : Bien sûre. Toi aussi Amir. T'es la base.
Je jeta un coup d'oeil vers Youssef. Ses phalanges était pratiquement presque blanches. Mauvais signe. Faut que je change de sujet.
Moi : Bon asy pourquoi vous êtes tous heureux comme ça. Et où est Mariano ?
Mariano : Juste là, bella.
Il apparu soudain dans la cuisine et me fit un calin. Mariano était devenu plus qu'un ami dès à present, c'est mon confident au meme titre que Belka et Moha mes chouchous. Il m'a tellement appris, je ne sais vraiment pas comment le remercier.
Walid : Passons au nouvelles maintenant que tout le monde est au complet.
Moi : Où sont les filles ?
Brahim : À ton avis.
Bien sûr, le shopping. Et oui ,on reste quand même des filles malgré notre sauvagité.
Moi : Les traitres.
Foued : Oklm tu feras plus tard tes ongleuuux manucuuures.
Nous : Ptdrrr
Mariano : Reprenons notre sérieux. Walid ?
Walid pose la tablette au milieu du lino central et y fit défigurer des images dont une représentant une carte de la France avec différents points répartis dessus.
Walid : Les points ici représentes toutes les villa de Younes où sont stockés ses marchandises et ses entrepôts. La bonne nouvelle est que l'ont à récupérer la totalité de ses marchandises national et local. Evidemment notre ennemie à plus d'un tour dans son sac en répliquant par plusieurs décentes et tuant la plus part de nos gangs en masse.
Samir : On peut faire quoi par rapport à ça.
Brahim : Rien à part répliquer. Sa ne m'étonne pas de Youssef pourtant en dirait qu'il prépare quelques chose. C'est louche.
Djibril : Il a raison. Ca ne lui ressemble pas.
Youssef : On doit rester vigilants et le surveiller. Voir toute sa cam' partir d'un coup, c'est pas rien. Il doit chercher les coupables.
Mariano : Dont Maissa notamment.
Moi : C'est totalement ce qu'on voulait.
Youssef : L'attirer vers nous enfin plutôt attirer son attention.
Walid : Pourtant, il reste encore un pb.
On le regarde attendant une réponse.
Walid : Il cache aussi de la cam' en Espagne d'après mes dernières recherches dont notamment des codes de comptes cachés en Suisse.
Moha : On a donc notre prochain objectifs. Récupérer ces codes.
Brahim : C'est trop facile, je trouve.
Samir : C'est vrai. Ici, en France, c'est un jeu d'enfant de voler sa cam' mais rappelez-vous qu'en Espagne les règles sont différentes malgré qu'on détiennent une partie du territoire. Il est considérée comme neutre.
Youssef : Ils nous attendra là-bas. La guerre se terminera en espagne.
Belka : Mia ?
Moi : Plus que jamais. On fonce.
Au même moment, les filles rentre à la casa et nous trouves tous en mode sérieux. On leur explique rapidement le plan et delà, nous établissons les tâches de chacun dans notre nouvelle mission. Le voyage se ferait dans exactement trois jours. J'avoue que sa me fera du bien de quitter cette villa et d'aller me ressourcer en Espagne précisément dans la ville de Benidorm à Alicante. Je ressens le besoin de partir m'évader loin et d'échapper au problème qui m'entoure au moins l'espace d'une journée. Après les explications, je regagne ma chambre suivit des filles qui y font des essayages répétitifs dans celle-ci.
Sirine : J'aime trop cette couleur sa irait trop bien avec la couleur rouges de tes cheveux Mia.
Moi : Tu devrais pas Sirine. C'est trop. Elle a du te couter la peau des fesses.
Leila : Même pas ta race. Elle a couter son salaire oui.
Et hop ! Un coup de Soraya pour Leila.
Elle : Chut ! On a dit quoi ? Nous sommes une famille et puis je n'ai jamais eu l'occasion de te remercier pour ce que tu as fait avec Moha donc je sais que c'est rien cette robe mais elle vient du fond du coeur. Accepte et klasse.
Je lui fit un sourire gênée et vis Leila bouder dans son coin.
Moi : Leila ?
Elle : Je ne veux pas en parler.
Moi : Donc ça ne s'est pas arranger.
Farah : Bah besoin d'être devîn pour le savoir. Regarde juste son visage, Mia.
La pauvre, j'aimerais tellement l'aider. Mais attendez je peux l'aider. Je vais parler avec Brahim au sujet de Leila pour qu'on soit enfin fixer. Quand sa toque à la porte. Je pars ouvrir et découvris Youssef. Il fronce aussitôt les sourcils à ma vue. Quel accueil ! Je sentais déjà le regard des filles qui nous observait donc je sortie dans le couloir afin d'éviter les oreilles baladeuses.
Moi : Euh ça va ?
Je me surpris moi-même de lui avoir poser cette question.
Lui : Trql.
Moi : Tu voulais me dire un truc.
Lui : Oui. Ce soir, il y a une fête où nous sommes invité. C'est organisé par mon zinc qui est aussi un de nos alliés qui va nous idée.
Youssef avait donc un cousin ? Cette nouvelle me surpris.
Moi : Et je dois jouer mon rôle.
Lui : Ta tout compris. Bref mets-toi bien ta u. T'es Maissa et personnes d'autre ce soir.
Moi : Ok.
Je le laisse. En rentrant dans la chambre, les filles me bombardent déjà de question. Je leur explique la situation.
Farah : Mais attends, il faut absolument qu'on s'occupe de toi.
Moi : Mais non oklm. Je mets juste un jogging et c'est bon.
Je reçois une tappe derrière la tête.
Laila : T'es bête ou tu le fais esprès. Il a dit mets-toi bien en mode cendrillon et non en mode clocharde. Grandis un peu, non ?
Je soupire et les laisses s'occuper de moi intégralelent. Je le faisais totalement confiance. Leila s'occupait de ma robe, Farah de mon make up, Sirine de mes cheveux et Soraya supervisais le tout en faisant attention au moindre détails et surtout en me faisant un récapitulatif des noms de nos alliés. Celui que je devais le plus me rappeler est le cousin de Youssef, Imran. Il possède la mafia Hollandaise et Mexicaine. Un de nos plus gros alliés avec Mariano. J'avoue que j'étais un peu nerveuse de rencontrer l'un des membres de la famille à Youssef. Pourquoi ? Je ne sais pas. J'ai envie de faire une bonne impression en tant que Maissa.
Les filles : Terminé !
Elle me sourirent toutes. Je les remercie et part me regarder dans le miroir quand je vis que j'étais comme sur la fille sur la photo.
Je n'y croyais pas mes yeux. Je me reconnaissait pas. J'étais totalement une autre personne. C'était totalement Maissa qui se présentait dans le reflet de ce mirroir et non Camélia. J'étais juste magnifique. Sincèrement, je crois que c'est vraiment la prmeière fois que je pouvais dire que oui je suis belle et cela grace à mes quatre bonnes fées même s'ils existe que trois mdrrr. J'avais limite les larmes aux yeux.
Leila : Oh non je t'interdis de pleurer stp. Ne gâche pas mon travail.
Moi : Désolé mais j'ai vraiment pas l'habitude d'être comme ça et de me trouver réellement belle.
Sirine : Tu as vraiment du beaucoup souffrir
Moi : Oui mais c'est du passé. Pensons au présent.
Soraya : Sage décision.
Leila : Prête à faire fondre le coeur de Youssef.
Nous : Leila !
Leila : Oh arrête Mia et fonce. Vous vous kiffez, c'est une évidence.
Moi : Je ne vais même pas me prendre la tête à commenter ce genre d'épilepsie.
Elle souffle surement agacée. Eh quoi ! J'ai raison. Il n'y a rien entre moi et Youssef. Il ne ressent rien pour moi et de même enfin...je crois.
Moi : Vous vous préparer aussi ?
Sirine : Non. Cette réunion est juste réserver au alliée. Il n'y aura que Youssef, Mariano et Moha comme il est le bras droit de Youssef ainsi que toi. Nous on reste ici avec les autres.
Leila : Hmdl je vais pas devoir supporter la tête de l'autre racaille de Shanqhai.
Nous : Mdrrr
Je discute avec elles et puis vient le moment où je dois descendre rejoindre les garçons. Les filles me suivent de près pour descendre les escaliers. Quand je lève le regard, je vis tous mes frères me regarder avec admiration. Youssef lui sourit aussi à ma vue et ne pus s'empêcher de se mordre sa lèvre inférieur. Tiens tiens je fais de l'effet à Monsieur Youssef, ainsi que les autres garçons étaient totalement beau dans leur costar enfin surtout lui. Ca faisait beaucoup ressortir ses yeux sombres. Je vis qu'il s'approche de moi lorsque j'arrive à la dernière marche. Il tend sa main que je ne refusa point m'attirant vers lui.
Lui : Tu es magnifique.
Oh non faut pas me dire des trucs comme ça à moi . Je rougis directe.
Moi : Merci.
Il me fit un bisou sur le front ce qui empire ma situation.
Leila : YOUYOUYOUYOUUU.
Walid : Leila tg putain tu gâche le moment la
Foued : Tema Mia comment elle est rouge pire qu'un pot d'harissa wallah.
Je lève les yeux en l'air toujours obliger de me mettre dans des situations pas possible. Merci Foued maintenant obliger Youssef va croire que je le kiff où un truc comme ça même si je pense qu'il a des doutes.
Moha : Asy laissez ma soeur tranquille vous-là.
Je me réfugie dans les bras de Moha.
Brahim : On y go ?
Djibril : C'est quoi sa on y go ? Ici, on est en france et pas en English.
Samir : Waah hegoun c'est en Angleterre putain t'es sur ta eu ton bac toi ?
Bram's : Obligé il a fait vendeur de mais wsh il a la tête.
Djibril : TG
Et c'est reparti pour une ième dispute mais bon on a l'habitude à force. Après cela, tout le monde nous souhaite une bonne soirée et on quitte la villa. On prend chacun une voiture sauf je me retrouve seul dans la voiture de Youssef. Evidemment je ne vous cache pas mon célèbre malaise avec lui.
Sur le chemin, je me posais mille et une question mais celle-ci bizarrement était dirigée particulièrement vers Youssef. Je me demandais ce qu'il pensait de moi. Certes, il m'a parfois montrer de l'intérêt dont de la jalousie ou encore de la protection mais voilà je ne saurais décrypter plus de sa part. Il est tellement mystérieux ce mehboul. Je n'ai vu que son bon coté mais toujours pas le mauvais mais je ne sais pas si je veux réellement le voir ce coté mehboul. Une part de lui me faisait peur et l'autre, me faisait totalement prendre confiance en lui. Ce que je ne pourrais jamais lui reprocher est qu'il a toujours était sincère avec moi mais est-ce qu'il sincère au point de tenir ses promesse. Tel est la question !
Youssef : Il faut que tu restes sur tes gardes.
Je le regarde.
Moi : Ne t'inquiète pas. Je sais ce que j'ai à faire.
Je me reconcentre sur la route.
Lui : Je sais. Je m'inquiète juste pour toi.
Moi : Évite. Je ne suis pas une petite fille.
Il tourne la tête vers moi et me relouque de la tête aux pieds.
Lui : Ça, je l'ai bien remarquer.
Je lui donne une tape à l'épaule.
Moi : Regarde la route ou on va faire un accident par ta faute.
Il lâche un petit rire de bébé. Ce mec va me rendre ouff. Pourquoi il est mignon même quand il rit. Orrrh j'en ai marre ! Pourquoi il me fait autant d'effet lui aussi.
On arrive devant une villa aussi luxueuse que celle de Youssef. Dis donc le chef de la mafia****ne rigole vraiment pas. On se gare et descendirent tous. Moha était le premier à frapper à la porte suivit de près par Youssef et moi. On nous ouvre et je fus surprise de l'ambiance qui se présentait à moi.
La fête était à son apogée. Il y avait de tout : des daleux, des kehbas, des hommes en costars. Le cousin de Youssef ne faisait pas les choses à moitié. Cependant, je sentais certains regards sur moi sûrement les autres chefs.
Un homme vînt à nous pour nous accueillir. Il était grand, cheveux en queue de cheval, cigarre à la main, assez stock au passage. Il était mignon pourtant ces traits du visage était presque semblable à ceux de Youssef. Mes soupçons sont confirmés lors de l'accolade entre les deux cousins. Il fit la même chose à Mariano et Moha puis vient mon tour où il me fit simplement la bise.
Lui : Tu dois être la protégée de mon cousin. Moi, c'est Imran.
Moi : Le chef de la mafia Hollandaise et Mexicaine. Moi, c'est Maissa. Enchanté.
Lui : Tu a bien appliquée tes recherches. Je suis content de faire ta connaissance.
On entend un grognement qui bien sûr venait de Youssef.
Imran : Oh pardon cousin! T'inquiète on fait juste connaissance. Je vais pas te la voler.
Youssef : La ferme. Tu veux ?
Je fronce aussitôt les sourcils sous les yeux amusée de Mariano, Moha et Imran. Youssef lui paraissait assez neutre.
Mariano : Bon Mia suis moi. Je vais te présenter nos alliées.
Il me tend sa main que j'accepte.
Moi : Allons-y.
Je m'éloigne laissant les deux cousins seules avec Moha. Mariano me présenta de nombreux hommes qui possèdent plusieurs mafia, les énumérées me prendrait beaucoup de temps. Je remarque au loin Kassim posé avec une pute sur ses genoux. Je vis qu'il avait une jambe platrée. Il me remarque aussi et en profita pour me lancer un regard mauvais. Je ne pus sourire devant son énervement.
Mariano : Tu aimes beaucoup jouer avec le feu, corazón.
Moi : Et c'est mal ?
Lui : Au contraire, mais il ne faut pas nous créer davantage d'ennemis pour l'instant.
Moi : Tu penses que Kassim peut se retourner contre nous.
Lui : Ce n'est pas ce que je crois qui est important pour l'instant. Mais je suis sûr qu'il ne fera rien pour l'instant. Il sait le danger qu'il encoure s'il ose faire cette affront. Enfin, ils le savent tous. Youssef et Imran sont peut-être des cousins de sang mais ils sont très respectée dans le réseau tout comme Younès. Néanmoins restons vigilant.
Moi : Tu as raison, Mariano.
On bouge du salon pour se poser dans le jardin où l'on se pose sur une des balançoire du jardin qui était assez reculer de la maison. J'observe Mariano. Il possédait un vrai style un peu dandi qui lui allait à merveille. C'est vraiment un belle homme et en plus il avait un accent de fou qui lui donnait un charme supplémentaire. Il doit sûrement en faire craquer plus d'une.
Il était entrain d'observer son verre rempli de whisky. Moi j'avais juste pris une coupe de champagne.
Moi : Mariano ?
Il lève la tête vers moi.
Moi : Tu as une copine ?, lui demandais-je soudain assez genée.
Il me fit un sourire amusée de la question.
Lui : Oui, j'ai bien une petite copine.
J'écarquille les yeux.
Moi : J'en étais sûre. Allez vazy raconte moi tout.
Lui : Tu es vraiment curieuse.
Moi : Oui un peu mais je m'ennuie vraiment de cette soirée et puis nous sommes que tout les deux, non ?
Lui : Mdrrr allez ! Dis moi ce que tu veux savoir, chica loca.
Moi : Tú caillate
Il fit un air choquer.
Moi : Quoi j'ai pris option espagnol à l'école. Bon soyons concentrée. ¿ Cómo se llama l'amor de tú vida ?
Lui : Marina.
Moi : C'est un joli prénom. Comment tu l'as rencontré ?
Lui : En faite, je la connais depuis toujours. C'est ma meilleure amie. On a grandis tous les deux dans les favelas. Quand je suis rentré dans les gangs, on a été un peu obligé de s'éloigner. Et puis, on a chacun suivit notre chemin. J'ai monté en grade et je suis partie de Rio devenant un grand multimillionnaire et chef de mafia tandis que Marina avait continuer ses études et travaille dans un hôtel de luxe qui part ailleurs je possèdais. On s'est revu et cotoyer. Elle était tout pour moi. La veille avant que j'arrive ici en France, on avait passée la nuit ensemble et puis le lendemain, elle a comprit que je baignait toujours dans ce bissness. Elle est partit avec juste un mot : "Je suis désolé mais je ne veux pas vivre dans ce monde. Marina".
Je pose ma main sur son épaule. Ces yeux brillait. Il devait tellement l'aimer.
Moi : Je suis désolé Mariano. Je voulais pas refaire ranimer de vieilles blessures.
Lui : Tkt pas Mia, c'est rien.
Moi : Non. C'est pas rien. C'est de ma faute tout ça. Tu es venu pour moi.
Lui : Arrête. Ce n'est pas ta faute. Elle se doutait depuis longtemps. Je lui en avait déjà parler la vieille. Je lui avait dis la vérité. Elle m'a juste fait un cadeau avant que nos chemins se séparent de nouveau.
Le pauvre... je savais en quelque sorte ce qu'il ressentait. Je me demandais si Farès avait penser la même chose lui aussi. Je lui es fait le même cadeau que Marina dont celui d'être libre même si je devais souffrir. En y repensant, Farès doit être heureux avec cette fille qui m'a remplacé dans son coeur pourtant je ne veux pas que Mariano est la même fin que moi. Il ne le mérites pas.
Moi : Mariano ne laisse pas les choses comme ça. Bats-toi pour elle. Arrête toute tes bêtises et construit ta vie avec elle.
Il me regarde avec un petit sourire.
Lui : Tu essayes de te convaincre ou de me convaincre ?
Moi : Mariano.
Lui : Tu as fait la même chose à Farès, non ?
Outch ! Il a touché un point sensible.
Lui : Je suis désolé.
Moi : C'est rien. Tu as raison mais mon histoire avec Farès est complètement différente. Elle était voué à l'échec et puis maintenant il y a...
Lui : Youssef ?
Moi : Oui enfin non, je veux dire.
Il rit.
Lui : Arrête de nier tes sentiments, Mia.
Moi : Alors arrête de nier tes sentiments pour Marina.
Il me regarde attentivement.
Lui : Tu sais quoi j'ai une idée.
Moi : Laquelle ?
Lui : Ta vengeance sera ma dernière affaire dans le bizz puis j'arrête tout et je retrouverais Marina. Mais je veux d'abord t'aider tu es devenu comme mi hermana.
Moi : Voilà enfin sage décision. Je suis fière de toi. Et toi aussi tu es devenue mi hermano, Mariano.
Lui : En revanche, toi aussi, tu dois faire quelque chose pour moi en retour.
Je le regarde intriguée.
Moi : Oui bien sûr tout ce que tu veux !
Lui : Arrête de nier l'évidence de tes sentiments pour Youssef. J'ai l'instinct que quand tu es avec lui, il te fait oublier ton premier amour avec Farès. Ne le rejette pas parce que tu as trop souffert dans le passée. Tout les hommes sont différents. Et lui, je te donne ma parole qu'il ne te fera jamais de mal.
Je réfléchis à ces paroles. Youssef et moi ? Pff je ne sais même pas si lui je l'intéresse.
Lui : Je sais à quoi tu penses mais ne t'inquiète pas? Mia. J'ai le sentiment que lui aussi niera plus dans pas très longemps.
Moi : Mariano serais-tu devîn ?
Lui : Je sais pas. J'ai toujours ressenti les choses qui allait se passée comme quand je savais que j'allais bientôt la retrouver.
Il faisait sûrement référence à Marina.
Lui : Tu es une personne bien Mia qui à beaucoup trop souffert. J'espère qu'on réussira à apaiser ta haine.
Je le regarde sans comprendre quand on fus interrompus par Imran. Mariano décide de nous laisser seule tout les deux. Oh mon dieu, je suis encore plus malaise qu'avec Youssef.
Lui : Maissa.
Moi : Imran.
Lui : Alors ?
Moi : Alors j'espère que tu ne viens pas me parler de ton cousin parce que sincèrement j'ai assez donner avec tout le monde.
Il lève ses deux mains en lève signe qu'il n'a rien fait.
Lui : Tkt je ne suis pas venue pour ça.
Moi : Ni pour me parler de ce que j'ai à faire ou pas ?
Lui : Ni pour ça aussi. Je suis venue en tant qu'amie et alliées et peut-être aussi un confidente.
Moi : D'accord merci.
Lui : La soirée te plait ?
Moi : À vrai dire, je ne m'attendait pas à ça.
Lui : T'es jamais aller à une fête ?
Moi : Non t'es ouff. La seule fête que j'avais eu le droit était un pot de glace devant un film romantique dans ma chambre. Tu veux que mes frères me nike... oh voilà que j'ai dit mes frères. Je devrais dire les traites.
Lui : Pas besoin de te justifier. On en parlera pas de ton ancienne vie.
Moi : Merci.
Lui : Pas besoin de toujours me remercier.
Moi : Pardon.
Il sourit.
Lui : Dis moi plutôt pourquoi tu ne viens pas à l'intérieur.
Moi : Oh non merci ! J'ai assez donnée.
Il éclate de rire.
Lui : Tu sais qu'ils ont tous peur de toi et que toutes les meufs te regarde avec envies.
Moi : Quoi ? Non arrête. Je n'ai rien exceptionnel et puis ils ont peur de Youssef, Mariano, Moha et, je le regarde, de toi.
Lui : Tu rigoles j'espère, tu es Maissa. Une femme fatale qui a remis à sa place Kassim quand il a merdé. Et puis tu es belle wsh avec tes cheveux rouges, tes formes. Tu es bonne chérie.
Je le regarde choquée.
Lui : T'inquiète, je te drague pas mais je préfère te dire la vérité. Tu as réussi à faire l'impossible en faisant tomber Youssef dans tes filets, lui qui n'est absolument pas intéressée par les filles.
Moi : Stop Imran.
Lui : Bon d'accord,c'est vrai. On parle pas de Youssef même si j'ai juste dis juste la vérité.
Moi : Imran.
Lui : Mdrrr ok j'arrête. Tiens voilà monsieur le grincheux qui arrive. Je vais te laisser avec lui. J'ai pas envie de mourir ce soir.
Il me laisse à ses mots. Je ne pus m'empêcher de rire. Il est vraiment super sympa Imran même plus que son cousin, je dois dire. Il a une tel joie de vivre sa fait tellement plaisir à voir. Et comme il a dit, voici Monsieur le Grincheux alias Youssef qui arrive avec son éternelle froncage de sourcils. Bon à force vous le connaissez pour savoir que c'est naturelle chez lui. Voilà que j'utilise les expressions de Imran. Il m'a contaminée celui-là.
Contrairement aux deux autres, Youssef opte la solution de rester debout face à moi en ayant les mains dans les poches, le regard fixer dans le mien ainsi qu'une allure décontractée dans son costar.
Lui : Il t'a raconter quoi encore comme betise, l'autre ?
Moi: Rien d'important. Et puis pourquoi tu l'appelles l'autre, c'est ton cousin pour info. Soraya m'a dit que vous étiez assez proche tout les deux.
Lui : C'est exact. C'est pour ça que vous étiez tout les deux mort de rire.
Je me lève. Il m'énerve déjà avec ses réflexions.
Moi : Ça suffit Youssef ! D'abord Moha, ensuite Amir et enfin ton propre cousin. C'est pas un peu beaucoup comme crise de jalousie, non ? Si t'as un problème, dis-le moi. Je vais finir par croire réellement que t'es complètement jaloux.
Il ne dit rien et m'observe encore. Sincèrement, j'ai l'impression de parler à un mur. Je préfère m'éloigner de lui et rejoindre les autres. C'est ce que je comptais faire mais monsieur me retient dans ma démarche et me retourne face à lui. J'étais totalement collée à lui même trop près ce qui me perturbe beaucoup et ça je sais qu'il en joue.
Lui : T'as finis ?
Moi : Fini ? Tu te fou de ma gueule ?
Lui : Mia, c'est pas l'endroit ni le moment.
Moi : T'es sérieux-là ?! Ecoute, lâche-moi stp. Je vais rejoindre les autres.
J'essaye de m'échapper de ses bras mais celui-ci me laisse pas faire. Excédée de colère, je finis par lui donner des coups qui ne lui fit aucun effet vu qu'il ne bougea pas d'un poil.
Moi : Lâche-moi, Youssef ! Tu m'énerves. J'en ai marre de parler à un mur rempli de mystère. Avec toi, c'est soit blanc soit noir. J'en ai marre ! Je veux savoir ce que tu penses, merde !Je veux savoir ce que tu penses de moi ! Pourquoi t'es comme ça avec moi !
Je l'observais attendant une quelconque réponse de sa part. Ses yeux étaient si noires. Cette noirceur m'attirait bizzarremment. Sans que je comprenne le pourquoi du comment, il posa son front sur le mien. Il respirait fort. Mon coeur lui battait si fort en sa présence. Mes mains devenaient entièrement moites. Qu'est-ce qu'il m'arrive ?
Lui : Putain Mia, tu me fait un effet de ouff si tu savais.
Mes joues rougit de plus belle. J'avale difficilement ma salive.
Moi : Youssef...
Lui : Mon problème est que je te veux. Toi. Entièrement. Maintenant. Un seul feu vert de ta part et je te rendrais heureuse wallah. Mais la vrai question est-ce que toi Camélia, tu pourras me laisser cette chance ?
Il me fit un baiser sur le front avant de se détache rapidemment de moi. Sans me laisser le temps de répondre, il avait déjà disparu. Je ne bougea pas d'un cil, toujours à la même place. Ces paroles m'ont totalement chamboulée. Les autres avait dit vrai finalement.
Néanmoins, Youssef avait aussi raison sur un point. La vrai question était si j'allais totalement m'abondonner et lui offrir une chance ou au contraire continuer à pleurer sur mon passée et aimer un homme qui m'était plus destinée ?
J'étais éperdurement, passionnément et totalement perdue......
Likez, commentez, partagez les girls💜💜 La suite dans trois jours.
#LaNewChronika❤💋
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