Extrait de la partie 89
Dans la peau de Farès :
Me voilà à ses côtés. Je n'arrive toujours pas à croire que c'est bien elle. Moi, qui croyait que le tout puissant me l'avait arrachée de mes bras, et pourtant, la voilà en chair et en os. Comment vous dire que les mois après avoir appris sa mort ont été les plus sombres de ma vie. J'ai arrêté de vivre. Je me tuais à la fumette et à la boisson : mes seuls amies de la solitude et de la mort. Il y aussi eu la bibi, ma source de vengeance. En effet, les hommes de Younes nous ont appris que la mort de Camélia n'était pas un accident...je vous laisse imaginer qui a tout orchestré. Eh oui nos chers ennemis : Youssef et ses alliés. Je sais bien que j'avais promis à Camélia d'arrêter le bizz mais la non, je n'allais pas laisser ses pds s'en tirer comme ça. Je vais me venger de Youssef et sa miff. J'espère que l'assaut qu'on lui a préparé les a tuer. Une chose est sûre : Maïssa est morte dans l'incendie. Il va voir ce que ça fait de perdre la femme qu'on aime. Certes, avant, jamais je n'aurais agit ainsi mais désormais aucune pitié. Et puis, je pense que celui-ci ne s'en ai pas tirer puisqu'on ne le retrouve pas après ce qui s'est passé.
Je pose mes yeux un instant sur Camélia. Elle reste toujours aussi belle ma tendre Mia. J'observe ses blessure. Mon coeur se brise. Une vague de chaleur dû à ma haine traverse mon corps ainsi que le sang qui tourne dans mon cerveau. Sa me tue de la vois comme ça entre la vie et la mort.
Et puis merde ! Je n'aurais jamais dû la laisser partir. Non plutôt je n'aurais jamais dû partir? J'aurais dû me battre avant pour elle. Mais si c'est trop tard pour les regrets. Il faut que j'arrête de vivre dans le passé et de repenser à la mort de mes parents, à la trahison de ma soeur, et à la sois-disant mort de Camélia. Ces bâtards ont du l'humilier, la battre et se servir d'elle comme bouclier. Pleins de scénarios tourne dans ma tête ou je passe mes mais sur celle-ci espérant que ma femme se remette.
Je sens quelqu'un rentrer dans la pièce et se pose à l'opposé de moi près de Camélia. Je lève ma tête et le vis lui. Ca fait tellement longtemps que l'on ne sait pas parler enfin depuis la fois sur le toit. Après on s'est juste vu à l'enterrement de camélia et les dernières opérations.
Younès : Je sais ce que tu vas me dire.
Moi : Tu as le droit c'est aussi ta sœur, Younes.
Younès : Ou est le piège ?
Moi : Il n'y en a pas. J'en ai marre de me battre avec toi. C'est tout. Je voulais aussi profiter pour te dire que je te pardonne...mon frère.
Lui : Quoi ?! Tu parles sérieusement, Farès ?
Moi : Oui. Je comprend pourquoi ta fais ça mais ça ne justifie ni tes actes ni ton comportements. Je t'ai peut être pardonner mais camélia non. Tu dois te rattraper avec elle maintenant. La vie nous laisse à tous les deux une seconde chance Younes. Il ne faut pas la gâcher.
Lui : Je sais que j'ai tout gâcher et que je lui es fait du mal mais crois moi je me suis autant voulu que toi. Je voulais même me tuer....
Je me souviens...Younes a commencé peu de temps après la mort de Camélia à sombrer mais vraiment pire que moi. Il s'est mis dans les combats illégaux et grave à fond dans le bizz. Plusieurs fois, il a failli retourner derrière les barreaux et a même failli mourir à l'hôpital.
Après cela on a essayer de s'entraider pour se venger de la mort de Camélia.
Lui : Tu es un bon Farès. Je...écoute c'est dur à dire mais...je...suis désolé. j'accepte ton union avec ma sœur. Vous avez ma bénédiction comme je te l'ai promis.
Merci mon frère.
Je l'observe. Il la regarde avec tant d'amour que peut donner un frère à sa petite sœur. C'est beau. Je sentais que réellement au fond de lui, il regrettait être en arriver là mais rassurer de la voir aussi vivante. Un poids sur sa conscience s'évapore enfin.
Moi : Elle va s'en sortir. Je le sais.
Lui : Elle est forte. Elle a surmonter tant de choses que même ça sa ne lui fait pas peur.
Je regarde Camélia. Il a raison. C'est une guerrière. Elle a déjà surmonter tellement d'épreuves. Elle va s'en sortir.
Lui : Elle ressemble à Maissa.
Moi : Il l'ont fait passé pour elle. Je ne vois d'autre solutions.
Lui : Il se sont servis de ma petite soeur et ils l'ont regrettés ce soir tkt pas pour ça.
Je caresse son doux visage parsemé d'un bleu et quelques égratignures couvert de pansements. Elle est dans un salle états.
Moi : Comment on a pu lui faire ça ? Regarde l'état dans lequel ce chien et sa fratrie l'ont mise.
Lui : Ne t'inquiète pas ce chien de Youssef doit être six pieds sous à l'heure qu'il est même si il méritait pire. La balle que je lui es mis à dû bien l'achever.
Je le regarde en fronçant les sourcils d'un coup énervée.Parler de ce chien monte une certaine haine en moi. Je vois direct noir.
Moi : Ne me dis pas que tu l'as tué.
Lui : Non. On s'est battu. Ryad est intervenu et m'a poussé à sortir à des flammes et de fumer. Imran était à ses côtés. Je lui tiré dessus histoire de m'assurer qu'il ne sort pas. L'incendie a tout ravagé même la forêt. C'est impossible qu'il est survécu. Et puis, entre nous si je ne m'était pas débarrasser de lui tu l'aurais fait.
Je reporte mon regard vers Mia.
Moi : C'est moi qui aurait dû en finir avec lui.
Younès soupire.
Lui : Dans l'histoire Farés, je suis le tueur et non toi. Tu ne mérites pas ce rôle. C'est ma faute c'est moi qui répare les erreurs.
Il a pas tord mais j'en ai marre d'avoir le role du bon samaritain. C'était ma vengeance principalement pas la sienne.
Moi : C'est ma femme. Cette tâche revenait à moi.
Lui : Oui mais c'est ma sœur. C'est moi qui devait défendre son honneur.
On reste un moment dans le silence.
Lui : T'as de nouvelles de ta soeur ?
Moi : Je la cherche toujours.
Oui, en effet, depuis la mort de Camélia, j'ai murement réfléchi et j'ai décidé de la retrouver. Je n'avais pas envie de faire la même erreurs que Younes à fait avec Mia. J'avoue que sa ma fait cogité.
Lui : C'est drôle comment le destin fait bien les choses. On est pareil Farès dans le fond sauf que moi je n'ai jamais kiffer sur ta sœur.
Je le regarde. J'ai pas envie de me l'avouer mais dans le fond il a raison sauf que les circonstances ne sont pas les mêmes. Il continue.
Lui : Je veux que tu me promettes maintenant de ne pas faire les mêmes bêtises que moi avec ta sœur, Farès. Pardonne la. Je ne veux pas qu'elle finisse comme Camélia.
Moi : Je te le promets.
Nous restions là tout les deux à veiller sur Camélia.
Stp Mia, omri, réveille toi vite...
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Voici un avant goût de la suite qui va beaucoup plaire à la #TeamFares
Qu'en pensez-vous la #TeamYoussef ?
Continuez de commentez et liker ! Je veux vos avis la miff❤️❤️🔥
#LaNewChronika❤️🌹
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