Chapitre 20
Avertissement : contenu mature.
Les bébés ont un mois déjà et Alec demain doit reprendre son poste de directeur à l'institut. Il n'est pas trop à l'aise pour retourner travailler, il veut rester à la maison avec ses bébés. Mais il doit reprendre son travail, Magnus va les prendre en charge la journée, il est incroyable, un instinct paternel, Alec n'a pas de doute qu'il arrivera à gérer les bébés la journée. C'est lui qui est réticent à l'idée de reprendre le travail le fait de se séparer des bébés toute une journée lui fait mal au cœur ce qu'a compris Magnus quand ils avaient parlé il y a quelques jours.
— Mon amour ? appel Magnus de la chambre.
Alec le rejoint branchant le baby phone dans la chambre des bébés avant de rejoindre Magnus au lit, il entre dans la chambre et pose l'appareil sur la table de nuit.
— Tu les regarder dormir ? questionne Magnus avec un sourire.
— Que veux-tu ? ils sont magnifiques. Il ne fallait pas les faire si beau ! répondit Alec en se mettant au lit faisant rire Magnus qui vient se mettre à califourchon sur Alec dès qu'il fut sur son dos.
— C'est pour ça que tu m'attendais ? chuchote Alec sa main se glissant dans le tee-shirt de Magnus lui caressant son flanc remontant sur son torse allant titiller un mamelon.
— Non pas du tout, s'offusque faussement Magnus tout en continuant de caresser son torse basculant son bassin sur le sexe de son Chollima le sentant durcir à chaque coup de bassin.
— D'accord ! déclare Alec retirant sa main pour le taquiner gagnant une tape sur son torse le faisant rire.
MAGNUS
— Tu es si facile à taquiner ! chuchote mon Chollima en s'asseyant me gardant sur ses genoux.
Il vient mettre sa bouche dans mon cou déposant des baisers brûlants avant de la glissée le long de ma clavicule me faisant haleter. Je commence à rouler des hanches plus sérieusement sur l'érection naissante de mon Chollima qui me répond avec un gémissement qui se répercute directement sur mon entre jambes.
Il m'enlève mon tee-shirt et se redresse sur ses genoux me déposant doucement sur mon dos avant de poser ses lèvres sur mon ventre et remonte jusqu'à mon torse prenant mon mamelon en bouche. Je glisse ma main dans les cheveux de mon Chollima en gémissant de plaisir. Il remonte jusqu'à mes lèvres pour un baiser sensuel et passionné avant de m'enlever mon pantalon, se déshabillant à son tour se retrouvant tous les deux nus. Il se penche pour poser ses lèvres à l'intérieur de ma cuisse, y plaçant un suçon m'envoyant une vague de plaisir, je ne peux m'empêcher de grogner. Il traîne ses lèvres pour les posés sur mon sexe le prenant en bouche. Je ne peux que gémir et cambrer mes reins. Je sens au bout d'un moment qu'il se retire pour humidifier ses doigts avant que je ne sente une douce caresse sur mon intimité, il insère un doigt en moi, mes yeux se ferment de plaisir. Bientôt son doigt et suivi d'un deuxième puis d'un troisième.
Je ne suis plus qu'un gâchis gémissant les larmes de plaisir sur mes joues. Il retire ses doigts et je claque les miens pour lubrifier mon Chollima. Il vient doucement entre mes jambes ouvertes prêt à l'accueillir. En douceur il me pénètre, j'halète et mon Chollima gémis de plaisir.
J'en veux plus je bouge mes hanches doucement lui faisant comprendre je suis prêt. Il se relève sur ses avants bras plantant son regard dans le mien, il est tellement beau, ses yeux assombrissent par la luxure et le plaisir, ses joues rouges. Il roule des hanches avant d'adapter un rythme doux et langoureux. Je relève mes jambes posant mes chevilles croisées dans le bas de ses reins, mes mains caressant son dos tendrement. Nos yeux toujours plongés l'un dans l'autre, il pose ses lèvres sur les miennes, le baiser est tendre et doux comme ses coups de reins. Ce côté tendre et doux que j'aime tant, cet amour que ressent à chaque coup de reins de mon Chollima pour moi, se plaçant sur un avant-bras, il glisse son autre main sur ma cuisse la caressant, la serrant. Il remonte sa main pour la glisser derrière ma nuque posant son front contre le mien, ses hanches commencent à bégayer et je ne peux que pleuré de plaisir, mon corps détendu, mes cuisses se resserrant sur ses hanches.
On jouit ensemble, nos corps tremblants gémissant tous deux nos noms, nos yeux brillants de plaisir. Il se retire mais reste sur ses avants bras, mes jambes glissent de ses hanches mes mains caressent le dos de mon Chollima en attendant que nous redescendions de notre nuage de plaisir.
— Je t'aime, me murmure-t-il dans mon cou en y plaçant des baisers.
— Je t'aime mon amour, répondais-je de la même manière en embrassant son épaule.
Chollima bascule sur le côté pour se mettre sur le dos et je viens poser ma tête sur son torse après nous avoir nettoyés d'un claquement de doigts, s'endormant assez vite.
•••
Alexander avait repris le travail depuis deux semaines, il avait repris ces marques et ses habitudes, ses dossiers et ses rapports, les missions aussi sur le terrain avec Jace, Isabelle et Sébastien qui pour ce dernier avait rejoint le trio de meilleur chasseur d'ombres de l'institut, il était devenu un ami proche de trio. Isabelle sortait enfin avec Raphael et Jace et Simon filé le parfait amour. Il était heureux pour eux. Il n'avait pas de nouvelle de Clary, Luke lui avait dit qu'elle était chez sa sœur et qu'elle ne faisait pas de problème. Il n'avait pas de nouvelles de Valentin non plus. Il se demandait aussi qui était la personne que Clary parlait. Il avait discuté avec Magnus et peut être que c'était un ultime mensonge pour lui faire peur vue que son plan de séduire Magnus était tomber à l'eau. Il sortait de l'institut la nuit commençait à tomber, il avait hâte de retrouver ses bébés et Magnus après cette longue journée.
Il traverse les rues de New-York regardant les vitrines de magasin, les gens courir partout les voitures klaxonner, il s'arrête devant un parc regardant les enfants jouaient, ils pensent aux siens et accélère le pas pour rentrer les retrouvés, quand il ressent un sentiment étrange, il se sent suivi. Il tourne dans une ruelle, il s'arrête et se retourne pour voir Camille derrière lui.
— Qu'est-ce que tu me veux ? crache-t-il.
— Toi ! je vais te tuer et récupérer Magnus, il est à moi ! crache-t-elle à son tour.
— Magnus n'est pas un objet que tu revendiques et que tu jettes quand tu t'ennuies répond-il avec colère.
— Il sera à moi quand tu seras mort, j'irais le consolé, je le connais, il me tombera dans les bras comme il l'a toujours fait, dit-elle avant de sauter sur lui.
Il n'a pas le temps de l'éviter qu'elle lui morde le cou, il arrache sa tête de son cou, la jetant plus loin dans la ruelle, il s'avance sur elle d'un pas rageux, l'électricité au bout des doigts quand elle se relève en riant.
— Tu vas mourir je te l'ai dit ! ri-t-elle en pointant son cou.
Il continue d'avancer avant de porter sa main à son cou, il regarde sa main avec son sang et il y'a de la poudre dans son sang, il déglutit, il suffoque sa respiration devient difficile, elle s'avance doucement sur lui alors qu'il tombe à genou devant elle.
— Tu vas mourir et j'irai m'occuper de Magnus mais ne meurt pas trop vite quelqu'un est là pour toi, chuchote-t-elle à son oreille en lui agrippant les cheveux.
Sa vision s'assombrit, il respire de plus en plus difficilement chaque prise d'air lui brûle les poumons, il voit un homme derrière le dos de Camille s'avançait vers lui. Il reconnait Valentin avec la dague dans ses mains, il se place devant lui, dans un ultime sursaut de survie, il se transforme en pégase ouvrant ses ailes les envoyant voltiger loin de lui.
Il s'envole, il les entend crier de frustrations, ils ne peuvent pas le rattraper, il vole trop haut. Il vole, il s'éloigne jusqu'à ce qu'il se pose il ne sait pas où. Il suffoque et s'étouffe, il finit par tomber sur son flanc dans un choc assourdissant toujours sous sa forme de pégase essayant de calmer sa respiration mais c'est atroce, ses poumons brûlent sa gorge se sert, sa vision devient de plus en plus floue. Il voit des ombres dans son champ de vision mais il est trop faible pour les reconnaître. Il sent des mains sur lui, sur son flanc, le long de sa gorge. Il expire, il inspire plusieurs fois, il reprend sa forme humaine au fur et à mesure que sa respiration se fait plus facile, mais toujours douloureuse.
— Chollima ouvre les yeux, dit une voix pleine d'inquiétudes.
— Allez ouvrer les yeux frérot allez parabatai, implore une autre voix.
— Ja... Mag... chuchote-t-il essayant d'ouvrir les yeux.
Il se sent soulever dans des bras mais il est trop faible pour bouger, il se laisse faire, il sent sa tête se soulevé et un liquide descendre sa gorge, il déglutit mais s'étrangle, il tousse, il vomit dans sa bouche, il est tourné sur le côté, il vomit pendant plusieurs minutes criant de douleur, ses poumons et sa gorge brûlent. Il finit par s'évanouir.
Magnus
Je suis en train de faire les cent pas au loft, Alexander doit rentrer depuis une heure déjà et je n'ai pas de nouvelles, son téléphone sonne dans le vide et j'ai un mauvais pressentiment. J'ai appelé Jace, il m'a dit que ça fait presque deux heures qu'il était parti. Je m'inquiète, les bébés dorment depuis un moment. Mon téléphone sonne dans mes mains, je décroche sans regarder.
— Chollima ? demandais-je avec espoir.
— C'est Jace ! écoute j'ai fait le chemin de l'institut au loft et je ne l'ai pas trouvé, fait un sort de suivi s'il te plait souffle-t-il.
— D'accord je te rappel, dis-je rapidement en raccrochant.
Et je cours dans la chambre prenant un de ses tee-shirt, je souffle plusieurs fois pour me calmer et je m'active pour faire un sort et le sort m'indique un immeuble de Manhattan. Qu'est-ce qu'il fait le bas pensais— je, je sors mon téléphone et je rappel Jace.
— Jace, il est à Manhattan dans un immeuble, dis-je dans un souffle tremblant.
— J'arrive je suis en route avec Izzy, me dit-il rapidement.
— Dépêche-toi... je le supplie avant de raccrocher.
Ils arrivent dix minutes plus tard, je laisse les bébés avec Izzy et je fais un portail vers Manhattan. On sort du portail sur un toit d'un immeuble et ce que je voie me glace le sang, il est couché sur son flanc sous sa forme de Pégase, Jace court, je le suis.
— Chollima ? Alexander ?
Il a l'air mal en point. Sa respiration est difficile, m'agenouillant je caresse son flanc passant ma magie, Jace caresse son flanc aussi, il a le visage plissé d'inquiétudes. Mon Chollima a quelque chose en lui, je remonte jusqu'à sa gorge, c'est de la poudre que je mets dans une fiole que fais disparaitre dans le loft, il reprend des respirations en se retransformant doucement. Je claque des doigts pour l'habiller et pour le réchauffer.
— Chollima ouvre les yeux, l'incitais-je pour le réveillé quand je vois ses yeux papillonnés.
— Allez ouvrer les yeux ... allez parabatai, encourage Jace la voix brisée.
— Ja... Mag... essaye-t-il mais les yeux toujours fermés.
Il a du mal à ouvrir les yeux, je le prends dans mes bras pour le ramener au loft je le pose dans canapé, je lui soulève la tête pour lui faire boire la potion pour nettoyer son corps du produit qui le rend malade mais il s'étrangle, il tousse, il vomit dans sa bouche, je le tourne vite sur le côté, il vomit pendant plusieurs minutes criant de douleur, ça m'arrache des sanglots de le voir comme ça, Il finit par s'évanouir mais sa respiration est plus facile.
Je demande à Isabelle et Jace s'ils peuvent s'occuper des bébés pendant que je m'occupe de leur frère. Je repasse ma magie pendant plusieurs minutes apaisant sa respiration. Il reprend des respirations plus faciles et il papillonne des yeux.
— Mon amour ? chuchotais-je en posant ma main sur sa joue pour l'inciter à ouvrir ses magnifiques yeux.
— Mag... essaye-t-il en me regardant.
Sa voix est éraillée et rauque, je claque des doigts pour lui faire boire de l'eau.
Je lui pose de l'eau sur les lèvres qu'il boit goulument ses yeux toujours dans les miens.
— Les bébés ? me demande-t-il sa voix est brisée d'inquiétudes.
— Isabelle et Jace s'en occupent, lui expliquais-je.
Il hoche la tête avec soulagement et il se redresse. Je l'aide à s'asseoir, il me prend la main s'y accrochant. Je m'assois à ses côtés, l'embrassant dans les cheveux, il porte la main à son cou.
— Je vais le soigner, murmurais-je mettre la main sur celle de mon Chollima.
Hochant la tête, il me montre son cou et je passe ma magie du bout des doigts sur la morsure.
— Voilà c'est bon... qu'est-ce qu'il s'est passé mon amour ? questionnais-je en regardant attentivement mon Chollima dans les yeux.
— Camille m'a attaqué, elle m'a mordu, je ne l'ai pas vu arriver sur moi et Valentin était là, explique mon Chollima.
— Elle s'est alliée à Valentin ! La garce ! grognais-je de colère.
— Il y avait de la poudre dans mon sang tu sais ce que c'est ? demande mon Chollima.
— Non j'en ai mis dans une fiole, je vais demander à Cat qu'elle y jette un coup d'œil, répondis-je en le prenant dans mes bras.
Je le ressers dans mes bras avant de demander à Isabelle et à Jace de prendre les bébés et je fais un portail vers l'institut avec l'accord de mon Chollima après les avoir embrassés de longues minutes.
— Qu'est-ce que tu vas faire ? questionne Chollima.
— Je vais la faire venir ici et la tuée moi-même, dis-je d'un ton sans émotion.
J'en ai assez d'elle.
— Non attend, elle était avec Valentin ils sont alliés, elle peut nous amener à lui et en finir avec lui.
— D'accord, soufflais-je.
C'est vrai qu'elle pourrait nous être utile pour mettre fin à Valentin.
Je me lève pour me diriger vers mon atelier d'un pas furieux, je prends une boite et la ramène dans le salon, sans dire un mot, je l'ouvre et prend la poudre dedans et la jette au milieu du salon. Camille apparait une fraction de seconde après, elle n'a pas le temps de dire un mot que je l'enferme dans une cage.
— Magnus qu'est-ce que tu fais ? hurle Camille en moi regardant.
— Tu as essayé de le tuer ? grognais-je désignant mon Chollima qui s'est placé en retrait derrière moi.
Elle le regarde et tourne son regard vers moi.
— J'ai raté à ce que je vois, dit-elle avec un haussement d'épaules.
— Pourquoi ? parce que j'ai refusé le mariage questionnais- je durement.
— Tu es à moi Magnus ! tu l'as toujours était ! déclare-t-elle avec un sourire diabolique que j'ai envie à cet instant de lui effacer.
— Je ne suis pas ton objet ! crachais-je à son visage m'approchant de la cage.
— Et pourtant quand tu étais seul tu revenais dans mes bras, tu me suppliais de te reprendre, dit-t-elle en me regardant droit dans les yeux.
— C'étaient les pires erreurs de ma vie Camille, tu m'enterais un peu plus chaque fois, grognais-je.
— Tu m'aimes Magnus, c'est pour ça que tu revenais à chaque fois, bien que tu m'aies toujours dit que tu étais incapable d'aimer, dit-t-elle avec arrogance et assurance ce qui me mit en colère plus que je ne l'étais déjà.
— Je ne t'ai jamais aimé Camille. Je te le redis et j'en ai assez de tes jeux stupides tu t'en es pris à l'homme que j'aime tu as fait une grave erreur répondis-je durement.
— Tu l'aimes ? tu n'as jamais aimé Magnus tu me l'as dit ton cœur est incapable d'aimer, grogne-t-elle.
— Avant oui mais je l'ai trouvé, il est mon âme sœur, l'amour de ma vie et maintenant tu vas me dire ou est Valentin, questionnais-je avec colère
— Je ne te dirais rien, refuse-t-elle en croisant ses bras sur sa poitrine.
— Oh que si tu vas parler, sinon je te laisse ici attendant que le soleil se lève, dis-je calmement en pointant les premiers rayons du soleil qui commençais à s'infiltré dans le loft.
— Tu ne feras pas, si tu veux des infos, dit-t-elle.
Je ne vais pas plus loin, comprenant qu'elle ne dira rien.
— Soit ! on se revoit à la Gard dis-je en ouvrant un portail derrière la cage.
— Ne fais pas ça Magnus... ils vont me tuer ! crie-t-elle horrifié en se retournant pour regarder le portail.
— Oui comme tu as tué tous ses terrestres innocents, c'est ce que tu mérites ! criais-je à mon tour usant de ma magie pour pousser la cage dans le portail.
— Mag... hurle-t-elle avant d'être engloutis par le portail.
— Elle n'aurait rien dit... je la connais elle aurait joué avec nous, expliquais-je à mon Chollima en le prenant dans mes bras.
Il hoche la tête dans mon cou et je le sens s'avachir sur moi, je le porte jusque dans notre chambre, le regardant s'endormir épuiser dû à sa blessure.
...FIN DU PDV...
Magnus avait reçu des nouvelles de son ami Catarina au sujet de la fiole contenant la poudre. Ils doivent se rencontrer pour discuter des résultats de ses recherches. Elle avait demandé la présence d'Alec pour en discuter.
Alec se réveil une heure après, il se redresse en entendant des voix dans le salon, il reconnait Magnus. Il se lève un peu chancelant et sort de la chambre doucement, se dirigeant vers le salon, il voit Magnus discuté avec Catarina et Madzie sur ses genoux, il se racle la gorge pour faire connaître sa présence.
— Ayah (papa en indonésien) cri Madzie en sautant des genoux de Catarina pour aller dans ses bras.
Il la prend en chancelant un peu, il l'embrasse dans ses cheveux, toujours ému quand elle l'appel papa dans sa langue.
— Chollima tu es réveillé mon amour ? demande Magnus se levant et le guidant dans le canapé à côté de lui.
— Tu vas bien ? questionne Magnus inquiet.
— Oui je vais bien, répond-t- il en gardant Madzie prêt de lui.
— Les bébés ? questionne Alec regardant Magnus.
— Ils sont à l'institut, avoue Magnus.
— Ils vont rester longtemps là-bas ? questionne Alec la voix tremblante et les larmes aux yeux.
— Après avoir parlé avec Cat, Jace et Isabelle les ramènent d'accord ? explique doucement Magnus, Alec hoche la tête se mordant la lèvre pour ne pas pleurer. Il veut ses bébés près de lui, il en a besoin.
— Tu es triste, chuchote Madzie en le regardant dans les yeux posant sa main sur sa joue.
— Max fait la même chose pour me calmer, chuchote Alec posant sa main sur la main de Madzie qui était toujours sur sa joue retenant ses larmes.
— Maman fait des bisous sur mon front quand je suis triste, chuchote-elle se penchant pour lui faire un baiser sur le front.
Elle sourit doucement sous les yeux larmoyants de Magnus et de Catarina. Elle retire sa main doucement et se blottis contre la poitrine d'Alec qui quant à lui la resserre dans ses bras et pose sa tête sur l'épaule de Magnus qui pose sa main sur sa cuisse tournant la tête d'embrassant dans les cheveux.
— Alors... commence Catarina en se raclant la gorge
— La poudre que tu m'as envoyée est de la poudre de Sorgho, elle est nocive pour toi Pégase...elle obstrue les voies respiratoires mais normalement elle n'est pas assez puissante pour te tuer alors j'ai poussé mes recherches plus loin j'ai trouvé une sorte de poudre enfin plus comme une poussière de métal, explique Cat.
— Une poussière de métal ? questionne Magnus les sourcils froncés.
— Oui du métal je ne sais pas de quoi il s'agit, répond Catarina
— La seule arme qui peut me tuer c'est la dague de Chrysaor et elle était sous la surveillance de la gardienne jusqu'à ce que Valentin la récupère, explique Alec regardant Catarina.
— Est-ce qu'il y a une chance pour qu'il y ait une deuxième dague ? questionne-t-elle.
— Je ne crois pas, répond Alec dans un souffle en se redressant.
— Mon père pourra y répondre vu que Jocelyn est mort et avec elle le secret de la dague, déclare Magnus regardant son Chollima.
— On va devoir y aller ? comment on fait avec les bébés ? demande Alec avec inquiétude.
— On les emmène avec nous, mon père sera heureux de voir sa descendance, déclare doucement Magnus.
— D'accord, souffle Alec soulagé de ne pas être séparé de ses bébés.
Catarina et Madzie quittent le loft, un moment après,Jace et Isabelle ramène les bébés.
— Hey mes bébés ! chuchote Alec.
Il s'agenouille pour prendre Léandre dans ses bras vu qu'il était réveillé, ses deux sœurs dormaient dans leur transat de transport.
Il se lève et s'assied dans le canapé. Magnus prend les transat, Jace et Isabelle repartent les laissant seul en famille.
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