Chapitre 1
Alexander se lève grognon comme d'habitude. Il vient de fêter ses 18 ans hier avec sa jumelle Isabelle. Ils ont juste fait un dîner décontracté avec leurs frères et ses parents à l'institut.
Il va se doucher avant de s'habiller et de se rendre dans la cuisine pour prendre quelque chose à manger. Il se rend dans la salle d'opération et il rencontre Jace qui se rend aussi à l'OP.
— Salut, salue gaiement Jace.
— Salut... tu es de bonne humeur ce matin, ça change ! taquine Alexander avec un sourcil levé en scrutant son frère et en essayant de trouver une explication à sa bonne humeur.
— C'est toi le grognon le matin, pas moi, ronchonne-t-il en le suivant dans l'OP.
Il prend la tablette pour examiner l'activité démoniaque avant de lever la tête pour regarder Jace parler à Isabelle. Il pose la tablette et se dirige vers eux, il la salue avec un baiser sur le front.
— On a une mission, mais il faut attendre ce soir... tient ça se passe ici ! dit-elle en tendant à Alexander un dépliant.
— Le pandémonium ? C'est quoi ? demande Alexander avec les sourcils interrogateurs en regardant sa sœur qui roule des yeux devant l'ignorance de son jumeau.
— Une boîte de nuit ! Tu devrais sortir un peu plus souvent, déclare Isabelle en lui enlevant le dépliant des mains.
— Pas envie, souffle-t-il à sa sœur avec un haussement d'épaules.
— Et qu'est-ce qu'on doit faire là-bas ? questionne Jace avec les bras croisés sur sa poitrine.
— De la surveillance, rien de spécial, répond Isabelle.
— Vous pouvez y aller sans moi alors... tente-t-il de se défiler.
— Ça ne marchera pas ce coup-ci, rit Jace en regardant Isabelle qui avait les yeux plissés sur Alexander.
— Je vous déteste, grogne Alexander en tournant les talons pour aller dans la salle d'entraînement.
— Rendez-vous à 19 heures ici ! cri Isabelle en gagnant un doigt levé de la part de son jumeau.
— Goujat, insulte-t-elle gentiment.
Jace ne fait que rire et suit son parabatai à l'entraînement.
•••
Arrivé devant la boîte de nuit, Alexander sent le stress monté. Il ne sait pas pourquoi, c'est une mission de routine pourtant. Alors qu'il rentre, il sent les regards sur lui, des gens s'approchent de lui. Il sent des mains sur lui qui le font grogner. Ils sont comme attirés par lui, il se sent oppressé et il est étourdi par le son de la musique, l'odeur d'alcool et de sueur. Ils finissent par se disperser pour couvrir plus de terrain.
Il se retrouve à se cacher dans un coin. Son corps penché en avant, ses mains sur ses genoux. Il essaie de se reprendre de l'étourdissement qu'il ressent, alors que des voix lui chuchotent à l'oreille.
" Il est là..." ne cessent de répéter les voix dans son oreille. Il secoue la tête, se relève et regarde autour de lui. Il tombe sur des yeux mordorés qui lui coupent le souffle. Il détourne le regard pour voir Jace venir vers lui.
— Tu vas bien ? questionne Jace avec inquiétude.
— Je ne me sens pas bien... commence-t-il en portant ses mains à ses oreilles. Il faut que je sorte d'ici.
Il court vers la sortie de la boîte de nuit et il voit l'homme aux yeux mordorés le suivre du regard. Ne faisant pas attention, rentre de plein fouet dans une jeune femme qui le regarde. Elle ne devrait pas, il porte une rune qui le cache des terrestres.
— Tu me vois ? questionne Alexander en fronçant les sourcils.
— Oui pourquoi ? souffle-t-elle en regardant dans ses yeux, hypnotisée par leur beauté.
— Suis-moi ! ordonne-t-il sans tact.
— Non ! je ne vous connais pas, refuse-t-elle en se reculant.
— Il faut qu'on parle ! insiste-t-il en lui attrapant le poignet.
— Lâchez-moi, cria-t-elle alors qu'elle commence à paniquer en essayant de se dégager de sa poigne.
Alors, il ouvre sa main et la porte au front de la jeune fille. Il recueille au creux de sa main la sueur qu'il perle sur son front et la porte au niveau de son visage et fait tournoyer le liquide. Elle regarde les yeux écarquillés et il détourne son regard d'elle en scrutant la foule pour voir l'homme aux yeux mordoré scruté la scène, les yeux plissés.
— Viens avec moi s'il te plaît... il faut qu'on parle ! répète-t-il rapidement.
Ce coup-ci, elle hoche la tête et le suit. Il se retourne pour voir Jace et Izzy se diriger vers lui, il fait un signe de tête pour faire voir la sortie. Ils se retrouvent tous dehors. Alec inspire et expire un bon coup pour s'éclaircir la tête afin d'essayer de sortir les yeux de l'homme de sa tête. Les voix se sont arrêtées, le faisant souffler de soulagement.
— Alexander ? Qui est-ce ? questionne Izzy.
— Elle a la seconde vue. Je lui ai fait voir mon pouvoir d'eau pour qu'elle me suive dehors, répond Alec en les éloignant de la boîte de nuit.
— Comment tu t'appelles ? questionne prudemment Jace.
— Clary Fairchild et vous ? demande-t-elle à tout le monde sans lâcher Alexander des yeux qui finit par les baisser.
— Je suis Jace, voici mon frère Alexander, mais il préfère Alec et...
— Isabelle, mais appelle-moi Izzy.
— Tu viens avec nous. On va discuter mais pas ici, continue Jace.
— Clary ? entendent-ils crier.
Un gars à lunettes se dirige vers Clary en courant.
— Il vient avec moi ou sinon je ne vais nulle part, décrète Clary.
— Bien ! accorde Jace.
— À qui parles-tu Clary ? combien tu as bu ? il faut que je te ramène à la maison ? débite le gars à une vitesse folle tout en regardant autour de lui mais il ne voit personne.
Alexander se masse les tempes... Oh par l'Ange ! ça va être une longue nuit.
— Viens... Je t'expliquerai Simon. Fais-moi confiance, déclare doucement Clary en lui prenant la main.
Ils se dirigent tous vers l'institut sans un mot, Alexander repense aux mots des voix dans sa tête. Que veulent-elles dire par « Il est là ", il ne comprenait pas. Il avait hâte de se doucher et de se coucher.
— C'est glauque, chuchote Simon à l'oreille de Clary qui confirme ses dires en examinant elle aussi la vieille église devant eux.
Ils entrent en suivant les autres et ils s'attendent à voir un lieu délabré, mais Clary et Simon découvrent une installation remplie de technologies. Jace emmène tout le monde à la bibliothèque pour discuter avec Simon qui s'extasie devant la technologie de l'institut.
— C'est une organisation secrète du genre M.I.T, de la NASA, de la CIA... non encore mieux le FBI ! Oh mon Dieu, je suis dans les locaux du FBI... s'exclame Simon en voulant toucher partout.
Mais avant, il se fait taire par Alexander qui lui lance un petit courant électrique qui fait crier Simon de surprise.
— Alec, gronde Isabelle avec un sourire.
— Il parle trop ! souffle son frère avec un haussement d'épaules.
— Alors... Que sais-tu de ce monde ? questionne Jace en la faisant asseoir sur une chaise de la bibliothèque et les autres font de même.
— Ce monde ? questionne-t-elle en regardant autour d'elle.
— Du monde obscur et des chasseurs d'ombres, répond Jace en croisant ses bras sur sa poitrine.
— Vous chassez des ombres ? questionne Simon incrédule en regardant autour de lui et en scrutant les ombres dans la pièce avec les yeux plissés derrière ses lunettes.
Isabelle et Jace trouvent ça drôle et leurs rires redoublent quand ils entendent grogner leur frère et le voient se taper le front sur la table.
— Tu te débrouilles Jace, dit Alexander en regardant son frère qui avait l'attention d'implorer de l'aide.
— Tu n'es pas sympa, souffle-t-il.
Jace commence à raconter l'histoire du monde obscur et des Shadowhunters. Il explique le pouvoir et le devoir des chasseurs d'ombres.
— Nous sommes aussi connus sous le nom de Nephilim, nous sommes des humains avec du sang angélique. Nous sommes des guerriers de l'ange Raziel. Nous avons pour mission de protéger les terrestres contre les démons... notre sang angélique nous confère des capacités spéciales qui nous permettent de réaliser des exploits surhumains grâce à l'application de runes angéliques...
— Runes ? demande Clary en essayant d'absorber ce qu'elle vient d'entendre.
— Oui, les runes... des sortes de tatouages sur notre peau qui nous donnent des pouvoirs et des capacités... c'est notre devoir...
— Attends ! Tu es en train de dire que vous... vous combattez des démons ? et que c'est votre devoir ? questionne Clary en coupant encore une fois Jace dans son explication.
— Nous sommes nés ainsi... toi aussi Clary. Si tu peux nous voir c'est que tu as du sang d'ange. On était caché à la vue des terrestres par une rune, tu n'aurais pas dû nous voir.
— Et les démons ? demande Simon en remontant ses lunettes comme si les mots étaient mieux entendus.
— Il y a beaucoup de démons... commence Alexander. Beaucoup trop pour tous les citer mais nous pouvons parfois appliquer la loi contre des sorciers malhonnêtes, des vampires qui s'attaquent à des terrestres, des loups-garous...
— Attendez des loups-garous, des vampires ? Je ne suis pas au FBI, je suis à Roswell ! s'exclame Simon en coupant Alexander.
Il ne dit rien, c'est beaucoup d'informations à assimiler.
— Ros... quoi ? demande-t-il avec les sourcils froncés.
— Oh mec ! la zone 51... Roswell là où ils ont découvert le premier extraterrestre, tu savais que...
Mais ne finit pas quand Alexander lève la main pour l'arrêter.
— Laisse tomber.
Il n'a pas envie de l'écouter dans ses explications. Il se tourne vers Clary.
— Pour faire court... tu es une Shadowhunters Clary Fairchild, déclare Alexander.
— Ok... ok mais comment ça se fait que je ne le sais que maintenant ? Il faut avoir 18 ans pour que ça se produise ? questionne Clary en regardant Alexander dans les yeux.
— Non... non tu le sais dès ton plus jeune âge, tes parents ont dû te cacher la vérité, annonce Isabelle.
— Mais non... ma mère ne m'aurait pas caché ça, décrète Clary en secouant la tête de négation.
— Et ton père ? questionne Jace.
— Il est mort quand j'étais bébé.
— Il faut qu'on fasse venir ta mère ici pour qu'elle s'explique, déclare Jace.
— Demain Jace, tu as vu l'heure qu'il est ! dit Isabelle.
— Vous allez rester ici on a des chambres.
— Non ! Moi je repars, je ne reste pas ici, refuse Simon en se levant.
— Simon ? interpelle Clary en fixant son meilleur ami.
— Non Clary, tu devrais rentrer aussi. On vient de les rencontrer, tu ne peux pas leur faire confiance comme ça, ils remettent en question ta vie et que ta mère a menti et on a aucune preuve de ce qu'ils racontent, s'époumone Simon avec des gestes ahuris en montrant du doigt Alexander, Jace et Isabelle.
— J'ai vu de mes yeux Simon, je l'ai vu faire quelque chose qui m'a convaincu... dit-elle en pointant du doigt Alexander. Fais-moi confiance.
Pour prouver les dires de Clary, Alexander s'approche de Simon et tend la main au-dessus du verre d'eau qui était posé sur la table. Il fait sortir le liquide et le fit tourbillonner dans sa main devant les yeux de Simon et Jace passe sa stèle sur une rune pour l'activer, la faisant briller.
— Ouais... cool... Ok je te crois, déglutis Simon estomaqué par ce qu'il venait de voir en ne lâchant pas Jace des yeux.
— Merci, souffle Clary en le prenant dans ses bras.
— On va vous montrez vos chambres, déclare Isabelle en leur faisant signe de la suivre.
Alexander se dirige vers sa chambre pour prendre une douche. Il fait tourbillonner l'eau autour de lui, il finit sa douche pour se mettre au lit. Il s'endort immédiatement en pensant à l'homme aux yeux mordorés.
Le lendemain, Clary se lève en sursaut et se dirige en courant vers les chambres. Elle ouvre toutes les portes pour trouver celui qu'elle cherche. Pour le moment, elle faisait confiance à Alec plus qu'à Jace et Isabelle, elle ne savait pas pourquoi, elle voulait parler à lui et à personne d'autres.
— Oh dieu ! cria-t-elle de surprise.
— J'aurais dû frapper, rougit-elle en lorgnant Alexander qui sortait de la douche.
Ses cheveux sont mouillés, son torse ruisselle et il porte une serviette sur les hanches.
— Oui tu aurais dû ! dit Alec en la regardant les yeux plissés tout en tenant fortement sa serviette autour de ses hanches.
— Tu peux te retourner ? demande-t-il en esquissant le geste de la main pour qu'elle se retourne.
— Oui... oui bien sûr, s'empresse-t-elle en se retournant et en respirant plusieurs fois pour faire taire son rougissement.
— C'est bon qu'est-ce que tu me voulais ? questionne-t-il en croisant les bras sur sa poitrine.
— J'ai fait un rêve ou plutôt je crois que c'est un souvenir, enfin je ne sais pas trop, dans mon rêve ma mère parlait avec mon beau-père d'un certain Valentin, explique Clary en regardant Alexander fermé les yeux.
— Il faut qu'on en parle à tout le monde. Suis-moi ! déclare Alexander en la faisant sortir de sa chambre pour se diriger vers les cuisines pour y trouver Jace et Isabelle en croisant Simon en route.
— Salut, souffle-t-il.
Il embrasse Isabelle sur le front hochant la tête vers Jace. Clary prend Simon dans ses bras, adressant un signe de tête à Jace et Isabelle.
— Il faut qu'on parle, annonce Alexander en servant une tasse de café en tendant une à Clary et Simon.
— Qu'est-ce qu'il se passe ? questionne Jace.
Clary explique ce qu'elle venait de raconter à Alexander.
— Valentin ? Qu'est-ce que ça veut dire ? questionne Isabelle.
— Je crois que la mère de Clary a des choses à nous dire, déclare Jace.
— On doit aller la chercher... Simon tu viens ? demande Clary en se tournant vers Simon
— Oui je viens avec toi, confirme Simon.
— Je vous accompagne, décrète Jace en fixant Simon faisant plisser les yeux d'Alec sous le sourire discret d'Isabelle.
Alec se dirige vers la salle d'entraînement pour s'entraîner, il tire sur les cibles en se servant de son pouvoir électrique ce qui fait exploser la cible en mille morceaux. Il vide son carquois et se dirige vers les sacs de boxe qui explose après trois coups- de-poing.
— Tu vas ruiner l'institut à force de renouveler l'équipement, déclare Isabelle en entrant dans la salle. Ils sont là mais sans la mère de Clary.
Alec fronce les sourcils et suit sa sœur dans la salle d'OP.
— Qu'est-ce qu'il s'est passé ? interroge Alexander en rejoignant Jace.
— Elle n'a pas voulu nous suivre, elle a pris quelque chose d'un coffre et elle s'est évanouie dans un truc... lumineux ! s'exclame Clary.
— Elle s'est enfuie par portail, explique Jace.
— Pourquoi elle a fait ça surtout en te laissant derrière ? questionne Alexander les sourcils froncés.
— Je ne sais pas quand je lui ai dit que j'avais vu un gars au club que j'avais vu ce que tu faisais avec l'eau elle a genre paniqué et elle s'est enfuie, explique-t-elle.
— Et tu sais ce qu'elle a pris ? questionne Isabelle en regardant Jace.
— Non ça ressemblait à un genre de couteau mais ce n'était pas un poignard séraphique, déclare Jace les bras croisés sur sa poitrine
— D'accord, souffle Alexander.
Son esprit tournant à toute vitesse.
— Comment ont fait pour la retrouver ? demande Simon.
— On ne la cherche pas. Elle s'est clairement enfuie, on doit attendre qu'elle refasse surface, déclare Alec en regardant Simon qui hoche la tête.
— Non ! Elle est en danger, refuse Jace en s'avançant vers son frère.
— Elle s'y est mise toute seule, on n'a pas le choix. Et ce que nous faisons n'est pas approuvé par l'enclave, on va se faire taper sur les doigts, grogne Alexander.
— Bien je le ferais sans toi, je vais aider Clary a retrouvé sa mère, annonce Jace en se retournant vers Clary.
— Jace ne fait pas ça ! supplie-t-il.
Les dents serrées, il voit déjà les ennuis toquer à sa porte.
— Joue au toutou avec l'enclave, mais moi je vais l'aider à retrouver sa mère ! insiste Jace entraînant Clary par la sortie en laissant Simon et Isabelle derrière.
— Bien comme tu voudras ! dit Alec tournant le dos à son parabatai pour se diriger vers sa chambre en laissant sortir des éclairs signe de sa colère.
Plusieurs jours se passent et Jace et Clary sont sans relâche à la recherche de Jocelyn ce qui le fait grogner de colère face à l'imprudence de son frère. Il risque à chaque fois sa vie et celle d'autres chasseurs d'ombres qu'il entraîne avec lui dans ses missions. Tout ça va attirer l'enclave sur l'institut qui va vouloir savoir pourquoi toutes ses missions effectuées qui ne sont pas ordonnés par eux. Il se lève de son lit ou il est allongé et il se dirige dans la salle d'OP pour prendre une tablette, vérifiant l'activité démoniaque.
Il repose la tablette de contrôle vu qu'il n'y a aucune mission. Il se dirige vers la sortie pour prendre l'air quand la porte de l'institut s'ouvre sur Jace et Clary recouvert de sang, mais ils ne sont pas blessés.
— Qu'est-il arrivé ? grogne-t-il à l'encontre de son frère.
— Rien... on est tombé sur un nid de démon shax en cherchant la mère de Clary, répond Jace avec une certaine désinvolture qui agace Alexander au plus haut point.
— Tu te fous de moi ? s'énerve-t-il.
Sentant la tension montée dans l'institut, Jace se dirige vers son parabatai.
— Calme-toi ! souffle Jace.
— Non je ne me calme pas ! crie Alec. Tu attires l'attention de l'enclave avec tes missions. Si l'enclave se mêle de ce qui se passe ici et découvre pour moi Jace, je peux dire au revoir à ma liberté !
L'institut tremble, Alec lance des éclairs et le tonnerre retentit à l'extérieur.
— Je suis désolé... tu as raison parabatai... on va en discuter d'accord, mais calme toi, apaise Jace en protégeant Clary des éclairs.
— Grand-frère, entend-il crier.
Se retournant, il regarde Max se diriger vers lui. Il s'accroupit pour se calmer mettant sa main par terre se connectant avec la nature. Respirant plusieurs fois, il se calme pour relever la tête sur Max. Il hoche la tête pour faire comprendre qu'il pouvait approcher. Max se dirige vers lui et le prend dans ses bras.
— Je vais bien Max, chuchote-t-il à l'oreille de son petit frère.
Hochant la tête Max se recule pour porter sa main à sa joue d'un geste apaisant faisant sourire Alec. Il se lève pour embrasser ses parents qui venaient d'arriver d'Idris. Il prend la main de Max et se dirige vers sa chambre pour discuter et passer un moment avec son petit frère.
— Il a raison Jace ! déclare Robert s'approchant d'eux faisant disperser les chasseurs d'ombres qui s'était approché.
— Je veux retrouver Joce...
— Oui mais à quel prix ? Ton frère à raison, tu attires l'attention sur l'institut pour rien... Et à partir de maintenant, le moindre écart de ta part et de toi aussi Clary Fairchild, je serai dans l'obligation étant le chef de l'institut de vous envoyer sur l'île Wrangel pour manquement aux ordres et pour des missions non autorisées par l'enclave, déclare sévèrement Robert.
— Tu ne peux pas... commence Jace avant de se faire couper.
— Je le peux ! Tu es certes mon fils, mais tu n 'es pas au-dessus des lois Mademoiselle Fairchild non plus ! déclare Robert, tournant les talons suivis de Maryse se rendant tous deux dans le bureau pour discuter de la situation.
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