68

{ YOURI }

Elle était juste devant moi, toute tremblotante en train de pleurer, l'effet qu'elle avait sur moi était indescriptible, personne ne pouvait comprendre pas même moi, ont s'aiment et pourtant ont se fait du mal, je suis fou d'elle, me dire qu'un jour un autre homme pourra l'embrasser, la toucher, passée ses mains sur son corps, me rend encore plus fou, j'ai envie de tout plaquer, de la kidnappée et de la ramener avec moi loin de tous sa, ont se mariera et ont continuera notre vie loin de tout. Je lui ferais pleins de bébés et ont sera heureux. C'est moi son premier, alors je serais son dernier. Tous se que je voulais c'était être avec elle,

- Je vais rentrer

- Elle: [...]

- Pense à se que je t'ai dis

Je suis aller récupérer Aynine, je l'est déposé chez elle et je suis rentrer

[...]

- Yemma: J'espère que mon cadeau à plu à Samah

- Oui

- Elle: Qu'est-ce qui t'arrive ?

- Rien, je suis juste fatigué

- Elle: Tu travail beaucoup trop, tu devrais aller te reposé

- Ouais

- Elle: Qu'est-ce que tu as ?

- Rien...je vais aller m'allonger un peu

{ HIND }

Juste après le départ de Youri, je n'avais plus la tête à faire la fête, après avoir ranger la cuisine j'ai récupéré Naïm et nous sommes parties, si j'aurais pu fuir avec lui je l'aurais fais sans hésiter mais je ne pouvais pas me mettre ma famille à dos pour un homme. L'amour que je ressentais pour Youri était inexplicable, à chaque fois que je le voyais, je devais faire un effort surhumains pour ne pas lui sauter dessus, j'avais du mal à faire des phrase complète, l'emprise et l'effet qu'il à sur moi est indescriptible, cet tensions constante qui il y avait entre nous, nous poussais à faire des actions qu'ont ne pouvaient expliquées, heureusement qu'ont ne c'est jamais retrouver seule tous les deux dans une chambre, j'avais constamment envie d'être avec lui, d'être dans ses bras, qu'il me sert fort contre lui et qu'il ne m'abandonne pas. Mes sentiments étaient à chaque fois plus fort, je me disais constamment que c'était terminer, que j'avais réussis à l'oublier mais il suffisait que le voies, qu'il soit prêt de moi, pour que que mes sentiments reviennent encore plus forts que la fois précédente. Mon amour pour Youri me poussait à agir sans réfléchir, sans hésitation, je pourrais donner ma vie pour cet homme, l'amour est un sentiment qui est tellement fort, que même les plus grand philosophes ne peuvent réussir à expliquer correctement, car chaque amour est différent et unique, le mien me rend malade, l'amour nous pousse à faire souffrir nos partenaire sans même s'en rendre compte. Ont peux passée du bonheur à la tristesse, de la confiance à la désolation, de l'amour à la haine. Youri est mes partenaire, je le sais, je le sens, mais quand est-ce que nous pourrons vivre notre amour sans se cacher ? Quand est-ce que je pourrais vraiment être heureuse ?

[...]

Je sors de la pharmacie puis monte dans ma voiture, une fois à l'intérieur, j'éternue pour la énième fois, mon nez qui coule, ma respiration saccadé et mes yeux qui pleure m'empêche de me concentrer sur la route, malade, je l'étais. Heureusement pour moi j'arrive à destination saine et sauve, lorsque je passe la porte de chez moi je voies ma mère et Isra assise sur le canapé en train de pleurer, inconsciemment je me suis mise à pleurer aussi, ma réaction est peut-être stupide, mais j'étais très énerver et mon état de santé n'arrangeait rien, j'avais peur qu'il soit arrivée quelque chose à Sahar, ou à un de mes frères ou même mon père.

- Yemma qu'est-ce qui se passe

- Yemma: Ton grand-père est décédé cet nuit Allah y rahmou

- Qu...quoi ? Mais non... je l'est eu au téléphone hier matin

- Yemma: Je suis désolée benthi

Je n'arrivais pas y croire, sa ne peut pas être possible, il ne peut pas être partie, je l'est eu au téléphone hier matin, il était un peu fatigué mais il allait bien

- Yemma, stp, dit moi que c'est faut

- Elle: [...]

- Isra...

- Isra: Chut calme toi Hind

- Mais...Il...il était pas malade qu'est-ce qui c'est passé

- Yemma: Il à fait une crise cardiaque, ton père et t'est frères sont chez Jedda

Je n'arrivais pas à me calmer, mes larmes coulaient à flots, je n'arrivais pas y croire, c'étais mon grand-père, mon deuxième papa, je me souviens de tous ses week-end qu'ont passaient chez lui et jedda lorsque ont étaient plus petits, je me souvenais des jours ou j'allais m'asseoir sur ses genoux et qu'il me parlait de son enfance en Syrie. Je ressentais une profonde douleur et une infime tristesse au fin fond de mon être, j'avais mal au coeur, c'étais vraiment horrible. J'était inconsolable en une nuit, je venait de perdre une être qui m'était extrêmement chère, mes larmes coulaient à flots, impossibles de les arrêter, je regrettais toutes ses fois ou j'avais pu lui rendre visite, toutes ses fois ou je préférais m'amuser que m'asseoir à ses côtés et l'écouter. J'avais une haine immense envers moi même, je m'en voulais de ne pas avoir pu lui dire au revoir correctement, je l'ai eu au téléphone hier et il est partit cet nuit, c'était horrible. C'est lorsque l'on perd quelqu'un qu'ont se rend compte de sa valeur.

Puis je pensais à mon père, je sais à quel point il aime ses parents, l'état dans lequel il doit être en ce moment, j'ai tellement mal pour lui, si un jour je perds mes parents je pense que je cesserais de vivre avec eux, puis ma grand-mère, elle vient de perdre l'homme de sa vie, l'homme avec qui elle à tous construits, le père de ses 6 enfants. Si un jour je perdais Youri ? Que deviendrais-je ?

- Yemma: Venez les filles, ils font qu'ont se calment, ont va aller préparer les valises

- Ont va aller l'enterrer chez Jedda ?

- Yemma: Oui

J'ai du faire preuve d'une force immense pour réussir à monter les escaliers sans m'effondrer, Isra aidait yemma à faire les valises des garçons pendant que je faisais les notre, Aalyah, la femme de Idriss nous à rejoint quelques minutes plus-tard. Je n'ai pas pu m'empêcher de m'effondrer sur mon lit, je revoyais son sourire, ses magnifique yeux noisette, sa barbe, et ses mains qui avait sécher pratiquement toutes mes larmes, j'avais comme cet impression qu'il ne nous avait jamais quitté, qu'il n'étais jamais partie et qu'il était toujours là.

[...]

Nous venons juste d'atterrir à l'aéroport d'Oran, durant le vole je n'est pas quitter ma grand-mère, nous nous sommes assises à côté, je ne voulais absolument pas la lâchée, la douleur était encore présente et sa présence m'aidait à me sentir mieux, je n'avait jamais réellement " côtoyer " la mort, mais la mort de mon grand-père me prouve à quel point chaque jour sur terre doit être accomplie par une bonne action, je me posais des questions sur mon comportements en tant que musulmane, je faisais mes prières quotidienne, je me débrouillais assez bien en lecture, je faisais le ramadan et me rendais à la mosquée dès que possible, mais une question revenais sans-cesse, pourquoi est-ce que je ne portais pas encore le voile, j'ai 21 ans, j'ai un travaille qui en plus de sa me permet de garder un bandeau ou un turban sur la tête, je ne veux pas mourir en ayant déçu mon créateur, après tout, le voile est une obligation. Mais j'ai aussi beaucoup pensée à ma relation avec Youri, sur le fait qu'ont continuent de se voir malgré notre divorce, il à été le seule homme que j'ai aimée et fréquenter, et même si nous avons partager des moments beaucoup plus qu'intimes ont ne peux continuer à se voir ainsi.

[...]

Nous venons juste d'arriver à Oran, après plusieurs de trajet, nous sommes arrivées à destination, les retrouvailles avec ma famille ont été riches en émotion, encore une fois je n'ai pu retenir mes larmes, je sais que pleuré un mort est mal, mais comment ne pas pleure la perte d'un être chère ? Mes cousines avaient tout préparer pour notre arrivée, les chambre avaient été lavé et prêtes pour nous accueillir, mais j'avais beaucoup de mal à me séparer de ma grand-mère, alors après avoir pris une douche et avoir rattraper mes prières, je l'est rejoins sur le toit

- Sa va ?

- Elle: Oui, je vais bien Hind, arrête de me poser cet questions toutes les cinq minutes

- Je m'inquiète pour toi

- Elle: Il faut pas, allez va rejoindre les autres

- Tu est sûr ?

- Elle: Oui, va !

Je sentais qu'elle voulait être seule, alors après lui avoir embrassé le front, j'ai rejoins les autres en bas.

{ YOURI  }

Je pensais que cet entraînement de boxe allait réussir à me calmer, mais au contraire, il m'a encore plus énerver, ça fait 2 semaines que j'est aucune nouvelle d'elle, et grâce à José, je sais qu'elle ne c'est pas rendue à son travaille depuis 1 semaine. Je lui est demandé de vérifier ses comptes bancaires, histoire de voir si elle à fait des dépenses importantes, en attendant je décide d'aller prendre une douche, pour faire redescendre ma pression naissante. Ma douche terminée je m'habille et me met au travaille lorsque le gardien m'annonce un visite

- Emma: Je suis venue t'apporter les résultats

- Merci

Elle s'apprête à partir lorsqu'elle se retourne pour me faire face

- Elle: Merci Youri

- Pourquoi ?

- Elle: De m'avoir fait comprendre que tu ne m'aimais pas, sa ma permis d'avancer, j'ai rencontrée quelqu'un et même si pour l'instant ont se projettent pas très loin, je sens que c'est lui, alors merci

Je savais pas quoi lui répondre, et elle ne devait pas s'attendra à une  réponse de ma part puisqu'elle est partie immédiatement après, honnêtement, je suis content pour elle, au moins maintenant, elle va me foutre la paix.

Je pensais pouvoir travailler tranquillement, mais c'était son compter sur Aynine, je lui avait pourtant dit de ne venir ici, heureusement que j'ai envoyé ma mère et mes soeurs à Miami

- Qu'est-ce que tu fais ici ?

- Elle: C'est comme sa que tu accueille ta femme ?

Je n'est qu'une seule femme et ce n'est pas toi, mais tu lui ressemble tellement...

- je t'est posé une question

- Elle: J'avais envie de toi

Elle dit sa en s'approchant de moi et en plongeant sa main dans mon jogging

- Arrête sa

- Elle: Tu pourra m'appeler Hind

- Tu joues à quoi là ?!

- Elle: Je me plis à tes fantasme bébé, t'arrête pas de pensée à elle, même quand ont fait l'amour, alors je peux très bien être Hind

- Je vais te gifler Aynine, arrête sa ! Je suis pas ton pd moi

- Elle: Quoi je t'est fâché ? Et se que tu pense à la douleur que moi je ressens quand je voies que l'homme que j'aime pense à une autre femme

- C'est que du cul nous deux je te l'est dit depuis le début donc cherche pas plus loin !

Je la pousse légèrement, mon téléphone sonnait depuis déjà longtemps, sachant que c'est José, je me dépêche de répondre

- J'écoute

- Lui: J'ai vos renseignement monsieur

- Alors ?

- Lui: Elle c'est envolé avec toute sa famille en Algérie pour l'enterrement de son grand-père, il est décédée d'une crise cardiaque

Aimer et Commenter

_____________________________

Je vous aimes tellement que je vous ai réécris cet partie, je m'explique, j'ai terminé de l'écrire, puis au moment ou j'allais la posté y'a eu un bug, alors le serveur m'a demander si je voulais garder ma partie ou récupérer l'ancienne, comme une conne j'ai mis récupérer l'ancienne qui faisait à peine 3 phrases, j'ai du TOUT réécrire, la GROSSE GALERE ! Je suis fatiguée et en plus de sa mon chargeur vient ENCORE de me lâcher, j'ai la haine c'est pas possible donc celle qui aiment pas ou je sais pas quoi passez votre chemin je suis pas d'humeur !

Ps: J'ai débuter le concours du meilleur sourire, envoyez moi vos photos sur kik: Thugyh, celle qui gagne aura droit à la suite en avance ou au deux première parties de ma prochaine histoire ( si je décide de la crée )