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Je regarde mon corps dans le miroir, quelques bleu était encore présent à certains endroits, depuis mon mariage j'ai beau me regarder dans le miroir et me poser des questions mais je n'arrive pas à me comprendre, je ne reconnais plus la femme que je suis devenue, j'ai l'impression d'avouer échouer partout, mon mari, mes amies, tout, absolument partout.
Je me coiffe, me maquille légèrement puis enfile une robe et rejoins mes soeurs dans le restaurant de l'hôtel
- Sahar: Ont à crues que tu viendrais pas
- Désolée j'ai pris un peu de temps
Ma relation avec Isra n'a pas évoluer, je lui en veux encore, et aucune de nous deux ne souhaite faire le premier pat, maintenant je m'en fout, je ne calcule plus, j'ai passée ma vie à courir derrière des personnes à qui je ne devrais même pas donnée l'heure dans la rue, ma priorité à partir de maintenant c'est moi, et si je me sens mieux ainsi, je ne compte pas changée, j'ai oublier mon bonheur en pensant à celui des autres. J'ai passé ma vie à faire passer les autres avant moi, à me taire même lorsque sa n'allait pas, être gentille ne paye pas dans se monde remplit de cruauté, je compte bien devenir une autre personne, une femme qui se sent bien dans sa peau et dans sa tête.
- Je vais aller prendre l'air
- Sahar: Tu restes pas pour le dessert ?
- Non, prend ma part si tu veux
Je me lève ma chaise attrape ma sacoche et sort du restaurant, il fait nuit, mais il y à beaucoup de monde dehors, à cause de la chaleur, les gens préfère sortir la nuit.
Je marchais seule sur la plage, bercée par le bruit des vagues qui s'écrase contre la roche, je réfléchis à un tas de chose, à comment j'ai pu en arriver là, ma vie à pris un virage à partir du moment ou il est entrée dans ma tête, et malgré le fait que je passe de très bonne vacances je n'arrive pas à l'oublier, partout ou je vais, j'ai l'impression de le voir près de moi, j'ai l'impression qu'il est derrière moi, et tout sa m'empêche d'avancer, je ne sais pas quoi faire pour qu'il sorte de ma tête, pour ne plus penser à lui tous les soirs, ne plus rêver de lui. Tout me fait penser à lui, même cet robe que je porte ce soir, c'est lui qui me l'a offerte. Je m'assois sur le sable fin et prend mon téléphone, je compose le numéro d'Isaac, je dois avouer que ma famille me manque beaucoup j'ai parler avec chacun d'entre eux puis j'ai raccrocher, je compose alors le numéro de Leila, elle est la seule amie qu'il me reste encore
- Allô ?
- ?: C'est qui la ?
- Hind, Leila est pas la ?
- Lui: Non
- Ah d'accord, Mehdi tu pourra lui dire que j'ai appeler
- Lui: C'est Wassil
- Humm, tu pourra lui dire que j'ai appeler ?
- Lui: Non
- Pourquoi ?!
- Lui: Pourquoi quoi ?
Cet situation l'amusait je le sentais, Wassil est véritable gamin
- S'il te plaît Wassil, j'ai pas le tête à me disputer avec toi
- Lui: Tu va te suicider ou quoi ? Tu parles comme une depréssive
- Fait juste passée mon message
Je raccroche immédiatement après, inconsciemment je souriais, il me faisait rire, je le trouvais à la fois énervant et attachant, quelques secondes plus tard mon téléphone vibre
- Leila ? Je t'est appelé
- Lui: C'est Wassil
- Encore ?!
- Lui: Ferme tageul
Il raccroche, je reçois un message avec écrit
" - Lui: Moi on me raccroche pas au nez ! "
" - Tu m'a appeler pour raccrocher après ? "
" - Lui: Mddr t'as crus que je t'appelais pour taper la discute ? Allez salam la depréssive"
[...]
J'était en pleine préparation des gâteau de l'Aid avec ma grand-mère pendant que les autres sont partient faire les courses, ont étaient donc seule à la maiso,, demain toutes la familles ainsi que celle d'Ihsane sera réunit pour fêter la fin du Ramadan, je suis heureuse de voir tout mes cousins ainsi que mes oncles et mes tantes
- Jedda: Benthi donne moi le miel
- Jedda t'en met beaucoup trop
- Jedda: T'est au régime ?
- Non
- Jedda: Alors il y à pas de problème
Je ris en lui embrassant le front, je sais maintenant d'ou mon père tient son humour légendaire, malgré son âge ma grand-mère est une femme magnifique, surtout avec son jilbeb, c'est une femme extrèmement forte qui à su élever correctement 5 enfants, elle avait 15 ans lorsqu'elle à épouser mon grand-père et à 18 ans il l'a emmener ici, alors elle parle assez bien français
- Elle: Tu va bien ma fille
- Oui jedda,
- Elle: Tu est comme ta mère, lorsqu'elle était triste, ont pouvaient lui demandées 1 millions de fois ce qui n'allait pas, mais c'était toujours " Al Hamdoullah tout va bien "
- Je ne ment pas tout va bien
- Elle: C'est à cause de ton mari ?
- [...]
- Elle: Je suis désolée benthi, il avait l'air d'être si gentille pourtant, mais c'est la volonté d'Allah et peut-être qu'il ne t'est pas destiné
- Pourtant, pour moi il l'est
- Elle: C'est parce que tu l'aimes encore, l'amour est quelque chose de très difficile que personne ne peut comprendre, pas même ce qui le vive, tu est très forte Hind, pour avoir vécu tout sa sans jamais en parler en personne et je ne laisserais personne te dire que tu est faibles
Je la prend dans mes bras et verse une petite larme, je l'aime tellement, encore une fois j'ai la chance d'avoir une famille qui m'aime et qui est présente pour moi et pour rien au monde je ne la changerais.
{ YOURI }
Je sors de la mosquée et monte dans ma voiture, après quelques minutes j'arrive devant chez elle, il y avait toute sa famille, même de dehors on pouvait deviner la bonne ambiance qui y règne, je suis restée postée devant chez elle toute la journée à la regarder rire, sourire, elle avait l'ai dans son élément, je l'ai rarement vu ainsi, rire sincèrement. Etre si prêt l'un de l'autre mais ne pas pouvoir se voir, ni se toucher...j'aurais voulu passer se jour avec elle, allée priée ensemble puis passée le reste de la journée avec nos famille. Chaque jour un peu plus je me rend compte que j'ai tout gâchée,alors j'essaye, par tous les moyens de l'oublier, j'ai commencer par la boisson, puis j'ai terminée avec les joints, mais tous se que sa m'a apporter c'est de problèmes, puis je me suis rendue compte que ce n'est pas en buvant que je vais la récupérer, je me suis éloigner de ma famille, je suis en train de crée ma propre entreprise je ne veux plus travailler pour Ziad, j'ai repris la prière. Il est minuit quand la lumière de sa chambre s'allume elle ouvre la fenêtre pour fermer les volets lorsque qu'elle s'arrête et regarde en ma direction
{ HIND }
C'est lui, j'en suis sûr, j'ai reconnue sa voiture, je ferme les volets et descend vitesse, je sors doucement de la maison, avec le monde qu'il y à personne ne remarquera mon absence, lorsque j'arrive dehors il était encore et s'apprêtait à partir
- Youri !
Il baisse la vitre de sa voiture et ont restent comme deux idiots à se fixer pendant de longues minutes
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Voila j'ai changée un peu bien-sûr il y aura des passage des anciennes parties mais j'ai une nouvelle tournure pour l'histoire
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